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Le jeudi 27 juillet 2006 Des pêcheuses au saumon sur la rivière Matane. Photo fournie par la FQSA La pêche au saumon au féminin Marie-Claude Lortie La Presse Saint-René-de-Matane Lorsqu'on imagine un pêcheur au saumon, on pense rarement à une fille blonde et toute délicate. Pourtant, la comédienne Isabel Richer est une mordue de ce sport de plein air. Tout comme l'actrice Louise Laparée, la photographe et pilote d'avion Nathalie Mongeau, l'avocate Sandra Gill, et Hazel Maltais, une dame mesurant à peine 1,55m qui n'hésite pas à prendre l'autocar pour la Gaspésie ou le Bas-Saint-Laurent, à la recherche de ses poissons préférés. Autrefois réservée à un nombre restreint de gars biens nantis qui se partageaient l'accès aux meilleures rivières du Québec, la pêche au saumon s'est aujourd'hui démocratisée. Et ce sport légendaire, qui se pratique uniquement à la mouche, est en train de faire de plus en plus d'adeptes chez les femmes. Celles-ci apprécient cette façon de découvrir la nature sauvage du Québec, tout en s'adonnant à un jeu d'adresse. Et tant mieux si elles peuvent en plus rapporter... un excellent repas! «Quand j'ai commencé, il y a bien des années, les gars me regardaient comme s'ils se demandaient ce que je faisais là, raconte Mme Maltais, qui ne compte plus les saumons qu'elle a pêchés dans sa vie. Pourtant, on n'a pas besoin de force! Maintenant, ils ne disent plus rien.» «C'est sûr que c'est un monde de gars qui se disent: «Regarde donc la p'tite madame, c'est-tu cute, elle pêche»«, ajoute Sandra Gill, qui a mis les deux pieds dans une rivière le jour où elle a commencé à sortir avec un passionné de pêche au saumon. «Mais faut pas s'arrêter à ça. C'est tellement trippant!» Ce sport, qui est une vraie drogue, tient autant du golf (à cause du grand air, de la lenteur du processus, du jeu d'adresse), que des jeux vidéo, surtout à cause du thrill lorsqu'on atteint son objectif. «Quand ça mord, c'est la montée d'adrénaline», raconte Jacqueline Lecompte, qui, comme la plupart des autres femmes interviewées, raconte ses prises avec l'enthousiasme ponctué de détails habituellement réservé aux récits d'accouchement. «Mon premier saumon, je vais m'en rappeler toute ma vie», ajoute Sandra, qui se souvient de la mouche choisie et de chacun de ses mouvements durant la lutte avec le poisson. «Et c'est une nouvelle aventure à chaque fois.» Les femmes apprécient l'expérience même quand le poisson ne mord pas, ce qui arrive assez souvent. «Je ne suis pas déçue quand je ne prends pas de poisson», confie Hélène Frigon, qui pêche depuis 12 ans. Elle amène son fils sur le bord de la rivière, où il joue pendant que sa maman a les deux pieds dans l'eau. «J'aime l'odeur, la couleur de l'eau. C'est mon temps à moi. C'est un cadeau d'être là.» Pêche à part La comédienne Isabel Richer est une mordue de la pêche au saumon. Photo fournie par Isabel Richer La pêche au saumon n'est pas une pêche comme les autres. C'est une activité dynamique, remplie de rituels et de règles, qui penchent pas mal en faveur des poissons, en commençant par le fait qu'il est obligatoire de pêcher à la mouche, une technique plus difficile que le lancer léger avec appâts. Toutes les femmes qui commencent devront donc embaucher un guide, qui saura les aider à apprivoiser les techniques et à lire la rivière. En outre, comme les accès aux rivières sont très réglementés, la pêche au saumon est une activité qui nécessite de l'organisation et un peu de planification. Quoi qu'il en soit, c'est une façon agréable de se dépayser le temps d'un long week-end ou pendant quelques jours de vacances. Les rivières les plus riches en saumon sont pour la plupart éloignées de Montréal, en Gaspésie notamment et sur la Côte-Nord. C'est là qu'on retrouve les clubs sélects et autres fosses fréquentées par les réseaux d'hommes influents et des mordus, venus parfois des États-Unis et d'ailleurs. Ceux-ci passent par-dessus Montréal et Québec, pour aller directement explorer ces richesses québécoises de renommée mondiale. Mais la pêche au saumon n'est plus réservée uniquement aux élites qui se déplacent en avion privé. On peut, par exemple, partir en voiture vers la rivière Matane, un cours d'eau d'accès facile qu'on surnomme «rivière école», qui est à un peu plus de six heures de route de Montréal. La rivière Ouelle, dans le Bas-Saint-Laurent, est encore plus proche, tout comme la rivière du Gouffre, derrière Baie-Saint-Paul, et même la Jacques-Cartier, près de Québec. Mais toutes les rivières ne renferment pas autant de poissons. Et sur celles où la ressource est fragile, il faut remettre les poissons à l'eau. Pour apprendre à pêcher à la mouche, ou «moucher», comme disent les vétérans, il faut de l'adresse et de la patience. «Et beaucoup de persévérance», précise Pierre Manseau, vice-président de la Fédération québécoise du saumon atlantique, qui a pris son premier saumon à l'âge de 13 ans. Il conseille d'ailleurs aux débutantes de prendre un cours pour connaître les rudiments de la technique et de ne pas avoir peur de pratiquer dans le gazon. «Mais avec de la patience et de la pratique, il n'y a aucune raison qu'une femme réussisse moins bien qu'un homme.» ________________________________________________ PERMIS ET DROITS D'ACCÈS Pour pêcher le saumon au Québec, il faut un permis spécial, qu'on peut acheter notamment chez Le Baron (boulevard Saint-Laurent) ou à la boutique Salmo Nature, à Montréal. Une fois rendu à la rivière, il faut se procurer, en plus, un droit d'accès. Pour savoir où acheter ce droit, il faut contacter l'organisme qui a été mandaté pour gérer la rivière. On trouve ces informations sur Internet. Les prix de ces droits d'accès varient. Et certains accès aux rivières et aux «fosses» (des sous-divisions de la rivière) sont «contingentés». Ceci signifie qu'il faut participer à un tirage organisé par les sociétés de gestion, soit à l'automne (avant le 1er novembre pour l'été suivant), soit 48 heures à l'avance, pour avoir la possibilité d'acheter ces droits spécifiques. Les fosses ne sont pas toutes égales et tous les moments de l'été ne sont pas aussi propices pour la pêche; cela varie d'une rivière à une autre. UN PEU DE SHOPPING On trouve de l'équipement pour la pêche chez Canadian Tire, Sail et Baron Sport notamment. Mais la boutique la plus spécialisée dans la pêche à la mouche, à Montréal, c'est Orvis-Salmo Nature (110, avenue McGill dans le Vieux-Montréal, (514) 871-8447). On y trouve de tout, des cannes aux mouches, en passant par les vestes et les lunettes polarisées qui aident à voir les poissons dans l'eau. Sans parler des sacs de pêche en toile et des bottes de pluie Chameau, qui plairont même à celles qui recherchent simplement le look «chasse et pêche» médiatisé par Madonna et la mannequin Stella Tennant. COURS DE PÊCHE À LÀ MOUCHE Jean-Pierre Martin: 514-605-8267 Paul Leblanc, Salmo Nature www.salmonature.com 514-871-8447 Les Moucheurs du Montréal Métropolitain (MMM) offrent des séances d'initiation. Il y en a une le 7 août. www.moucheurs-mtl-metro.org/web/modules/news/ DES RIVIÈRES D'ACCÈS FACILE La rivière Matane est surnommée la rivière école. On joint les gestionnaires de la rivière au (418) 562-7006 ou (418) 562-7560. On y offre notamment des journées organisées avec cours, guide et cie. > La rivière du Gouffre, près de Baie-Saint-Paul, est encore un secret bien gardé. Les droits d'accès sont de 35 et ce n'est pas contingenté. Mais il n'y a pas des tonnes de saumon et il faut rejeter à l'eau toutes les prises mesurant plus de 63 cm. _________________________________________________ www.saumonquebec.com www.saumon-fqsa.qc.ca www.quebecpeche.com www.moucheurs-mtl-metro.org http://www.cyberpresse.ca/article/20060727/CPVOYAGES/607220610/1016/CPVOYAGES
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BRISONS LA CHAÎNE ... DE LA CRUAUTÉ (version finale)
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BRISONS LA CHAÎNE ... DE LA CRUAUTÉ (version finale)
