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Animal a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans Végétarisme
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Allo ma belle Cé, Est-ce que tu as déjà entendu parler de cette fondation ? La Fondation du bien-être animal du Canada a été constituée en corporation en 1965 en tant qu’organisme fédéral sans but lucratif. Sa principale fonction consiste à accepter des dons et des legs et à appliquer cet argent exclusivement pour le bénéfice des animaux. Les fonds reçus sont administrés conformément aux souhaits des donateurs. Grâce à l’expérience du Conseil d’administration, les fonds sont gérés afin de garantir qu’ils soient dépensés de façon à ce que les animaux en profitent au maximum, en : Favorisant l’intérêt pour l’étude du bien-être des animaux et en aidant à la recherche concernant des problèmes particuliers liés au bien-être des animaux. Prévenant la cruauté et en encourageant la prise en considération de tous les animaux. Prévoyant la tenue de conférences, de séminaires ou de cours de formation ayant trait au bien-être des animaux. Aidant à la création, au développement et au soutien de tout organisme ayant des buts similaires ou complémentaires à ceux déjà mentionnés, que ces organismes soient associés ou non à une société provinciale ou nationale de protection des animaux. Encourageant et en favorisant l’application de toutes les lois adoptées pour la protection des animaux. Appuyant de façon générale, de toutes les manières possibles, les buts des sociétés provinciales de protection des animaux. AUSSI: Énoncé de mission La Fondation du bien-être animal du Canada reçoit des dons et attribue des fonds à des activités d’importance nationale et à d’autres activités majeures qui ne sont pas susceptibles de recevoir un appui de source locale ou provinciale. Ces activités comprennent la sensibilisation au traitement non cruel des animaux et la recherche connexe, les enquêtes et les rapports sur des problèmes ayant trait à ce domaine et d’autres initiatives prometteuses. La FBAC reçoit volontiers les demandes de financement pour des projets novateurs qui favoriseront le bien-être des animaux. Les organismes qui souhaitent faire une demande de subvention auprès de la Fondation du bien-être animal du Canada devraient lire attentivement les lignes directrices qui suivent avant de présenter leur demande. Les demandes qui ne répondront pas aux critères de base ne pourront pas être considérées pour un financement http://www.awfc.ca/francais/subventions.htm http://www.awfc.ca/francais/index.htm
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IFAW condamne l’abattage inutile et cruel des otaries en Namibie (Le Cap, Afrique du Sud – 19 juillet 2006) - IFAW (le Fonds international pour la protection des animaux – www.ifaw.org) condamne officiellement l’abattage annuel des otaries qui a commencé ce mois-ci en Namibie, le qualifiant de cruel et inutile. Le gouvernement namibien justifie cet abattage annuel en prétendant que le trop grand nombre d'otaries menace l'industrie de la pêche locale. Or, plusieurs études scientifiques, notamment celles qui émanent du Canada, démontrent que le déclin des réserves de poissons est essentiellement dû à la surpêche, et non à la prédation des phoques et otaries. http://www.ifaw.org/ifaw/general/default.aspx?oid=173683
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L'opinion contrastante du Capt Watson.... ---------------------------- Sea Shepherd News News Releases Search all News Releases 05/01/2006 Madame Baby Seal Killer Wants to Rule Canada Canadian Senator Celine Hervieux-Payette wants to be Prime Minister of Canada and she is ready to swim through a sea of seal blood to get there. Her only real claim to fame is her support of the annual slaughter of 325,000 baby seals on Canada’s Eastern coast. She is now bragging how she “squared off recently against Brigitte Bardot to defend the sealers.” The truth of the matter is that she did not even meet Brigitte Bardot when the French actress visited Ottawa in March along with actress Persia White and Captain Paul Watson. The French animal rights leader dismissed Hervieux-Payette as a “stupid woman.” Hervieux-Payette refused to attend the Bardot media conference and held her own conference right after to attack Brigitte Bardot for her opposition to the slaughter of the seal pups. The Senator did face off on the Mike Duffy show on CTV that evening with Captain Paul Watson who clearly had the upper hand in the debate. Captain Watson said that since she had never been to the seal hunt and never seen a seal killed she was in no position to claim the killing was humane. Senator Hervieux-Payette said "The impression that I have is that there are a lot of people who are waiting for someone who will talk to them a little like I did in my fight for the seal hunters," said Hervieux-Payette, a Trudeau-era cabinet minister. All the Senator said in her “fight” for the seal hunters is that the seal slaughter was humane and there were plenty of