Admin-eleveurcanin

le No d'éleveur est suffisant, pas de flicage mais il faut quand même rappeler la règlementation et faire la difference entre un éleveur professionnel et un éleveur faisant une seule portée par an. Rappeler également que le certificat de capacité est obligatoire.

[b]marilou[/b] tu es éleveur ou invité sur le forum ? Tu as la couleur bleu du groupe 9 mais je ne vois pas ton site en www ni ton affixe de plus élevant la même race, je ne vois pas qui tu es. [/quote] étant donné le peu d'heures que je consacre à l'élevage familial constitué de moins de 9 chihuahuas, ...................... Moi aussi j'ai moins de 9 chihuahuas mais plus d'une portée par an et j'ai un No de siren obligatoire.

Comme celà, tu pourras m'aider à répondre aux questions des éleveurs. Nous ne sommes pas de trop.

Petit Rappel: Si vous élevez plus d'une portée par an "soit deux portées et plus", vous devez OBLIGATOIREMENT vous inscrire à la chambre de l'agriculture en tant que professionnel de l'élevage et remplir le formulaire. Autrement, vous êtes dans l'illégalité. Puis ensuite compléter un dosser de demande d'excercice en tant qu'éleveur canin professionnel à la DDSV de votre département. Vous recevrez votre No d'éleveur soit "le mien" Certificat de capacité délivré par la DDSV. 57-CC-AC-119 qui vous autorisera à excercer. Rien à voir avec le No d'éleveur "le mien" Certificat de capacité délivré par la SCC. 573356 La chambre d'agriculture vous enverra un No de SIREN puis 40334392400029 vous serez automatiquement contacté(e) par la direction des services fiscaux et vous devrez remplir votre formulaire pour dire de quel nature sera votre imposition. De Base, au Forfait, forfait simplifié ... Vous recevrez votre No personnel de TVA: N° TVA Intracommunautaire : FR46403343924 Puis selon que vous soyez salarié dans une entreprise en plus de votre exploitation ou non, vous serez contacté(e) pour choisir une caisse de cotisation.

Ton message: Pourquoi n'indique t'on pas le N° de siret pour les membres de ce forum. On annoncerait au moins la couleur. Il y a de plus en plus de "particuliers" ( pour le fisc), éleveurs réguliers, et de vrais particuliers qui jouent les éleveurs sur les forums, parce qu'ils ont un affixe qu'ils n'ont jamais (ou une fois utilisé). Parce quand on se déclare, la donne change drolement en matière de contraintes et de charges, et peut être que s'il y avait un peu plus de N° de siret parmi les responsables SCC, la cynophilie prendrait une autre allure, le retour sur investissement pourrait faire partie de leurs préocupations. _________________ Les Terres Froides Cockers Spaniels - Welsh Springers ............ Je le retire du forum reglement et le met ici pour pouvoir en parler.

Déplacé trouvé/perdu/volé

Déplacé trouvé/perdu/volé j'espère qu'elle sera vite retrouvée.

Bienvenue parmi nous

Bonjour, je viens de m'inscire sur votre forum, mon affixe est le suivant : Du Val De Baïlysse (teckels nains et kaninchen poil dur) le lien : http://duvaldebailysse.site.voila.fr/ et j'ai ete parraine par Jean Loup. Bien cordialement

Ben non, je viens de mieux regarder, ça rentre pile poil dans ta corbeille et la tête ne sort pas !

Effectivement, ils ont vite grandi tes bébés ! La corde à noeuds est plus grande qu'eux ! lol. Pour le coussin, il n'est pas un peu petit 60 cm ? Sa tête est hors du coussin mais c'est la mère, c'était peut-être prévu pour ses petits. Elle doit être jalouse. (Il y avait du 70 cm ...)

Un particulier vient regarder vos chiots tous les jours. Je suppose qu'il doit y en avoir d'autres !

