Animal

L'Ordre des vétérinaires enquêtait sur Le Berger Blanc Mise à jour le vendredi 22 avril 2011 à 19 h 35 L'Ordre des médecins vétérinaire du Québec (OMVQ) dénonce les pratiques en cours à la fourrière Le Berger Blanc qui a fait l'objet d'un reportage de l'émission Enquête de Radio-Canada. L'Ordre a procédé à des inspections dans cette fourrière où une enquête est en cours. Les images diffusées dans le reportage d'Enquête révèlent des pratiques d'euthanasie illégales et non conformes aux normes de pratique de l'OMVQ. « Ces images sont choquantes et la situation est inadmissible », précise l'ordre dans un communiqué. La fourrière privée de Montréal Le Berger Blanc ne respecterait pas ses contrats avec les arrondissements et ferait même preuve de cruauté envers les animaux, selon le reportage de l'émission Enquête. Ce qui a été diffusé est contraire aux normes de pratique, aux règlements en vigueur et à la Loi sur les médecins vétérinaires. La situation est illégale en plus d'être inacceptable. — L'Ordre des médecins vétérinaires du Québec L'ordre déplore que les normes de pratique ne soient pas respectées, que les méthodes d'euthanasie soient inappropriées, que les lieux soient insalubres et que les lois et règlements ne soient pas respectés à l'établissement. Il dénonce également la fausse information véhiculée par la fourrière. L'euthanasie d'un animal doit donner la mort rapidement et un animal paralysé par une euthanasie mal effectuée souffre énormément. Seul un médecin vétérinaire peut procéder à une euthanasie, souligne l'OMVQ. Les médicaments et les narcotiques utilisés doivent être prescrits par un vétérinaire et ils doivent demeurer sous le contrôle dudit vétérinaire. Certaines tâches peuvent toutefois être déléguées à des employés certifiés et l'euthanasie peut être déléguée à un technicien accrédité, mais le vétérinaire doit toujours superviser l'exécutant et demeurer disponible pour intervenir. Le vétérinaire demeure responsable de l'euthanasie qu'il délègue même s'il ne l'effectue pas. La décision de procéder à l'euthanasie, le choix du protocole et des drogues utilisées sont des actes exclusifs que le médecin vétérinaire ne peut déléguer. — L'Ordre des médecins vétérinaires du Québec Renforcement d'un règlement L'OMVQ travaille avec le ministère de l'Agriculture des Pêcheries et de l'Alimentation depuis 2009 dans le but de renforcer les mesures visant à assurer le bien-être des animaux de compagnie. Le ministère procède actuellement à la rédaction d'un règlement sur la sécurité du bien-être des chiens et des chats. Les nouvelles exigences encadreront davantage les méthodes d'euthanasie et offriront de nouveaux outils d'intervention aux inspecteurs. « La Loi sur la protection sanitaire des animaux (L.R.Q. c. P-42) sera également révisée afin de revoir à la hausse les amendes et les pénalités prévues à l'égard des propriétaires ou gardiens qui infligent de mauvais traitements aux animaux », ajoute l'ordre. ... http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2011/04/22/008-bergerblanc-ordreveterinaire-montreal.shtml

Les chasseurs de la Gaspésie s'opposent au resserrement de leur territoire Mise à jour le vendredi 22 avril 2011 à 10 h 58 Les chasseurs de la Gaspésie poursuivent leurs moyens de pression pour empêcher un éventuel agrandissement du Parc national de la Gaspésie sur leur territoire de chasse. Ils ciblent maintenant les élus à qui ils demandent de porter plus haut leur message. Comme la chasse est un véritable culte dans la région, la moindre petite menace à l'intégrité des territoires de chasse est perçue comme une attaque en règle. « Les terres publiques, les terres intramunicipales, ça appartient à nos gens. » - Une chasseuse ... http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2011/04/22/002-manifestation-chasseurs-gaspesie.shtml

Un fermier de Swan River reconnu coupable de cruauté animale Mise à jour le vendredi 22 avril 2011 à 10 h 18 (Manitoba-Canada) Photo: GRC Plus de 40 animaux maltraités ont été découverts à Swan River en décembre 2010. Un fermier de Swan River a été condamné à une amende de 1600 $ pour cruauté envers les animaux. Walter Goba a été reconnu coupable d'avoir tenu un chenil sans permis et d'avoir enfermé des animaux dans de mauvaises conditions. L'homme a été accusé en février 2009 et mars 2010 en vertu de la loi sur les soins animaux. Il faisait face à 44 chefs d'accusation de cruauté animale après que 15 chevaux, deux ânes et 27 chiens eurent été trouvés affamés, blessés et négligés. Walter Goba fait face à de nouvelles accusations criminelles portées par la Gendarmerie royale du Canada. Des bêtes avaient été saisies dans sa ferme de la municipalité de l'ouest du Manitoba en décembre 2010. http://www.radio-canada.ca/regions/manitoba/2011/04/22/001-cruaute-animale-swan-river.shtml

