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Admin-eleveurcanin

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Tout ce qui a été posté par Admin-eleveurcanin

  1. de orsi le Mer 6 Aoû 2008 14:41 N'importe quelle personne qui possède un chien est arrivé aux conclusion de cette étude, sans faire de recherches élaborées, de réunir une commission de savants ou de dépenser des budgets de recherche ... http://www.maxisciences.com/forum/les-chiens-montreraient-de-l-empathie-envers-les-humains-t42.html
  2. Rencontre avec ces familles qui cherchent un compagnon de vie Le refuge de Gennevilliers, en banlieue parisienne, accueille 3.500 animaux par an. Trois mille trouveront un nouveau foyer. Rencontre avec ces familles qui cherchent un compagnon de vie. C’est le plus grand refuge d’Europe. Ici, à Gennevilliers, quelque 300 chiens et 140 chats attendent d’être adoptés. Anne est venue accompagnée de sa fille et de sa petite-fille, Sandy, 5 ans. Elles viennent pour la seconde fois, et Sandy ne tient plus en place. La raison de cette joie ? Une petite chienne de race jack-russel, qu’elle va accueillir chez elle. « Elle s’appelle Louna ! » lance la fillette. « C’est la petite qui était demandeuse », explique sa grand-mère. « Cela fait déjà plus d’un an qu’elle réclame un chien, mais nous avons préféré attendre qu’elle soit un peu plus grande », ajoute la maman. Les formalités d’adoption remplies, les maîtres passent plusieurs heures avec leur nouveau compagnon, avant de l’emmener avec eux. « Il est important qu’une complicité se noue entre l’animal et son nouveau maître. Cela permet aussi de voir comment l’animal se comporte, surtout en présence d’enfants », souligne Christophe Bellanger, le directeur du site. « Pour nous, ce n’est pas l’âge ou la race qui importent, mais le fait que la chienne soit affectueuse », conclut Anne. Sandy devra cependant patienter encore quelques jours avant de pouvoir repartir avec sa nouvelle amie. La chienne, actuellement en soins, doit en effet être stérilisée. « La beauté m’est égale » Du côté de la chatterie, Alice, une élégante femme de 81 ans, se promène dans les allées du centre. « Je cherche un chat qui soit très câlin », nous confie-t-elle. « Il y a un an, j’ai perdu le mien. Cela faisait 17 ans que je l’avais. Sa mort a été un véritable crève-cœur », avoue-t-elle. Et quand on lui demande quels sont ses critères de choix, elle répond : « Je ne me suis jamais attachée à la beauté des chats. Ils sont tous gracieux de toute façon. » Ce qu’elle souhaite : un chat habitué à vivre en appartement, et plutôt vieux. « Vu mon âge, il risque de vivre plus longtemps que moi. Ce serait ridicule dans ce cas de prendre un chaton, qui se retrouverait de nouveau esseulé. » Pour que cela n’arrive pas, Alice est venue en compagnie de sa nièce. « C’est elle qui s’occupera du chat s’il devait m’arriver quelque chose », prévient-elle. Une attitude responsable saluée par Sylvie, membre bénévole du centre qui va la guider dans sa démarche d’adoption. -------------------------------------------------------------------------------- Les conditions d’adoption Dans les 56 refuges français de la SPA, plusieurs documents devront être présentés par les futurs maîtres : une pièce d’identité, un justificatif de domicile, et un justificatif de revenus pour ceux qui souhaitent adopter un chien. Une participation financière vous sera aussi demandée. De l’ordre de 150 euros pour un chien et de 100 euros pour un chat. A noter que toutes les chiennes placées sont stérilisées auparavant, et que les familles qui accueillent un chien ont un an pour le faire castrer par un vétérinaire de la SPA. Au-delà de ce délai, les frais d’opération seront à la charge du maître. Edition France Soir du jeudi 7 août 2008 n°19869 page 2 Source : http://www.francesoir.fr/enque(...)
