-
Compteur de contenus
14 605 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Animal
-
Avant de déplacer des ours, je me demande s'ils prennent la peine de s'assurer que ces ours n'ont pas de petits... J'en doute fort ! Et comment se fait-il que des citoyens ont le droit d'abattre eux-mêmes des ours ? Il n'y a pas de chasse à l'ours pendant l'été il me semble ! Ces citoyens sont-ils titulaires d'un permis d'armes à feu, ou est-ce que n'importe qui au Québec a le droit d'avoir une arme à la maison et de tuer des animaux quand bon lui semble ?
-
-
23 septembre 2007-Alors que s'ouvre mardi un sommet sur les cyanobactéries, ou algues bleues, à Sainte-Adèle, des voix s'élèvent pour dénoncer une pratique courante en agriculture. Bien que la loi oblige les agriculteurs à respecter une barrière naturelle de 3 mètres au bord des rivières pour retenir le fumier et les pesticides, qui participent à la prolifération des cyanobactéries, nombreux sont ceux qui ignorent cette consigne. C'est que la surface cultivée rapporte de l'argent aux agriculteurs. En effet, la Financière agricole, une société d'État, subventionne tout l'espace exploité, même celui qui empiète sur la bande riveraine. Ainsi, un agriculteur qui renonce à cultiver sur une bande riveraine renonce du même coup à la subvention sur cette portion de terrain, explique Maxime Laplante, président de l'Union paysanne. Cette subvention est de 400 $ l'hectare. ... http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2007/09/23/004-algues-bleues-cote-nord.asp
-
-
24 septembre 2007-Le Fonds mondial pour la nature exhorte l'Organisation des pêches de l'Atlantique nord-ouest (OPANO) d'adopter des mesures draconiennes pour assurer le rétablissement des stocks de morue au large de Terre-Neuve. Malgré un moratoire décrété il y a 15 ans, l'état des stocks de morue au large de Terre-Neuve continue de se détériorer à un rythme alarmant. Selon le Fonds mondial pour la nature, les prises accessoires de morues en 2003 ont atteint plus de 5000 tonnes dans le sud du grand banc, soit 90 % de la population estimée cette année-là. Ces prises accessoires surviennent lorsque les pêcheurs s'adonnent à d'autres types de pêche et capturent accidentellement de la morue. ... http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2007/09/24/002-ATL-morue.shtml
-
Le lundi 24 septembre 2007 La Russie et les États-Unis protégeront ensemble les ours polaires Agence France-Presse Moscou La Russie et les États-Unis vont protéger ensemble les ours blancs de Tchoukotka (extrême Nord-Est russe) et d'Alaska aux termes d'un accord entre les deux pays signé en 2000 et entré en vigueur dimanche, a indiqué lundi le ministère russe des Affaires étrangères. Cet accord «définit les conditions de la coopération entre la Russie et les États-Unis pour sauvegarder la population d'ours blancs de Tchoukotka et d'Alaska» et en «réglementer» la chasse de façon à «garantir les besoins vitaux des peuples autochtones», selon un communiqué. Les ours polaires sont l'une des espèces mises en péril par le réchauffement climatique, selon un rapport du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (Giec) publié en avril. Le Fonds mondial pour la nature (WWF) travaille depuis 2003 sur un projet de protection des ours blancs en Russie. L'organisation finance notamment la réserve naturelle de l'île de Wrangel, au nord de Tchoukotka, ainsi que la création de territoires protégés le long du littoral. http://www.cyberpresse.ca/article/20070924/CPENVIRONNEMENT/70924109/6108/CPENVIRONNEMENT
-
-
-
-
-
-
-
Mesures à l'encontre des chiens 'dangereux' (France)
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
-
WOWWW ! Comme tu es belle ! Ta robe est magnifique ! Merci Linda de nous présenter toute ta famille, ton mari (il a l'air fin) et tes ami(e)s et de nous faire partager de si beaux moments ! Tes photos sont superbes ! p.s.: est-ce que par la suite, les colombes sont récupérées par la compagnie qui vous les louent pour l'occasion (?)