Alberta (Canada) 22 avril 2011 Environ 140 chevaux et 200 bovins maltraités ont été saisis dans une ferme près de Drumheller. La GRC et la Société albertaine de prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) sont intervenues lundi dernier après avoir reçu une plainte. Les enquêteurs ont retrouvé les animaux maltraités lorsqu'ils sont arrivés sur les lieux. Une douzaine de bêtes étaient déjà mortes. Au moins trois chevaux ont dû être abattus parce qu'ils étaient trop faibles, a signalé la porte-parole de la GRC, Doris Stapleton. Les animaux sont maintenant sous la garde de la SPCA, mais leur traitement est difficile parce qu'ils sont presque retournés à l'état sauvage, a souligné la directrice de l'organisme, Terra Johnston. Une enquête a été ouverte par la SPCA et la GRC. Mme Johnston a affirmé que le propriétaire de la ferme a 10 jours pour répondre à certaines conditions et tenter de récupérer ses animaux. Une fois l'enquête terminée, le propriétaire pourrait faire face à des accusations en vertu de la Loi albertaine sur la protection des animaux et la possession de certaines bêtes pourrait lui être interdite. Il pourrait aussi recevoir une amende de 20 000 $. http://www.radio-canada.ca/regions/alberta/2011/04/21/003-animaux-maltraites-drumheller.shtml

Dépêches 13/04/2011 à 18h37 Un renard apprivoisé risque de perdre sa famille d'adoption, voire l'euthanasie PERIGUEUX (AFP) - Zouzou, un jeune renard apprivoisé par une famille en Dordogne risque de leur être enlevé par décision de justice, la possession d'un animal "sauvage et nuisible" étant interdite par la loi, a-t-on appris mercredi auprès de la famille et des autorités administratives. Le renardeau avait été recueilli il y a un an sur le cadavre de sa mère, morte au bord d'une route dans des conditions indéterminées, par Didier Delanes, un habitant de Gardonne, comme l'a relaté le quotidien Sud Ouest. Depuis, l'animal vit dans un enclos du jardin, se nourrit de croquettes pour chien, boit dans une gamelle avec les poules de la famille et se laisse approcher et caresser. Un comportement d'animal domestique, pour une bête pourtant "sauvage et nuisible" aux yeux de la loi. Lors d'un contrôle en mars de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) pour une autre de leurs bêtes, un cochon de race hybride entre le porc et le sanglier, la famille Delanes se voit verbalisée pour le renard. "Nous avons constaté la détention d'un animal sauvage, et l'absence de certificat de capacité nécessaire à l'élevage", a déclaré à l'AFP Aurélien Viau, chef du service départemental de l'ONCFS. "L'animal est encore jeune et n'a pas rencontré de femelle. Son comportement pourrait changer en période de rut et devenir dangereux", estime-t-il. ... http://www.liberation.fr/depeches/01012331531-un-renard-apprivoise-risque-de-perdre-sa-famille-d-adoption-voire-l-euthanasie

