Bambielov
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Bonjour, Pas évident de trouver mais bon en attendant je garde les petits monstres..oui en tout cas ils sont en santé y a pas de doute assez pour terroriser mes plus vieux chats. Si je peux trouver un endroit avant les déménagements ca serait bien car il y a tellement de chats abandonnés au mois de juin. Fleuret
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Chat recherche famille d'accueil ou permanente
Bambielov a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans ADOPTIONS
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Maman & bébés besoin d'aide URGENT .....
Bambielov a répondu à un(e) sujet de Angels Among Us dans ADOPTIONS
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-un chatton (femelle~9 semaines) tout noir qui, peut-être, ne verra jamais de son oeuil droite (on l'a trouvé à l'age de 2 semaines avec son frère et soeur (déja adopté) avec un infection dans les yeux) -Un male tigré (10-11 semaines) -Un male tout noir (10-11 semaines) Tout les chattons sont habitués au chien et aux chats Sierra, est une chatte extrèmement colleuse d'environ 1 à 2 ans, tigré. Elle a été abandonné dans un appartement, 1 semaine plus tard trouvé par le proprio qui l'a jetté dehors avec tout ses affaires, et al belle Sierra n'a jamais quitté les lieux de ses affaires. Pendant 1 semaine, elle a resté couché à coté de sa cage et ses boles vides et se levait seulement quand qu'il y avait des personnes. Elle est a la recherche de famille d'acceuil urgente. Elle est présentement chez moi (ca fait 2 semaines presque) mais mes chats ne l'aiment vraiement pas C'est la seule problème. Elle veut tellement d'affection, mais il faut que je la laisse dans une chambre (j'habite dans un petit 4 1/2) J'ai eue un appel aujourd'hui d'une madame qui se débarasse d'un labrador blond, femelle qu'elle a trouvé de 1 ans au plus vite possible.
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Comment j'ai secouru un boeuf et plusieurs cochons .... bon, cela a commencé avec Big Sam et Piggy Sue. Dans l'écurie ou (avant!!) on gardait notre cheval, le monsieur a qui appartenait l'écurie, un jour d'été, a "loué" un bébé cochon pour la journée pour que les enfants puissent jouer avec. Ils ont décidé de la garder, mais la plus grosse qu'elle est devenue, le plus qu'elle a été ignorée. Mon copain et moi, on se retrouvait a l'écurie a presque chaque jour pour être sure qu'elle avait de l'eau et du manger. Pendant ce temps la, on avait sorti 5 canards, des lapins et un maman chats avec ses bébés. 2 ans plus tard, le proprètaire a décidé d'acheter un voeu de 5 jours .... et encore une fois, le plus gros qu'il est devenu, le plus qu'il a été ignoré car tout le monde en avait peur. Mon copain et moi avait commencé a monter à l'écurie à presque chaque soir (surtout l'été) car on avait peur qu'il ne les aient pas donné de l'eau (et surtout pour leurs sortir de leur "stall" pour qu'ils aient de l'exercise) Big Sam et Piggy Sue étaient comme des chiens, même le vétérinaire que j'avais appellé juste avant de les sortir de l'écurie, n'en revenait pas comment qu'un boeuf de presque 1000 livres et une truite de 800 livres soient domestiqués comme ca "Et voila ma preuve que n'importe quelle animale peut être attentif, colleux et resentir de l'amour s'il y a quelqu'un pour leur montrer de l'amour" $3000 plus tard, on a eu la chance de leur sauver d'un abattoir .... dans un moment de même, l'argent ne veut rien dire. Ils sont les 2 maintenant libre, pour la première fois de leur vie (Sauvé en 2002 par Sherlocks maple Haven Sanctuary) et ils sont très contents :0) Après cela, j'ai eu un couple d'autres appels pour des cochons, et c'est une amie à moi qui a une "Sanctuary" a Ontario qui a pris ces 2 petits bébés la (Elle aussi a plusieurs animaux pour adoption ....)