Franck Michel explique pourquoi il a tué le loup Le genou chapeauté de son inséparable couvre-chef, le regard hagard caché derrière ses lunettes, Franck Michel était installé, hier en fin d’après-midi, dans le bureau de son avocat à Bonneville. Encore un peu ébranlé par 48 heures de garde à vue. Âgé de 28 ans, cet amateur de photographies animalières et de taxidermie est chasseur depuis l’âge 21 ans. Il a été placé sous contrôle judiciaire et mis en examen pour chasse prohibée, détention et transport d’une espèce protégée. Il a avoué avoir abattu un loup, jeudi 12 février, sur les hauteurs du Petit-Bornand-les-Glières, au hameau La Ville. « Un coup de sang », comme il l’explique dans cette interview à un journal, après que le loup a tué un chamois. « Une bête de plus... » Vous avez été mis en examen pour avoir tué un loup sur les hauteurs du Petit-Bornand-les-Glières, et vous n’avez jamais nié les faits. « Je ne sais pas mentir. Et puis, j’ai pris un coup de sang. Ce n’était pas calculé, mais je suis monté avec ma carabine et je l’ai tué. Mais je ne pensais pas à mal en tuant un loup. Pour moi, j’ai fait une bonne chose... Pour tout le monde. Même si je sais que ce n’est pas bien pour la loi. Il y a de plus en plus d’attaques, et de plus en plus près des maisons. Ça faisait beaucoup... et ça fait longtemps que ça dure. » C’est un acte de braconnage pour vous ? « Non, la chasse est fermée et ce n’est pas un gibier. Pour moi braconner, c’est quelqu’un qui tue un sanglier, par exemple, pour en tirer profit, vendre la viande. Moi, je voulais réguler. Je ne l’ai pas chassé, je ne l’ai pas cherché, je ne lui ai pas couru après. Au moment de le tuer, j’avais à l’esprit de diminuer un peu la population des loups et de les effrayer pour les éloigner. » Vous regrettez ? « Non, je ne regrette pas mon geste. » Et si c’était à refaire... « Je le referais. » C’était la réponse à une attente dans le village... « Les gens ont peur. Pour moi, le loup commençait à devenir une menace pour les habitants. Les personnes âgées, les femmes qui promènent leur chien disent qu’elles ont peur. Ma soeur a même reçu un mail d’une habitante qu’on connaissait pour être une protectrice des animaux. Elle a écrit : "Je suis contente car j’avais peur qu’il tue mon chien". Il y a de plus en plus de loups, et si près des maisons. Je l’ai fait avant qu’il y ait un accident. » En ville, les gens ont du mal à croire que le loup s’approche aussi près des maisons... « Toutes les dernières attaques ont eu lieu à 100 mètres des habitations. On retrouvait des carcasses de cervidés au bord de la route, juste de l’autre côté de la ligne blanche. On en retrouve deux par semaine. Depuis que les loups sont descendus, les cerfs viennent la nuit entre les maisons. On les a vraiment sous les fenêtres. On n’avait jamais vu ça. » Les gens se demandent pourquoi un chamois et pourquoi un chasseur. Vous n’êtes pas éleveur, et ce n’était pas l’une de vos bêtes... « L’hiver le gibier, cet été les bêtes. Nous, les gibiers, on s’en occupe, on les compte, on leur donne à manger quand il fait trop froid. On restreint le plan chasse quand il le faut, comme l’an dernier. Et puis mes amis éleveurs m’interpellaient. Tous les jours, ils me disaient, en tant que chasseur, : "Que faites-vous pour nous. Est-ce qu’une régulation est prévue, ou au moins des tirs de prélèvements ? » Vous saviez qu’une demande de tir de prélèvement était en cours ? « Oui, je le savais, mais l’administration est tellement longue. Personne ne fait rien. » Vous avez le sentiment de ne pas être entendus ? « C’est toujours minimisé. Au Petit-Bornand, on a vu jusqu’à six loups ensemble, les services compétents ont été alertés. Mais rien. » Vous pensez que le loup n’a pas sa place au Petit-Bornand-les-Glières ? « Il y a de la place pour le loup mais pas trop. La montagne est immense, il doit manger sur les sommets. Pas si près des maisons. » Un comité de soutien est derrière vous, vous sentez-vous comme un héros ? « Non, je ne suis pas un héros. Mais ce qui s’est passé, pour moi c’est normal. On savait que ça allait arriver. Et dans toutes les conversations de bistrot, on entendait les gens dire : "Si je le vois, je le tue". Moi, j’ai eu l’occasion et j’avais l’arme. » Retrouvez l’interview en vidéo sur http://www.ledauphine.com Source : http://www.loup.org/spip/Franc(...)

