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2 petits ajouts pour la Belgique : L'Atoll Corallien Route nationale 5 / 1 G 6041 Gosselies Belgique Tél.: 00.32.71/35.85.04 Gsm : 0032479/300.432 Ma -> Ve de 10h à 12h et 14h à 18h30 Sa -> 9h à 19h Di -> 9h30 à 12h30 Fermé le Lundi Mail : atoll_corallien@hotmail.com ---------------------------------------------------------- Aqua Zone 175 Neuve chaussée 7600 Peruwelz Belgique Les joindre depuis la Belgique : Téléphone 069/78.15.71 Télécopie 069/78.15.72 Les joindre depuis l'étranger: Téléphone +32(0)69/78.15.71 Télécopie +32(0)69/78.15.72 Site : http://www.aquazone.be/ Mail : aquazone@aquazone.be Ma -> Sa 10h à 12h et 13h30 à 18h30 ...Très beau site avec beaucoup de choix P.S : J'irais les visiter sous peu et vous donnerais mes impressions.
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Identification Nom scientifique : Scarabaeus sacer Appellation usuelle : Scarabée sacré, bousier, scarabée rouleur de boule, scarabée rouleur de pilule Classification Classe : Insecta Ordre : Coleoptera Famille : Scarabaeidae Genre : Scarabaeus Espèce : Sacer L'appellation scarabée sacré vient du fait que les anciens Égyptiens associaient ce bousier au dieu Rê. L'insecte poussant sa boule évoquait pour eux le dieu du soleil qui assurait le déplacement de l'astre du jour dans le ciel. Habitat Cet insecte se retrouve partout sur le continent africain, des régions désertiques de l'Égypte jusqu'aux savanes de l'Afrique du Sud. Portrait Le scarabée sacré fait partie d'une grande sous-famille de coléoptères connue sous l'appellation de « bousiers ». Ces insectes sont coprophages, c'est-à-dire qu'ils se nourrissent des excréments (les « bouses ») des grands mammifères herbivores (zèbres, dromadaires, rhinocéros). Ce sont des insectes très costauds et opportunistes. Il le faut bien : personne ne peut prédire où et quand apparaîtra une nouvelle bouse ! Un scarabée sacré est construit comme un petit bélier mécanique. Sa tête se termine par un rebord dentelé en forme de pelle, avec laquelle il découpe la bouse. Ses pattes antérieures (celles d'en avant), larges et aplaties, sont de véritables truelles lui permettant de façonner en boule la matière fécale. Les pattes postérieures de l'insecte, longues et minces, maintiennent la boule pendant qu'il la pousse vigoureusement à reculons en se propulsant à l'aide de ses robustes pattes antérieures. En se sauvant avec son butin, le scarabée sacré évite la compétition des autres insectes, qui, eux, demeurent sur le site de la bouse. Il s'enterre avec son trésor et peut ainsi s'en nourrir en toute tranquillité, caché au fond d'un terrier. Quelquefois, un mâle et une femelle unissent leurs efforts pour dérober des boules d'excréments. La femelle peut alors s'accoupler et façonner à même la matière fécale des chambres de ponte dans lesquelles elle déposera ses oeufs. La larve qui émergera n'aura plus qu'à dévorer de l'intérieur son sarcophage de matière nutritive. Quelques mois plus tard, un scarabée sacré tout neuf émergera de terre, comme par magie. En moins de 30 minutes, une bouse d'éléphant peut attirer plus de 4 000 coléoptères. En moins de 2 heures, ces insectes sont capables de réduire à néant une masse de matières fécales de 1,5 kg. Un scarabée rouleur de boule pesant 5 g peut déplacer une boule de 250 g à une vitesse de 20 cm par seconde. Les anciens Égyptiens associaient le scarabée sacré au concept d'immortalité. En sortant des profondeurs du sol, un scarabée ne démontre-t-il pas qu'il peut s'échapper du royaume des morts ? * Source www.insectia.com