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BRISONS LA CHAÎNE … DE LA CRUAUTÉ Vous en avez peut-être croisé lors de vos déplacements en ville ou à la campagne… elles sont peut-être même vos voisines! Sales, affamées, assoiffées, reléguées au fin fond d’une cour, à l’arrière d’une maison, d’un garage, d’une grange, vous les entendez peut-être aboyer, hurler, pleurer ou gémir, à moins qu’elles ne soient silencieuses et résignées, ces « choses » oubliées et sans intérêt dans lesquelles battent des cœurs en détresse. Enchaînés à vie à un arbre, à un poteau, un pieu ou à une niche délabrée, des chiens de tous âges et de tous acabits, subissent jour après jour, année après année, l’indifférence ou le mépris, quand ils ne sont pas littéralement battus, martyrisés, lapidés et sous-alimentés ! Ils piétinent, pataugent ou tournent inlassablement en rond sur une toute petite parcelle de terre battue, boueuse ou glacée, recouverte de leur urine et de leurs excréments. Sous le soleil cuisant, la pluie, l’orage, le verglas, la neige ou le froid extrême, sans ombre ou sans abri, parfois leur chaîne s’emmêle ou s’incruste dans la glace, restreignant encore plus leurs mouvements. À force de tirer pour tenter de se libérer ou d’exécuter toujours les mêmes mouvements, il arrive même parfois que la chaîne s’enchâsse dans leur peau meurtrie qui devient l’hôte de mouches qui viennent y pondre leurs œufs. Le pelage terne et sec, envahis par les puces et autres insectes piqueurs, souffrant d’arthrose, d’otites, d’infections rénales, de maladies de peau, d’engelures, de coupures ou d’autres maux, ils n’ont jamais droit à des soins vétérinaires. Privés de tout contact, de toute affection ou d’attention, ces sous-espèces du loup n’ont jamais compris pourquoi on les avait ainsi punies et exclues de la « meute » ! Autrefois dociles, ces pauvres chiens développent à la longue, des attitudes agressives et il devient dangereux de les approcher. Certains propriétaires n’hésitent d’ailleurs pas à exécuter d’une balle dans la tête, la « chose » devenue monstre ! En Amérique du Nord, les morsures de chiens causant la mort de jeunes enfants ou nécessitant un traitement médical sont en constante augmentation. Pour tenter de palier à cette situation, on interdit la vente de certaines races de chiens, allant même parfois jusqu’à exiger l’euthanasie systématique de tout nouveau-né provenant de races de chiens considérées comme potentiellement dangereuses. Bien que les autorités canadiennes se déclarent choquées que leur pays soit accusé de brutalité envers les animaux sauvages (ie. les phoques), les maltraitances concernent malheureusement aussi les animaux domestiques. Contrairement à plusieurs états américains (68 aujourd’hui) et pays européens, tels l’Autriche, l’Allemagne, l’ Angleterre, et la France, qui, pour des raisons de sécurité publique et de cruauté animale ont catégoriquement interdit l’attache à la chaîne ou que d’autres ont limité la durée de l’attache à seulement 2 ou 3 heures par jour, au Québec, et ailleurs au Canada, aucune loi n’interdit que des chiens soient enchaînés à vie. Ce sont souvent des dénonciations qui font aboutir à des découvertes dramatiques : chiens pendus par leur chaîne, chiens morts de faim et ou de froid, quand ce ne sont pas des chiens attachés, moribonds, que des maîtres sans scrupules ont tout simplement abandonnés à leur triste sort ! Si vous avez connaissance qu’un chien souffre autour de vous, ne restez pas un spectateur impuissant ! Réagissez ! Faites une plainte, dénoncez la situation à une société protectrice des animaux ou à un service de sauvetage, à un poste de police. Prenez quelques minutes de votre temps et écrivez à votre municipalité, à votre député, créez une pétition et exigez qu’une loi soit adoptée afin de protéger ces chiens qui n’ont que vous pour prendre leur défense et pour les délivrer de leur chaîne ! A.D. Leiba Aequo Animo 1er août 2006 p.s.: Étant donné qu'il paraîtra par la suite sur notre site, il faudrait peut-être inscrire sous l'article du bulletin: "Droits de reproduction interdits", à moins que l'on indique qu'il paraîtra éventuellement sur le site Aequo Animo (?) -