-
18-09-2007 Saint-Hyacinthe- Un bâtiment d'une ferme laitière du Chemin Grand Rang a été complètement rasé par les flammes. La centaine de vaches présentes dans l'étable ont été sorties par de bons samaritains ainsi que des pompiers. Le feu a été maitrisé avec l'aide de plusieurs citernes des municipalités de Saint-Pie, St-Damase, St-Dominique, St-Simon, Ste-Madeleine, St-Liboire, Saint-Barnabé sud et St-Jude. La cause du sinistres demeure inconnue. 911
-
LE MONDE DATE 23-24 SEPTEMBRE 2007 - PAGE 16 (désolée je n'ai pas le lien de cet article. Il a peut-être été recopié... Trouvé dans la liste ethiquanimal) Le vrai-faux déclin de la viande Enquête. N'en déplaise à ses détracteurs, la production animale devrait doubler dans le monde d'ici à 2050. Cela impose la mise en oeuvre de pratiques d'élevage moins nocives pour l'environnement Une bonne grosse côte de boeuf, régulièrement ? Ce plaisir sera peut-être interdit aux générations futures, tant la production et la consommation de viande font l'unanimité contre elles. Au point qu'un nombre croissant de personnes, dans les pays occidentaux, ont déjà décidé d'y renoncer. La liste des méfaits de la viande est longue. Risques pour la santé, une surconsommation favorisant les maladies cardio-vasculaires, l'obésité ou le diabète. Mais surtout, au niveau mondial, risque de développement des épizooties et danger pour la sauvegarde de la planète. Les productions d'origine animale - viande, oeufs, produits laitiers - sont en effet extrêmement polluantes. Les milliards de tonnes de déjections qui en sont issus engendrent des rejets azotés dans les sols et les rivières. Et l'élevage, à lui seul, représente 18 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Soit une contribution au réchauffement climatique plus élevée que celle des transports. Autre point noir de cette production : sa propre consommation. Les pâturages occupent 30 % des surfaces émergées, et plus de 40 % des céréales récoltées servent à nourrir non pas directement les hommes, mais le bétail. Les zones disponibles étant insuffisantes pour répondre à la demande, l'élevage peut provoquer le défrichage de forêts. Il est gourmand en matière première et en eau... En bref, la production animale pose question. D'autant plus que la Terre, d'ici à 2050, aura 9 milliards de bouches à nourrir. Dans ce contexte, doit-on prévoir la fin de la viande pour ce siècle, ou du moins son déclin ? On serait tenté de le croire. Pourtant, cette vision est contredite par tous les prévisionnistes. Au contraire, c'est à une augmentation de la consommation mondiale qu'il faut s'attendre. De tout temps, et dans tous les pays, en effet, l'augmentation du revenu est allée de pair avec la progression de la consommation de viande. Il n'y a aucune raison qu'il en soit autrement dans les pays émergents, d'où viendra l'accroissement de la population. Entre 2007 et 2016, selon les perspectives communes FAO-OCDE, la production mondiale de viande devrait ainsi augmenter de 9,7 % pour le boeuf, de 18,5 % pour le porc et de 15,3 % pour le poulet. Principalement en Inde, en Chine et au Brésil. D'ici à 2050, la production de viande pourrait même doubler, passant de 229 millions de tonnes au début des années 2000 à 465 millions. Il en va de même pour celle de lait. Du fait de la démographie, bien sûr, mais aussi de l'augmentation des besoins en fonction de l'évolution de la population (plus jeune, plus urbaine, plus grande) et de la modification du régime alimentaire. *" Dans les pays du Sud, la difficulté est de permettre aux gens de manger. Ces trente dernières années, la consommation de viande y a diminué drastiquement, surtout en Afrique, et ce manque de protéines animales fait que les gens sont en état de malnutrition ",* rappelle Renaud Lancelot, chargé de mission santé animale au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad). Bruno