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Guêpe Pepsis Identification Nom scientifique : Pepsis sp. Appellation usuelle : Pompile, guêpe des chemins Classification Classe : Insecta Ordre : Hymenoptera Famille : Pompilidae Genre : Pepsis Espèce : sp. Habitat Les guêpes du genre Pepsis ne sont présentes que dans les régions tropicales de l'Amérique. Plusieurs centaines d'espèces prospèrent en Amazonie ainsi que dans les Antilles, où on les retrouve autant au niveau de la mer qu'à des altitudes de 4 000 m, notamment dans les Andes. Portrait Les guêpes Pepsis attirent l'attention par leur bourdonnement bruyant, le bleu métallique de leur corps et leur taille imposante. Le corps des femelles des espèces les plus grosses peut mesurer jusqu'à 8 cm de long. Ailes déployées, elles ont une envergure pouvant atteindre 15 cm. On les trouve le plus souvent butinant le nectar d'une fleur ou courant sur le sol à la poursuite d'une araignée. De forte constitution, les femelles affrontent des tarentules pouvant atteindre la taille d'une main d'homme. Les batailles agitées et spectaculaires entre ces deux colosses peuvent durer plusieurs heures. La plupart du temps, la tarentule est vaincue après que la guêpe lui ait infligé une piqûre paralysante entre les pattes. Une fois l'araignée paralysée, la guêpe la traîne dans un terrier qu'elle a creusé à l'aide de ses pattes antérieures, munies de poils formant une sorte de râteau. Elle y enfouit sa victime, sur laquelle elle aura déposé préalablement un oeuf qui donnera naissance à une larve qui se nourrira de cette chair. Les guêpes Pepsis sont très capricieuses dans le choix de leurs proies. Elles visent quelques espèces très particulières qu'elles reconnaissent à l'odeur en les tapotant de leurs antennes. Avec leur terrifiant aiguillon, les guêpes Pepsis terrassent non seulement les puissantes mygales mais elles foudroient aussi les humains d'une douleur insoutenable. Parfois, les guêpes Pompilidae cassent, voire broient les pattes de l'araignée paralysée afin de libérer le passage. Elles le font aussi afin d'éviter que la victime s'évade si, par hasard, elle recouvrait ses esprits. Certaines espèces de Pompilidae sont voleuses, voire parasites : elles investissent les nids d'une autre guêpe ou même ceux d'une araignée. Avis aux chasseurs : certaines sauterelles (Scaphura, Aganacris), la mouche Mydas (Mydas rubidapex) et certains papillons arctiides (Macrocneme) ressemblent à s'y méprendre aux guêpes Pepsis, dont ils imitent à merveille les patrons de couleurs et les comportements. * Source www.insectia.com
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Syndaesia sp. Nom scientifique : Syndaesia sp. Appellation usuelle : Solifuge Classification Classe : Arachnida Ordre : Solpugida Famille : Daesiidae Genre : Syndaesia Espèce : Il existe plus de 600 espèces de solifuges, dont une centaine aux États-Unis. Selon une fausse croyance, une solifuge emmêlée dans la chevelure de quelqu'un serait capable de se libérer en coupant les cheveux avec ses chélicères. En Afrique, la solifuge porte le surnom de haarskeerder ou « coupeuse de cheveux ». Habitat Les solifuges se retrouvent dans les régions désertiques ou arides, principalement en Afrique et au Proche-Orient. Certaines vivent dans le sud-ouest des États-Unis. Portrait On compte plus de 600 espèces de solifuges dans le monde. Ce ne sont pas des insectes, mais des araignées. Et quelles araignées ! Les plus grandes, dont le corps peut atteindre 6 cm, sont des créatures à l'allure vraiment terrifiante. Bien sûr, leur abdomen ballonné évoque le sympathique bonhomme Michelin. Mais leurs terribles pièces buccales (les chélicères) pourraient servir de modèle pour les mâchoires du monstre du prochain film Alien. Une solifuge est en définitive une déchiqueteuse sur pattes. L'araignée fonce sur sa proie à une vitesse foudroyante et l'agrippe avec ses deux longs pédipalpes (ces appendices ne sont pas des pattes, mais des organes de préhension). La victime est aussitôt happée par les chélicères, qui broient son corps à répétition pour en extraire toute la substance liquide. Au bout d'une minute, une grosse sauterelle est ainsi transformée en un méconnaissable petit paquet de pulpe. Capturer une solifuge n'est pas une sinécure. Première difficulté : la plupart sont des animaux nocturnes, donc difficiles à repérer. Deuxième difficulté : les solifuges sont capables de