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Allo ma belle Cé, est-ce qu'il ne faudrait pas mettre des guillements à morts-vivants ? (ou abandonnés à leur sort et décédés? je ne comprend pas trop ce que tu veux dire par morts-vivants, Do) Ce ne sont pas des chiens décédés Cé… Il s’agit de chiens qui sont restés attachés, sans eau et sans nourriture, alors que leurs maîtres sont partis et les ont abandonnés (vente de leur maison, déménagement, etc. etc. ) Il sont encore vivants mais, maigres, malades et au chevet de la mort… (p.s. juste avant cette phrase, je mentionne aussi les chiens morts… = chiens morts de faim et ou de froid)Pour l'instant, je ne vois pas quel mot pourrait remplacer mort-vivant... (?) BRISONS LA CHAÎNE … DE LA CRUAUTÉ Vous en avez peut-être croisé lors de vos déplacements en ville ou à la campagne… elles sont peut-être même vos voisines! Sales, affamées, assoiffées, cachées (j'ai changé le mot oubliées pour cachées, car il y avait une répétition du mot "oubliées" )dans le fin fond d’une cour, à l’arrière d’une maison, d’un garage, d’une grange, vous les entendez peut-être aboyer, hurler, pleurer ou gémir, à moins qu’elles ne soient silencieuses et résignées, ces « choses » oubliées et sans intérêt dans lesquelles battent des cœurs en détresse. Enchaînés à vie à un arbre, à un poteau, un pieu ou à une niche délabrée, des chiens de tous âges et de tous acabits, subissent jour après jour, année après année, l’indifférence ou le mépris, quand ils ne sont pas littéralement battus, martyrisés, lapidés et sous-alimentés ! Ils piétinent, pataugent ou tournent inlassablement en rond sur une toute petite parcelle de terre battue, boueuse ou glacée, recouverte de leur urine et de leurs excréments. Sous le soleil cuisant, la pluie, l’orage, le verglas, la neige ou le froid extrême, sans ombre ou sans abri, parfois leur chaîne s’emmêle ou se fige (se prend ?) dans la glace, restreignant encore plus leurs mouvements. À force de tirer pour tenter de se libérer ou d’exécuter toujours les mêmes mouvements (il y a une répétion du mot "mouvements" mais je ne vois pas par quoi je pourrais le remplacer ), il arrive même parfois que la chaîne s’enchâsse dans leur peau meurtrie qui devient l’hôte de mouches qui viennent y pondre leurs œufs. Le pelage terne et sec, envahis par les puces et autres insectes piqueurs, souffrant d’arthrose, d’otites, d’infections rénales, de maladies de peau, d’engelures, de coupures ou d’autres calamités (tourments, afflictions, souffrances ?, ils n’ont jamais droit à des soins vétérinaires. Privés de tout contact, de toute affection ou d’attention, ces sous-espèces du loup n’ont jamais compris pourquoi on les avait ainsi punies et exclues de la « meute » ! Autrefois dociles, ces pauvres chiens développent à la longue, des attitudes agressives et il devient dangereux de les approcher. Certains propriétaires n’hésitent d’ailleurs pas à exécuter d’une balle dans la tête, la « chose » devenue monstre ! En Amérique du Nord, les morsures de chiens causant la mort de jeunes enfants ou nécessitant un traitement médical sont en constante augmentation. Pour tenter de palier à cette situation, on interdit la vente de certaines races de chiens, allant même parfois jusqu’à préconiser l’euthanasie systématique de tous nouveaux-nés provenant de races de chiens considérés comme potentiellement dangereux. Bien que les autorités canadiennes se déclarent choquées que leur pays soit accusé de brutalité envers les animaux sauvages (ie. les phoques), les maltraitances concernent malheureusement aussi les animaux domestiques. Contrairement à plusieurs états américains (68 aujourd’hui) et pays européens, tels l’Autriche, l’Allemagne, l’ Angleterre, et la France, qui, pour des raisons de sécurité publique et de cruauté animale ont catégoriquement interdit l’attache à la chaîne ou que d’autres ont limité la durée de l’attache à seulement 2 ou 3 heures par jour, au Québec, et ailleurs au Canada, aucune loi n’interdit que des chiens soient enchaînés à vie. Ce sont souvent des dénonciations qui font aboutir à des découvertes dramatiques : chiens pendus par leur chaîne, chiens morts de faim et ou de froid, quand ce ne sont pas des chiens attachés, « morts-vivants », que des maîtres sans scrupules ont tout simplement abandonné à leur triste sort ! Si vous avez connaissance qu’un chien souffre autour de vous, ne restez pas un spectateur impuissant ! Réagissez ! Faites une plainte, dénoncez la situation à une société protectrice des animaux ou à un service de sauvetage, à un poste de police. Prenez quelques minutes de votre temps et écrivez à votre municipalité, à votre député, créez une pétition et exigez qu’une loi soit adoptée afin de protéger ces chiens qui n’ont que vous pour prendre leur défense et pour les délivrer de leur chaîne ! A.D. Leiba Aequo Animo 26 juillet 2006 Voila ma belle Cé ! J'espère que je n'ai rien oublié...
