Admin-eleveurcanin
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Vote: Et s'il prenait la pose EXPO
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Concours photos DEGUISEMENT vote 21/05
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Book de Nathy60 BOB Cocker AMERICAIN
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Vote: Et s'il prenait la pose EXPO
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Et s'il prenait la pose EXPO No 2 fini
Admin-eleveurcanin a posté un sujet dans Forum des sondages et jeux Quizz
Petit rappel du réglement : 1) 1 photo par thème et par éleveur et affixe 2) 1 semaine pour poster : Poster directement sur ce topic pour ceux qui savent mettre des photos. si vous ne savez pas le faire, envoyer les photos à mayajoe, Fidji, guilloteau ou Anima par MP et jamais par e-mail. Si vous ne savez pas comment recalibrer, envoyez un MP à guilloteau. 3) 1 semaine pour voter 4) 1 semaine sur le page d'accueil du forum pour la photo gagnante avec chatbox le lundi ou mercredi pour présenter votre race 5) Une fois le concours lancé, il n'y aura plus de photo acceptée pour ce concours, par contre d'autres concours sur le même thème seront oragnisés alors pas de panique, toutes vous jolies photos pourront être utilisées. 6) Les votes restent anonymes. Ne pas divulguer votre choix. Afin d'éviter l'anti jeu, il sera demandé de ne pas voter pour sa propre photo Toutes les photos qui depassent la norme seront automatiquement recalibrées par guilloteau. Dépot des photos jusqu'au mercredi 9h00 Il vous est demandé de ne pas mettre de photos faites par des professionnels mais les votres uniquement avec vos appareils par BERNUS Janine Aujourd’hui à 12:29THOR du Menuel Galopin -
ANNIVERSAIRES DU 7 MAI
Admin-eleveurcanin a répondu à un(e) sujet de marie331131 dans Les panières canines
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Book de Nathy60 ASIA TERRE NEUVE
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Vote: Et s'il prenait la pose EXPO
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Book de Nathy60 TERRE NEUVE Abigaël
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Book de Nathy60 TERRE NEUVE B'PAULO
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ANNA-BELLE : BB POUR CETTE SEMAINE, enfin !
Admin-eleveurcanin a répondu à un(e) sujet de MANO DELMAS dans Les panières canines
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Corée du Sud - Le premier chien cloné va devenir père
Admin-eleveurcanin a posté un sujet dans Les panières canines
Info du 02/05/2008 Corée du Sud - Le premier chien cloné va devenir père Il s'appelle Snuppy, c'est un lévrier afghan, c'est le premier chien cloné du monde, il va devenir père. Il a été accouplé à deux femelles de la même race, elles aussi clonées, grâce à l'insémination artificielle. Au vu des échographies qui ont été pratiquées, les foetus se portent bien. Les naissances sont prévues entre le 16 et 20 mai. Reste à souhaiter que les accouchements se déroulent bien. Dans cette hypothèse ce seront les premières reproductions de chiens clonés affirme le Professeur Lee Byung-Chun dans le Korea Times. Cette nouvelle divulguée également dans d'autres journaux sud-coréen provoque une sévère réaction des autorités universitaires qui considèrent que "c'est une violation du règlement de l'établissement qui prohibe la divulgation de résultats expérimentaux à la presse avant d'avoir terminé les documents académiques pertinents". Kook Yang, chef du département de recherche, a précisé que le professeur Lee serait sanctionné. Ce règlement a été établi après qu'un spécialiste du clonage ait été surpris en 2006 à falsifier la conclusion de recherches sur les cellules-souches. Souhaitons que tout se passe bien pour les deux futures mamans... et la fierté du papa. Note personnelle de l'auteur : Hormis l'intérêt scientifique, quel est le réel intérêt de cloner les chiens quant on sait que par le monde, il y en a beaucoup d'errants, d'autres qui finissent à la fourrière, qui sont abandonnés, je n'oserai pas écrire qui sont "mangés". Il semblerait par ailleurs, que les petits animaux de compagnie qui faisaient l'objet de lâches abandons aux périodes des vacances... soient désormais également déposés à la SPA, tout simplement parce que leurs maîtres n'ont plus les moyens de les nourrir. Objectivement un petit compagnon ce n'est pas gratuit... entre litière, croquettes, etc... c'est évident que cela peut peser très lourd sur les petits budgets... A priori c'est une situation nouvelle qui apparaît... qui est un indice supplémentaire de la dégradation du pouvoir d'achat. (source : cyberpresse CA - agence France Presse Séoul) (photo Reuters : Snuppy qui prend déjà la pose, fier, la mèche au vent) Source : cyberpresse CA -