Parmentier, directeur d'une école d'ingénieurs en agriculture, estime quant à lui que l'évolution de la consommation de produits d'origine animale dépend de trois grandes questions, qui montrent le lien étroit entre consommation de viande et pratiques culturelles. La religion hindoue, comme la religion catholique, va-t-elle décliner, et, dans ce cas, l'Inde va-t-elle consommer beaucoup de viande ? Les Chinois vont-ils se mettre à boire du lait si on leur propose un produit qu'ils parviennent à digérer ? Les Occidentaux vont-ils continuer à manger du porc, si ce dernier devient un réservoir pour les transplantations d'organes ? Quoi qu'il en soit, une nouvelle répartition géographique de la consommation devrait se mettre en place, qui consistera en un double mouvement de balancier : diminution de la ration carnée dans les pays riches, où il y a excès, et augmentation dans les pays pauvres, où il y a carence. De quoi combler un peu la disparité actuelle : si l'on consomme dans le monde, selon une étude publiée par la revue médicale britannique *The Lancet* (datée du 13 septembre), 100 grammes de viande par jour et par personne, ce taux moyen atteint 200 à 250 grammes dans les pays développés, et plafonne entre 20 et 25 grammes dans les pays pauvres. *" Si l'on considère que la population globale va augmenter de 40 % d'ici à 2050 et si aucune réduction des émissions de gaz à effet de serre liées au bétail n'intervient, la consommation de viande devra baisser à 90 grammes par jour et par personne pour stabiliser les émissions de ce secteur ",*affirment dans *The Lancet* les auteurs de l'étude. Il faudrait donc, d'ores et déjà, inciter les consommateurs des pays riches à prendre conscience des dégâts provoqués par leur consommation abusive. Et envisager au niveau mondial, non pas de produire moins, mais de produire autrement, afin de réduire les effets négatifs de l'élevage sur l'environnement. Comment suivre les préceptes de la FAO, selon laquelle les coûts environnementaux par unité de production animale devraient *" être réduits de moitié, ne serait-ce que pour éviter d'aggraver le niveau des dégâts " ? *En incluant, comme le suggère son chargé des questions animales Grégoire Tallard, *" le coût environnemental dans le prix des viandes ",* selon le principe du pollueur payeur ? En privilégiant la consommation de volailles, écologiquement moins agressive que d'autres productions ? La FAO préconise également l'amélioration des pratiques d'élevage. Une des pistes fort attendues concerne le séquençage des génomes complets des principales espèces (en cours pour la plupart), qui devrait permettre d'accélérer les sélections et de faire coïncider, par exemple, rusticité (donc résistance aux maladies) et productivité. Les recherches se concentrent par ailleurs sur des rations alimentaires du bétail plus économes, ou encore sur le système digestif des ruminants. La fermentation entérique des bovins (productrice de méthane, lequel agit vingt-trois fois plus que le CO2 sur le réchauffement climatique) pourrait ainsi être mieux maîtrisée. Par exemple par l'utilisation d'additifs alimentaires à base d'huile végétale. Ou encore grâce à une ration plus concentrée en céréales. *" Nous avons mené une expérimentation sur de jeunes taurillons et avons ainsi réussi à les faire grandir plus vite, ce qui permettait de réduire les émissions de méthane ",* explique Jacques Agabriel, zootechnicien à l'INRA de Clermont-Ferrand.