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Voici ce petit texte dont je te parlais plus tôt... Il y a aura sûrement des corrections/modifications à faire... Ne te gênes surtout pas ma belle Cé... --------------------------------------------- BRISONS LA CHAÎNE … DE CRUAUTÉ (tu peux changer le titre...) Vous en avez peut-être croisé lors de vos déplacements en ville ou à la campagne, elles sont peut-être même vos voisines! Sales, affamées, assoiffées, oubliées dans le fin fond d’une cour, à l’arrière d’une maison, d’un garage, d’une grange, vous les entendez peut-être aboyer, hurler, pleurer ou gémir, à moins qu’elles ne soient silencieuses et résignées, ces « choses » oubliées et sans intérêt dans lesquelles battent des cœurs en détresse. Enchaînés à vie à un arbre, un poteau, un pieu ou à une niche délabrée, des chiens de tous âges et de tous acabits, subissent jour après jour, année après année, l’indifférence ou le mépris, quand ils ne sont pas aussi littéralement battus, martyrisés, lapidés et sous-alimentés ! Ils piétinent, pataugent ou tournent inlassablement en rond sur une toute petite parcelle de terre battue, boueuse ou glacée, recouverte de leur urine et de leurs excréments. Sous le soleil cuisant, la pluie, l’orage, le verglas, la neige ou le froid extrême, sans ombre ou sans abri, parfois leur chaîne s’emmêle ou se fige dans la glace, restreignant encore plus leurs mouvements. À force de tirer pour tenter de se libérer ou d’exécuter toujours les mêmes mouvements, il arrive même parfois qu’elle s’enchâsse dans leur peau meurtrie qui devient l’hôte de mouches qui viennent y pondre leurs œufs. Le pelage terne et sec, envahis par les puces et autres insectes piqueurs, souffrant d’arthrose, d’otite, d’infection rénale, de maladies de peau, d’engelures, de coupures ou d’autres calamités, ils n’ont jamais droit à des soins vétérinaires. Privés de tout contact, de toute affection ou d’attention, ces sous-espèces du loup n’ont jamais compris pourquoi on les avait ainsi punis et exclus de la « meute » ! Autrefois dociles, ces pauvres chiens développent à la longue, des attitudes agressives et il devient dangereux de les approcher. Certains propriétaires n’hésitent d’ailleurs pas à exécuter d’une balle dans la tête, ces « choses » devenues monstres ! En Amérique du Nord, les morsures de chiens causant la mort de jeunes enfants ou nécessitant un traitement médical sont en constante augmentation. Pour tenter de palier à cette situation, on interdit la mise en vente de certaines races de chiens, allant même parfois jusqu’à préconiser l’euthanasie systématique de tous nouveaux-nés provenant de races de chiens considérés comme potentiellement dangereux. Bien que les autorités canadiennes se déclarent choquées que leur pays soit accusé de brutalité envers les animaux sauvages, (ie. les phoques), les maltraitances concernent malheureusement aussi les animaux domestiques. Contrairement à plusieurs états américains (68 aujourd’hui) et pays européens, tels l’Autriche, l’Allemagne, l’ Angleterre, et la France, qui, pour des raisons de sécurité publique et de cruauté animale ont catégoriquement interdit l’attache à la chaîne ou que d’autres ont limité la durée de l’attache à seulement 2 ou 3 heures par jour, au Québec et ailleurs au Canada, aucune loi n’interdit que des chiens soient attachés à vie. Ce sont souvent des dénonciations qui font aboutir à des découvertes dramatiques : chiens pendus par leur chaîne, chiens morts de faim et ou de froid, quand ce ne sont pas des chiens attachés, morts-vivants, que des maîtres sans scrupules ont tout simplement abandonné à leur triste sort ! Si vous savez qu’un chien souffre autour de vous, ne restez pas en spectateur impuissant ! Réagissez ! Faites une plainte, dénoncez-le à une société protectrice des animaux ou à un centre de sauvetage « Rescue ? », à un poste de police. Prenez quelques minutes de votre temps et écrivez à votre municipalité, à votre député, créez une pétition et exigez qu’une loi soit mise en vigueur afin de protéger ces chiens qui n’ont que vous pour prendre leur défense et pour les délivrer de leur chaîne ! D. Leiba Aequo Animo 26 juillet 2006