Le chien, nouveau produit de luxe ? Employée de la SPA, Emeline s'occupe tous les jours de chiens abandonnés comme Roxy.La crise n'épargne aucun secteur. Et depuis quelques mois, même le meilleur ami de l'homme est touché... Avoir un animal de compagnie est devenu un luxe. Et visiblement, tous ne peuvent se l'offrir... Depuis la fin de l'année 2008, la société protectrice des animaux de Chambéry (SPA), qui couvre quelque 120 communes, a constaté une recrudescence du nombre d'abandons d'animaux de compagnie. Les chiens sont en première ligne, car ils coûtent trop cher à leur maître. Selon Géraldine, employée de la SPA, « il faut compter entre 15 et 50 euros de nourriture par mois pour un chien », en fonction de sa taille. « Et bien entendu, il faut également avoir un budget de côté pour les frais vétérinaire, pour les vaccins et les problèmes de santé éventuels de l'animal.» Avoir un chien à la maison est bel et bien devenu un luxe. Tant et si bien que la SPA de Chambéry affiche aujourd'hui complet et ne peut plus accueillir de nouveau chien. « Nous en avons actuellement 49, et plusieurs demandes d'abandon en attente... » Déplore Nadine, également employée par le refuge animalier. Les gros chiens en première ligne Parmi les animaux de compagnie recueillis par le refuge, les chiens de moyenne et grande taille occupent la quasi-totalité des enclos (plus de 90%), et sont devenus très difficiles à placer. « Le coût d'entretien des gros chiens est plus important en termes de nourriture et ils vieillissent plus vite, donc vont coûter plus cher en frais vétérinaire. Et quand on sait que le coût d'une anesthésie varie en fonction du poids de l'animal...» Pour Géraldine, il sera difficile de faire adopter les vieux chiens du refuge, à l'image de Roxy. Ce rottweiler de 9 ans réside à la SPA depuis près d'un an, et a peu de chances de trouver un nouveau maître, d'autant que les contraintes sont de plus en plus importantes pour acquérir les chiens de deuxième catégorie. La crise également chez les éleveurs Eleveur de labradors et de golden retriever à Montagnole, Dominique Quay a lui aussi senti les conséquences de la crise, dans une certaine mesure. « Pour nous, éleveurs, la crise n'est pas arrivée il y a 6 mois, mes ventes ont commencé à baisser en 2006. Entre 2005 et 2008, j'ai vendu deux fois moins de chiots (68 en 2008) alors que leur prix n'a pas bougé depuis 20 ans ». Pour l'éleveur, le contexte économique a forcément des répercutions, et si les familles n'abandonnent pas leur animal de compagnie, elles ne le remplaceront pas à sa mort. Mais la crise n'est pas seule en cause. Pour lui, il y a un véritable changement de société qui fait que, notamment, les personnes âgées ne restent pas sédentaires et n'achètent du coup pas de chien. Et du coup, plusieurs chiens « invendus » grandissent au sein de l'élevage de Dominique Quay, en attendant de trouver un maître. Source : http://www.la-vie-nouvelle.fr/(...)

