animo-aequoanimo

Bienvenue sur le forum, twistbaloo. Ces chiens sont vraiment beaux et ont l'air très gentils. J'espère qu'ils trouveront de bonnes familles, tous.

Investigators say a Philadelphia teenager wrapped a cat in duct tape, put it in a shopping bag and left it in a neighbor's backyard. The Pennsylvania Society for the Prevention of Cruelty to Animals says 19-year-old James Davis was arrested Saturday night on animal cruelty charges. Official George Bengal says Davis admitted to taping up the cat from neck to tail after he spotted it in his yard on Sept. 21. The gray tabby was nicknamed Sticky by animal welfare workers. It was dehydrated and had to be sedated while the tape was cut off its fur. Animal welfare workers are still looking for Sticky's owner. Davis faces up to two years in prison and a minimum $1,000 fine if convicted. A phone number for Davis could not immediately be located. It was unclear if he had an attorney.

What the fuck, lorsqu'une chose est plus cruelle qu'une autre, c'est que l'autre chose est quand même cruelle.

Une vraie folle. En plus, elle a tout un fan club !

Peut-être que s'ils reçoivent plusieurs commentaires en ce sens, ils devront se questionner un peu plus. -Je dois m'interrompre... Je reprends plus tard la lecture de la lettre de Stéphane.

J'abonde aussi dans le sens de hop et Animal, et de de certains de tes proches. Il faut d'abord refaire tes forces et ensuite te réserver des moments pour toi et quelques autres pour la cause. Mais pour le moment, il faut que tu penses à toi pour reprendre le dessus. Prends bien soin de toi, ma belle Cath xoxoxo

Mauditte niaiseuse ! (traduction pour Céline : Quelle conne !)

Sur la Côte-Nord, ils utilisent des cochons tués comme appâts.

Ce n'est pas une question de medias à sensations comme voudrait le laisser entre Francoeur -pour atténuer le geste (?). Ce qu'elle a fait est inadmissible. Cela signifie qu'elle sanctionne et partage ces activités.

La suite de l'article n'est pas disponible sur le lien à moins d'être abonné au Devoir. En tous cas, j'espère bien que cela veut dire que l'appâtage des animaux sauvages sera interdit. C'est rendu qu'ils appâtent les ours sur la Côte-Nord, aux Escoumins, Tadoussac et Sacré-Coeur. Ils appellent ça des Safaris à l'ours et ce sont des amateurs qui viennent tirer sur les ours. Ce n'est même pas de la chasse. On pourrait dire que c'est similaire à la chasse en enclos. C'est révoltant.

As police charged a Yale animal lab technician with murdering a graduate student who worked in his building, a portrait began to emerge Thursday of an unpleasant stickler for the rules who often clashed with researchers and considered the mice cages his personal fiefdom. Police charged 24-year-old Raymond Clark III with murder, arresting him at a motel a day after taking hair, fingernail and saliva samples to compare with evidence from the grisly crime scene at Yale's medical school. The muscular former high school baseball and football player is charged in the death of 24-year-old Annie Le, a pharmacology doctoral student at Yale who vanished Sept. 8. Her body was discovered five days later -- her wedding day -- stuffed into a utility compartment behind a wall in the basement of the research building where she and Clark worked. Co-workers told police that Clark was a "control freak" who viewed the laboratory and its mice as his territory, according to a law enforcement official who spoke to The Associated Press on condition of anonymity because the investigation is ongoing and many details remain sealed. The official said police are looking into whether Clark's attitude led to a deadly workplace confrontation with Le, who was just 4-foot-11 and 90 pounds. But investigators say that's just a theory at this point. The investigator also said authorities do not necessarily need to prove a motive because they have an abundance of strong forensic evidence. As a technician, Clark's duties included cleaning mouse cages and the floors of the lab. Le's work involved experiments on mice that were part of research into enzymes that could have implications for treatment of cancer, diabetes and muscular dystrophy. The New York Times reported that Clark at times grew angry if lab workers did not wear shoe covers. "He would make a big deal of it, instead of just requesting that they wear them," said a researcher who asked not to be identified. "It is important to note that this is not about urban crime, university crime, domestic crime but an issue of workplace violence, which is becoming a growing concern around the country," Lewis said, adding that he would not rule out additional charges. This incident could have happened in any city, in any university, or in any workplace. It says more about the dark side of the human soul than it does about the extent of security measures," Levin said in a message sent to the Yale community.