  3. les paradoxes des animaux en Chine Tortures et amour : les paradoxes des animaux en Chine Par animalinnature En ce jour d'ouverture des Jeux Olympiques, l'Empire du Milieu porte bien son nom : il va être en effet au centre de l'intérêt international pendant près de 15 jours. L'occasion rêvée pour les militants de toutes causes (Tibet, droits de l'Homme, droits des animaux), de montrer l'envers du décor d'un pays contradictoire, complexe, paradoxal. Paradoxal en effet, car dans un pays où le chien est un "plat" depuis des millénaires, 150 millions d'entre eux sont des animaux de compagnie des plus heureux, "chouchoutés" dans les familles. Pékin à elle seule compte 1 million de chiens pour 12 millions d'habitants. Devant la politique de l'enfant unique, de nombreuses familles ont voulu l'agrandir en s'entourant de chiens et de chats, et cet engouement croît depuis dix ans. Pékin possède son "Coolbaby Pet Theme Park", un espace entièrement dédié aux chiens, avec piscine, parcours d'agility, boutiques, toiletteurs... Mais les autorités, devant une telle prolifération, n'ont pas manqué de sévir, puisque depuis 2006, une "politique du chien unique" par famille a été instaurée, pour limiter les risques (morsures, abandons, rage en recrudescence). La taille de l'animal est également codifiée et ne doit pas dépasser 35 centimètres au garrot. Peine perdue si l'on en juge par les nombreux "grands chiens" qui se promènent dans la capitale chinoise. En terme de modernité et d'aide aux animaux, c'est souvent de Hong Kong que tout est venu. Très concernée par le bien-être animal, l'ancienne colonie britannique dispose de règles d'hygiène et de régulation des animaux errants exemplaires, et surtout possède depuis 1903 une SPA "hyperénergique", la SPCA (Society of Prevention of Cruelty to Animals). Suivi des animaux adoptés, étude des motivations et des possibilités de soin des candidats à l'adoption, son action est telle qu'elle s'étend à toute la Chine, et l'association intervient également à la télévision pour initier les Chinois aux soins à prodiguer à leur nouveau compagnon. Fondée en 1903, la SPCA de Hong Kong est un espace d'accueil pionnier et chaleureux pour les animaux abandonnés. L'envers du décor : l'enfer. La face sombre du pays en terme d'animaux, les autorités chinoises la cachent soigneusement : délocalisent les marchés d'animaux vivants dans des halles fermées, à l'abri des regards, ou dans les campagnes, loin des villes. Interdisent aux restaurants de servir du chien, "met" susceptible de choquer les étrangers durant les Jeux. Hypocrisie, effort inutile, de dissimuler des hontes que personne n'ignore ? Plus d'une ONG défendant les animaux (PETA, Animal Asia Foundation) a souligné les cruautés infligés aux animaux, pour le bénéfice des industries, qu'elles soient alimentaires, vestimentaires et même pharmaceutiques. Pour leur fourrure, chiens et chats sont enfermés dans des cages exigues, dépecés vivants et entassés sur des camions Pour leur viande, ils sont martyrisés avant d'être abattus, car "la montée d'adrénaline provoqué par la peur et la souffrance rend la viande plus tendre". Rappelons que 10 millions de chiens et 4 millions de chats sont consommés chaque année en Chine. Décharger les cages remplies à ras-bord d'animaux, les écraser sur le sol à l'aide de pinces...Le quotidien de ces marchés. Plus rentable que le poulet ou le porc, mais sur leur modèle, le chien est en passe d'être élevé de manière industrielle. Il est déjà importé d'autres pays d'Asie, et certaines races, comme le saint-bernard, sont très appréciées, car elles produisent beaucoup de chiots et permettent aux éleveurs de vendre 100 000 chiens par an. La faune sauvage pillée pour la médecine et la viande de gibiers La fameuse médecine traditionnelle chinoise n'est pas en reste, et pousse à piller la faune sauvage pourtant bien menacée de la Chine. Panthères de l'Amour, pandas, ours, reptiles, fourmiliers, tous sont sacrifiés à la science, pour la composition de remèdes ancestraux, que l'on trouve toujours au fond des boutiques, malgré certaines interdictions : produits à base de corne de