cibou1
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Juste une remarque, comme j’entends parler de voisin et de taille de haie, si le voisin en question tond aussi sa pelouse, il est peut-être utile de lui signaler qu’il ne faut pas lui donner l’herbe coupée à manger. Certains s’imaginent que c’est pareil que si le cheval broute, et puis c’est tellement pratique…
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Personne n’est infaillible mais chez moi il a fait du bon boulot : Lefever 071.505090 De la région de Charleroi, c’est un ostéopathe pour les humains aussi mais il n’est pas vétérinaire. Pas vraiment bon marché (demander tarif avant) mais chez moi il a vu dix chevaux avec ou sans problème et j’ai trouvé qu’il avait l’œil. Il a résolu les problèmes « connus » dont nous cherchions la cause et, sur des chevaux qui pour nous n’avaient pas de problème, il a solutionné des petits comportements que nous avions mis sur le compte du tempérament ou du caractère. Pour la petite histoire, après avoir vu tous les chevaux, il m’a dit qu’il ne pensait pas avoir terminé,… schrongneugneu !!! Mes problèmes de dos ne lui avaient pas échappé (le commun des mortels ne voit pourtant rien et, sauf MON ostéopathe, je ne veux plus qu'on touche à mon dos) il a absolument voulu « travailler mes vertèbres » et je n’ai eu qu’à m’en féliciter aussi. Dans ma région il n'est pas très connu et je n'ai pas d'autres échos sur lui mais peut-être que vous bien ? Pour ma part l'essai était conluant...
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Tout cheval est, dès sa naissance, considéré comme un animal producteur d’aliment qui peut se retrouver dans la chaîne alimentaire. Afin de garantir la traçabilité et la protection de la santé publique, il est indispensable de pouvoir suivre le parcours du cheval et d’exclure d’éventuels résidus de médicaments qu’il reçoit. C’est dans ce cadre que s’inscrit le projet d’arrêté royal relatif à l’identification des chevaux dans une banque de donnée centrale. Cet arrêté est actuellement soumis à l’avis du Conseil d’Etat et devrait entrer en vigueur dans le courant de l’année 2005. L’identification des chevaux se mettra en place sur une période de trois ans. Dans un premier temps seuls les chevaux destinés à l’abattoir devront être identifiés, ensuite les poulains nés en 2006 et les chevaux qui participent à des rassemblements ou qui changent de propriétaire. Enfin en 2007 le reste des chevaux séjournant sur le territoire belge. Le propriétaire décide si son cheval est ou non destiné à être abattu pour la consommation humaine, en cas de décision positive, un chapitre du passeport intitulé « traitements médicamenteux » doit être dûment complété lors de l’utilisation de certaines substances. Un projet de règlement européen est également en cours de finalisation. Comme il s’agit d’un Règlement, il sera directement applicable dans tous les états membres de la Communauté européenne. Ce projet prévoit l’identification par puce de tous les équidés. Erratum : identification des poulains destinés à être abattus dans l’année de leur naissance. Il pourront n’être identifiés qu’à l’aide de l’attestation d’identification établie par l’identificateur et sur laquelle figurera le numéro d’identification de la mère.
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Si la loi qui est en discussion passe, il sera obligatoire de mettre une puce à tous les chevaux et de les enregistrer soit comme cheval destiné à la production de viande, soit comme cheval de monte. Il sera possible de modifier l’identification d’un cheval de boucherie vers cheval de monte mais non l’inverse, ceci dans le soucis de traçabilité de la viande chevaline. Seules les poulains destinés à l’abattage dans un délai très court ne devront pas être identifiés par une puce mais uniquement par une oreillette (pour production de viande uniquement). Il semble qu’avec cette loi, il ne sera plus possible de faire abattre les chevaux de monte devenus « encombrants » afin d’en récupérer le prix de la viande, en tout cas dans les abattoirs officiels. Une petite lueur d’espoir…
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Thierry, J'ai passé en revue les parutions du moniteur Belge, le site de la région wallonne, du Ministère de l'environnement et celui du ministère de l'agriculture, vraiment rien trouvé... J'ai questionné des professionnels du marché immobilier gros amateurs de terrains agricoles, rien non plus, je reste perplexe !...