http://www.bergerblanc.com/

Le Jeudi 21 avril 2011 | Mise en ligne à 18h40 | Commentaires (37) L’odeur de la mort Photo David Boily, La Presse NDLR: Afin d’encourager un débat ouvert et respectueux, le Blogue de l’édito ne publie que des commentaires signés. Merci de votre collaboration. André Pratte Dans le reportage diffusé jeudi soir dans le cadre de l’émission Enquête, à Radio-Canada, un moment m’a particulièrement frappé: avant de procéder à l’euthanasie des chiens, l’employé de l’entreprise Le Berger Blanc s’adresse aux bêtes: «Je sens la mort dans l’air, pas vous?» Et quand les bêtes aboient et gémissent, il lance: «Shut the fuck up!» Cet employé, de toute évidence, est totalement indifférent à la souffrance de ces animaux. Peut-être même y prend-il un certain plaisir. Or, toute personne saine d’esprit voit les chiens et chats se débattre, agoniser, s’accrocher désespérément aux barreaux de leur cage, trouvera ces scènes intolérables. «Une situation un peu perturbante», a dit le ministre de l’Agriculture, Pierre Corbeil. «Un peu perturbante», quel euphémisme! D’autres mots viennent tout de suite à l’esprit: horrible, inadmissible, par exemple. Le ministre a demandé à ses fonctionnaires de faire le nécessaire pour que la situation soit corrigée. La Ville de Montréal, dont 10 arrondissements ont signé un contrat avec Le Berger Blanc, exigera que l’entreprise améliore ses pratiques. Cette dernière réaction paraît bien timide. Peut-on vraiment faire confiance à une organisation dont les patrons affirment qu’ils ne savaient comment les animaux étaient tués (i.e. torturés) dans leurs propres locaux? Une organisation qui, par le passé, a fait l’objet de nombreuses plaintes des citoyens? (Une pétition contre Le Berger Blanc a été signée par plus de 7000 personnes). Aussi loin qu’en 1997, la SPCA accusait Le Berger Blanc (une compagnie qui l’avait privée de plusieurs contrats en offrant ses services à meilleur prix) de privilégier l’euthanasie plutôt que l’adoption. La Ville «donne à Berger Blanc une licence de tuer», affirmaient les dirigeants de la SPCA. Force est de constater qu’ils avaient raison. Mise à jour samedi 11h Sur son site internet, Le Berger Blanc réagit en dénonçant la personne qui, pour Enquête, a infiltré ses locaux en portant une caméra cachée. Selon Le Berger Blanc, «l’intrus a côtoyé et travaillé plus de deux mois à l’interne, fouillant partout pour trouver des failles. Il a réussi à soudoyer certains employés, allant même jusqu’à leur offrir de la drogue et à affirmer que l’employé fautif en consommait. (…) Pourquoi alors les actes cliniques effectués dans les règles de l’art ne font-ils pas partie intégrante du reportage? Pourquoi tout ce que l’infiltrateur a appris sur les recherches intensives des animaux, la stérilisation des cages, les bons soins apportés à nos pensionnaires 24 heures par jour, ainsi que travail acharné des employés avec qui il a vécu tout ce temps ne font-ils pas l’objet du reportage?» Les euthanasies faites à l’encontre de toutes les règles par un employé formé sur le tas (plutôt que par un vétérinaire) s’expliqueraient par le fait que l’employé en question était «faible, dépressif, (…) surmontait de gros problèmes personnels tels que le séisme en Haïti qui a frappé plusieurs membres de sa famille, ainsi que l’incendie de son logement dans lequel il a tout perdu.» Je veux bien donner la chance au coureur, mais cette version me semble douteuse. Pendant toutes ces exécutions (c’est bien cela dont il s’agit), personne au Berger blanc n’aurait remarqué ou entendu quoi que ce soit? On a demandé au responsable du dossier à la Ville de Montréal, Richard Deschamps, s’il songeait à résilier les contrats conclus avec Le Berger Blanc. Ce n’est pas la voie privilégiée. Selon M. Deschamps, si les contrats étaient annulés, les arrondissements concernés se retrouveraient sans service de fourrière. C’est un problème réel. Cela dit, la Ville devrait à tout le moins s’assurer que lors des prochains appels d’offres, la capacité et la volonté des organismes ou entreprises choisis de bien traiter les animaux domestiques ne fassent pas de doute. Dans le cas du Berger Blanc, la preuve est faite que ni la capacité ni la volonté n’existent. Il y a deux ans, un groupe de travail sur le bien-être des animaux domestiques, présidé par le député Geoffrey Kelley, présentait au gouvernement une série de recommandations visant à combattre les «usines à chiots» et à prévenir le mauvais traitement des chiens et des chats, notamment dans les fourrières. Le groupe de travail suggérait notamment d’augmenter le montant des amendes (l’amende maximale est aujourd’hui de 1800$). Au ministère de l’Agriculture, on dit qu’un projet de règlement en ce sens sera publié «dans les prochaines semaines». Le groupe de travail soulignait aussi le fouillis qui existe dans ce domaine: les rôles respectifs d’Anima-Québec, de la SPCA, des entreprises privées et des villes ne sont pas clairs. Il y a même une concurrence malsaine entre les différents intervenants. Les choses se sont améliorées depuis la publication du rapport mais il reste beaucoup à faire. Comme l’a souligné M. Kelley, «le bien-être des animaux est une responsabilité collective et la population, tout comme l’ensemble des intervenants, doit y contribuer.» L’un des principaux problèmes, c’est que les groupes à but non lucratif comme la SPCA et les SPA manquent désespérément de ressources. Les Québécois sont à leur égard beaucoup moins généreux que les Canadiens des autres provinces. Les dizaines de milliers de personnes qui ont vu les images terribles diffusées par Enquête devraient s’empresser de faire un chèque à la SPCA ou à la SPA de leur région. Enfin, n’oublions pas que si Le Berger Blanc euthanasie chaque année des milliers d’animaux, c’est parce qu’il y a autant de gens qui les abandonnent. La cruauté commence là. Partager Vous désirez commenter cet article? http://blogues.cyberpresse.ca/edito/2011/04/21/lodeur-de-la-mort/