Bref Info le magazine du chien MAI 2008
Admin-eleveurcanin a répondu à un(e) sujet de Admin-eleveurcanin dans Bref Info: Le magazine du chien
Info du 03/05/2008 Etats-Unis : Chiens à roulettes... Lorsque Gary Mikus a appris qu'une maladie dégénérative incurable commençait à paralyser les pattes postérieures de son berger allemand, il a immédiatement repoussé l'idée de l'euthanasie. Aujourd'hui, "Bear" se déplace à l'aide d'un chariot roulant et peut espérer vivre encore de nombreuses années. "Il est en très bonne santé", soutient son maître. "Jusqu'à ce que j'aie un signe que sa santé décline, je ferai tout ce que je peux pour qu'il soit mobile et heureux". De plus en plus de propriétaires d'animaux domestiques font comme Gary Mikus et se tournent vers ce type de matériel roulant construit sur mesure pour redonner vigueur à leur compagnons poilus qui présentent des problèmes de pattes, de hanches ou de colonne vertébrale. Le chariot à deux roues soutient la partie centrale du chien avec un support coussiné et est maintenu en place à l'aide de courroies rattachées aux épaules et au torse de l'animal. La plupart de ces dispositifs visent à compenser l'insuffisance des pattes postérieures, mais de plus en plus de ces chariots roulants sont commandés pour des problèmes de pattes antérieures. Eddie et Leslie Grinnell, les fondateurs de la société Eddie's Wheels, ont construit leur première chaise roulante pour animal en 1989 quand leur dobermann Buddha a perdu l'usage de ses pattes postérieures à cause de problèmes de colonne vertébrale. Le vétérinaire des Grinnell a ensuite commencé à leur envoyer des clients, après avoir constaté la mobilité et la vitalité de Buddha. Eddie et Leslie Grinnell ont ouvert leur entreprise de construction de chaises roulantes pour animaux en 1998. Des compagnies semblables existent dans le Montana, le Maryland, l'Oregon et dans l'Etat de Washington. La plupart des chariots pour chiens coûtent entre 250 et 500 dollars (160 et 325 euros), selon la grosseur du chien, tandis que le prix des chaises roulantes pour les autres animaux varie selon le type et la taille de l'animal. Depuis son ouverture, Eddie's Wheels a construit des chaises roulantes pour plusieurs chats, un furet, des chèvres, des alpagas, des moutons, un lapin et un opossum. Côté canin, la société en a même réalisé un pour un Saint-Bernard de 100 kilos habitant en Grande-Bretagne. Le vétérinaire Derek Fox, spécialiste en chirurgie orthopédique pour les petits animaux à l'Université du Missouri, souligne qu'il existe aujourd'hui une variété de traitements efficaces pour les animaux handicapés: prothèses de hanches et d'autres articulations, physiothérapie et chaises roulantes. "Même si un traitement coûte une fortune, ce sont des gens qui feraient tout pour faire bouger leurs animaux domestiques, pour les garder heureux et pour leur donner une bonne qualité de vie", dit-il. Selon Leslie Grinnell, lorsque les chiens se retrouvent attachés à un chariot roulant, "ils ne comprennent pas ce qui se passe, mais ils l'acceptent très rapidement". AP Source : nouvelobs.com -
Bref Info le magazine du chien MAI 2008
Admin-eleveurcanin a répondu à un(e) sujet de Admin-eleveurcanin dans Bref Info: Le magazine du chien