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Maljam a pourtant raison, la machine est déjà lancée, pour un bien ou pour un mal reste plus qu’à faire avec du mieux possible. Personnellement, je ne crois pas qu’on peut arriver à la « gérer » avec des règlements alors qu’il y a autant d’argent à gagner et autant de débiles sur terre, on peut juste essayer de limiter les excès et peut-être se consoler en appréciant les progrès « acceptables » que cette technique peut apporter.
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J’ai justement entendu un grand spécialiste du clonage parler à la télé, il disait que dès que le procédé serait au point, les premiers qui s’en empareront seront les « gangsters » attirés par le marché juteux, qui se foutront royalement de l’éthique. Avoir un clone du toutou qu’on a tant aimé, d’un enfant décédé, de soi-même, d’un grand savant ou d’un champion, certains sont prêts à mettre pas mal d’argent sur ou sous la table… Les profits possibles sont tels qu’ils disposent de bien plus de moyens que les centres de recherche qui travaillent au développement de cette technique dans des buts thérapeutiques ou autres et qui respectent une certaine éthique. Ca fait froid dans le dos, surtout quand c’est quelqu’un qui sait de quoi il parle qui le dit !
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Lolotte, Si ça peut te rassurer, mon homme n’aurait approché un cheval pour rien au monde lorsque je l’ai rencontré, peur panique, dégoût de l’odeur & du crottin, la totale ! Sport=Tennis, vacances=Costa Del Sol, maison=lotissement résidentiel très BCBG, en bref pas du tout mon style. Comme toi je l'ai pris en connaissance de cause et notre vie de couple était équilibrée en fonction. Après 6 ans de vie commune j’ai participé à ma première randonnée et, comme il aime être actif et participer, il a proposé d’aider pour l’intendance. Evidemment il y en a toujours bien un qui oublie qlq chose alors il s’est régulièrement retrouvé avec un cheval à la main sans avoir eu le temps de dire ouf et l’angoisse a fait place à la curiosité et la découverte. Découverte des chevaux, des cavaliers, de l’extérieur et d’une vie plus nature, il a tellement pris goût que 4 ans plus tard il a proposé de vendre notre maison BCBG pour emménager dans un petit coin de campagne qu’il avait déniché. Depuis, nous vivons au milieu des chevaux. Désespère pas, c'est souvent quand on s'y attend le moins que les rêves se réalisent !
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Ben oui mais pour les miens j'ai fait une exception, p-c-q ils en étaient capable (ils vivent depuis tjrs au milieu des chevaux), p-c-q j'accompagnais et sur les grds routes je les prenais à la corde c'est un peu plus règlo, jamais eu de problème ! Mais ça se prépare, ils venaient aussi promener toute l'année avec moi, afin que mon cheval et leur poney connaissent aussi parfaitement la musique... Pour les autres j'ai tjrs refusé les enfants en dessous de 12 ans, je ne suis pas guide de randonnée j'accepte seulement que des cavaliers propriétaires de leurs chevaux viennent avec moi mais ils sont triés sur le volet ! C'est nos vacances alors...
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Bon je suis pas Joe et je suis pas partie un an, mais quand même souvent pendant 5 à 8 jours, c’est mieux que rien ! Dès 3 ans, mes enfants se sont joints à la joyeuse équipe d’intendance dont mon époux faisait souvent partie – je sais, avec intendance ce sont des randonnées de luxe – Ils faisaient toutes les étapes, que ce soit en dortoir, en fenil ou sous tente et ils ont adoré. Dès 7 ans ils ont suivi sur leur poney en alternant un jour sur deux les premières fois, comme c’est moi qui organise et guide, j’ai pu adapter le groupe en fonction et ils ont adoré aussi. (enfin jusque 18 ans, après ça dépend… !). Ce n’est peut-être pas le rêve que tu souhaites réaliser, mais c’est une expérience super chouette à partager avec ses enfants, qui reste réalisable sans trop compliquer la vie de tout le monde et qui ne les prive pas de participer à d’autres activités s’ils en ont envie. Faut pas remettre à plus tard ce qu’on peut faire aujourd’hui !