La NORVÈGE pourrait bientôt fermer toutes ses fermes d'élevage d'animaux à fourrure ! Signez la pétition pour demander aux autorités norvégiennes de supporter l'interdiction d'élever des animaux pour leur fourrure. ---------------------------------------------------------------------- In a major victory for animal lovers, members of the Norwegian Labour Party voted to shut down Norway's fur industry. According to Views and News from Norway, Popular Prime Minister Jens Stoltenberg "will be under marching orders from his party members to urge fur farmers into other lines of work." It may not be easy to get this through the coalition government, since the farmer-friendly Center Party is likely to support fur farmers. But if the Labour Party is successful, over 300 mink and fox farms will close their doors and open their cages. The anti-fur sentiment has grown strong in Norway in the past few years. In 2009, an animal rights organization known as Network for Animal Freedom broadcast undercover footage filmed at fur farms on local television. Viewers were outraged by what they saw: animals living in filth, animals with open wounds left untreated, sometimes missing eyes or entire limbs. At the time, Norwegian Minister of Food and Agriculture Lars Peder Brekk responded to these investigations, stating that the fur industry would lose political support if the fur farms didn't clean up their act. But in 2010, investigations discovered more of the same cruelty. The recent vote shows that Norwegian politicians are keeping their word to remove support from the cruel operations. And it's a good thing, too: In 2009, the Norwegian government gave the fur industry over 40 million kroner, or over 7 million US dollars. This money could surely be better spent. If other Norwegian political parties support the fur ban, Norway would be the first country in Scandinavia to ax the fur farming industry. This would be a huge step for a region of the world that has claimed that fur is an "integral part of Nordic culture and history." If Norway can put the animal cruelty in its past, then perhaps the other fur-producing Nordic countries will follow suit. Sign our petition to tell all Norwegian political parties to support the ban on fur farms. http://news.change.org/stories/norwegian-labour-party-votes-to-shut-down-fur-industry

La NORVÈGE pourrait bientôt fermer toutes ses fermes d'élevage d'animaux à fourrure ! In a major victory for animal lovers, members of the Norwegian Labour Party voted to shut down Norway's fur industry. According to Views and News from Norway, Popular Prime Minister Jens Stoltenberg "will be under marching orders from his party members to urge fur farmers into other lines of work." It may not be easy to get this through the coalition government, since the farmer-friendly Center Party is likely to support fur farmers. But if the Labour Party is successful, over 300 mink and fox farms will close their doors and open their cages. The anti-fur sentiment has grown strong in Norway in the past few years. In 2009, an animal rights organization known as Network for Animal Freedom broadcast undercover footage filmed at fur farms on local television. Viewers were outraged by what they saw: animals living in filth, animals with open wounds left untreated, sometimes missing eyes or entire limbs. At the time, Norwegian Minister of Food and Agriculture Lars Peder Brekk responded to these investigations, stating that the fur industry would lose political support if the fur farms didn't clean up their act. But in 2010, investigations discovered more of the same cruelty. The recent vote shows that Norwegian politicians are keeping their word to remove support from the cruel operations. And it's a good thing, too: In 2009, the Norwegian government gave the fur industry over 40 million kroner, or over 7 million US dollars. This money could surely be better spent. If other Norwegian political parties support the fur ban, Norway would be the first country in Scandinavia to ax the fur farming industry. This would be a huge step for a region of the world that has claimed that fur is an "integral part of Nordic culture and history." If Norway can put the animal cruelty in its past, then perhaps the other fur-producing Nordic countries will follow suit. Sign our petition to tell all Norwegian political parties to support the ban on fur farms. http://news.change.org/stories/norwegian-labour-party-votes-to-shut-down-fur-industry

Alors qu'il y a déjà tant d'animaux abandonnés, négligés et martyrisés au Québec, chez Jardins Hamel et animalerie, à l'achat d'une cage, on obtient un «charmant compagnon» gratuit pour Pâques ! http://www.jardinhamel.com/ Cliquez à droite sur: Consultez notre nouvelle circulaire... (une circulaire que j'ai reçue dans mon courrier cette semaine) Pourquoi pas un lapin en chocolat ? Les refuges, les SPAs, ... sont remplis d'animaux domestiques de toutes sortes, dont la grande majorité est euthanasiée, et ce, comme on vient encore une fois d'en avoir la preuve, (Le Berger Blanc) de toutes sortes de méthodes archaïques et cruelles. Quand va donc enfin fermer toutes les animaleries au Québec ?