Info du 04/05/2008 Canada - Faut-il bannir les races de chiens dites «dangereuses»? Certaines races de chiens ont mauvaise presse dans les médias comme le pitbull par exemple. Certains arrondissements au Québec interdisent déjà la présence de cette race, dont plusieurs à Montréal, et d'autres y songent. Il est vrai qu'une morsure de pitbull fait plus mal qu'une morsure de caniche, mais est-ce vraiment la race qui fait qu'un chien est dangereux ou plutôt ce qu'en fait son maître? L'Académie de médecine vétérinaire du Québec (AMVQ) est contre la prohibition de races de chiens comme les pitbulls. "En éliminant ces chiens, on ne règle pas le problème. Aujourd'hui ce sont les pitbulls qui ont mauvaise presse, mais en 1970 c'était les dobermans. Il y a chaque année de nouvelles races et quand ce ne sera plus les pitbulls, ce sera autre chose. D'ailleurs, le pitbull n'est pas la race qui se retrouve à la tête du palmarès des chiens qui mordent. Les bergers allemands et les races croisées par exemple font plus de victimes de morsures. Ce qu'il faut vraiment, c'est une réglementation qui permet le contrôle des animaux domestiques et des propriétaires, plutôt que le bannissement de races", explique Michel Pepin, directeur général de l'AMVQ. Selon le Dog Legislation Council of Canada, les races de chiens ayant le plus mordu sont, dans l'ordre, le berger allemand, le labrador, le collie, le husky et le rotweiller. Le pitbull arrive bon huitième, après le caniche! Mais il faut aussi mettre les choses en perspective lorsque l'on sait que le labrador est la race la plus populaire au Canada en 2007 selon le Cercle canadien du chenil, suivi du golden retriever, du berger allemand et du caniche. Les pitbulls sont tout de même pointés du doigt, souvent en raison de leur apparence : des chiens forts, à la musculature développée. Cette race attire donc l'attention d'une minorité de personnes voulant un chien "pour faire peur" ou pour en faire un chien d'attaque. "Ce qui fait un chien dangereux, c'est une partie de génétique, mais aussi un chien mal éduqué, qui passe ses journées au bout d'une chaîne et qui ne socialise pas. On se sécurise en bannissant des races de chien, mais ce n'est pas vrai. Ce qu'il faut c'est faire de la prévention, encourager l'élevage éthique et les comportements responsables de la part des propriétaires de chiens", explique M. Pepin. "La réglementation prohibant totalement une race jugée dangereuse est en quelque sorte une mesure draconienne qui pénalise indûment les propriétaires de chiens qui ne sont pas dangereux même s’ils appartiennent à cette race. En effet, il a été maintes fois démontré que c’est l’attitude et le manque de contrôle exercés par le propriétaire qui sont en grande partie liés à la dangerosité d’un animal soit par le dressage, par l’absence de dressage ou par la négligence", peut-on lire sur le site de l'AMVQ. Les chiens dangereux peuvent donc exister dans toutes les races et dans tous les croisements de race. L'agressivité est plus souvent attribuable à de nombreux facteurs comme la provenance du chien, le tempérament des parents, la socialisation, l'éducation et non seulement la race. Une fausse décharge Le mois dernier, un article du Journal de Montréal annonçait que le Québec était devenu une véritable décharge pour pitbulls alors que les refuges pour animaux de l'Ontario essaient d'offrir à ces chiens interdits une chance d'être adoptés. Dans l'article, on pouvait y lire que depuis l'entrée en vigueur de la loi qui interdit les pitbulls en Ontario, depuis 2005, le Québec a assisté à l'arrivée massive de ces animaux. Mais selon M. Pepin, il n'y a pas de preuve de l'arrivée massive de pitbulls. "Personne ne peut appuyer cette affirmation avec des chiffres. Il y a peut-être quelques cas, mais ce n'est pas flagrant. Le règlement interdisant les pitbulls est passé en Ontario, mais l'application est très difficile. C'est qu'il n'existe aucun moyen de déterminer l'appartenance d'un chien à une race spécifique et puisque plusieurs pitbulls de races croisées sont encore acceptés, le respect de cette loi est encore plus difficile à appliquer. De plus, bien peu de cas se rendent en justice en raison de la complexité de cette loi", explique M. Pepin. Isabelle Croteau Les dobermans était la race à proscrire dans les années 1970, aujourd'hui c'est le pitbull. (photo:YannCanno.com) Source : http://www.hebdos.net/ -
Bref Info le magazine du chien MAI 2008
Admin-eleveurcanin a répondu à un(e) sujet de Admin-eleveurcanin dans Bref Info: Le magazine du chien