foudroyantes accélérations. Même prise dans un filet, l'araignée réussit souvent à s'échapper. Dès qu'elle touche le sol, elle file au loin à la vitesse de l'éclair. En moins de deux, elle disparaît, comme aspirée par le sol. Les solifuges sont en effet fort habiles pour creuser des terriers. On dirait que cette araignée vit en accéléré, une caractéristique qui en fait une formidable prédatrice. Par contre, ce métabolisme élevé a un prix : contrairement aux autres espèces de grandes araignées, les solifuges vivent rarement plus d'un an. Malgré leur aspect rébarbatif, les solifuges sont tout à fait inoffensives pour les humains. Elles peuvent sans doute mordre, mais n'ont pas de venin. Une grande solifuge est capable de terrasser un scorpion et même certains vertébrés comme des lézards, des petits rongeurs et des oiseaux. Durant son existence, une solifuge peut creuser une quarantaine de terriers, certains s'enfonçant à une profondeur de deux mètres. * Source www.insectia.com
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Les maladies des scorpions Les mycoses : Les mycoses sont des champignons qui profitent d'un taux un peu top élevé d'humidité pour se développer sur les scorpions essentiellement désertiques. On retrouve souvent ces mycoses sur les Hadrurus, les Androctonus sous forme de taches brunâtre ou noirâtres, plus ou moins petites. Elles ne font que s'agrandir au fil du temps, et se propagent rapidement jusqu'à ce que le scorpion meurt. Ces taches sont facilement visibles sur les scorpions jaunes, mais beaucoup moins vite décelable sur des scorpions dont la couleur est proche du noir. Ce sont souvent les parties en contact avec le sol qui sont touchées en premier, à savoir, les peignes, les sternites, les pattes, les anneaux du metasoma (queue), et moins souvent les pédipalpes, le céphalothorax, les tergites. Ces mycoses peuvent être traitées avec des produits vendus en pharmacie et utilisés pour l'homme, mais dans des dosages beaucoup plus faible. On peut aussi se procurer, toujours en pharmacie, du parahydroxybenzoate de methyle, dilué dans de l'alcool, que l'on applique localement avec un coton tige. Le remède le plus simple est de donner une bonne aération aux terrariums et de diminuer les vaporisations. Les attaques bactériennes : Ces attaques se présentent sous la forme de taches, plus ou moins régulière, et de couleurs différentes allant du blanc au noir. Ces taches deviennent des trous qui percent la carapace des scorpions et prolifère ensuite dans l'organisme de celui-ci. La mort survient toujours après de long mois d'attente. Elles touchent surtout les scorpions vivant en milieu humide, les spécimens les plus souvent atteint sont les Pandinus. Elles sont le résultat d'une prolifération de bactérie le plus souvent due à une mauvaise hygiène des bacs. Nous avons en effet constaté que les éleveurs donnant des souris (vivantes ou décongelées) à leurs scorpions étaient atteints de ce mal, et que les autres ne constataient jamais ce problème. Les souris sont très rarement finies, aussi le temps que prend le scorpion pour manger cette souris profite aux bactéries pour se multiplier dessus. De plus les scorpions emmènent le plus souvent la proie dans le terrier et ne la termine pas, ce qui augmente encore la prolifération des bactéries. Pour le moment, nous n'avons, hélas, aucun remède à donner. La plupart du temps lorsque les attaques sont découvertes il est déjà beaucoup trop tard. Le mieux est d'éviter de donner des petits mammifères aux spécimens vivant en milieu humide, sinon il faut retirer le plus vite possible les restes de repas avant qu'il ne pourrissent. Les problèmes de mue : Des problèmes de mues, qui sont pour le moins très fréquent, peuvent aussi occasionner de fatales conséquences. Il arrive que pour diverses raisons, le scorpion ne soit pas entièrement sorti de l'exuvie. L'ancienne peau, reste donc collée sur la nouvelle. Cela arrive aussi au niveau des pédipalpes, des pattes, mais aussi du metasoma. Le