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Je fais mon possible, mais il ne veut pas d’une retraite dorée quand je ne le sors plus en promenade il s'auto-mutile sur tout ce qu'il peut et il se laisse dépérir. Moi j'en ai d'autres à monter mais le voir comme ça est insupportable, à la maison c'est le grand silence, il a été un nounours et un professeur pour mes enfants, on attend de voir si cette fois encore il passera le cap... J'envie vraiment ceux qui passe d'un cheval à l'autre sans états d'âme !
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J’ai eu le même problème (enfin apparemment), après avoir essayé des embouchures plus dures sans succès, j’en suis venue à bout avec du TRAVAIL SUR LE PLAT évidemment mais comme il fallait bien trouver une solution rapide pour pouvoir sortir avec un minimum de sécurité, je suis passée aux rennes allemandes…Efficace mais vraiment pas pratique à l’extérieur et à user avec prudence et raison. Ensuite une amie m’a proposé un mors releveur et ça a super bien marché (classique chantilly masi avec le montant qui coulisse). J’avoue que c’est le seul cheval sur lequel j’ai essayé ce mors, mais à condition de garder les mains basses pour éviter que le cheval ne creuse le dos ça marche super sur mon monstre. Peut-être à essayer… Voir peut-être aussi la matière du mors : mon cheval avait un bridon avec mors caoutchouc pour le travail à la longe et j’avais remarqué qu’il semblait mieux le respecter que le filet chantilly classique, alors j’ai combiné les deux en achetant un releveur caoutchouc non brisé. Depuis mon « panzer » est devenu contrôlable et celà fait 15 ans qu'il porte ce mors pour les promenades. J’ai aussi fait pleins d’exercices lors des sorties à l’extérieur pour lui apprendre à accepter de voir d’autres chevaux devant lui ou de se faire dépasser, il faut trouver des cavaliers qui acceptent de coopérer mais ça vaut le coup. Bon courage !
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Ca me plairait beaucoup, mais je ne vois vraiment pas de quoi il s'agit et mon Notaire qui participe au plan NATURA 2000 non plus... Les aides connues sont réservées aux exploitants agricoles, on discute même dans les associations de défenses des agriculteurs de règlementer l'achat de ce type de terrain pour que les agriculteurs soient prioritaires... Je continue néanmoins à creuser le sujet, on ne sait jamais !
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Ca fait plaisir de voir qu’on n’est pas seul, je fais aussi partie des mères de famille plus ou moins organisées ou plus ou moins débordées. Depuis 23 ans je crois que ça va s’arranger, mais les journées me paraissent de plus en plus courtes ! 2 grands enfants : 18 & 20 ans + les copains qui vont avec, 4, 6 ou 8 à nourrir, voir loger, jamais possible de savoir… 3 chiens, 2 chats, 10 chevaux, un horaire de travail d’indépendant, et un mari indépendant aussi (je vous passe les volatiles & poissons). Enfin quand on aime on ne compte pas. Tous mes vœux à Ixe007, c’est quand même chouette le mariage !
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Je ne comprends pas bien pourquoi 15 jours ou 1 mois ? Pour notre part, on fait un petit débourrage à trois ans, ensuite remise au pré jusque 4 ans, histoire de bien laisser finir la croissance ( ossature & cartilages ). Il faut voir aussi si il s’agit d’un travail léger (petites promenades) ou d’un travail en piste qui sollicite beaucoup plus les articulations et cartilages. De toute façon veille bien à établir un plan de travail progressif et parles-en à ton vétérinaire. Bonne route à vous deux