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Commercial télévisé Association du Cancer
Bambielov a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans Végétarisme
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Cette semaine, j'ai lu une lettre que j'ai trouvé extraordinaire et je me suis donné la permission de la traduire. Je ne suis pas traductrice mais j'ai essayé de garder le ton et de traduire le plus fidèlement possible. Bonne lecture, Gaia ************************************************ Une Lettre très Touchante Parmi la quantité de lettres que j’ai reçues depuis que j’ai écrit « Se Nourrir sans Faire Souffrir (Diet for a New America), il y en a une que j’aimerais partager avec vous. Je l’ai reçue au milieu des années 90, d’un homme de San Francisco, Californie. Elle représente, du moins pour moi, un message d’espoir pour nous tous. - John Robbins Monsieur Robbins, Votre livre « Se Nourrir sans Faire Souffrir » a eu toute une influence sur ma famille. Il y a deux ans, j’aurais aimé vous tuer à cause d’elle. Laissez-moi m’expliquer. Je suis un homme qui a énormément de succès dans la vie. Je suis habitué à ce qu’on agisse selon mes désirs. Quand ma fille, Julie, était adolescente, elle a annoncé qu’elle voulait devenir végétarienne. Elle avait lu votre livre. J’ai pensé que c’était ridicule et ai insisté pour qu’elle arrête ces absurdités. Lorsqu’elle n’obéissait pas, je me mettais en colère. « Je suis ton père », lui disais-je « et je sais mieux que toi. » « Je suis ta fille, » me répondait-elle, « et c’est ma vie. » Nous nous sommes querellés souvent à ce sujet. Nous ne nous entendions pas très bien, il y avait des tensions entre nous, mais elles semblaient toujours survenir à cause de ces débats sur le végétarisme. Ça me rendait fou. Selon moi, elle était irrespectueuse et obstinée, et elle voulait seulement qu’on agisse selon ses désirs. Elle disait la même chose à mon sujet. Au début, ma femme et moi la forcions à manger de la viande, mais elle rouspétait tellement que l’heure des repas était complètement ruinée. Alors éventuellement, plein de ressentiment, nous avons capitulé et lui avons permis de manger ses repas végétariens. Mais je lui ai laissé savoir ce que je ressentais à ce sujet. C’est correct d’être un idéaliste, lui disais-je, mais tu dois garder les pieds sur terre. C’est correct d’être un avocat, m’a-t-elle dit, mais tu dois garder ton cœur ouvert. C’était terriblement exaspérant. Une année, pour mon anniversaire, elle m’a préparé un petit-déjeuner au lit. Mais il n’y avait ni bacon, ni saucisse, ni même des œufs. Cela a fait une autre histoire. Je lui ai rappelé que c’était mon anniversaire, pas le sien. Elle a commencé à m’expliquer comment les cochons et les poules étaient traités, citant chapitre et verset de votre livre. Ceci n’était pas la première chose que je voulais entendre, le jour de mon anniversaire. Après ses études secondaires, Julie quitta la maison. En fait, j’en étais content parce que j’en avais par-dessus la tête de cette situation. Il en était question à chaque repas. Je voulais qu’elle mange de la viande et elle refusait. Elle voulait que j’arrête de manger de la viande et je refusais. Il n’y avait aucun moment de paix. Mais après son départ, je me suis ennuyé d’elle. Je ne m’ennuyais pas des disputes, mais je me suis ennuyé d’elle beaucoup plus que je ne pensais le faire. Plusieurs années plus tard, Julie s’est trouvé un mari et peu de temps après le mariage, elle tomba enceinte. Quand notre petit-enfant est né, j’étais fou de bonheur. Mais bien sûr, ça ne dura pas. Comme de fait, Julie voulait que son fils, notre petit-fils, soit végétarien. Cette fois-ci, je fis acte d’autorité. « Tu peux ruiner ta vie si tu le veux », lui dis-je, « mais tu ne peux ruiner la santé de ce petit garçon innocent. » Selon moi, ce qu’elle faisait était de l’abus d’enfant (child abuse). J’ai même considéré appeler les Services Sociaux. Je croyais qu’ils la forceraient à nourrir convenablement notre petit-fils, ou bien ils enlèveraient celui-ci de sous sa domination. Ce n’est seulement parce que ma femme m’en a empêché que je n’ai pas fait cette démarche. Même si je me rendais compte que je pouvais (à peine) tolérer que Julie soit végétarienne, je ne pouvais simplement