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Tout ce qui a été posté par Maljam
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Il faut entrainer le cheval à utiliser sa puissance et son encolure dans le saut. Effectivement le travail sur des combinaisons en entrant au trot, ça marche bien. Un triple avec barre d'appel, croix, une foulée, droit, deux foulées, oxer. On monte progressivement la hauteur de la combinaison. Le cheval va se donner de plus en plus. Comme les hauteurs montent, c'est comme si on raccourcissait les distances. Essaie aussi peut-être de soigner ton abord au galop. Position nickel sans gêner le cheval avant, pendant et après le saut. Normalement ton prof devrait pouvoir contrôler tout ça...
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Quand je dis "ne pas serrer les genoux", je veux dire qu'il ne faut pas forcer le geste. C'est parce que la jambe descend et colle au cheval que les genoux sont calés. Il faut que la jambe soit détendue et les articulations souples. Pour le reste, il faut aussi bien garder les étrier à la pointe. Que les pieds sortent un peu, ce n'est pas vraiment grave si le reste est bien en place. Certains cavaliers comme Jos Lansink remontent aussi très fort les talons dans la phase de planer pour encore plus se dégager de la selle et ça n'a pas l'air de les gêner pour faire de bons résultats. Le plus important c'est d'avoir une position stable et qui ne déstabilise pas le cheval. .
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Si tu veux être à l'aise à l'obstacle, il faut d'abord bien préparer ton abord. L'idéal est de prendre une position qui te permette de tenir la suspension ou la demi-assiette sans difficulté et sans tirer dans la bouche du cheval. Le buste doit être bien droit, les étriers plutôt courts pour pouvoir avancer le bassin et garder les talons sous les fesses. Bien descendre tout le poids dans les talons et NE PAS serrer les genoux. Ils tiendront en place tout seuls en descendant la jambe. Dans cette position, bien accompagner le galop en gardant un contact léger à tout moment (pas de rênes qui se tendent et se détendent). A travail sur le plat et sur des barres de galop au sol. A l'obstacle, en faire le moins possible. C'est le cheval qui saute, il suffit de suivre. Sur des petites hauteurs, il ne faut même pas accompagner le saut vers l'avant. Avancer les mains est suffisant. Je travaille ça presque tous les jours sur le plat pour m'améliorer. Au début, ça fait mal aux cuisses, mais après on se sent vraiment léger et le cheval est beaucoup plus réceptif que quand on veut toujours intervenir. On peut se concentrer pour régler les détails.
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Tout d'abord, il faut savoir que dans les dernières foulées, les chevaux ne voient plus l'obstacle. C'est entre autres pour cela qu'on doit avoir tout réglé avant, mais aussi qu'ils ont parfois tendance à lever naturellement la tête, ce qui peut perturber leur équilibre. Pour qu'ils se sentent à l'aise avec ça, il faut automatiser et mécaniser au maximum leurs sauts : le but de l'entrainement... Ces petites infos me viennent de deux cavaliers qui tournent ou ont tourné dans le m40 et plus, et je dois bien avouer que je suis encore loin de maitriser le sujet comme eux Mais pour eux ça semblait être le B.A.-BA... Quand on regarde la video ci-dessous, on voit bien que sur la majorité des obstacles le cheval arrive placé, mais sur le dernier (en particulier), sauté avec plus de vitesse, le cheval a la tête plus haute et part de plus loin...
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A l'entrainement, on laisse en effet souvent le cheval se débrouiller à partir du moment où il est bien équilibré et dans le train. Mais en parcours, quand on connaît les faiblesses de son cheval, qu'on a en tête les particularités des obstacles et qu'on s'est décidé pour une "tactique" pour le parcours, je suppose qu'à un haut niveau ce genre de détail a son importance... Sinon, il suffirait de mettre n'importe quel cavalier sur un très bon cheval pour qu'il devienne champion du monde Et je le répète encore, ce n'est valable que si le cheval engage et est équilibré, ça c'est clair! Si on en est pas encore à ce niveau, à quoi ça sert de jouer sur les détails? Par contre je ne vois pas en quoi un cheval bien en main aurait plus de difficultés à sauter?
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D'après mon souvenir, c'est en mettant en rapport une série de cas suspect qu'on a pu mettre cela en lumière. Maintenant, à part des soupçons sur les substances responsables dans les plantes incriminées, je n'ai pas trouvé plus d'informations. En cherchant pour retrouver les articles, j'ai retrouvé quelques forums où des personnes en faisaient mention, mais je suis aussi tombé sur cette phrase "l'utilisation des Fleurs de Bach est citée dans le rapport 2001 de la mission interministérielle de Vigilance et de Lutte contre les dérives sectaires"... Je suis perplexe.
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Je vais essayer de retrouver les articles, mais en me renseignant un peu plus sur les fleurs de Bach l'année passée (ma copine voulait prendre du Rescue) je suis tombé sur des publications scientifiques qui mettaient en relation l'utilisation de certaines fleurs de Bach avec l'apparition d'hyperactivité et d'hyperanxiété chez des enfants en France.