Info du 06/05/2008 Roumanie - Un nouveau chenil pour les chiens errants.- Les autorités locales ont donné leur feu vert, la semaine dernière, à la création d’un nouveau chenil dans le secteur 1 de Bucarest. Ce sera le troisième de la capitale et il pourra recevoir jusqu’à 300 chiens. La construction de cet abri devrait débuter d’ici quelques semaines. Un numéro de téléphone sera mis à disposition des habitants du secteur 1 qui pourront ainsi avertir des équipes de la police des animaux, nouvellement créée, pour se débarrasser des chiens vagabonds de leur quartier. Depuis quelques mois, le nombre de ces chiens a augmenté suite à la mise en place d’une nouvelle réglementation interdisant leur euthanasie. Les deux chenils existant ne peuvent plus faire face à l’arrivée de nouveaux animaux. Source : http://lepetitjournal.com -
SPA : « Nous faisons du sauvetage, pas du profit »
Admin-eleveurcanin a posté un sujet dans Les panières canines
SPA : « Nous faisons du sauvetage, pas du profit » spa rennes refuge animaux Nombreux sont ceux qui, de la SPA, se font une image plutôt glauque. Nous sommes donc allés pousser les portes de la fameuse Société Protectrice des Animaux, située route de Lorient, à la rencontre des quelques 120 chiens et 80 chats qui y ont trouvé refuge, et de leurs conditions de vie. (Voir la vidéo, en dessous) Des chiens, des chats, des chiens et encore des chats... en tout quelques 200 animaux qui ont élu domicile Route de Lorient, à la SPA. L'endroit est neuf, spacieux et vert et les bonnes volontés ne manquent pas pour faire vivre tout ce petit monde en transit. « Nous sommes dix salariés, explique Dominique Friquet, responsable du refuge. Nous avons aussi un vétérinaire à mi-temps et surtout une quarantaine de bénévoles qui viennent plus ou moins régulièrement promener les chiens. » Et des bras il en faut pour faire tourner ce petit monde de poils, de pattes et de queues, car comme chacun le sait, la SPA s'est donnée pour mission d'accueillir, et bien souvent de sauver, un maximum d'animaux esseulés. À Rennes, ils sont 800 à transiter en une année. Leur première porte d'entrée pour le refuge ? « Via la fourrière. Nous essayons de récupérer tous ceux qui arrivent au bout de leur délai de fourrière, soit dix jours, et pour qui la seule issue reste l'euthanasie si personne ne vient les rechercher d'ici là. » Ainsi, deux semaines sur quatre, Dominique et ses collègues viennent sauver ceux qu'il est encore possible de sauver. Seulement parfois... « Lorsqu'ils sont trop âgés, qu'ils ont des problèmes sanitaires, de comportement... on ne peut pas se permettre de les prendre, parce qu'ils ne pourront jamais être proposés à l'adoption. » Et qui dit animal non-adopté dit impossibilité d'en accueillir d'autres les fois suivantes. « Nous avons un chien par exemple dont personne n'a voulu et qui est ici depuis trois ans ! La durée moyenne du séjour, normalement, est de trois mois. » Les animaux abandonnés ou perdus, venus de la fourrière restent toutefois prioritaires sur ceux dont les maîtres souhaitent se débarrasser. Les bâtiments ne sont pas extensibles et la SPA va dans le sens de l'urgence. « Souvent cela nourrit une certaine incompréhension. Les gens disent Nous on fait l'effort de venir et vous ne le prenez pas alors que d'autres ont choisi la solution de facilité en les abandonnant. Et c'est de leurs animaux dont vous vous occupez. C'est vrai, mais je pense que ceux qui sont en fourrière comptent davantage sur nous. » Certains, toutefois, sont malgré tout acceptés au sein de la structure et passent directement des bras du maître à ceux des salariés de la SPA. Pour un Rottweiler, « les gens sont triés sur le volet » « La principale raison pour laquelle les gens veulent se débarrasser de leurs animaux ? C'est qu'ils n'arrivent plus ou pas à en faire façon. » Alors, pour éviter que l'histoire ne se répète, la SPA fait preuve d'un zèle particulier dans le second volet de sa mission : l'adoption par des particuliers. « Nous avons la possibilité d'accepter ou non un placement. Pour nous, deux critères sont prioritaires en plus des motivations des gens : la présence et l'espace. » Et les règles deviennent encore plus draconiennes lorsque l'on parle de chiens de catégorie 2, dont les Rottweilers sont les plus courants. « On peut dire que les