rhinocéros, d'os de tigre, de bile d'ours... Et ce qui ne sert pas à la médecine sert à la chasse. Les Chinois sont friands de viande de gibiers, négocient 100 euros le kilo de la viande de pangolin (un fourmilier), ou des ailerons de requins, vendu 600 euros le kilo à Hong Kong. Pourtant officiellement, les autorités luttent contre le commerce d'animaux sauvages depuis 2003, ce qui n'a pas empêché 46,2% de Chinois de consommer de leur viande... Et pourtant, vous ne verrez rien. La venue des Jeux Olympiques ne changera rien à l'absence de démocratie, d'humanisme et de respect du vivant en Chine. Tout cela, la presse chinoise ne le dénoncera évidemment pas, les journalistes étrangers seront, eux, sous le coup de la censure. Les "mesures" prises pour faire des Jeux propres ne seront que des effets d'annonce : ainsi l'interdiction de servir du chien ne s'appliquera pas à tous les restaurants. Si vous êtes touriste à Pékin durant les Jeux, et que vous vous rendez dans le quartier coréen, vous y trouverez des restaurants "spécialisés". Méfiance encore : les guides n'indiquent pas ces établissements, tout y est écrit en mandarin. Aussi faut-il reconnaître l'idéogramme 犭 "gõu", qui signifie "chien". Source : http://www.lepost.fr/article/2(...)
  4. Chiens : Championnat de France des chiens de Sauvetage en mer Les Pays de la Loire accueilleront le 24 août prochain le Championnat de France des chiens de Sauvetage en mer S.C.C. La Commission d'Utilisation Nationale de Sauvetage à l'Eau de la Société Centrale Canine a en effet confié au Club d'Utilisation "Action Chiens Sauvetage Aquatique" (A.C.S.A., affilié à l'Association Canine Maine-Anjou) l'organisation de cette manifestation, qui se déroulera à Préfailles, en Loire-Atlantique. Le samedi 23 aura lieu l'examen de qualification de plongeurs de concours. Retrouvez les informations du Championnat sur le site dédié : http://fcplse.free.fr/chf2008/(...) et n'hésitez pas à communiquer cette information, et à nous retrouver pour ce grand week-end de la discipline Sauvetage en France. François Molère, délégué Sauvetage à la Fédération Canine des Pays de Loire Source : http://www.chien.com
  5. PS: Je connais CB, nous l'invitons pour notre repas de fin d'année entre vétos en Décembre et tout ce qu'il dit est à écouter, réfléchir et mediter ... ....... Un nouveau contrat entre homme et chien, par Claude Beata Il n'y a souvent que deux façons de parler des animaux : d'un côté les passionnés de la cause animale, dont les comportements excessifs sont parfois contre-productifs, de l'autre les politiques, qui pensent en tonnes de crottes sur les trottoirs et en catégories de chiens dangereux. Il est nécessaire et urgent d'ouvrir une troisième voie. Après la surexposition médiatique liée aux accidents mortels de la fin de l'été 2007, l'Assemblée nationale a adopté, le 15 mai dernier, le texte définitif de la loi "renforçant les mesures de prévention et de protection des personnes contre les chiens dangereux" devant douze députés. Cette nouvelle loi a été promulguée le 20 juin 2008, et s'applique dès maintenant. Dans le même espace de temps, se sont tenues les Rencontres animal et société, dont le but affiché était une réflexion sur la place que notre société souhaite accorder à l'animal. Le rapport en a été restitué le 8 juillet, et devrait être remis sous peu au président de la République. Légiférer avant de réfléchir, est-ce bien raisonnable ? Ces Rencontres n'avaient pas comme seul sujet les chiens dangereux, loin de là, mais dans le contexte actuel, l'importance accordée à ce sujet aurait pu être symbolique. Nous avons en France plus de 8 millions de chiens, qui ont causé en dix-neuf ans 30 morts ? Cette prévalence est trop faible pour pouvoir être diminuée par la loi. En revanche, le nombre de morsures par an, mal connu et sujet à controverses est, en tous les cas, suffisant pour donner envie d'agir. La loi récente de mars 2007 et la nouvelle loi de juin 2008 peuvent-elles être efficaces pour diminuer le danger ? Depuis 1999, nous avons en France une loi, instituée par un gouvernement de gauche, renforcée par un gouvernement de