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En fait, c'est de l'homéopathie. Donc, comme pour tout ce qui est homéopathique, ça fonctionne chez certains individus et chez d'autres pas. La formule rescue est une formule générique dont l'efficacité n'est pas toujours constatée. Il faut lui préférer une formule plus personalisée étudiée en fonction de la personalité de l'individu. Pour ce qui est de l'efficacité ou non de l'homéopathie en général (sans vouloir rouvrir le débat, par pitié!). Des médecins allopathe tels le Dr Servan-Schreiber ont décidé de poursuivre les études puisqu'aucune de celles menées jusqu'ici n'arrivent à aucune conclusion probante en faveur ou en défaveur de l'homéopathie. Personnellement, j'utilise le Rescue pour moi de temps en temps, avec un effet tout à fait satisfaisant (qu'il s'agisse d'un effet réel ou d'un effet placebo, m'importe peu !) Mais bien sûr pour limiter les risques liés au transport du cheval, rien ne vaut un travail de mise en confiance bien mené par quelqu'un de compétent.Je ne veux pas rouvrir le débat non plus Les fleurs de Bach ne peuvent pas vraiment être considérées comme de l'homéopathie au sens strict car elles n'agissent pas selon les mêmes principes ("combattre le mal par le mal" et "hautes dilutions"). Il faut aussi signaler que les fleurs de Bach ont des effets secondaires avérés, ce qui n'est pas le cas en homéopathie.
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C'est à base de plantes ? Tu le donnes en cure ?Non, c'est du One Shoot en cas de problème... La substance active est l'ace(to)promazine. L'avantage par rapport aux autres produits qui utilisent cette substance, c'est qu'on évite la piqure. Interdit en compétition, ça reste détectable dans le sang pendant 3 à 5 jours. A éviter sur les étalons. Je ne connais malheureusement pas d'équivalent Phyto. En cure, je ne connais rien qui soit efficace et qui passe les contrôles anti-dopage (ce qui est donc exclu pour l'utilisation), mais y'a pas mal de choses pas trop chères du côté de la phyto, mais ça reste léger comme effets.
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Le problème d'un cheval qui s'aplatit ne provient pas de la hauteur de la tête mais de l'engagement (c'est pour ça que j'en parlais dans le premier post). Le fait de relever la tête chez un cheval pas assez sur l'arrière main le soulage évidemment un peu du poids sur ses épaules mais lui creuse le dos. C'est assez fréquent pour les chevaux qui sautent "sur leur vitesse". Je reprécise donc qu'il s'agit de la position de la tête chez un cheval bien équilibré et bien assis. Si on suit cette logique, un cheval en place devrait donc arriver à bonne distance pour le saut et c'est le cavalier qui, connaissant son cheval, lui demande de partir plus ou moins loin suivant l'obstacle. Attention évidemment à ne pas confondre avec le cheval qui lève la tête de lui même à l'abord pour améliorer sa vision... Je me demande si ça aussi a une grosse influence et comment le gérer?
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Je sais que la question avait été posée et était restée sans réponse à l'époque, mais impossible de retrouver le post... Je crois que c'est Calimera qui voulait savoir pourquoi, à l'abord de l'obstacle, certains chevaux arrivaient volontairement tête haute, d'autres bien en main. Et bien j'ai reçu la réponse (pe juste une partie) ce week-end. En fait, si on suppose que le cheval est bien équilibré et "assis", le fait de venir avec la tête plus haute aura tendance à faire partir le cheval de + loin alors que le fait de le garder plus en main le fera partir de plus près... c'est aussi simple que ça !
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La barre d'appel est aussi appelée barre de réglage. Il s'agit donc d'un outil destiné à régler le saut. On peut l'utiliser au trot ou au galop pour aider à bien prendre la battue (distance, attitude, coordination des gestes chez le cheval). Pour pouvoir l'utiliser, il faut que le cheval ait déjà acquis une certaine habitude du saut (puisqu'elle sert à l'améliorer) sinon il risque de s'emmêler les pinceaux. Au niveau des distances, ça dépend vraiment du cheval et de l'effet recherché, sachant que la barre doit tomber dans la dernière foulée ! Les distances "standard" sont à mon avis vraiment informatives. (2m trot - 2,50m galop).
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Concernant le rollkur en tant que tel, je ne suis toujours pas convaincu qu'il n'ait pas parfois son utilité. Maintenant pour le reste, c'est vraiment abominable de voir des chevaux pousser à bout et cassés comme ils le décrivent sur ce forum... La manière est plus dangereuse que la méthode! Ca me fait repenser à une conversation avec un ancien entraineur de chevaux de dressage à propos des juges... Il me disait : "les gens se plaignent de la mauvaise qualité des juges et de leurs jugements, mais pourquoi alors aucun ancien cavalier de haut niveau ne devient juge pour relever le niveau?" Il a bien résumé le problème de mentalités...
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