personnes sont triées sur le volet pour ce genre de placement et elles sont parfaitement informées de ce qui les attend. » Obligation d'être majeur, d'avoir un casier judiciaire vierge, de déclarer l'animal en mairie et à son assureur... Chiens dangereux : ne pas s'arrêter à une race, mais à un gabarit « On relate principalement des faits relatifs à ce genre de molosses, mais on ne parle pas de tous les autres avec qui il arrive aussi des accidents. » Et les faits divers, il est vrai, n'ont pas manqué ces derniers mois, d'où une législation de plus en plus sévère. Pour Dominique, la loi relative à ces animaux dits dangereux, ne devrait pas se limiter à une race, mais plutôt à un gabarit. « Tous ceux qui peuvent potentiellement être gardiens. Quelqu'un qui trouvera trop compliqué d'adopter un Rottweiler se tournera vers un Boxer, qui n'est pas concerné par ces restrictions. Or c'est un chien qui, entre de mauvaises mains, peut être dangereux. » Entre de mauvaises mains... Ce n'est évidemment plus un secret pour personne, la manière dont on élève un chien conditionne pour la plus grande partie son comportement. Ainsi pour Dominique, c'est en amont que les précautions doivent être prises. « Il faudrait que les animaux soient recensés. Cela éviterait non seulement les trafics, mais aussi de se retrouver avec trois ou quatre chiens dans un appartement. » Un contact avec un éducateur canin, pour connaître les bases de l'éducation, serait également le bienvenu selon notre spécialiste. Voire carrément auprès des brigades canines de la police, pour les chiens de gabarit important. L'éducation du chien via l'éducation du maître. Telle serait la solution au problème numéro 1 : l'abandon d'animaux. En attendant, Dominique et tous les autres membres de la SPA continuent inlassablement à faire tourner la maison. Quelques coups de crocs parfois, des coups de coeurs aussi et dans la ligne de mire l'intérêt de l'animal, en tout premier lieu. « Ici personne ne vous parlera jamais de prix, de vente. Nous ne sommes pas là pour faire du bénéfice, mais du sauvetage. Le fait de devoir payer pour un animal qu'on sauve est parfois mal compris par certaines personnes. Mais au moins elles y réfléchissent à deux fois avant de se lancer tête baissée et de risquer de l'abandonner aussi facilement qu'elles l'auraient fait si elles n'avaient pas eu à le payer. » Sabrina KHENFER Source : http://www.rennes-infhonet.fr/(...) -
Chine : vaccination de 700 000 chiens contre la rage
Admin-eleveurcanin a posté un sujet dans Les panières canines
Chine : vaccination de 700 000 chiens contre la rage BEIJING, 2 mai (Xinhua) -- Beijing envisage la vaccination de quelque 700 000 chiens enregistrés afin de prévenir la rage. La vaccination annuelle contre la rage, qui a commencé jeudi et durera jusqu'au 30 juin, est gratuite, a indiqué Yu Hongyuan, directeur adjoint du Bureau municipal de la sécurité publique de Beijing. En vue de contrôler le nombre croissant de chiens, en particulier des chiens errants, les autorités locales ont encouragé les propriétaires de chiens à stériliser leurs animaux, a dit Yu, ajoutant que les propriétaires désireux de le faire pourrait recevoir 200 yuans (28,6 dollars). La rage est une infection virale aiguë presque toujours mortelle sans traitement. Elle peut être transmise par la morsure d'un animal infecté, souvent d'un chien. 50 000 personnes sont tuées par la rage chaque année dans le monde. Beijing a rapporté très peu d'incidents de rage. Entre 1994 et 2004, aucun cas de rage n'a été signalé dans la capitale chinoise. Mais depuis août 2005, six personnes sont mortes de cette maladie, selon le bureau municipal de la Santé. Le bureau a annoncé début mars le premier cas mortel humain de rage cette année. La victime, un homme de 48 ans du nom de Liu, était originaire de la province du Hebei et chauffeur d'une compagnie dans le district de Daxing dans le sud de Beijing. Liu s'était fait mordre par un chien errant à la main deux mois plus tôt, mais ne s'était pas fait vacciner contre la rage après. Des symptômes de la rage sont apparus le 24 février et Liu est mort quatre jours plus tard. Source : french.xinhuanet.com -
L'évaluation comportementale sur le grill...