Le lien conduit uniquement à une bio de l'auteur pour une publication intitulée Perdre le Nord. Rien sur l'article parue dans Chatelaine ni sur ce site ni sur celui de Chatelaine... On attend donc ton commentaire après lecture

Pfff..... mentions débiles et inutiles ! pour une fois ... pelleteux de nuages, antichasseurs, comme si les antichasseurs étaient dans le tort !

Oui, c'est bien ce qui devrait être mais comme les gouvernements marchent main dans la main avec l'industrie (de la fourrure, laitière, pharmaceutique...) alors avant qu'on puisse en attendre des changements ou des lois en faveur des animaux, il faut que la population en fasse la demande avec insistance. Le gouvernement a un oeil et une oreille bouchés du même bord.

Bon ! La faute au gouvernement, c'est plus facile, comme d'habitude. Mais manger, c'est aussi voter et pour que le gouvernement change, il faut une volonté du peuple. C'est la volonté silencieuse du peuple qui s'applique actuellement. Au peuple d'exprimer sa nouvelle volonté s'il veut obtenir de nouveaux changements.

Ce sont des choses qui prennent malheureusement beaucoup de temps. Qu'il s'agisse d'inculquer dans les mentalités que les animaux ne sont pas de la marchandise et ensuite d'avoir des lois en conséquence. Mais il y a un net progrès. Il y a une dizaine d'années, personne ne parlait de la chasse au phoque. Elle se pratiquait dans le plus grand silence depuis le passage de Brigitte Bardot. Même chose avec les puppy mills. Le fait qu'on dénonce maintenant tout cela est un signe que nous progressons. Nous disons au gouvernement et à ceux qui pratiquent ces activités que nous refusons que ça se passe ainsi. Et l'Union Européenne refuse maintenant les produits du phoque. C'est pourquoi, il faut militer. Pour informer et pour obtenir des changements.

Oui, de gros intérêts commerciaux et politiques sont en jeu : ceux des laboratoires pharmaceutiques, de l'industrie alimentaire, de l'industrie de la fourrure, etc.. Les animaux sont victimes à tellement de niveaux. Mais on arrive à convaincre progressivement certaines personnes avec le temps. On progresse malgré tout même si ça nous semble long et se faire à petits pas. On ne peut pas changer de vieilles habitudes habitudes du jour au lendemain. Il faut y mettre le temps. Il y a quelques années à peine, on ne parlait pas de végétarisme comme aujourd'hui. A Montréal, il y a 20 ans, il n'y avait qu'un seul restaurant végétarien. Aujourd'hui, il y en a plus d'une douzaine et on trouve plein de produits végétar/liens sur les tablettes des épiceries. Ça prend du temps pour faire changer les mentalités mais à force de persévérence et de patience, on y parvient.

Merci à toi

Oui, vous pouvez le dire ! Ils ont bien réussi leur coup. Il n'y a pas à dire ! On ne peut que grandement les féliciter.

Tu es dans les temps sans problème. Merci

Il y a encore le cirque des Shriners qui campe dans les environs de Montréal. En ce moment, ils sont dans l'est de Montréal, je crois.

Ça doit être drôle de la voir faire Il y a une grande part d'ignorance et de reproduction des ouïe-dire dans la façon dont les gens traitent ces oiseaux. Ils entendent dire que les pigeons sont nuisibles, alors ça y est, ils s'imprègnent de cette affirmation comme d'une vérité mais sans chercher plus loin, sans s'arrêter au fait que ces oiseaux ne veulent de mal à personne. Cela me fait penser à une fille qui me disait ce printemps qu'elle était d'accord avec le fait qu'il fallait tuer les phoques parce qu'il y en avait trop. Je lui ai demandé comment il se faisait qu'elle pensait qu'il y en avait trop. Elle répétait tout simplement ce qui est véhiculé dans la société sans avoir cherché à savoir davantage. Et passons sur le fait que, en trop grand nombre ou pas, ça ne semblait pas la déranger non plus qu'on tue des phoques. Il y a tellement de désinformation dans la population en ce qui concerne les animaux.

Ils y parviendront peut-être avec du temps et de la persévérance.

En ce qui concerne les usines à chiots, avec les lois qui sont actuellement demandées, les élevages ne seront pas éliminés. Il y aura seulement des obligations à respecter de la part des propriétaires afin de pouvoir opérer leurs commerces. Mais au moins ce sera toujours un peu mieux que maintenant. Petit à petit on en viendra à une reconnaissance des droits des animaux.