pas accepter qu’elle fasse cela à notre petit-fils. Avec le temps, la situation est devenue tellement horrible qu’elle a totalement refusé de me voir. Non seulement cette stupide obsession à propos du végétarisme me coûtait-elle ma relation avec ma fille, elle me coûtait aussi ma relation avec mon petit-fils parce qu’elle ne venait maintenant pas nous le porter , ni même me laissait-elle les visiter. J’étais complètement coupé de sa vie. Par contre , j’ai pensé que je devrais au moins « garder la porte ouverte » ; alors par l’entremise de ma femme (Julie ne voulant même plus me parler), je lui ai demandé ce qu’elle voulait pour son anniversaire. Elle a dit que ce qu’elle souhaitait le plus était que je lise votre livre, Se Nourrir sans Faire Souffrir. Je lui ai dit que cela serait impossible parce que ça demandait beaucoup trop de temps. Elle me dit alors que si véritablement je le lisais, pour chaque heure que j’y mettrais, elle me laisserait voir mon petit-fils pour le même nombre d’heures. Elle est intelligente. Elle sait où sont mes points faibles. Alors, Monsieur Robbins, j’ai lu votre livre. Je l’ai lu au complet, j’ai lu chaque mot. Ce qui m’a le plus marqué fut votre description du traitement réservé aux animaux à notre époque. Je n’avais aucune idée que ce fut si grave. C’est abominable et je suis d’accord avec vous qu’on ne doit pas permettre à ceci de continuer. Je reconnais la cruauté quand je la vois, et celle-ci est extrême. Je suis certain que vous avez entendu tout ça auparavant, mais aucun livre n’a eu sur moi un si grand impact. J’étais bouleversé. Je l’ai appelée quand j’eus terminé la lecture. « Je t’ai dit de ne pas m’appeler », m’a-t-elle dit aussitôt qu’elle sut que c’était moi. « Oui, » lui répondis-je, « mais j’ai lu le livre, et je veux que tu viennes souper et que tu amènes ton garçon. » Monsieur Robbins, je suis un homme orgueilleux et ce que j’ai dit ensuite n’a pas été facile pour moi à dire. Mais je savais ce qu’il me fallait faire et je l’ai fait. «Très chère Julie, » ai-je dis, « s’il te plaît, pardonne-moi. Il n’y aura pas de dispute si tu viens. J’ai commis une grave erreur et je le comprends, maintenant. Si tu viens, aucune viande ne sera servie, à personne. » Il y eu un silence à l’autre bout de la ligne. J’ai appris plus tard qu’elle pleurait, mais je ne le savais pas à ce moment-là. Je savais seulement que je devais dire autre chose. « Et il n’y aura plus jamais de viande servie ? dans cette maison », dis-je, provenant d’élevages industriels. » « Tu blagues ? » demanda-t-elle, n’en croyant pas ses oreilles. « Je ne blague pas, » dis-je. « Je suis sincère. » « On viendra, » dit-elle. Et j’étais sincère. Aucune viande n’a été servie ici depuis. Nous ne l’achetons simplement pas. Julie nous enseigne comment manger des végé-burgers, du tofu et une variété d’autres choses que j’avais l’habitude de ridiculiser. Ça ne me dérange plus du tout. Je regarde cela comme une sorte d’aventure. Depuis ce temps, ils sont venus partager plusieurs heureux repas, et pleins d’autres occasions heureuses aussi. Monsieur Robbins, pouvez-vous comprendre ce que cela représente pour moi ? J’ai retrouvé ma fille, et aussi mon petit-fils. Ma fille est une personne merveilleuse. Et notre petit-fils n’a pas encore eu un seul rhume ou otite ou toute autre maladie que les enfants ont l’habitude d’avoir. Elle dit que c’est parce qu’il se nourrit si bien. Je dis que c’est parce qu’il a la meilleure mère du monde. Ce qu’on fait à ces animaux est immoral, terriblement et horriblement immoral. Vous avez raison. Les animaux ne devraient jamais être traités de cette façon. Jamais. Jamais. Jamais. Jamais. Jamais. Maintenant, quand Julie dit que les animaux sont ses amis et qu’elle ne mange pas ses amis, je n’argumente pas, comme j’avais l’habitude de le faire. Je ne fais que sourire, heureux de ne plus être en conflit avec une personne si spéciale. Et je suis fier de pouvoir regarder mon petit-fils dans les yeux et de savoir que j’aide à faire de ce monde, un monde meilleur pour lui. Respectueusement vôtre, (nom qu’on a demandé de ne pas publier) traduit de : http://www.foodrevolution.org/letter.htm ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
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