Admin-eleveurcanin a posté un sujet dans Les panières canines
Info du 05/05/2008 L'évaluation comportementale sur le grill... La délation au détriment de la prévention ? Les comportementalistes n'en veulent pas ! Aujourd'hui, le chien est au centre des débats concernant les morsures et principalement celles qui, par les conséquences graves qu'elles engendrent aux personnes, font les titres les mieux placés dans la presse et les médias. Tous les regards se tournent donc vers le chien, celui qui a déjà mordu, celui qui mord, celui qui pourrait mordre et c'est sous cet angle qu'il est proposé aux Sénateurs et aux Députés d'examiner un projet de loi visant, nous dit-on, « à renforcer les mesures de prévention et de protection des personnes contre les chiens dangereux ». On aurait pu attendre de nos instances politiques qu'elles se placent dans une autre perspective de la situation que celle prises par les médias. Se doter d'une analyse plus élargie pour mieux considérer le problème des morsures tel qu'il est réellement aurait permis de cerner et choisir judicieusement les mesures capables de construire une véritable prévention telle qu'elle est attendue. Se décentrer de l’idée du chien isolé de son groupe familial Or, ce qui résulte aujourd'hui des lectures en séance publique au Sénat et à l'Assemblée Nationale montre une même orientation prise dans les textes que celle du sensationnel médiatique : la catégorisation du chien, l'évaluation du chien, le contrôle du chien. Tâche impossible semble-t-il pour nos élus que de se décentrer du chien et de ses prétendus troubles pour arriver à faire l'examen du réel des morsures. Car sont-ce les chiens qui sont dangereux, ou sont-ce les situations qui sont dangereuses ? Le principe de l'évaluation comportementale telle qu’elle est présentée aujourd'hui établit que le vétérinaire occupe une position centrale. Certes, il peut à son libre choix requérir l'avis d'un « sapiteur », c'est-à-dire toute personne dont il jugera les compétences utiles et nécessaires pour forger ses conclusions, mais rien ne vient faire précision en ce domaine. Ceci manque véritablement de clarté pour le public et d'équité pour les professionnels. En effet, tel propriétaire de chien se verra convoqué dans le cabinet vétérinaire uniquement pour l'établissement de la grille d'évaluation du chien mais tel autre propriétaire se verra en plus dirigé vers un ou plusieurs « sapiteurs » qui étayeront le dossier de leurs observations/recommandations. Ceci signifie que l'évaluation comportementale pourrait bien ne pas être de la même teneur (ni du même coût) pour tous, ni avoir les mêmes conséquences pour les chiens et leurs propriétaires. Si un comportement est une réponse de l'organisme (le chien) à l'environnement (le contexte), il est quand même étonnant de vouloir instaurer des mesures visant à évaluer (prédire) ces réponses en s'exonérant de l'étude minutieuse du contexte de vie. Car, et c'est une constante pour les accidents qui ont été médiatisés comme pour tous les autres, les morsures surgissent principalement dans le milieu familial. Et l'on peut observer la même difficulté à se décentrer du chien : il faut chercher à prédire ce que ce dernier pourrait produire comme comportement ! Une mission bien improbable pour tout professionnel ayant une formation en éthologie (une science, qui a donc le souci de la précision et écarte les données incomplètes). Peut-on encore dignement rester dans un tel déni quand tous les accidents, graves ou moins graves, qui surviennent de manière souvent inattendue (donc non-prédictive, imprévisible) nous rappellent que n'importe quel chien peut déployer une conduite agressive. Le chien adapte son comportement en réponse/réaction directe ou indirecte à ce qu'il vit, et en fonction de ce qu'il a vécu, puisque façonné par toutes les confrontations et expériences avec l'environnement depuis son plus jeune âge. La qualité des conditions d'élevage est