Une grande exposition de chiens de race en juin SOCIÉTÉ CANINE DE COGNAC. L'association prépare sa prochaine exposition nationale Photo : Les chiens retrouveront la Croix-Montamette le 7 juin. (Archives SO) La société canine de Cognac se prépare à retrousser ses manches pour la grande exposition de chiens de race qui se tiendra le dimanche 7 juin sur l'esplanade de la Croix-Montamette. Une année sur deux, l'organisation de l'événement lui échoit, en alternance avec son homologue d'Angoulême. Le président, Jacques Nompaix, a mis ses troupes en ordre de marche jeudi dernier, lors de l'assemblée générale. L'association a repris du poil de la bête depuis qu'il en a pris la tête, en 1998. Elle avait été créée en 1937 par Maurice Hennessy. Une autre époque. Aujourd'hui, la société canine compte 195 adhérents. Elle oeuvre à la promotion de la cynophilie sous ses multiples facettes (chiens de race, travail, dressage, utilité, expositions canines de beauté, concours de chasse). « L'association va bien, le nombre d'adhérents progresse sensiblement tous les ans, et les finances sont saines », observe le président. Jeudi, à sa grande satisfaction, deux membres d'une trentaine d'années sont venus renforcer le conseil d'administration, où la moyenne d'âge reste élevée. Le rendez-vous de juin constitue un temps fort. Jacques Nompaix espère réunir autant de participants qu'en 2007, où près de 700 chiens avaient été admirés par 1 200 visiteurs. L'exposition est placée sous l'aune du certificat d'aptitude conforme au standard international de beauté. Son audience est nationale, ce qui permet d'ouvrir plus grand les portes que lors des concours internationaux, plus lourds à organiser. Politique attractive La réussite passe aussi, selon Jacques Nompaix, par une politique attractive : « Bien recevoir, des récompenses intéressantes, des tarifs modiques, des cages montées à l'avance et gratuites, tout ça forge la notoriété. » Pour lui, il sera temps ensuite de songer à passer la main. Il resterait au bureau pour épauler ses camarades dans une évolution pilotée par la Société canine de Paris, qui souhaite que les associations deviennent départementales. « Pour nous en Charente, cela ne devrait pas poser de problèmes. Nous travaillons en bonne intelligence avec Angoulême depuis une dizaine d'années. Cela n'a pas toujours été le cas. En Charente-Maritime, où il y a trois associations, ce sera peut-être plus difficile », relève-t-il. Renseignements au 05 45 82 28 69 ou au 05 45 81 29 08. Source : http://www.sudouest.com/charen(...)

concours Agility Date : 08-03-2009 Organisme : BOUGUENAIS SPORT CANIN Contact : LE ROUX Claudine Adresse : La Neustrie salle des Mousquetaires 44340 Bouguenais Téléphone : 0610679583 E-mail : leroux.cb@orange.fr Site web : http://bouguenais-sport-canin.(...) Commentaire : Notre concours national d'Agility débutera à 8h le 8 Mars prochain. Notre Juge Mr Vannier Michel appréciera les parcours des équipes en liste Source : http://www.chien.com