droite, qui définit les chiens dangereux suivant un modèle génétique appliqué de façon paradoxale. Nous combattons ce modèle : il n'a ni fondement scientifique ni cohérence logique. Faite pour dissuader ceux qui utilisaient ces chiens comme des armes, la loi s'est trompée de cible en instituant des catégories reliant race et dangerosité. Tous les interlocuteurs le reconnaissent, et pourtant de nouvelles mesures aggravant le dispositif ont été votées (le permis de détention !) ajoutant de l'inutile et du compliqué à l'absurde déjà existant. Renforcer la discrimination est une faute scientifique, un mensonge politique et une erreur philosophique. Les enquêtes, les études menées dans différents pays du monde n'ont jamais réussi à démontrer qu'une race était plus impliquée qu'une autre dans les accidents, et le génome canin, aujourd'hui entièrement décodé, n'a bien sûr pas livré le secret d'un quelconque gène de l'agressivité. Continuer de corréler le risque agressif à la race, c'est aussi dire que les chiens et les humains sont différents par nature, et nous ne le croyons pas. Sinon, il faudrait croire que certaines races humaines sont plus agressives, plus voleuses, plus fainéantes, et qui aujourd'hui pourrait encore soutenir cela ? Le mensonge politique réside dans la description d'un risque limité aux races incriminées, et dans la promesse du contrôle du danger. L'Etat ne porte-t-il pas alors la responsabilité du risque aggravé encouru par tous ceux qui, ayant opté pour une autre race de chien, peuvent croire qu'ils ne sont pas en danger, et qui pourraient s'indigner d'apprendre les chiffres pourtant connus : 80 % des accidents se passent dans la sphère privée et 98 % sont le fait de chiens non catégorisés. Mais le plus important est dans l'erreur philosophique qui consiste à ne pas réfléchir sur la nature du lien qui nous unit aux chiens de toutes races. Il est classique de lire ici ou là que le danger viendrait d'une dénaturation des rapports : le chien, animal historiquement utile, serait devenu un substitut affectif et ne serait donc plus à sa place. C'est oublier que le premier lien entre l'homme et le chien a été celui de l'intérêt et de l'affection réciproque. Vers 12 000 ans avant notre ère, bien avant que l'être humain n'ait la capacité intellectuelle d'envisager une quelconque domestication, les chiens et les hommes se sont rapprochés et ont commencé une longue vie commune basée sur l'attachement et la relation sociale. Stigmatiser certaines races, c'est rompre ce lien réciproque et instaurer la peur. Il est temps d'établir un nouveau contrat entre les chiens et nous. Reconnaissons-les comme des sujets, avec des devoirs et des droits. Parce que, dans une société occidentale, la sécurité est une valeur majeure, leur premier devoir est de ne pas nous mettre en danger. Pour diminuer l'incidence des accidents, des solutions techniques existent : la création d'un Observatoire du comportement du chien et l'évaluation comportementale de tous les chiens mordeurs sont deux mesures allant dans le bon sens et instituées par la nouvelle loi. Encore faut-il que les décrets ne les vident pas de leur sens ! Mais les chiens ont aussi des droits, et parmi ceux-là, celui de ne pas subir de discrimination a priori. Ceci est inscrit pour les humains dans la Déclaration universelle des droits de l'homme. La première Déclaration des droits des animaux a aussi été élaborée en France, en 1978. Les Rencontres animal et société, Grenelle de l'animal en quelque sorte, auraient pu être l'occasion d'établir ce nouveau contrat. Cela passait d'abord par la reconnaissance de l'injustice faite au chien. Un autre pays européen, les Pays-Bas, a annoncé l'arrêt prochain de l'interdiction des pitbulls. Le courage de modifier la partie éthiquement inadmissible et scientifiquement infondée de nos lois aurait pu faire partie de cette "politique de civilisation" que le président de la République appelait de ses voeux au début de l'année. Il nous faudra encore attendre... Claude Beata, vétérinaire comportementaliste Article paru dans l'édition du 08.08.08. Source : http://www.lemonde.fr/opinions(...)