* *Mais la production animale étant un système complexe, ce qui confère ici un avantage écologique entraîne là un inconvénient économique (une plus grande consommation de céréales). D'où la nécessité, pour faire émerger un système d'élevage durable, de s'orienter vers une approche globale. A l'Institut national de la recherche agronomique (INRA), un groupe de réflexion sur la place des produits animaux dans l'alimentation, qui réunit sociologues, zootechniciens, économistes, nutritionnistes et agronomes, s'est déjà attelé à la tâche. Alors qu'on parlait il y a dix ans de désintensification des systèmes de production, ce concept a été remplacé par un autre : celui d'agriculture écologiquement intensive. La question de la viande est un excellent exemple de cette quête. *Laetitia Clavreul* *Encadré : * *POLLUTION :* à l'échelle mondiale, l'élevage est responsable de 65 % des émissions d'hémioxyde d'azote (essentiellement imputables au fumier), tandis que le bétail engendre 37 % des émissions de méthane. *CONSOMMATION :* il faut 4 kg de céréales pour produire 1 kg de poulet et 6 kg de grains pour 1 kg de porc. Ce dernier nécessite par ailleurs 4 600 l d'eau. Une quantité qui grimpe à 13 500 l pour 1 kg de boeuf, quand seulement 1 000 l d'eau sont nécessaires pour produire 1 kg de blé. *À LIRE * Nourrir l'humanité - Les grands problèmes de l'agriculture mondiale au XXIe siècle, Bruno Parmentier, La Découverte, 274 p., 22 euros.
-
22-23 SEPT. 2007- Trenton, New Jersey -- Un vaccin expérimental prometteur contre le virus du sida s'est soldé par un échec lors d'une phase d'essais menés par Merck: des volontaires ont été infectés par le VIH, conduisant le groupe américain à mettre fin à l'étude. Merck & Co. a annoncé hier que le laboratoire arrêtait l'inscription et la vaccination de volontaires dans le cadre de cette étude internationale, en partie financée par les National Institutes of Health (NIH). Il s'agit d'un revers important dans la recherche visant à développer un vaccin contre le sida. Les essais de Merck pour la mise au point du vaccin étaient suivis avec attention par les spécialistes sur le terrain. Des responsables du groupe dont le siège se trouve dans le New Jersey ont expliqué à l'Associated Press que 24 des 741 volontaires qui s'étaient vu administrer le vaccin lors d'une phase de l'expérience ont été un peu plus tard infectés par le VIH. Et dans un groupe de volontaires qui avaient reçu des vaccins placebos, 21 des 762 participants ont également été infectés. «C'est une nouvelle très décevante», a déclaré Keith Gottesdiener, chef du groupe de recherche de Merck sur les vaccins et les maladies infectieuses. «Un important effort pour développer un vaccin pour le VIH n'a pas vraiment tenu sa promesse.» Michael Zwick, chercheur sur le VIH au Scripps Research Institute, a jugé cet échec malheureux, tout en estimant qu'il était trop tôt pour savoir si d'autres vaccins basés sur la même stratégie connaîtraient une issue semblable. Aucune des personnes participant aux essais n'était porteuse du VIH au début des tests. Mais les risques étaient élevés qu'elles soient contaminées: la plupart étaient des homosexuels ou des prostituées. Toutes avaient reçu des conseils en matière de prévention, comme le port de préservatifs, selon Merck. http://www.ledevoir.com/2007/09/22/157910.html
-
19 septembre 2007- Des scientifiques s'unissent pour sauver le saumon sauvage de la côte Ouest Presse canadienne Vancouver Des scientifiques et des chercheurs ont uni leur voix, mardi, et signé une lettre ouverte destinée aux premiers ministres Stephen Harper et Gordon Campbell, les enjoignant de prendre des mesures pour que les saumons d'élevages parasités par le pou du poisson ne puissent plus côtoyer le saumon sauvage. ... Les saumons d'élevage ne se déplacent pas autant que les saumons sauvages, ce qui fait que les maladies et les infestations comme le pou du poisson se développent plus rapidement. Les saumons sauvages qui s'approchent de sites d'élevage sont donc plus susceptibles de contracter des infections mortelles. Les saumons d'élevage ne sont pas élevés en captivité, mais en bassins ouverts, ce qui fait en sorte qu'ils côtoient des saumons sauvages, notamment dans l'archipel de Broughton, un passage étroit emprunté par les deux types de saumons. http://www.cyberpresse.ca/article/20070919/CPSOLEIL/70919080/6907/CPSOLEIL