cas qui nous intéresse est le suivant. L'ancien tégument reste collé sur l'anus du scorpions, l'anus se trouve entre le telson et le cinquième segment du metasoma. Votre scorpion vivra un certain temps, il mangera comme d'habitude, mais il ne pourra jamais déféquer. Il gonflera jusqu'a ce que ses intestins se perforent et que ses excréments emplissent son abdomen. Bien entendu il ne lui restera plus très longtemps a vivre. Une patte, un pédipalpe emprisonné dans l'ancienne exuvie devra pour la plupart du temps être coupé. La gêne occasionnée par cet appendice mort pourrait empêcher le scorpion de se nourrir correctement. Il est aussi possible que la partie morte pourrisse et occasionne des maladies pouvant être fatales. Le sectionnement devra se faire avec un outil (ciseaux) très tranchant. Il faudra aussi veiller à ce que la perte d'hémolymphe (sang) ne soit pas trop importante. Ne vous inquiétez pas pour votre scorpion, une patte, un pédipalpe en moins ne l'empêchera pas de vivre. De plus si votre scorpion n'est pas encore adulte, il pourra régénérer en partie ou totalement l'article perdu. Ci-dessus, un Androctonus australis mort pendant la mue, sans raison apparente. Les blocages à ce niveau sont, pour les scorpions, toujours fatals. Il est impossible d'aider le spécimen à sortir de l'exuvie sans risquer de lui arracher certaines parties comme les pédipalpes, les pattes ou le metasoma. * Source http://messcorpions.com/
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Le genre Hadogenes se compose de : Hadogenes angolensis Lourenço, 1999 Angola. Hadogenes austroafricanusPenther, 1900 Zimbabwe. Hadogenes bicolor Purcell, 1899 Afrique du Sud. Hadogenes bifossulatus Roewer, 1943 Namibie. Hadogenes gracilis Hewitt, 1909 Afrique du Sud. Hadogenes granulatus Purcell, 1901 Bostwana, Mozambique, Zambie Hadogenes gunnigi Purcell, 1899 Afrique du Sud. Hadogenes hahni (Peters, 1862) Namibie. Hadogenes lawrencei Newlands, 1972 Namibie. Hadogenes longimanus Prendini, 2001 Afrique du Sud. Hadogenes minor Purcell, 1899 Afrique du Sud. Hadogenes newlansdi Prendini, 2001 Hadogenes paucidens Pocock, 1896 Rep. Démocratique du Congo Hadogenes phyllodes Thorell, 1876 Afrique du Sud, Namibie. Hadogenes polytrichobothrius Prendini, 2006 South Africa. Hadogenes soutpanbergensis Prendini, 2006 South Africa. Hadogenes tityrus (Simon, 1888) Afrique du Sud, Namibie. Hadogenes trichiurus (Gervais, 1843) Afrique du Sud. Hadogenes troglodytes (Peters, 1861) Afrique du Sud, Botswana, Mozambique, Zimbabwe. Hadogenes zuluanus Lawrence, 1937 Afrique du Sud, Swaziland. Hadogenes zumpti Newlands & Cantrell, 1985 Afrique du Sud, Namibie? Sous espèces d' Hadogenes : Hadogenes trichiurus (Gervais, 1843) * Hadogenes trichiurus caffer Hewitt, 1918 : Afrique du Sud. * Hadogenes trichiurus gracilioides Hewitt, 1918 : Afrique du Sud. * Hadogenes trichiurus pallidus Pocock, 1898 : Afrique du Sud. * Hadogenes trichiurus parvus Hewitt, 1925 : Afrique du Sud. * Hadogenes trichiurus trichiurus (Gervais, 1843) : Afrique du Sud. * Hadogenes trichiurus werneri Fet, 1997 : Afrique du Sud. * Hadogenes trichiurus whitei Purcell, 1899 : Afrique du Sud. Hadogenes troglodytes (Peters, 1861) * Hadogenes troglodytes dentatus Hewitt, 1918 : Afrique du Sud. * Hadogenes troglodytes letabensis Werner, 1933 : Afrique du Sud. * Hadogenes troglodytes troglodytes (Peters, 1861) : Mozambique, Afrique du Sud.. * Source messcorpions.com
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Voilà je les ai "passé" au Carbyl que j'ai bien soupoudré aux endroits cités et laissés trempé 5 minutes dans de l'eau tiède avec Carbyl aussi, ensuite passé sous l'eau tiède clair et essué au soppalin Maintenant on peux jamais être certain à 100% au niveau ingestion mais je crois pas qu'il en ai bu ou avaler, du moins j'espère Dans l'eau rien d'inquiétant, 1 ou 2 points noirs mais pas de rouge mais au moins ainsi suis tranquille Merci beaucoup Chance pour ton aide
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