  6. Après 1 mois de biberonnage pour les quatre bébés. Naissance / puis 1 mois No 1 = 102 gr et 385 gr No 2 = 0.82 gr et 384 gr No 3 = 120 gr et 460 gr No 4 = 105 gr et 396 gr
  7. Moi je les aime tous. Bravo Gaby belles portées que voilà. Une pensée à la petite de Tootsy qui est partie. Je suis contente que tu ais enfin eu tes petits Merles tant attendus...
  8. Oui tu dois te déclarer à la chambre d'agriculture pour avoir un No SIREN, TVA et APE La DSV te les demandera à l'envoi de ton dossier (un document de demande est dans ton dossier DSV)
  9. Je déplace le sujet dans le forum du groupe 2
  10. Localité "Ville" : Uchaud Tu es voisine de nicole qui habite le même coin, Véronica !!! (nous sommes allés prendre l'apéro chez nicole du forum le 15/07) Je remonte pour le Dogue de Bordeaux
  11. Corée du Sud - Une Américaine à Séoul pour récupérer les clones de son regretté pitbull Une Américaine à Séoul pour récupérer les clones de son regretté pitbull SEOUL - Une Américaine s'est vu remettre mardi en Corée du Sud, non sans émotion, cinq clones de son regretté pitbull reproduit par une société sud-coréenne à partir de tissus congelés d'oreille. "C'est un miracle", s'est félicitée Bernann McKinney en étreignant les cinq chiots, copies conformes de son défunt compagnon, "Booger". "Ces gens m'ont fait le plus cadeau d'anniversaire", a ajouté cette Californienne venue de Hollywood et qui fêtera mercredi son 58e anniversaire. Les cinq chiots sont nés le 28 juillet de deux mères porteuses, a expliqué Ra Jeong-Chan, président de RNL Bio, qui a lancé une société de clonage canin en coopération avec l'Université nationale de Séoul (SNU). L'équipe du SNU s'était déjà distinguée en août 2005 en clonant pour la première fois un chien, un lévrier afghan baptisé "Snuppy". RNL Bio a facturé sa prestation 150.000 dollars avant de consentir à un rabais et de redescendre à 50.000 dollars pour célébrer ce qu'elle présente comme une première commerciale. "Ils sont exactement comme leur papa. Je suis aux anges. Je suis heureuse", a ajouté Mme McKinney en évoquant le souvenir de son chien Booger qui lui avait sauvé la vie en mettant en fuite un molosse qui l'avait mordue. Scénariste de profession, elle a indiqué qu'elle songeait à dresser certains des jeunes clones pitbulls -- considérés dans certains pays comme des chiens d'attaque -- pour des personnes handicapées ou des personnes âgées. Le PDG de RNL Bio s'est déclaré capable de cloner 300 chiens l'an prochain pour des clients aisés et éplorés après la mort de leur animal de compagnie. Il nourrit également un nouveau projet: "Je songe à cloner des chameaux pour des riches clients au Moyen-Orient", a-t-il dit. (AFP / 05 août 2008 11h04) Source : http://www.romandie.com/ats/ne(...) Via GOOGLE
  12. Belgique - Mardi 5 août 2008 : l’abandon des animaux de compagnie Ce mardi 5 août 2008, l’émission « RTL + abandon des animaux de compagnie. Plusieurs spécialistes de la protection animale assurent que les problèmes de pouvoir d’achat en sont en bonne partie responsables. - Comment les associations comme la SPA font-elles face? - Acquiert-on encore aujourd'hui un chien ou un chat à la légère? - Se serrer la ceinture et garder leur animal de compagnie, certains font-ils ce choix ? - Les Belges sont-ils conscients de ce qu'ils dépensent pour leur animal de compagnie? Les invités : - Michel Bernier Directeur de la Société Royale Protectrice des Animaux de Charleroi - Richard Vankueken Propriétaire d’une pension pour animaux L'émission sera présentée par Frédéric Sacré « RTL+ » c’est à 12h40 du lundi au vendredi sur RTL-TVI Questions, réactions et témoignages : 02/ 337 69 99 Réactions par SMS : envoyez « RTL » suivi de votre message au 4343 Source : http://blog.rtlinfo.be/rtlplus(...)