Tarbes. Un chien saute sur une fillette Caminadour. Les promeneurs se plaignent des chiens laissés en liberté et craignent pour leur sécurité. Ces dames se promènent sur le parcours sportif, le chien en liberté. Un oubli vite réparé quand Jean-François Delgado leur a indiqué que la laisse était obligatoire. Photo Joël Boyé. Lieu de promenade, le Caminadour attire beaucoup de monde. Et la réglementation n'est pas toujours respectée. Ainsi des chiens laissés en liberté qui peuvent, si les propriétaires n'y prennent garde, causer un sentiment d'insécurité et, qui sait, agresser un promeneur, même si ce chien passe pour le plus brave des animaux. C'est ce qui est arrivé à Marie-Françoise Lavigne qui habite Tarbes et avait pour habitude de se promener sur le Caminadour. « J'y vais souvent. Ce jour-là, j'étais accompagnée de Léa, ma petite-fille de 8 ans. On se trouvait du côté du pont Nelly. Et un gros chien, de la taille d'un grand labrador car je ne connais pas trop les races de chiens, a sauté sur ma petite-fille. Il était en liberté. Les propriétaires n'étaient pas loin et ont crié ''ne criez pas, ne bougez pas''», raconte-t-elle. La petite-fille n'a pas bougé, elle est restée figée. Et c'est après coup que cette mamie et sa petite-fille ont eu très peur. « À présent, j'hésite à me promener avec elle sur le Caminadour. Même lorsque je suis seule. Car il y a beaucoup de chiens en liberté », observe-t-elle. À la divagation des chiens s'ajoute la fréquentation de motos et de quads, un problème qui a été soulevé dans une récente réunion de conseil de quartier. Les uns et les autres sont pourtant interdits sur le Trait vert, Caminadour et parcours sportif. Une précision, toutefois, la brigade verte du Grand Tarbes, qui assure l'entretien du Trait vert et du Caminadour, est équipée d'un quad. -------------------------------------------------------------------------------- Deux rives, deux réglementations Pour la berge Caminadour qui dépend du Grand Tarbes, on explique que la philosophie de cet aménagement (idem pour le Trait vert), lorsqu'il a été réalisé, était d'en faire un lieu de promenade ouvert à tout le monde. Sur les 9,5 km du Caminadour qui va de Soues à Bours et traverse cinq communes (Soues, Séméac, Tarbes, Aureilhan, et Bours), le même arrêté a été adopté par les cinq communes, à charge à chacune desdites communes de le faire respecter. Cet arrêté précise que le Caminadour est interdit aux véhicules à moteurs, qu'il y est interdit de déposer des déchets, les vélos sont autorisés, les chiens pouvant être en liberté. « On a gardé son aspect sauvage et voulu lui donner cet esprit de sentier de campagne, l'idée étant de faire appel au civisme des gens, sachant que la priorité est aux piétons », indique-t-on. Dans ce sens, d'ailleurs, le « Guide du Trait vert » édité par le Grand Tarbes est illustré par « les bons réflexes à adopter pour les piétons, avec ou sans chiens, et les cyclistes » dans un souci de cohabitation. « Nous sommes conscients que cette liberté peut entraîner quelques petits désagréments mais jusqu'à présent, ça a bien fonctionné », dit-on. LE PARCOURS SPORTIF Sur le parcours sportif, rive qui dépend de la ville de Tarbes, c'est réglementé : « Les chiens ne sont admis que s'ils sont en laisse. Mais d'un côté comme de l'autre, sont exclus ceux de première catégorie qui doivent être impérativement tenus en laisse et muselés, c'est la loi, quel que soit l'espace », explique Fabrice Rouderies, responsable du pôle sécurité. Sur ce même parcours, les vélos doivent être poussés. « La police municipale et les agents des parcs et jardins, qui eux aussi sont agrémentés et peuvent verbaliser, font des passages tous les jours et nous sommes très vigilants », indique Jean-François Delgado, brigadier-chef principal de la police municipale, en charge de la police des parcs et jardins. Mais il se murmure qu'une réflexion pour uniformiser la réglementation entre le parcours sportif et le Caminadour serait envisagée. Source : http://www.ladepeche.fr/articl(...)