le socle indispensable aux bonnes capacités d'adaptation du chien. Sa stabilité émotionnelle en sera plus ou moins forte ou réduite. Cet équilibre dont le niveau et la constance se voient entretenus par les situations de cohabitation (et tout l'imprévisible permanent qui les caractérisent), montrent à quel point la présence de deux systèmes d'organisation sociale (humaine et canine) peut devenir anxiogène pour tous : l'animal qui ne comprend pas systématiquement ce que l’on attend de lui et l’humain qui oublie (ou ignore) de considérer son chien comme différent de lui dans ses attitudes et dans ses mœurs. Nous sommes bien loin du chien seul qui serait à évaluer hors étude précise des conditions de la cohabitation au quotidien et de l'influence qu'elles exercent sur l'émotivité et la réactivité individuelle du chien... Ceux qui paraissent les plus dociles, voire les mieux éduqués, ne se soustraient pas plus aux circonstances ou aux déclencheurs possibles d'une morsure, et c'est ce qui justement les rend surprenants pour l'entourage. Un acteur unique pour l'évaluation ? Alors que si l'on venait à prendre le recul nécessaire, il deviendrait évident à tous que « l'évaluation comportementale » devrait laisser sa place à une « évaluation du risque ». Ce nouvel angle pris nous permettrait de voir que l'évaluation seule du praticien vétérinaire ne suffit pas à mesurer le risque. L'organisation de la cohabitation au quotidien avec le chien, et son bon contrôle dans de bonnes conditions ne peuvent pas manquer de figurer au tableau de l'évaluation, et de fait, de la prévention. Mais dans les textes actuels, aucun autre professionnel que le vétérinaire n'est imposé, ce qui laisse à penser que l'étude minutieuse de la relation et la cohabitation avec le chien (activité spécialisée du comportementaliste), comme également le bon contrôle en extérieur, la bonne familiarisation aux humains et la bonne socialisation aux congénères (activité spécialisée de l'éducateur canin) ne seront mises en œuvre qu'au hasard de la sensibilité des praticiens. A noter, et ce n'est en rien anodin, que la deuxième lecture faite au Sénat fin Mars 2008, impose à n'importe quel professionnel qui a connaissance d'une morsure (dont ceux cités plus haut qui, malgré leurs compétences respectives, ne sont pas impliqués de manière précise dans le processus dit de « l'évaluation comportementale »), d'en faire la dénonciation auprès des autorités. Ainsi, seul un vétérinaire choisi sur la liste départementale se chargera de l’évaluation comportementale. La délation ? Pas question ! Comment vont donc opérer les professionnels comme l'éducateur canin, ou le comportementaliste qui sont habituellement appelés en cas de difficultés avec le chien ? Vont-ils, dès qu'ils apprennent qu'une conduite agressive a eu lieu, même de faible intensité avec seulement des atteintes superficielles, se déclencher en délation et ainsi conduire les personnes (qui avaient fait le choix de se tourner vers leur approche) chez un autre professionnel, acteur unique de « l'évaluation comportementale » ? Les comportementalistes sont contre cette mesure, et s'opposent à ce que des personnes qui ont le libre choix de faire appel à un professionnel se retiennent de le faire sous la crainte d'une dénonciation... Voilà comment l'effet de mesures préventives se verrait alors parfaitement détourné de l'objectif de réduire les risques. Le fondamental de l'activité de comportementaliste repose sur l'étude des relations et de la cohabitation entre l'humain et le chien et sur les multiples influences (relationnelles et environnementales) qui peuvent mener à des comportements dérangeants, voire risqués ou annonciateurs d'un danger ultérieur. Une réorganisation du contexte de vie ne peut se faire qu'avec la participation en toute conscience, et en toute confiance dans l'approche de ce professionnel qui d'ailleurs a été choisi pour cela. En se soumettant à la volonté de