  13. Canada - Pour l'amour d'un chien C'est d'abord l'histoire d'un homme et de son chien, victimes d'un accident sur l'autoroute 10. Secoué, l'homme a été transporté à l'hôpital, tandis que son chien, apeuré, a pris la clé des champs. Mais c'est surtout l'histoire de deux enfants qui ont fait des pieds et des mains pour réunir à nouveau l'animal et son maître. Et éviter au gentil toutou un bien triste sort. L'arrivée du jeune doberman dans le rang Haut-Rivière Nord à Saint-Césaire en a surpris plus d'un la semaine dernière. Tôt mercredi matin, l'animal était docilement roulé en boule sur le perron d'une dame. Un peu effrayée par la race du chien, elle contacte ses voisins immédiats. Pourtant, personne ne connaît la jeune femelle portant un mignon collier serti de pierres multicolores. Pour que la vagabonde retrouve sa maison, deux jeunes résidants du rang, Mégane Benoit et Kevin Chiasson, en font leur mission. Aidés par Denis Bergeron, policier à la retraite et grand-papa de sept enfants, les deux mousses remuent ciel et terre. Société protectrice des animaux, municipalité de Saint-Césaire, cliniques vétérinaires, centrale de la Sûreté du Québec à Boucherville, tout le monde est mis à contribution. Pendant que M. Bergeron compose les numéros, le jeune Kevin va lui-même aux informations, comme un grand. Le trio patrouille aussi le rang à la recherche du propriétaire du chien. Cela leur donne même l'occasion de signaler une introduction par effraction perpétrée le matin même! Que d'action en un seul avant-midi! Isabel Authier La Voix de l'Est Saint-Césaire photo Marie-France Beaudry Grâce à l'altruisme de résidants de Saint-Césaire, Patrick Sergerie a retrouvé sa chienne Chanel, disparue lors d'un accident de voiture sur l'autoroute 10. Tout ce beau monde s'est réuni hier pour une photo: Denis Bergeron, Mégane Benoit, Kevin Chiasson, Chanel la doberman et Patrick Sergerie. Source : journal du chien
  14. Angleterre - Les chiens montreraient de l'empathie envers les humains Londres, Angleterre - Les résultats d'une étude publiée aujourd'hui (06.08.2008) dans le journal Biology Letters prouveraient que les chiens possèdent la capacité de ressentir une forme rudimentaire d'empathie envers les humains. Les scientifiques savent depuis plusieurs décades que le bâillement, "contagieux" chez l'homme, peut être assimilé à une certaine forme d'empathie, capacité à ressentir les sentiments d'une autre personne. Cette contagiosité du bâillement, également présente chez les chimpanzés et les macaques, pourrait également exister chez le chien. C'est du moins ce que tend à prouver une étude menée par le Dr Atsushi Senju du Birkbeck College de l'Université de Londres. 29 chiens, mis en présence d'humains baillant ou effectuant un mouvement de contrôle (consistant en une simple ouverture de la bouche) ont été étudiés. Plusieurs races étaient représentées dans l'échantillon canin (Doberman, Yorkshire, Teckel, Labrador...). 