Personnellement, je trouve que c'est une grosse histoire pour pas grand chose! Il faut regarder les deux côtés de la médaille. Brigitte Bardot, Paul Watson, Vera Weber et bien d'autres activistes ont aussi reçu des menaces de mort de la part des chasseurs de phoques... et les activistes/défenseurs des animaux ont également été, et sont toujours, ridiculisés et traités de terroristes végétariens, d'extrémistes, d'Ayatollas de la cause animale, d'Hitler, de tueur d'humains (Georges Laraque) etc. , non seulement par des chasseurs mais aussi par des chroniqueurs, «journaleux» et même des membres du gouvernement, ie. Mme Payette et son conseiller politique ! ============ Un Madelinot menacé de mort Écrit par David Patry-Cloutier Jeudi, 21 avril 2011 17:59 Venu défendre la chasse aux phoques à Montréal, un Madelinot a eu une bien mauvaise surprise à son retour aux Îles de la Madeleine. Une lettre de menace de mort l'attendait dans son courrier. La Sûreté du Québec enquête sur l'affaire. Léonce Arseneau est venu dans la métropole livrer une conférence pour contrer les préjugés sur la chasse aux phoques, le 7 avril dernier lors de la première édition du Festival du loup-marin, au restaurant Les Îles en Ville, à Verdun. Lors de son allocution, M. Arseneau n'a pas tenté d'occulter la méthode utilisée pour abattre les phoques, que les chasseurs frappent avec un Agapit, sorte de maillet avec un pieu au bout, et fracassent le crâne de l'animal. Une mort instantanée, sans souffrance, avait-il dit. Lors de son retour à sa résidence de Havre-aux-Maisons, aux Îles-de-la-Madeleine, une lettre anonyme signée simplement « Fonfon » l'attendait. « Il n'y avait pas de timbre, pas d'adresse de retour, mais le sceau de la poste est différent de celui des îles », affirme Léonce Arseneau, dont la conjointe a dû payer les frais de poste pour obtenir la missive, sans encore connaître son contenu. ... http://ruefrontenac.com/nouvelles-generales/faitsdivers/36661-arsenault-menaces

Publié le 21 avril 2011 à 18h19 | Mis à jour le 21 avril 2011 à 18h19 Pitou et minou n'ont plus leur place chez Home Depot La Presse Canadienne Toronto Le meilleur ami de l'homme et les autres animaux domestiques devront bientôt attendre le retour de leur maître à la porte des Home Depot au Canada. La chaîne de détaillants en rénovation domiciliaire a expliqué qu'elle allait interdire les animaux dans ses magasins partout au pays parce qu'un shih tzu avait attaqué une employée, la semaine dernière. Anne Riel, une résidente de la région d'Ottawa âgée de 39 ans, a raconté qu'elle travaillait à proximité des portes du Home Depot de Gloucester, à l'est de la capitale fédérale, lorsqu'une femme est entrée avec un shih tzu dans son panier. Mme Riel a expliqué qu'elle s'était penchée légèrement pour caresser l'animal. La bête a alors bondi hors du panier, avant de la mordre au visage et de lui arracher un morceau de nez. ... http://www.cyberpresse.ca/actualites/insolite/201104/21/01-4392349-pitou-et-minou-nont-plus-leur-place-chez-home-depot.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_insolite_592_section_POS2

Publié le 21 avril 2011 à 12h21 | Mis à jour le 21 avril 2011 à 12h21 La vaccination des ratons laveurs recommence Claude Plante La Tribune (Sherbrooke) Du 26 avril au 5 mai, des équipes de trappeurs professionnels sous la coordination du ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) parcourront une bande de dix kilomètres au nord de la frontière avec les États-Unis pour épandre à la main des appâts vaccinaux dans les habitats de ratons laveurs, mouffettes et renards. Cette intervention consiste à vacciner ces bêtes sauvages contre la rage. Les zones boisées et les abords des cours d'eau seront particulièrement visés par ces opérations. http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/estrie/201104/21/01-4392235-la-vaccination-des-ratons-laveurs-recommence.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_estrie_381_section_POS1

Cruauté envers les animaux - Pierre Corbeil préoccupé par les mauvais traitements au Berger Blanc Par Radio-Canada | Radio Canada – jeu. 21 avr. 2011 17:22 HAE Le ministre Pierre Corbeil a l'intention d'intervenir à la suite des révélations faites par l'équipe d'Enquête sur les méthodes cruelles envers les animaux employées par le Berger Blanc, une fourrière privée de Montréal. C'est ANIMA-Québec qui a le mandat d'appliquer la Loi sur la protection sanitaire des animaux. Selon le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ), Pierre Corbeil, les 40 inspecteurs de l'organisme font bien leur travail, mais les images d'Enquête, tournées avec une caméra cachée, demeurent préoccupantes. http://fr-ca.actualites.yahoo.com/cruauté-envers-les-animaux-pierre-corbeil-préoccupé-par-170900193.html