-
-
http://www.icslearn.ca/animal/index.html Pour travailler dans le domaine de la science animale: In as little as six months from enrollment – you can begin a career in Animal Sciences Work with the animals you care about, and increase your earning power and job security in a field with significantly above average growth.* Be an important part of a professional veterinary staff. Work at a veterinary hospital, animal shelter, kennel, or laboratory. http://www.icslearn.ca/animal/index.html
-
1,000 freed minks still on run CanWest News Service Tuesday, September 18, 2007 About 1,000 minks are still on the lam after 5,000 to 6,000 of the carnivorous mammals were freed from their cages on a mink farm in eastern Newfoundland over the weekend. "They're a nuisance in the community (Harcourt, N.L.), hanging around people's houses looking for food,'' said Hugh Whitney, the provincial veterinarian. "They don't have any street sense. They can get hit by cars." Some of the minks got into fights with cats, and several attacked some ducks in a shed. To control the mink mayhem, the province has posted a $50 bounty for every mink trapped. The majority of the animals stayed close to the farm simply because they were never wild in the first place. "These animals are raised in captivity and not equipped to survive in the wild," said Sgt. Rick Robinson, spokesman with the RCMP Clarenville detachment. Police said the incident is still under investigation. Robinson said nothing indicated an animal-rights group let the minks out but said they are considering the possibility it was a disgruntled employee. Robinson said for someone not accustomed to the animals, it could be frightening to release thousands at once and having them run around your feet. "In that regard, it would seem to have to be somebody who's comfortable around those animals." Some of the minks tested positive for Aleutian disease. The disease doesn't harm humans but can kill other minks and affect pelt quality and reproduction. Newfoundland's mink industry employs more than 320 people and is worth about $70 million annually. The industry has about 60,000 female breeders on 24 ranches in the province. © Times Colonist (Victoria) 2007 [size=12]http://www.canada.com/victoriatimescolonist/news/story.html?id=6bf579db-e6a2-460f-aec1-6ea19c336322 [/size]
-
Manif contre le massacre des poulets à Jerusalem
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
-
http://www.lefigaro.fr/france/20070922.FIG000000947_les_militants_antivivisectio\ n_sement_la_peur.html Les militants antivivisection sèment la peur *Menaces, harcèlement et vandalisme font désormais partie de la panoplie des activistes français.* IL A SUFFI de quelques lignes postées sur un site Internet, fin août, pour assurer leur notoriété. En déclarant, sans en fournir la preuve, avoir empoisonné 85 flacons de produit pour lentilles de contact sur le sol français, des militants antivivisection d'un genre nouveau ont fait une irruption spectaculaire sur la scène française. Baptisé « Animal Rights Militia », le groupe a en effet contraint Novartis à retirer plus de 10 000 bouteilles du marché. Signe, selon les services de renseignement, que * « le temps est désormais venu de surveiller cette mouvance militante en voie de structuration **»*. Selon la police, la première alerte remonterait à près d'un an. Fin octobre 2006, une quinzaine de militants venus de Grande-Bretagne manifestent devant les locaux parisiens de plusieurs groupes pharmaceutiques. Particulièrement virulents, ils menacent de représailles les employés de ces laboratoires qu'ils accusent de *« collaborer »* avec leur bête noire : le centre britannique d'expérimentation animale Huntingdon Life Sciences (HLS). Dans les semaines suivantes, les actes de