21 des 29 animaux auraient montré une capacité à répondre au bâillement de leur maître, distinguant les vrais bâillements des faux. Pour l'équipe du Dr. Atsushi Senju, cette capacité reflèterait l'aptitude du chien à montrer une forme primaire d'empathie envers son maître. Ces résultats viennent renforcer ceux de précédentes recherches. L'une d'entre elles avait déjà montré que les chiens savent trouver des objets cachés en suivant une direction pointée du doigt par leur maître. Une autre, étudiant les chiens qui volent de la nourriture, avait mis en évidence que ces animaux savent "étudier" le regard de leur maître, commettant leur méfait quand ce dernier regarde ailleurs ou qu'il ferme les yeux. Le Dr. Atsushi Senju souhaite aujourd'hui étendre ses recherches à d'autres mammifères, déclarant que "les bâillements contagieux, possible forme d'empathie chez le chien, pourraient être des caractéristiques plus largement répandues parmi les mammifères." Source : http://www.maxisciences.com/ac(...)
  15. Info du 06/08/2008 Chiens, Chiots : Les chiens de chasse et leurs spécificités Il existe 5 variétés de chiens de chasse, dont les TERRIERS qui ne sont plus actuellement utilisés pour cet exercice. Les autres types sont : - LES CHIENS d'ARRÊT : spécialisés sur le petit gibier,leur rôle consiste à chercher leur proie et à la "pointer", c'est-à-dire en indiquer l'emplacement à leur maitre, par leur position statique. - LES CHIENS LEVEURS : Leur course devant le maitre est destinée à faire lever le gibier, puis une fois que celui-ci est abattu, à le ramener. - Les CHIENS RAPPORTEURS : Ils retrouvent le gibier abattu et le ramènent, tant sur terre que dans l'eau. - LES CHIENS COURANTS : Ils sont utilisés pour poursuivre le gibier + d'infos : http://www.chiens-de-chasse.co(...) Source : http://www.chien.com
  16. Chiens, Chiots : Attention épillets LES EPILLETS Qu'est-ce qu'un épillet ? Il s'agit de petits débrits végétaux durs, qui se prennent dans les poils de votre chien. Par action mécanique (friction etc...) ils vont remonter vers la peau ou par les conduits auditifs ou nasaux. Ils sont assez durs pour provoquer des plaies qui peuvent s'infecter. Où s'attrapent-ils ? Dès que vous emmenez votre chien dans un petit bout de campagne ou un parc, il est susceptible d'en attraper, surtout s'il a un tempérament fouisseur. Que faire ? Il faut examiner le pelage de votre chien après vos balades en extérieurs. Faîtes particulièrement attention à ses narines, ses oreilles et ses pattes (entre les coussinets et entre les orteils). L'épillet peut percer profondément, et les chiens expriment peu ou pas du tout leur douleur. Une boîterie, un grattage compulsif des oreilles ou un éternuement à répétition sont les seules actions qu'ils entreprendront, s'ils en entreprennent. Article réalisé par SantéVet, le spécialiste de l’assurance santé chien chat. http://www.santevet.com Source : http://www.chien.com
  17. Info du 07/08/2008 Entretien - Caroline Lanty, Présidente de la Société protectrice des animaux (SPA) “Toujours une euthanasie toutes les dix minutes” FRANCE-SOIR. Avez-vous observé un « pic » des abandons cet été ? CAROLINE LANTY. Oui, on le constate malheureusement chaque année. A partir du mois de juin et jusqu’à la mi-août, les refuges sont systématiquement pleins. Dès qu’on libère une place, on fait une adoption pour sauver un autre animal de l’euthanasie ou de l’abandon. Malgré toutes les campagnes de sensibilisation, toutes les offres de services pour emmener l’animal en vacances ou pour le laisser dans de bonnes mains, nous avons toujours des personnes qui nous disent « je n’ai pas d’autre solution, je ne peux pas payer une pension » et qui nous laissent l’animal. Aujourd’hui, certains refuges reçoivent environ 25 appels par jour pour des abandons et ont des listes d’attente. Où sont abandonnés les animaux ? Les propriétaires déposent rarement leur