seals. She also said that the sealers are native people who need to kill seals to survive. [Note: They are not native and they don’t need seals to survive.] Hervieux-Payette is in the running more for comic relief. There are already 10 declared candidates in the race to succeed former Prime Minister Paul Martin, with several more still deciding whether to run. The Senator’s comments may win her a few votes from the “Neanderthal” crowd in the Magdalen Islands or Newfoundland but they won’t win her much support in the civilized parts of Canada like Toronto, Calgary, or Vancouver. The early favorite is Michael Ignatieff who made an impressive appearance at the Quebec wing's annual convention, boasting the support of three of the 13 Liberal MPs from the province, the most of any candidate to date. “I kind of hope she does win the leadership,” said Captain Paul Watson. “The pathetic display of pro-sealing posturing she demonstrated to us would make her one very easy opponent to challenge on this debate. In all my years of opposing the slaughter of seals, I have never met a more misinformed and pathetically-weak proponent of the seal hunt. How did she ever get to be a Senator? Oh yeah, Canadians are appointed for 75 years by the Prime Minister. She is a Senator who was appointed years ago by Prime Minister Pierre Trudeau in return for some service and now she is parading herself as the savior of barbaric seal killers.” http://www.seashepherd.org/news/media_060501_1.html
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Speaking of Furbearer Management and Conservation « Madame Bardot, le Canada n’est plus une colonie ! » dixit Sénateur Céline Hervieux-Payette OTTAWA, le 22 mars 2006 – Le Sénateur Céline Hervieux-Payette et le Sénateur Michel Biron, appuyés par les sénateurs Charlie Watt et Willie Adams, séjournant présentement dans le grand Nord, ainsi que le Sénateur Marcel Prud’homme, ont joint leurs efforts pour contrer la campagne internationale de dénigrement des pratiques de la chasse aux phoques, une occupation traditionnelle des populations Inuits ainsi que des Canadiens vivant aux périphéries du continent, soit à Terre-Neuve, aux Îles-de-la-Madeleine, etc. « La chasse aux phoques est essentielle au mode de vie des Inuits. Comme la nourriture coûte très cher dans le grand Nord, des aliments locaux comme la chair de phoque sont indispensables à la survie de nos populations. Si nous, Inuits, devions perdre notre droit de chasser, les conséquences seraient dévastatrices. Pour les Inuits traditionnels, c’est une question de vie ou de mort. » disent les sénateurs Charlie Watt et Willie Adams. Monsieur Robert B. Cahill, directeur exécutif de l’Institut de la fourrure du Canada, ajoute que « ce commerce représente un apport monétaire de $16,5 millions de dollars annuellement permettant à des familles de demeurer dans leur communauté ». Pour Henri Motte, océanographe et chercheur en développement des pêches de l’Université d’Ottawa: « la survie du troupeau de phoques est assurée étant passé en 25 ans de 1 million de tête à plus de 5 millions à l'heure actuelle. La consommation annuelle de poissons de fond de 325000 phoques s’élève à environ 468000 tonnes. L’abattage de ces 325000 phoques permet d’augmenter la capacité de pêche de 30%, puisqu’elle se situe présentement à 1 million de tonnes annuellement». Et ce point de vue est partagé avec l'éminent écologiste canadien, le Professeur Pierre Dansereau. Rappelons qu’au Canada la chasse aux blanchons et des petits du phoque à capuchon (dos bleus) est interdite depuis 1987. Le Règlement sur les mammifères marins interdit le commerce, la vente ou le troc des fourrures de ces petits phoques. De même, il est interdit de chasser les phoques dans les aires de reproduction ou de mise bas. De plus, il est interdit de tenter de tuer un mammifère marin d’une façon qui n’entraîne pas sa mort rapide. « Il faut croire que la vérité répugne à ces millionnaires que sont Paul McCartney et Brigitte Bardot » selon le Sénateur Biron. Le Sénateur Hervieux-Payette, pour sa part, rappelle à madame Bardot que « le Canada n’est plus une colonie de la France ». Les Sénateurs sont d’avis que si Brigitte Bardot et Paul McCartney utilisaient leur célébrité pour se porter à la défense des enfants et des femmes victimes de la guerre, d’abus et de violence au lieu de s’attaquer insidieusement à la chasse aux phoques qui est un mode de vie pour une minorité du Canada, ils auraient leur appui. Me Doris Berthiaume, adjointe exécutive Bureau du Sénateur Céline Hervieux-Payette, c.p. (613) 947-8008 http://www.friends-of-fur.org/SpeakingOfConservationArticle3.htm