Publié le 21 avril 2011 à 08h22 | Mis à jour à 08h22 Insalubrité extrême: la SPA veut récupérer les animaux Une quinzaine de chats sont encore dans la maison où vit un sexagénaire dans des conditions d'insalubrité extrême. Myriam Bacon Le Nouvelliste La Société protectrice des animaux (SPA) de la Mauricie poursuit ses démarches dans le dossier du domicile insalubre à Sainte-Ursule. Or, la SPA ne possède pas d'entente de service avec la municipalité de Sainte-Ursule, a indiqué le directeur général de la SPA Mauricie, Serge Marquis. La SPA était déjà intervenue pour récupérer les bêtes vivant dans l'environnement insalubre, en février, à la demande de la municipalité et de la Sûreté du Québec. À ce moment, indique Serge Marquis, il semblait que l'homme ne serait pas de retour dans sa maison. En apprenant que l'homme est retourné dans sa résidence insalubre, M. Marquis dit avoir entrepris des «démarches pour des alternatives globales» afin de récupérer les bêtes restantes «parce que tant qu'il va en rester deux, ils vont se reproduire». En février, un technicien animalier et un patrouilleur s'étaient présentés sur les lieux afin de récupérer les animaux avec la permission de l'homme. Toutefois, ceux-ci avaient été confrontés à des conditions de travail particulièrement difficiles. «Les conditions de récupération dans lesquelles ils étaient n'étaient vraiment pas faciles. Les photos parlent d'elles-mêmes», mentionne M. Marquis. Des trente chats que possédait l'homme, 16 avaient alors pu être récupérés. «L'état du logement était tel qu'il y en avait plusieurs qui s'étaient cachés dans les murs ou qui s'étaient littéralement sauvés dehors», raconte Serge Marquis. Les animaux recueillis étaient en bien piètre condition. «On les a gardés en observation pendant deux jours. Ils ont été vus pour leur état de santé et leurs caractéristiques comportementales. Ils étaient tous porteurs de maladies et plusieurs avaient des comportements qui permettaient de croire qu'il serait difficile de les faire adopter.» À la lumière de l'état de santé des animaux récupérés, M. Marquis croit que la condition des animaux demeurés sur place peut présenter un danger pour le propriétaire des bêtes. Les animaux récupérés étant porteurs de maladies, les bêtes restantes peuvent représenter un «risque pour l'individu même», a noté Serge Marquis. Pour le directeur de la SPA, il s'agit là d'un dossier complexe concernant les aspects du bien-être humain et animal. «Ce n'est pas deux dossiers qui évoluent en parallèle. C'est deux dossiers qui sont imbriqués l'un dans l'autre.» http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/actualites/201104/21/01-4392066-insalubrite-extreme-la-spa-veut-recuperer-les-animaux.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_lire_aussi_4392019_article_POS1