félin dans les refuges, ils préfèrent le lâcher au bord d’une route ou dans la forêt en se disant qu’il est un peu sauvage et qu’il pourra se débrouiller. En ce qui concerne les chiens, soit la personne fait la démarche un peu responsable de nous l’amener, soit il est attaché à la porte du refuge ou balancé par-dessus la clôture. Pour quelles raisons ? Elles sont très différentes. Souvent, en été, les propriétaires ne se sont pas occupés de trouver un endroit pour leur animal ou leur lieu de vacances n’accepte pas les chiens et donc ils nous appellent. Mais tout au long de l’année, nous avons des situations plus difficiles, de chômage, de séparation, de divorce, de déménagement. A cela s’ajoutent les traditionnelles excuses du type « Mon enfant est allergique », « Mon chien est devenu moche » ou « Il n’amuse plus les enfants ». Quelle est l’action de la SPA pour lutter contre ce phénomène ? Nous pouvons porter une assistance aux personnes en grande difficulté, d’un point de vue financier en leur donnant de la nourriture ou en les aidant sur des choix vétérinaires. Et si le chien présente des problèmes de comportement, on peut leur conseiller des éducateurs canins. Mais il existe des cas où le propriétaire ne veut plus entendre parler de son animal. Il faut alors qu’on s’en occupe très rapidement. L’ensemble de ces solutions fait qu’aujourd’hui l’abandon devrait être marginal… Comment dissuader les propriétaires d’abandonner leur animal ? Si quelques tribunaux acceptaient, dans des cas horribles d’abandon, de condamner les maîtres à des peines exemplaires, comme on le fait pour l’alcool au volant, cela permettrait de faire réfléchir les propriétaires. Autre déception, on sort de quatre mois de discussions avec le ministère de l’Agriculture, dans le cadre d’un Grenelle intitulé « Animal et société ». L’objectif était de trouver des solutions destinées à améliorer le sort de l’animal. Hélas, ces rencontres n’ont rien donné : pas d’ambition, pas de volonté politique. Comment se porte l’adoption ? Nous plaçons 40.000 animaux par an mais on estime que le nombre d’euthanasies en France de chiens et de chats est de l’ordre de 50.000 à 70.000 animaux, c’est-à-dire un toutes les 5 à 10 minutes. Certes, aujourd’hui, il y a de plus en plus de personnes qui se tournent vers les refuges, mais ce n’est pas suffisant, les centres d’accueil sont saturés et refusent des animaux. Edition France Soir du jeudi 7 août 2008 n°19869 page 2 Source : http://www.francesoir.fr/enque(...)
  18. Je viens de lire le panneau d'information sur le site Message de Chiens de France Le site chiens de France est en maintenance jusqu'à jeudi. Certaines perturbations sont à prévoir sur les sites de chiens de France ainsi que les sites éleveurs. L'équipe Chiens-de-France
  19. quand je clique sur gestion des mâles ou des femelles pour mettre des photos, je n'ai plus rien !
  20. Je ne sais pas combien elle pese mais moins de 1.300 kilos. Pour mes femelles: entre 0.800 gr et 1 kilo à 3 mois pour une taille avec 2.200 à 2.700 kg adulte Une autre était trop petite à 6 mois 0.500 gr et adulte 1.400 kg Ce n'est pas évident de déterminer le poids d'une chiot chihuahua pour trouver son poids adulte même en suivant un tableau de courbes.
  21. Oui, ils sont minuscules car race Chihuahua mais ils ont un mois dans quelques heures et élevés aux biberons pendant un mois.
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