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Perruches, gerbilles, lapins, rats
Animal a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans ADOPTIONS
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Épidémie La fièvre charbonneuse continue à faire des ravages Mise à jour le mercredi 26 juillet 2006, 14 h 12 . Vaches laitières Le nombre d'animaux victimes de l'anthrax dans les fermes du nord de la Saskatchewan continue à augmenter. Le dernier bilan de l'Agence canadienne d'inspection des aliments en dénombre 273. L'agence fédérale a déclaré, mardi, que 59 fermes de la province sont maintenant en quarantaine en raison de la présence d'anthrax. Les éleveurs de bétail de la Saskatchewan procèdent actuellement à la vaccination de milliers de bêtes contre la fièvre charbonneuse. Le 17 juillet, l'Agence canadienne d'inspection des aliments avait rapporté que 149 bêtes étaient mortes de la maladie. Une semaine et demie plus tard, ce nombre a presque doublé, portant le total de victimes à 273. Manitoba Le vétérinaire en chef de la province rapporte que le nombre de troupeaux touchés par la fièvre charbonneuse s'établit maintenant à six. Ces troupeaux ont été mis en quarantaine. Cinquante-trois animaux ont été tués par cette maladie au Manitoba. Trente-six bêtes sont mortes de l'anthrax, l'an dernier, dans le centre-sud de la province. http://www.radio-canada.ca/regions/saskatchewan/2006/07/25/001-charbonneuse_vaccination.shtml
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Action Boréale Ils chantent avec les arbres 26 juillet 2006 Richard Desjardins Une quinzaine d'artistes québécois se produiront gratuitement les 15 et 16 septembre dans le cadre d'un spectacle-bénéfice ayant pour thème « La forêt, c'est plus qu'une réserve de 2 par 4 ». Ils répondent ainsi à l'appel de l'auteur-compositeur-interprète Richard Desjardins, qui reste fidèle à sa cause, celle de la défense des forêts http://www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2006/07/26/005-desjardins.shtml
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Saint-Gabriel Un partenaire pour le centre de transformation des viandes 26 juillet 2006 L'Union des producteurs agricoles du Bas-Saint-Laurent s'associe à Délimax, une entreprise de Sainte-Hyacinthe, pour l'implantation éventuelle du centre de transformation des viandes de Saint-Gabriel, dans la MRC de la Mitis. L'entreprise spécialisée dans la préparation de viande de veaux détiendra 50 % du capital social du Centre de transformation des viandes du Bas-Saint-Laurent. L'usine produira des coupes de viandes fraîches d'agneau et de boeuf destinées aux marchés de la restauration, de la distribution et de l'exportation. Les animaux seront achetés sur le marché régional et abattus à l'abattoir de Luceville. Le président de l'UPA du Bas-Saint-Laurent, Claude Guimond, estime que le projet bénéficiera de la grande expertise de Délimax et de son réseau étendu de distribution. L'UPA est à la recherche d'un autre financement de 150 000 $ pour compléter le montage financier de ce projet de 750 000 $. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2006/07/26/006-partenaire-viande.asp
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VOIR AUSSI Maigrir grâce au thé et au curry Selon les résultats d'une étude menée à l'université de Maastricht, en Hollande, le thé et le curry aident les personnes au régime à perdre du poids. En fait, ces épices stimulent le processus naturel durant lequel le gras est brûlé en créant de la chaleur corporelle. http://radio-canada.ca/nouvelles/Science-Sante/2006/07/26/001-epices-maigrir.shtml
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26 octobre 2004 Des chercheurs anglais soutiennent que boire du thé régulièrement peut aider à améliorer la mémoire, et ainsi lutter contre la maladie d'Alzheimer. Une équipe de l'université de Newcastle a découvert que la consommation régulière de thé, qu'il soit vert ou noir, a pour effet d'inhiber une enzyme (acétylcholinestérase), responsable de la dégradation d'un neurotransmetteur chimique, dans la région de contact de deux neurones (synapses). La diminution d'activité du neurotransmeteur (acétylcholine) est un des facteurs de la maladie d'Alzheimer. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Santeeducation/nouvelles/200410/26/002-the-memoire.shtml (p.s.: Étant une grosse buveuse de thé, je ne risque pas de soufrir d'Alzheimer)