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De quoi les amuser en attendant la prochaine chasse aux phoques... ---------------------------------- Un festival western au Centre Alfred Gallant avec des professionnels du rodéo. «Festival Country Bluegrass». Un air de Far West à Fatima Le Radar - 20 juillet 2006 Par Marilyn Veillette marilyn_veillette@yahoo.ca Pour une première année aux Îles, le Festival Country Bluegrass et ses professionnels de rodéo débarquent au Centre Alfred Gallant de Fatima. Lors de la fin de semaine du 14 au 16 juillet 2006, Madelinots et touristes ont apprécié les prouesses des cow-boys et animateurs. Venus d’un peu partout au Québec, ces professionnels du rodéo qui performent au Canada et aux États-Unis en ont fait rêver plus d’un. «Aux Îles, le country, cela a sa place… Comme mentionnait Maxime Arseneau, député des Îles-de-la-Madeleine, il n’y a pas un gars des Îles qui n’a jamais rêvé d’être un cow-boy. Et il n’y a pas une fille d’ici qui n’a jamais rêvé d’avoir son cow-boy!», cite Isabelle Cummings, du comité d’organisation de l’événement et présidente du Centre des loisirs de Fatima. Une première édition qui demande beaucoup de préparation. «Nous travaillions sur cela depuis plusieurs mois. Nous avons tout organisé avec l’importante collaboration de Jonathan Gauthier, qui s’occupe de près du Festival de St-Tite. Ces animaux ont dû être transportés par bateau», explique Madame Cummings, qui n’omet pas de mentionner que le Festival est une initiative de Brigitte Boudreau. Bien que le soleil se cache derrière quelques nuages, quelques milliers de personnes ont pris part aux activités durant toute la fin de semaine. Que ce soit le clown Pipo qui divertit les enfants et parents, le tournoi de fer à cheval, la musique, l’animation et les rodéos professionnels, il y avait de tout pour plaire à tous les goûts. «J’avais vraiment hâte de voir de quoi cela allait avoir l’air», raconte une spectatrice déjà conquise par le country. Chapeau de cow-boy et bottes de cuir, un air de fête transforme les spectateurs. Le site vibre sous les cris et applaudissements de la foule à l’attention des cow-boys, des chevaux et des taureaux. «Vite, vite, avant qu’on ait pu de place!», un Madelinot accourt pour bien voir le rodéo professionnel. Ce sport prend énormément de courage et d’adresse. Les cow-boys risquent même de se blesser sous les yeux des spectateurs. Durant les soirées, des spectacles Bluegrass avec artistes internationaux et un «Country show» à l’aréna de Fatima terminent les journées en musique et en beauté. «C’était hallucinant le spectacle de vendredi!», commente un nouvel adepte de bluegrass. Isabelle Cummings, du comité organisateur espère que l’événement se répétera d’année en année : «Il y a de l’avenir pour cela aux Îles!». Une première année, mais sûrement pas la dernière… Le Festival de St-Tite aura de la concurrence! http://www.leradar.qc.ca/leradar/detail.cfm?id=144304
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Tu as raison ma belle Cé, mais dans le moment, c'est le courage qui me manque. Et puis même à la maison c'est dur de se reposer, car quand ce n'est pas le chien qui aboie, ce sont les parties de voisin. Dans le moment, le jeune d'à côté fait la foire avec ses copains: musique RAP au bout, plongeons dans la piscine, gueulage... ça va encore être une nuit d'enfer= ses parents sont partis pour 3 ou 4 jours ce matin
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21 juillet 2006 Rien ne va plus pour les tigres à l'état sauvage. La plus vaste étude jamais réalisée sur la conservation de ce mammifère carnivore montre qu'il habite des zones de plus en plus petites. Pire encore, elles rétréciront encore au courant des années à venir. En fait, l'étude menée par le fonds Sauvons les tigres de la Fondation nationale pour la pêche et la vie sauvage des États-Unis montre que la bête a perdu pas moins de 40 % de son habitat dans la dernière décennie. Elle n'occupe maintenant que 7 % du territoire qu'elle couvrait à l'origine. http://radio-canada.ca/nouvelles/Science-Sante/2006/07/21/003-tigres-habitat.shtml
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samedi 22 juillet 2006 Le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation Yvon Vallières s'apprête à annoncer le début des travaux de construction d'un nouvel abattoir sur le territoire de la ville de Bécancour. Il s'agit d'un projet d'envergure, de plus de 4 millions de dollars. L'abattoir s'appellera la Coop de producteurs de viandes des deux rives. L'abattoir sera orienté vers la Mecque, la capitale religieuse de l'Islam, pour plaire la clientèle qui consomme de la viande halal, une viande provenant de bêtes sacrifiées selon le rite musulman. http://www.radio-canada.ca/regions/mauricie/2006/07/22/002-abattoir_halal_mecque.shtml
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Pêches et Océans Canada Un comité étudie la chasse aux phoques Mise à jour le lundi 19 juin 2006 Le Comité permanent de Pêches et Océans Canada a commencé la semaine dernière à Ottawa son étude sur la chasse aux phoques. Le Comité a entendu des représentants du ministère fédéral des Pêches et du ministère des Affaires extérieures. Deux sessions de travail sont prévues, l'une en septembre aux Îles-de-la-Madeleine, et l'autre en octobre, en Europe. Le député bloquiste de la Gaspésie et des Îles, Raynald Blais, espère que le travail du comité fera contrepoids à la campagne de désinformation sur la chasse aux phoques.