Le château de Mons accueillera en mai le National de la race saint-bernard ÉVÉNEMENT. L'élite des saint-bernard en concours à Caussens Robert Larrey et Charles Pechtl sont les seuls éleveurs du département. (photo franck meslin) Avec moult titres de champion de France depuis 2000 et un titre de vice-champion d'Europe, Robert Larrey est l'un des éleveurs de l'Hexagone les plus enviés dans le petit monde des amoureux du chien sauveteur. Le retraité et son épouse s'adonnent passionnément à l'élevage et à la reproduction de ce maître des sommets depuis près de trente ans. Ils comptent aujourd'hui huit chiens dans leur propriété de Béraut. « Notre première chienne, Schtroumpfette, a remporté un prix dès sa première exposition à Pau et sa fille Kiwi a été sacrée vice-championne de France et meilleure jeune femelle française à la Mondiale des clubs de saint-bernard en 1988. Nous l'avons faite saillir par un champion international et de cette portée est sortie Hermès du Rombaut, géniteur - on peut le dire - de la moitié des saint- bernard de France. Puis Gypsi, Java, Léna ont été championnes. En 2000, Ophélie devenait championne de France et meilleure chienne de la nationale d'élevage sur 170 chiens de cette race présentés. Puis ce fut Picsou en 2003, Udine en 2004 et Swan en 2005. Enfin, Mistral do Ferrador fut sacré meilleur jeune à poils longs en 2007 », raconte fièrement l'éleveur. C'est donc avec bonheur que le Gersois organise, pour la première fois dans le Sud-Ouest, le concours national de l'élevage. L'événement qui doit réunir près de 200 chiens parmi les meilleurs de la race saint-bernard, dogue du Tibet et Aïchi se déroulera les 23 et 24 mai, au château de Mons, à Caussens. Unique dans le Sud-Ouest Allure, obéissance, sociabilité, qualités physiques et morphologie, « sur un tel concours, on juge tout pour dénicher le meilleur de la race », commente Robert Larrey qui, avec son ami Charles Pechtl, est le seul éleveur du Gers. L'objectif de la journée ne sera certainement pas de vendre des chiens aux visiteurs, mais l'exposition entièrement gratuite des animaux et leurs exhibitions seront l'occasion pour le public de rencontrer des éleveurs et de découvrir ce chien légendaire. « Le saint-bernard, indique Robert Larrey, peut être un bon gardien, grâce à sa taille dissuasive. Mais c'est surtout un chien de compagnie exceptionnel, très gentil qui adore jouer avec les enfants. » Les Condomois avaient déjà eu l'occasion de partager la passion du couple Larrey en 2002, grâce à l'organisation du premier concours régional du Sud-Ouest. « C'est une fierté d'accueillir le National et de faire découvrir notre belle région aux éleveurs de toute la France et même du Portugal et d'Espagne. L'objectif est par ailleurs de faire découvrir et apprécier cette race aux Gersois. » Pour cela, Robert Larrey prévoit une belle parade de saint-bernard dans le centre-ville de Condom, le 23 mai. Éleveur de chiens d'excellence, c'est tout naturellement que Robert Larrey s'est adjoint le partenariat d'Excellence Gers pour accueillir gastronomiquement ses invités. Auteur : franck meslin f.meslin@sudouest.com Source : http://www.sudouest.com/gers/a(...)

Stage découverte du cavage. Date : 14 & 15-03-2009 Organisme : TCC-THIONVILLE Contact : Marc AUBERTIN Adresse : Route de Manom 57100 Thionville Téléphone : 0382528687 Fax : 0382528687 E-mail : boxmarck@free.fr Site web : http://cavage.forumpro.fr/inde(...) Stage de découverte du Cavage au naturel et en concours. Source : http://www.chien.com

concours Agility Date : 15-03-2009 Organisme : CLUB CANIN DE MONTOU Contact : Denise GISPERT Adresse : Ancien Stade Louis Blad Code Postal : 66370 PEZILLA-la-RIVIERE Téléphone : 04.68.63.16.04 E-mail : georges.gispert@wanadoo.fr Commentaire : Juge : Mr Christian GUILLEMARD Source : http://www.chien.com