vandalisme se multiplient contre les marchands de fourrure, bouchers et autre éleveurs de chiens. Longtemps épargnée, la France découvre, avec un temps de retard sur ses voisins, les nouvelles méthodes des militants de la cause animale. *Actes d'intimidation* À Paris, Lyon et Bordeaux, tandis que des collectifs antispécistes (1) regroupant quelques dizaines de sympathisants protestent en toute légalité contre la vivisection, la chasse ou la corrida, on assiste alors à une recrudescence d'actes d'intimidation. Certains cadres d'Air France, parce que leur compagnie est accusée de transporter des animaux de laboratoire, retrouvent ainsi des inscriptions menaçantes près de leur domicile. Selon le site Internet de l'organisation clandestine Animal Liberation Front (ALF), des dizaines d'*« assassins »* d'animaux voient aussi leurs vitrines brisées ou leurs pneus crevés. D'abord sceptiques, les policiers ont commencé à s'inquiéter lorsque, le 28 avril dernier, un incendie criminel a dévasté les locaux de la société Techniplast, près de Lyon. *« Le feu, qui a été allumé en pleine nuit, aurait probablement fait des victimes s'il y avait eu quelqu'un à l'intérieur »*, assure Philippe Prévost, directeur de cette entreprise spécialisée dans la fabrication de cages pour animaux. Sur le parking, le méfait a été signé à la peinture blanche : *« ALF »*. Exaspéré, Philippe Prévost estime avoir été visé parce qu'il fournit le laboratoire HLS, cible de l'organisation britannique Stop Huntingdon Animal Cruelty (Shac). Fin juillet, pour la première fois, une dizaine d'activistes français manifestent devant les locaux de Sanofi sous la bannière de Shac. Un mois plus tard, c'est également au nom de la lutte contre Huntingdon Life Sciences qu'Animal Rights Militia s'attaque au laboratoire Novartis, accusé pour l'occasion d'être l'un des principaux clients du centre d'expérimentation animale. (1) Les antispécistes affirment que les animaux doivent être traités à l'égal de l'homme. http://forums.lefigaro.fr/user/non-frames/default.asp? Réagir dans le forum http://forums.lefigaro.fr/user/non-frames/default.asp?
-
http://www.lefigaro.fr/france/20070922.FIG000000949__londres_la_guerre_sans_merc\ i_livree_aux_tortureurs_d_animaux.html À Londres, la guerre sans merci livrée aux « tortureurs d'animaux » De notre envoyé spécial à Londres CYRILLE LOUIS. Publié le 22 septembre 2007 *Voitures incendiées, familles menacées : les employés de laboratoires sont régulièrement pris pour cible.* ALIGNÉS sur un morceau de trottoir en plein coeur de la City, ils sont une douzaine à braver les premières fraîcheurs de septembre devant le siège britannique d'Axa. Une pancarte représentant un chiot sanguinolent en main, il y a là Miranda, cheveux violets et piercings aux lèvres, Simon et son accent cockney, mais aussi, un peu plus loin, deux retraitées à la mise soignée. Au milieu de la petite troupe, Alan a saisi le mégaphone pour scander *« Shame on you » *(« Honte sur vous ») ou *« Blood on your hands »*(« Du sang sur vos mains ») sous l'oeil attentif de trois policiers. De temps à autre, un passant curieux marque le pas pour lire les slogans, tandis que les employés de l'assureur se faufilent en vitesse, l'air gêné. Comme chaque semaine, les activistes de l'organisation britannique Stop Huntingdon Animal Cruelty (Shac) se sont fixé rendez-vous pour donner de la voix contre Axa, qu'ils accusent d'être *« l'un des actionnaires »* du plus gros centre d'expérimentation animale au monde : Huntingdon Life Sciences (HLS). Depuis 1999, ces militants antivivisection pratiquent une véritable guérilla contre HLS en harcelant ses employés, ses clients, ses fournisseurs et en exerçant une pression maximale sur ses actionnaires. *« De cette façon, on a réussi à convaincre de nombreuses firmes de couper tout lien avec HLS, mais notre combat ne prendra fin que lorsqu'ils