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Tu as raison, ça fait bien 6 ans qu'on en entend parler ! En tous les cas, si cette bidoche peut permettre que des animaux ne souffrent plus et ne soient plus tués, j'ai hâte qu'ils la mette sur les tablettes des magasins... mais je me demande quand même, si cette "viande in vitro", pourrait quand même avoir des sensations quelconques, étant donné qu'elle est vivante
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Allo ma belle Cé, J'avais prévu aller faire un tour dans le centre d'achats pour aller voir dans un magasin d'aliments naturels, mais finalement, je ne suis pas sortie de la maison car j'avais encore des crises d'hyperventilation (sensation de ne plus pouvoir respirer et d'étouffer)! En fait je ne suis pas sortie de la maison depuis que je suis revenue de Québec, car ce problème se manifeste de plus en plus fréquemment. Je crois que c'est nerveux, car chaque fois que je prends un demi comprimé d'un anxiolitique (que je suis sensée prendre seulement au coucher), ça passe au bout d'une demi-heure. Si je retourne voir mon doc pour ce problème, il va encore vouloir me mettre sur des anti-dépresseurs (j'avais refusé "son offre" la dernière fois que je l'ai vu pour ce même problème). Peut-être que ça finira par passer quand je serai un peu moins stressée: dans le moment, j'ai pas mal de problèmes de toutes sortes Cé... problèmes que je préfère ne pas t'énumérer via Internet... (je t'en parlerai quand je te verrai). Je crois que tous ces soucis "familiaux personnels", en + de la longue maladie puis du décès de maman, m'ont mis sur le carreau. J'aurais besoin de partir seule, plusieurs mois, en pleine forêt, pour faire le vide, mais je sais bien que c'est irréalisable ! Enfin ! Avec le temps, ça finira sûrement par s'arranger !
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vendredi 21 juillet 2006 LYON (AFP) - Un centre destiné à accueillir les tortues de Floride abandonnées par leurs propriétaires sera ouvert dès lundi 24 juillet au parc zoologique de la Tête d'Or à Lyon, a annoncé la municipalité. Ce centre, qui vise à réduire les nuisances écologiques causées par les abandons de tortues en pleine nature, est le résultat d'un partenariat avec le laboratoire d'écologie de l'Université Paris Sud d'Orsay, chargé depuis 2002 d'une étude sur ce sujet. http://fr.news.yahoo.com/21072006/202/lyon-ouvre-un-centre-de-recuperation-des-tortues-abandonnees.html
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A rare bacterial infection Prof Pennington said pneumonia is the hallmark of Q fever Eleven people working at a meat processing plant in Stirlingshire have contracted a rare condition known as Q fever. Here, leading microbiologist Professor Hugh Pennington looks at the condition. What is Q fever? Q fever is a bacterial infection which shows itself usually by causing a severe pneumonia and it can be quite difficult to diagnose because the pneumonia itself is not that different from the pneumonia that's caused by more common agents. However, pneumonia is the hallmark of Q fever. It causes a fever, severe headache and can affect other organs as well. How serious is it? If it is treated with ordinary antibiotics there is not really a problem. Spotting the infection and getting the right treatment is the crucial thing here. There are a few people, who if they have heart valve problems, can get a chronic problem there as well. Like any infection, most people get better but others have a hard time. Can it be fatal? It can be fatal but in fit healthy people who are treated appropriately, it should not be. We have eleven cases at the moment. Is that a worrying number? It is a big number but it is not the first outbreak we have seen in this particular kind of circumstance. The first was in Australia in 1935, which was associated with a meat plant. How likely is it the infection could spread outside the plant? People living nearby should not be particularly worried. The organism can spread in the air but usually you need pretty close contact with an infected source. For example, the bedding on which a sick animal has been resting. If you breathe in the dry dust from that you can get infected. What happens now in terms of environmental health and surveillance around the plant? The first priority is to identify all the people who have been infected and get them appropriately treated and finding the source of the outbreak, to determine how many other people may have been exposed. Unfortunately the bug is reasonably common in animals and very often does not make the animal sick, so there is not much you can do at the animal end. http://news.bbc.co.uk/2/hi/uk_news/scotland/tayside_and_central/5197646.stm