Publié le 21 avril 2011 à 06h57 | Mis à jour à 06h57 Un autre cas de cruauté animale Cette chienne d'un an a été battue par son maître qui sera accusé de cruauté envers un animal. La bête, ici à son arrivée à la SPA, prend du mieux. Myriam Bacon Le Nouvelliste Après avoir recueilli un chat qui avait été transpercé par une flèche, les intervenants de la Société protectrice des animaux (SPA) de la Mauricie ont cette fois dû prendre en charge un chien qui avait été battu par son propriétaire. Agrandir La SPA avait recueilli un chat transpercé d'une flèche il y a quelques semaines. L'animal a été recueilli vendredi dernier par la SPA. Des voisins avaient contacté les policiers après avoir vu un homme battre son chien. Quand les policiers de la Sûreté du Québec sont arrivés sur la rue Defond à Shawinigan, ils ont trouvé l'animal gisant au sol et ensanglanté. L'homme dans la trentaine a été arrêté et sera accusé de cruauté envers un animal. Il était déjà recherché en vertu de deux mandats d'arrestation. «Le chien a été vu d'urgence vendredi matin. Au début, il était très amorphe suite au traitement qui lui avait été infligé. Présentement, avec les soins qu'il reçoit de notre personnel, son état de santé s'améliore constamment. Je pense qu'il est sur la bonne voie», explique Serge Marquis, directeur général de la SPA Mauricie. Mercredi, Serge Marquis semblait avoir bon espoir d'un dénouement heureux pour l'animal battu. «C'est un animal qui nous semble présenter de belles caractéristiques comportementales. C'est assez impressionnant. Pour un animal qui a été battu et notamment battu par un homme, il approche assez facilement des hommes. Je suis allé le voir à plusieurs reprises et il semble content de nous voir. C'est prometteur pour l'avenir.» Ainsi, l'animal, une chienne d'un an, pourra possiblement être adopté. «Il y a certaines autorisations et interdictions dans ce dossier, mais s'il n'y a pas de suivi de donné, on devra veiller à trouver une nouvelle famille à cet animal qui me semble très enjoué et très affectueux», a mentionné le directeur général de la SPA Mauricie. Serge Marquis a voulu déplorer mercredi qu'il subsiste encore de tels cas de cruauté envers les animaux. «Ça m'étonne encore qu'en 2011, des gens puissent arriver avec des comportements brutaux ou répréhensibles envers des animaux. Ça veut dire que, quelque part, comme dans d'autres secteurs de la société, il y a un message qui ne passe pas.» Selon M. Marquis la cruauté envers les animaux constitue souvent un signe avant-coureur d'une violence plus généralisée. «De plus en plus, on voit que la violence faite aux animaux est souvent une espèce de prolégomènes, ou de premiers pas, dans un système de violence qui peut en venir à toucher les enfants ou d'autres adultes, les femmes entre autres.» ... http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/faits-divers/201104/21/01-4392019-un-autre-cas-de-cruaute-animale.php

une horreur, dans toute la force du mot!

De mauvais traitements dans la fourrière le Berger Blanc Mise à jour le mercredi 20 avril 2011 à 22 h 09 Une fourrière privée de Montréal ne respecterait pas ses contrats avec les arrondissements et ferait même preuve de cruauté envers les animaux, selon un reportage de l'émission Enquête. Les abandons d'animaux sont très nombreux et Montréal figure parmi les villes nord-américaines où l'on euthanasie le plus d'animaux. Dix arrondissements de Montréal ont confié leur service de contrôle animalier à une fourrière privée, le Berger Blanc. Depuis décembre une pétition de près de 3000 signatures circule sur internet pour dénoncer notamment la rapidité avec laquelle cette fourrière euthanasie les animaux. Des pratiques vétérinaires non conformes Au Berger Blanc, les services pour retrouver un animal perdu sont quasi inexistants. Très peu de chats sont retournés à leur propriétaire. En ce qui concerne les chiens, le taux de retour est au plus de 40 %. Un collaborateur de l'émission Enquête a infiltré l'établissement durant quelques semaines. Il a assisté à deux séances d'euthanasie et découvert que les pratiques contreviennent à toutes les normes vétérinaires nord-américaines. Les injections sont données à froid et les animaux ne meurent pas sur le coup. ...... D'après un reportage de Josée Dupuis. audio-vidéo Entrevue avec la présidente des Centres d'adoption d'animaux de compagnie du Québec, Johanne Tassé. Le reportage de Josée Dupuis Josée Dupuis explique les conditions dans lesquelles l'enquête a été menée. Entrevue avec la journaliste Josée Dupuis L'entrevue d'Anne-Marie Dussault avec Dre Judith Weissmann, vétérinaire http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2011/04/20/008-enquete-fourriere-animaux.shtml

Manifestation contre le Berger Blanc Organisé par SPA Canada Samedi 23 avril 2011 - 13h00 - Montréal Hôtel de ville de Montréal 275 rue Notre-Dame Est Métro Champ-de-Mars La SPA Canada vous invite à venir manifester et demander au maire de Montréal de briser tout contrat avec le Berger Blanc et de ne plus faire affaire avec des compagnies à but lucratif pour prendre soins des animaux. À voir aussi le reportage sur le Berger Blanc : Enquête à Radio-Canada, le 21 avril 2011 à 20h Pétition : http://www.petitions24.net/petition_berger_blanc Pour plus d'infos: info@spacanada.org Date - calendrier: 23 Avril, 2011 - 13:00 - 15:00 .