Revin - Concours aux Mazures : votre chien a-t-il du nez ? http://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/254789/Concours_aux_Mazures___votre_chien_a_t_il_du_nez_ Votre chien de chasse est-il capable de renifler la trace d'un sanglier ? Dimanche, à la cabane de chasse des Wèbes, a lieu un concours de « chiens de pied ». Photo : Les chiens dits de « pied » sont capables de retrouver la trace des animaux. LA saison de la chasse est certes terminée, mais les chasseurs gardent leur passion intacte. Ce qui les pousse à aimer ce loisir c'est aussi, entre autres raisons, le contact avec les chiens. Dans ce but, la toute jeune association ardennaise l'Affac 08 (association française pour l'avenir de la chasse aux chiens courants) organise dimanche 22 février, une journée « spécial chiens courants » (ce sont des chiens dressés à courir après le gibier, par opposition aux chiens d'arrêt) et chiens de pied. « Il y aura un concours de chiens de pied », explique Olivier Canneaux, président de l'Afaccc 08 « et une exposition de chiens courants ». Tous les chasseurs savent ce que veulent dire les notions de chiens « courants » et chiens de pied. « Les chiens courants sont de moins en moins nombreux dans les Ardennes, c'est pourquoi on essaie de les promouvoir. Ils ont tendance à disparaître, car certains disent que ces chiens ont tendance à pousser les animaux chez les voisins » explique Olivier Canneaux. « C'est pourquoi nous voulons mieux faire connaître ces chiens. Nous voulons aussi faire se rencontrer ceux qui partagent la passion de cette forme de chasse, son éthique ». C'est donc dans ce cadre-là, que dimanche il y aura dix-sept chiens concurrents. Ce sera un concours de chiens de pied avec des chiens courants ardennais. Des juges venus de la Côte-d'Or, de l'Aube et d'autres départements encore vont tracer des pistes dans les bois, à l'aide de pieds de sangliers et de morceaux de peaux. Le but : le chien Publicité doit retrouver la trace du sanglier. À 14 heures, les juges emmèneront les chiens près du tracé de la piste ; aux chiens de trouver l'entrée. Manifestation du 25 juillet Les concurrents seront éliminés au bout de cinq sorties de piste. Le chien vainqueur sera celui qui aura commis le moins d'erreurs. Il y aura aussi un QCM pour les maîtres afin de départager les éventuels ex æquo. Pour ce qui est de l'exposition, elle rassemblera une cinquantaine de chiens courants. Ce rendez-vous est très intéressant pour les chasseurs, car cela permet de venir voir les chiens travailler dans les bois. « Les gens vont pouvoir constater que l'on peut faire des choses insoupçonnées avec ces chiens. On ne se rend pas toujours bien compte de quoi un chien est capable : notamment dans la localisation du gibier », rajoute le président d'Afaccc 08. Le meilleur chien du concours de dimanche sera amené à participer à la finale dans le Gers le 12 avril. « Notre objectif c'est de rassembler les chasseurs du nord et du sud du département et de mettre en avant les chiens, pour qu'ils aient la place qu'ils méritent, nous les hommes nous voulons rester en retrait ». L'Affac 08 a déjà d'autres projets : la participation à toutes les fêtes de la chasse dans les Ardennes et à une grande manifestation de chiens le 25 juillet à Dijon. Virginie Kiefer Rendez-vous dimanche 22 février à la cabane de chasse des Wèbes Gobert, de 10 h 30 à 19 heures, exposition de chiens courants ; 12 heures, repas ; 14 heures départ des concurrents avec les juges ; 19 heures, récompenses.

Mussy-sur-Seine : Un grand rendez-vous pour les amoureux de la nature Samedi 7 et dimanche 8 mars, a lieu le concours de meutes départemental sur chevreuil. Cette manifestation est organisée par Jean-Marie Baroni, sous l'égide de la Fédération des associations de chasseurs aux chiens courants, présidée par Georges Lamoureux. Les huit lots de chiens inscrits (parmi lesquels on trouvera des beagles, des fauves de Bretagne, des briquets vendéens, ou encore des petits griffons bleus de Gascogne) auront chacun deux heures pour exprimer leurs talents, le premier lot commençant à 8 h le samedi. Une interruption est prévue entre 12 h et 14 h, pendant laquelle chacun pourra se restaurer à la cave coopérative des Riceys, lieu de rendez-vous les deux jours à 7 h 30, pour celles et ceux qui voudraient entendre « la musique » engendrée par les chiens. Le but de ce concours est que les chiens « maintiennent » le plus longtemps possible leur animal de chasse, avant d'être arrêtés à l'issue du temps imparti. Ce type de manifestation attire de plus en plus de spectateurs, même parmi les « anti-chasse », qui disent être satisfaits du choix de ne pas « prendre » l'animal de chasse, avis que l'on doit respecter, tout en profitant de cet admirable opéra sauvage joué par nos amis à quatre pattes… Photo : Petits griffons de Gascogne Source : http://www.lest-eclair.fr/inde(...)