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By Lakshmi Sandhana| Also by this reporter 02:00 AM Jun, 21, 2006 What if the next burger you ate was created in a warm, nutrient-enriched soup swirling within a bioreactor? Edible, lab-grown ground chuck that smells and tastes just like the real thing might take a place next to Quorn at supermarkets in just a few years, thanks to some determined meat researchers. Scientists routinely grow small quantities of muscle cells in petri dishes for experiments, but now for the first time a concentrated effort is under way to mass-produce meat in this manner. Henk Haagsman, a professor of meat sciences at Utrecht University, and his Dutch colleagues are working on growing artificial pork meat out of pig stem cells. They hope to grow a form of minced meat suitable for burgers, sausages and pizza toppings within the next few years. Currently involved in identifying the type of stem cells that will multiply the most to create larger quantities of meat within a bioreactor, the team hopes to have concrete results by 2009. The 2 million euro ($2.5 million) Dutch-government-funded project began in April 2005. The work is one arm of a worldwide research effort focused on growing meat from cell cultures on an industrial scale. "All of the technology exists today to make ground meat products in vitro," says Paul Kosnik, vice president of engineering at Tissue Genesis in Hawaii. Kosnik is growing scaffold-free, self-assembled muscle. "We believe the goal of a processed meat product is attainable in the next five years if funding is available and the R&D is pursued aggressively." A single cell could theoretically produce enough meat to feed the world's population for a year. But the challenge lies in figuring out how to grow it on a large scale. Jason Matheny, a University of Maryland doctoral student and a director of New Harvest, a nonprofit organization that funds research on in vitro meat, believes the easiest way to create edible tissue is to grow "meat sheets," which are layers of animal muscle and fat cells stretched out over large flat sheets made of either edible or removable material. The meat can then be ground up or stacked or rolled to get a thicker cut. "You'd need a bunch of industrial-size bioreactors," says Matheny. "One to produce the growth media, one to produce cells, and one that produces the meat sheets. The whole operation could be under one roof." The advantage, he says, is you avoid the inefficiencies and bottlenecks of conventional meat production. No more feed grain production and processing, breeders, hatcheries, grow-out, slaughter or processing facilities. "To produce the meat we eat now, 75 (percent) to 95 percent of what we feed an animal is lost because of metabolism and inedible structures like skeleton or neurological tissue," says Matheny. "With cultured meat, there's no body to support; you're only building the meat that eventually gets eaten." The sheets would be less than 1 mm thick and take a few weeks to grow. But the real issue is the expense. If cultivated with nutrient solutions that are currently used for biomedical applications, the cost of producing one pound of in vitro meat runs anywhere from $1,000 to $10,000. Matheny believes in vitro meat can compete with conventional meat by using nutrients from plant or fungal sources, which could bring the cost down to about $1 per pound. If successful, artificially grown meat could be tailored to be far healthier than any type of farm-grown meat. It's possible to stuff if full of heart-friendly omega-3 fatty acids, adjust the protein or texture to suit individual taste preferences and screen it for food-borne diseases. But will it really catch on? The Food and Drug Administration has already barred food products involving cloned animals from the market until their safety has been tested. There's also the yuck factor. "Cultured meat isn't natural, but neither is yogurt," says Matheny. "And neither, for that matter, is most of the meat we eat. Cramming 10,000 chickens in a metal shed and dosing them full of antibiotics isn't natural. I view cultured meat like hydroponic vegetables. The end product is the same, but the process used to make it is different. Consumers accept hydroponic vegetables. Would they accept hydroponic meat?" Taste is another unknown variable. Real meat is more than just cells; it has blood vessels, connective tissue, fat, etc. To get a similar arrangement of cells, lab-grown meat will have to be exercised and stretched the way a real live animal's flesh would. Kosnik is working on a way to create muscle grown without scaffolds by culturing the right combination of cells in a 3-D environment with mechanical anchors so that the cells develop into long fibers similar to real muscle. The technology to grow a juicy steak, however, is still a decade or so away. No one has yet figured out how to grow blood vessels within tissue. "In the meantime, we can use existing technologies to satisfy the demand for ground meat, which is about half of the meat we eat (and a $127 billion global market)," says Matheny. http://www.wired.com/