mettront définitivement la clé sous la porte »*, prétend Alan. *Jusqu'à la profanation* Âgé de 23 ans, ce garçon natif du Kent, bouille sympathique et mince collier de barbe, se présente comme *« un militant pour les droits des animaux à temps plein »*. Après quelques mois passés à travailler pour une compagnie d'assurance, il a décidé de tout plaquer pour la « cause », il y a moins d'un an. Devenu « vegan » - ce qui signifie qu'il ne mange aucun produit issu de l'animal -, Alan vit chez son père mais voyage dans toute l'Angleterre et au-delà pour participer aux manifestations de Shac, qui lui rembourse une partie de ses frais de déplacement. *« De toute façon, je n'ai pas besoin de grand-chose, *lâche-t-il* *placidement.* Je rejette la société de consommation, qui refuse de se pencher sur le sort réservé aux animaux. » * Jugeant *« barbares *» les *« tortures »* infligées aux quelque 70 000 bêtes utilisées chaque année par le laboratoire HLS, les militants de Shac n'ont cessé de radicaliser leur action au point de verser parfois dans l'illégalité - quoiqu'ils rejettent officiellement la violence. Au fil du temps, de nombreux employés du centre ont ainsi été harcelés voire agressés jusqu'à leur domicile ou devant l'école de leurs enfants. Certains ont vu leur voiture partir en fumée et d'autres ont été accusés de pédophilie dans leur voisinage. Les actions les plus violentes ont été revendiquées par l'Animal Liberation Front, que de nombreux détracteurs soupçonnent d'être directement lié à Shac. Parfois, des extrémistes ont même versé dans la folie pure, allant jusqu'à profaner, en octobre 2004, la tombe de la belle-mère d'un éleveur de cochons d'Inde qui fournissait HLS. Inquiet de cette dérive croissante, le gouvernement britannique a depuis renforcé la législation. *« Depuis, nous n'avons par exemple le droit de manifester devant les locaux de HLS qu'une fois par semaine »*, déplore Miranda, autre *« activiste à plein-temps »*. L'an dernier, des militants de Shac ont aussi été poursuivis pour « collecte illégale de fonds » sur la voie publique. En mai, enfin, une vaste opération de police menée en Grande-Bretagne, mais aussi en Belgique et aux Pays-Bas, a débouché sur l'interpellation d'une trentaine de militants dont Greg Avery, figure historique de Shac qui dort désormais en prison en attendant d'être jugé pour « conspiration et chantage ». Calfeutré derrière les solides barricades qui abritent ses bureaux, le porte-parole du laboratoire HLS assure que les animaux sont ici *« traités dignement *». Bravache, il affirme que son entreprise n'a guère pâti de la campagne dont elle est la cible. Et constate *: *« N*otre chiffre d'affaires a doublé depuis le début de nos ennuis. »*
-
22 Septembre 2007- Une vidéo tournée par 2 canadiennes de la Nouvelle-Écosse qui dénoncent la cruauté faite aux animaux et des lois pratiquement inexistentes pour les protéger... Barely recognizable as a cat, Big Girl was so malnourished the collar and chain around her neck weighed more than she did. And she was gasping for air. This image sends Linda Hardy from the room of her Chester Basin home in tears, though it’s an image she’s seen many times before — and the reason she returns to the screen each time. Mrs. Hardy is half of HardHat Productions. She and friend Jen Hatcher have made a video slide show of more than 40 animal abuse cases. They want the Criminal Code strengthened to deal more harshly with cases of animal cruelty, And they hope people will get so incensed by what they see on this DVD that they’ll lobby their MP for change. The video is called Keep Me Safe, and there is a link to it on the website of Ajax-Pickering MP Mark Holland. He introduced Bill C-373 in the House of Commons last October, calling for stiffer penalties for those who abuse or neglect animals. ... http://thechronicleherald.ca/NovaScotia/897561.html