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Une nouvelle qui m'avait échappée... Le mercredi 05 juillet 2006 Beaucoup de chats sont abandonnés au printemps par des étudiants qui retournent chez eux.Photo: Stéphane Lessard La SPAM débordée Louise Plante Le Nouvelliste Trois-Rivières Comme on pouvait le prévoir, le personnel de la Société protectrice des animaux de la Mauricie (SPAM) ne chôme pas ces jours-ci, puisque c'est l'époque de l'année où le plus d'animaux sont abandonnés par leurs maîtres insouciants, particulièrement les chats, et où le moins d'animaux sont adoptés. À la SPAM, c'est par boîte complète qu'on les ramasse le matin, sur le perron du local du boulevard Saint-Jean. Des chiens sont aussi attachés sur le terrain, un peu n'importe comment, et ce, même à l'ancienne propriété de la SPAM, rue Notre-Dame, près du centre-ville. En fait, la période des déménagements, propice à ce type de comportement, débute maintenant dès la fin du mois de mai alors que plusieurs étudiants collégiens et universitaires abandonnent leur petit compagnon au moment de regagner leur région respective pour l'été. Depuis deux ans, M. Serge Marquis, directeur de la SPAM, ne peut que constater le phénomène. Les chats particulièrement font les frais de ces abandons sauvages. Le mois de mai dernier a connu un triste record (623 enregistrements), ce qui laisse présager que 2006 se terminera avec des chiffres aussi importants que ceux de 2005 pour les abandons. «C’est simple, c’est quatre chats abandonnés pour un chien», constate M. Marquis. Ce dernier ajoute que les gens semblent accorder beaucoup moins d’importance à un chat qu’à un chien. Comme s’ils s’y attachaient moins. Lorsqu’ils perdent un chat, rares sont ceux qui se donnent la peine de le retrouver. Par ailleurs, beaucoup moins de chats que de chiens ont leur médaille d’enregistrement. Résultat: 99 % des chiens égarés retrouvent leur maître comparativement à 2 % seulement pour les chats. «Cela coûte tellement peu cher de les remplacer par un nouveau chaton», déplore le directeur de la SPAM. Actuellement, l’organisme est pour ainsi dire complet pour ce qui est des chats. Il en compte environ 80. Les chiens sont aussi très nombreux (on n’a pu préciser le nombre exact) mais on compte encore quelques espaces libres. Par contre, la SPAM est aux prises avec des cas de toux du chenil. Une maladie de chien qu’elle est arrivée à bien contrôler en mettant les animaux malades en isolement. M. Marquis signale également un autre phénomène préoccupant cette année: les cas de morsure. On rapporte en effet ces jours-ci plusieurs incidents du genre. Il s’agit d’animaux abandonnés ou égarés, parfois en plein centre-ville. À ce sujet, le directeur de la SPAM déplore que des chiens soient présents dans le centre-ville lors des grands rassemblements et s’étonne même qu’ils y soient tolérés. «On ignore souvent comment va réagir un être humain en cas de bousculade, alors imaginez un chien dans une foule. J’ai été sonné d’en voir autant.» Il ajoute qu’il constate qu’on signale souvent des cas d’animaux en fuite lors des feux d’artifice. Ce genre de fête effraie souvent les animaux et on ne devrait pas les y faire participer. http://www.cyberpresse.ca/article/20060705/CPNOUVELLISTE/607050669/5409/CPNOUVELLISTE
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Pas de problème ma belle Cé ! Je n'appellerai Josée que vers la fin de semaine... Je fais tellement de "longues distances" toutes les semaines = 4 soeurs + papa, que je dois espacer mes appels quand il n'y a pas d'urgence. Depuis hier seulement, papa est seul la nuit. Il aura quand même la visite de Jo et Isabelle régulièrement durant le jour. Pour l'instant, il est occupé avec tous les papiers administratifs et il a moins le temps de réfléchir... Mes soeurs m'ont dit qu'elles essaieraient de le faire sortir de chez-lui dès qu'il aura moins d'occupations- ça ne sera pas facile, car papa est très casanier...