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Man killed after falling into meat grinder May 31, 2005 - 11:19AM A man died when he fell into meat grinder at a West Australian abattoir. The 36-year-old man was working at the Hillside Meats abattoir in Narrogin, 192 kilometres south-east of Perth, about 1.15pm yesterday when he fell into the meat auger. "Basically we don't know how, but somehow he fell into or got entangled in a meat auger, which has pulled his whole body into the machine," a police spokesman said. "There were deep, massive lacerations to his neck, chest, arms - killing him quickly." The 30-metre long auger, which runs inside a horizontal trough, is used to grind meat offcuts and offal for processing. St John Ambulance and the Fire and Emergency Services Authority went to the scene after workmates were unable to free the man. "They had to pull the machine apart to get him out," the police spokesman said. Further comment was being sought from WorkSafe, which has launched an inquiry into the accident. AAP
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Malheureusement, je n'ai toujours pas reçu de réponse, même si j'ai renvoyé ma lettre à nouveau, à 2 autres adresses du journal... En attendant, voici l'histoire d'une autre "petite vieille" VG Published: July 19, 2006 12:29 pm Denver woman, 101, visits Sapulpa Etha Lee “Mother” Swaizey visited Sapulpa this week and was honored Monday by the City Council. By JAMI MATTOX Herald Assistant Editor Etha Lee “Mother” Swaizey is surprisingly spry and alert for her 101 years. She lives in an apartment by herself in Denver, Colo. She still does her own shopping, walking the eight blocks each way to the local grocery store. She attends a Seventh Day Adventist church every Saturday, where she enjoys singing and reading Bible stories to the children in the congregation. So when this remarkable woman decided to travel from her Denver home to Sapulpa by bus to celebrate her 101st birthday in Sapulpa, Mayor Doug Haught decided to name Monday “Etha Lee Swaizey Day” in Sapulpa. Swaizey has traveled all over the country with her dear friend, Joann Stiggers, as part of Stiggers’ project of compiling a living history of Swaizey. Stiggers hopes to finish the book in time for Oklahoma’s centennial celebration next year. “I met her when she was 93,” Stiggers recounted, “and I thought she was amazing.” Born July 14, 1905 in Shepherd, Texas, Swaizey was raised by her father and grandmother after the untimely death of her mother. Her father was a school teacher, so Swaizey said she was always eager to learn. She soon became her father’s teaching assistant before going to high school, then to college in Conroe, Texas. She got married and gave birth to five children, two of which are still alive. She has 13 grandchildren, but she says she lost count after that. “Just like a tree, these branches spring up,” Swaizey said, referring to her family. Swaizey has seen a lot during her 101 years, but the most historic event that sticks out in her sharp mind is the sinking of the Titanic. “I was 9 years old,” she said. “Folks had said, ‘Even God can’t sink this ship.’ I guess he proved them wrong.” Swaizey, a vegetarian since age 39, credits her healthy lifestyle and faith for her long life. “The human body is like a car,” she said, “and cars come with a manual. If you follow the manual, that car’s going to last for a long time. “We have a manual called the Bible. I’ve followed it my whole life,” she said. The only daily medication that Swaizey takes is vitamins, and she said the only time she recalls being ill is when she gave birth. Swaizey, who will board a bus back to Denver early Thursday morning, said of all the places she has visited, she feels most at home in Oklahoma. “This is my first time to be here,” she said. “And people are so friendly.” “She is really amazing,” said hostess Maxine Caesar. “She has all this energy. It’s been a joy to have her here.” Jami Mattox 224-5185 Ext.200 assteditor@sapulpadailyherald.com http://www.sapulpadailyherald.com/news/local_story_200122935.html