Yvanne est une petite femelle Chihuahua croisé. 4 ans et déjà eu 5 portées. Elle servait à la reproduction. Le début de sa petite vie n'est pas beau, je voudrais que la fin de sa vie le soit. Pas de problème avec les autres chiens, les chats et les enfants. Elle adore se faire prendre, elle est très colleuse. Vous comprenez que jamais personne ne lui a appris à faire ses besoins dehors alors il vous faudra la mettre propre comme vous devriez le faire avec un chiot. La personne qui l'a en ce moment la surveille et lorsqu'elle se met à tourner en rond, elle la prend et la sort. La nuit dernière elle aurait dormi dans le lit et aurait attendu de sortir ce matin pour faire ses besoins. Elle comprend et semble vouloir apprendre assez vite. Dehors il faudra qu'elle soit attachée les premier temps. Les gens l'ont sortis dans la cour une chance clôturée, et a 2 ils ont eu de la difficulté à l'attraper. Elle courre la queue entre les jambes. Le temps qu'elle s'habitue à vous et au lieu, il faudra la garder attaché pour ne pas la perdre. Si vous la perdiez, vous auriez de la difficulté à l'attraper ensuite. Pour le moment c'est ainsi mais donnons lui une chance, elle est sortie de son enfer il y a 2 jours seulement. Centre d'intervention Animal paiera sa vaccination et, nous désirons parler avec la personne qui la prendrait, concernant sa stérilisation. Pour plus d'informations sur la petite contactez Kat au 418-268-4779 et son courriel kmeunier6@globetrotter.net =========================================================== Yvanne, female Chihuahua mix.4 years old and already had 5 litters of puppies. She was used as a breeder. The beginning of her little life was ugly, I’d like the remainder to be beautiful. She’s fine with dogs, cats and kids. She loves to be cradled, she is a snug bug. Nobody ever taught her how to be house trained, so you’ll have to teach her as you would a young puppy. Her foster keeps an eye on her and when she starts circling around, she picks her up and takes her outside. Last night she slept in the bed and waited for morning to go potty. She is a quick learner and loves to learn. She needs to be leashed when outside for the time being. Her fosters have a fenced-in yard and even then, they had the hardest time to catch her. She runs with her tail between her legs. She needs time to adjust to new people and new surroundings. Kept on a leash is safer for her because if you lose her, you’ll have problems getting her back. This precaution is temporary, she needs a chance to adjust, she’s only been out of her previous hellhole two days ago. Animal Intervention Centre will have her shots UTD and we would like to talk with potential adopters concerning neutering procedures. For information about Yvanne contact Kat at 418-268-4779 E-Mail: kmeunier6@globetrotter.net ============================================================= Micheline Présidente, Fondatrice Centre d'intervention Animal

20 avril 2011 à 17H56 Montréal: des animaux mal traités dans une fourrière Le Berger Blanc, une fourrière privée, mandataire de plusieurs arrondissements de Montréal, ferait preuve de cruauté envers les animaux. Selon ce que rapporte Radio-Canada, la fourrière ne respecterait pas toutes les pratiques et normes vétérinaires d'Amérique du Nord. Un journaliste de l'émission Enquête aurait infiltré l'établissement. Ainsi, par exemple, plutôt que ce soit un vétérinaire qui fasse les euthanasies, le journaliste aurait découvert que ce serait plutôt l'apanage de simples employés. «Je ne sais pas quoi vous dire, ce sont des images-chocs effectivement. C'est de l'incompétence », aurait indiqué Pierre Couture, le président de la fourrière. Les avocats de la Ville de Montréal auraient été saisis du dossier. Une pétition de près de 3000 signatures circulerait sur le web pour dénoncer certaines pratiques de la fourrière. COMMENTAIRES: http://www.branchez-vous.com/info/actualite/2011/04/montreal_des_animaux_mal_trait.html#publier_commentaires par Stéphane Waffo

2011-04-19 Kesha et Iggy Pop à l'affiche de la nouvelle campagne PETA Kesha et Iggy Pop sont à l'affiche de la nouvelle campagne publicitaire de la PETA qui vise à sensibiliser le grand public au massacre des bébés phoques au Canada. La campagne de sensibilisation débute quelques jours avant le début de la chasse annuelle aux phoques au Canada et la PETA veut sensibiliser l'opinion publique canadienne quant à la consommation de produits dérivés des phoques. Sur les affiches on peut lire "Le massacre des bébés phoques c'est nul!". Les bébés phoques sont chassés en particulier pour leur fourrure. La chanteuse Kesha qualifie ces pratiques "barbares", quant à Iggy Pop, il affirme que "cette chasse est malsaine et abîme la réputation du Canada à l'international" ... http://www.lachaineducoeur.fr/index.php?page=detail-news-du-coeur&nid=1695

Chasse au phoque : Maigre récolte aux Îles 20 Avril 2011 Selon les premières données, les Madelinots ont abattu seulement 3000 phoques. Pour une seconde année consécutive, l'absence de glaces a nui au déroulement de la chasse. En fait, les chasseurs sont revenus presque bredouilles puisqu'ils rapportent à peine 12 % du quota autorisé, soit 25 000 bêtes. ... http://www.ilesdelamadeleine.com/fr/newsContent.php?n=3121