signalement de toute morsure d'un chien, comme elle est proposée actuellement, le comportementaliste ruinerait le cadre rassurant de son travail (qui invite justement les propriétaires à ne pas dissimuler ou retenir des informations) et perdrait ainsi les lettres de noblesse qu'il a acquises depuis de longues années auprès du public : écoute, analyse, empathie, aide, guidance. Ce n'est pas acceptable, pour ces professionnels qui non seulement se verraient obligés de rediriger leurs activités vers un autre professionnel, mais se verraient également obligés de trahir leur vocation et leur déontologie. En se décentrant du chien seul et en impliquant judicieusement tous les professionnels qui ont un rôle à tenir , dans les compétences qui sont les leurs en matière de gestion/cohabitation, on pourrait pourtant envisager un peu plus sérieusement la question des morsures, de leur recensement et de leur prévention. Les comportementalistes attirent donc l'attention du législateur afin que les décrets d'application veillent à organiser l'indispensable équilibre de la mise en relation des différentes approches autour de l'évaluation des risques, du traitement de l'information (statistiques), de la prévention et de l'aide à apporter aux propriétaires de chiens. Et ce, en ne se centrant pas sur le seul vétérinaire, mais également en définissant avec plus d'évidence les « sapiteurs », le sens de leur engagement et leur nécessaire implication dans le processus d'évaluation. Michel Quertainmont Danièle Mirat Laurence Bruder-Sergent Ce texte est diffusé au nom de l'association de comportementalistes professionnels C.A.D. http://www.comportementaliste-(...) et au nom de la Fédération Européenne des Comportementalistes http://www.comportementaliste-(...) Source : CHIEN.COM http://www.chien.com/ -
Bref Info le magazine du chien MAI 2008
Admin-eleveurcanin a posté un sujet dans Bref Info: Le magazine du chien
Info du 06/05/2008 En 10 ans, le budget consacré aux animaux a doublé ! Les chiens coûtent toujours plus cher que les chats. Mais les uns et les autres coûtent de plus en plus cher à leur maîtres et maîtresses. Xerfi Etudes vient de rendre les résultats de son enquête concernant les différents services dédiés aux animaux domestiques. Constat : les ménages consacrent de plus en plus d'argent à l'entretien de leur(s) compagnon(s) à poils. Aujourd'hui, le coût d'entretien des chiens reste largement supérieur à celui des chats. Ainsi, chaque année, 1.680 euros sont consacrés aux canidés (nourriture, jouets, frais vétérinaires), contre seulement 1.200 euros pour les chats. D'après l'étude menée par Xerfi, les chats et les chiens sont toujours les animaux domestiques préférés des Français. Ainsi, ils sont présents dans 43% des foyers de l'Hexagone. La population d'animaux domestiques ne cesse de progresser chaque année en France. En seulement deux ans, elle a enregistré une hausse de 3%, soit 67 millions d'animaux domestiques. Xerfi Etudes s'est également intéressée au budget consacré à ces animaux. Ainsi, chaque année, 4,5 milliards d'euros sont consacrés à ces compagnons de vie, dont 1,5 milliard d'euros pour l'achat des animaux. Constat : ce budget a plus que doublé en seulement 10 ans. http://xerfi.fr Source : Relaxnews Source : larep.com -
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ANNA-BELLE : BB POUR CETTE SEMAINE, enfin !
Admin-eleveurcanin a répondu à un(e) sujet de MANO DELMAS dans Les panières canines
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Dernière semaine de gestation
Admin-eleveurcanin a répondu à un(e) sujet de malevarc dans Les panières canines
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SANTE: Fente palatine
Admin-eleveurcanin a répondu à un(e) sujet de Admin-eleveurcanin dans Les panières canines
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ANNIVERSAIRES DU 5 MAI
Admin-eleveurcanin a répondu à un(e) sujet de marie331131 dans Les panières canines