Pontivy - Un festival consacré à l'animal de compagnie Photo : Des centaines de chiens, chats et les animaux domestiques les plus divers seront présentés par une quarantaine d'éleveurs des quatre départements breton le 8 mars à la salle Safire. : Archives Ouest-France D'un simple salon, les organisateurs veulent faire un rendez-vous pratique, ludique et éducatif. Ce sera le 8 mars à la salle Safire. Quoi ? L'Apome, Association pontivyenne pour l'organisation de manifestations économiques, s'est vue confiée par l'équipe des foires de Guingamp, la reprise de son salon régional des animaux de compagnie. Elle propose le dimanche 8 mars la 19e édition de cette manifestation et la 3e à Pontivy. « La formule proposée reste toujours la plus proche de celle de Guingamp et s'enrichit des savoir-faire de nos amis à quatre pattes », précise Jean-Louis Chartier, l'un des principaux responsables de l'Apome. Qui ? Le salon accueillera différentes espèces : en majorité des chiens, mais aussi des chats, des rongeurs divers, furets, poneys, chèvres et même bernard-l'hermite ! Nikita, la femelle boa vedette de l'édition 2008 sera de retour, « cette fois avec quelques congénères ». La compagnie La folie des anges présentera deux chiens loups et un ours. Ils proposeront un spectacle de 30 minutes, en alternance loups/ours, toutes les heures. Combien ? Les organisateurs annoncent la participation de « plus de 40 élevages avec 50 races différentes ». Soit un total de « plus de 300 animaux ». Des associations assureront aussi des animations : démonstrations d'attelages canins avec le club canin de Saint-Agathon près de Guingamp, informations sur le toilettage, sur l'éducation des chats (avec L'école du chat, Miaou-adoption et Les Pachas), conseils en ostéopathie (uniquement sur les chiens exposés), exposition de la maison de la chauve-souris de Kernascléden, etc. Comment ? Tous les chiens et chats devront être répertoriés dans les livres d'origines : Lof pour les premiers, Loof pour les seconds. Un vétérinaire contrôlera chaque animal à son arrivée. Les services vétérinaires de la DSV effectueront des contrôles dans la journée. Où et quand ? Le salon, qui avait attiré « 3 000 à 4 000 personnes » sur deux jours l'an dernier se déroule sur une seule journée cette année. En effet, des exposants ayant déjà vendu toutes leurs bêtes le samedi n'avaient plus rien à présenter le dimanche. Le festival sera ouvert de 10 h à 18 h le dimanche 8 mars, dans la grande salle Safire au parc des expositions. Pratique. Entrée : 4 €, gratuite jusqu'à 12 ans. Bar et petite restauration sur place. Attention, les animaux des visiteurs ne seront pas admis. Renseignements au 02 97 25 34 00. Ouest-France

Festival de l'élevage à QUIMPER le festival de l'élevage aura lieu à QUIMPER comme tous les ans les 14 et 15 Mars prochain, de nombreuses races de chiens, des vaches, des chevaux et divers animaux seront présents, et des jeux organisés ! venez nombreux. ceci est organisé par la société canine bretonne ! Source : Jacqueline BIHAN

Une journée SPORTS CANINS à PLOUGUERNEAU Le 21 juin sera organisée une journée sports canins sur le site de la PECA à PLOUGUERNEAU, des associations comme LES MOLOSSES AU COEUR TENDRE, regards de chiens, élevage BRITISHBULLS, Meur GOUEZ Jean Jo y fera des démonstrations d'éducation, d'agility, il y aura des démonstrations de rassemblement de troupeaux bovins, avec la participation d'un éleveur bovin et ses 45 généisses, des éleveurs de chevaux, Meur BEYOU qui représente l'association des BORDER COLLIES, avec la participation des jeunes de la PECA en réinsertion. Le bénéfice de cette journée ira à l'association "GENDARMES DE COEUR" (orphelins et veuves de gengarmes, ou blessés) Source : Jacqueline BIHAN, présidente de l'association des MOLOSSES AU COEUR TENDRE