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Néphélie-titmousefairycottage

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Tout ce qui a été posté par Néphélie-titmousefairycottage

  1. Ma Sonson, ta dernière création n'est pas belle... Elle est superbe, splendide, magnifique et sent bon le printemps !
  2. Aurore, tes petits bouts porteront des prénoms à la hauteur de leur beauté. Ils sont superbes, et ton animation est magnifique et très agréable. Merci pour cet agréable moment et gros calins à tes deux petites merveilles.
  3. Waouh ! Qu'elle est jolie cette petite puce ! Courage pour ces derniers moment d'attente.
  4. Comment apprivoiser le chiot ? Au moment où vous pénétrez chez vous avec un petit chiot dans les bras, il faut vous souvenir que, dans la nature, les canidés rejettent tous ceux de leur espèce qui tentent de s’introduire sur leur territoire. Que, donc et en conséquence, l’instinct de ce petit animal lui fait estimer très dangereuse pour lui cette intrusion que vous l’obligez à commettre en le faisant pénétrer à l’intérieur du périmètre d’une nouvelle meute qui n’est pas la sienne (de votre résidence). Sentiment de courir un danger d’autant plus fort qu’il vient d’être arraché au cadre sécurisant dans lequel il est né, a été élevé, et où il avait pris ses repères et savait pouvoir compter sur sa mère pour le guider et le protéger. Sans aucune transition, il se trouve brutalement plongé dans un nouveau groupe (humain), noyé dans un flot d’odeurs inconnues de lui. C’est-à-dire qu’il n’a plus aucune référence à laquelle se raccrocher. Il ne sait s’il y a du danger pour lui ni où pourrait se trouver celui-ci. Son instinct lui commande, en conséquence et pour sa sécurité, d’être extrêmement précautionneux et d’explorer très prudemment ce nouvel environnement : bien avant nous, les animaux ont découvert ce principe de précaution qui conditionne leur survie en milieu hostile. Ce qui explique cette période d’anxiété par laquelle passe normalement une majorité des chiots arrivant chez un nouveau maître. Inquiétude qui, selon les races et les sujets, peut être plus ou moins apparente, plus ou moins importante et durer plus ou moins longtemps (de quelques heures à plusieurs jours). Parfois même aller jusqu’à provoquer quelques petites diarrhées. Dont le propriétaire ne s’alarmera que les fèces restent sans trace de sang, que ce dérangement se résorbe rapidement, en quelques jours (3 au grand maximum) et qu’il constate des améliorations rapides dans le comportement d’un chiot que la curiosité devra amener, peut-être timidement les premières fois, à sortir assez rapidement (dans les heures suivant son arrivée) du coin où il a trouvé refuge afin de s’intéresser à son environnement. Etant donné que, contrairement aux objets manufacturés, les chiens ne sont pas fabriqués à la chaîne selon des standards, il n’est pas possible de donner un comportement-type, de lister les actions que l’on peut et doit attendre d’un chiot posé pour la première fois sur le sol d’un logement inconnu de lui. Car l’éventail en est immense, quasiment infini. Avec, à une extrémité de la fourchette, celui qui, quasi immédiatement, part à la découverte de ce qui l’entoure, flaire les pieds des meubles, les jambes des humains, lape sa gamelle d’eau et, à l’autre extrémité, celui qui courra à toutes pattes se réfugier sous un meuble et refusera longuement d’en sortir. Sans oublier, entre les deux, celui qui restera un long moment figé à l’endroit où il a été posé. L’idéal serait de pouvoir ramener le chiot dans une caisse de transport prêtée par l’éleveur et laissée à la portée du chiot. “Tanière” ayant l’odeur de son ancienne meute dans laquelle il pourra se réfugier car s’y sentant en sécurité. Au bout de très peu de temps ou de jours, selon les sujets, lorsqu’il se sentira à l’aise, ne se réfugiera plus que très rarement dans sa caisse, voire qu’il donnera l’impression de s’en désintéresser, on pourra la lui enlever. Le chien ne souhaite et ne désire qu’une seule chose : vivre en permanence au contact étroit de ses maîtres, ce qui est parfaitement possible à condition de respecter quelques règles élémentaires d’hygiène et de lui donner ce minimum d’éducation qui en fait un chien civilisé.
  5. L’angoisse du chat lors d’une séparation Les gens occupés préfèrent avoir un chat lorsqu’ils décident d’adopter un animal de compagnie. Ils croient réellement qu’un chat peut bien se débrouiller tout seul pendant leur absence jusqu’à ce qu’ils découvrent le contraire. Les chats font des bêtises lorsqu’ils sont angoissés par une séparation. L’angoisse due à une séparation est un trouble qui arrive chez les animaux domestiques comme le chat, le chien, les oiseaux, le cheval et les primates. Ils paniquent lorsque leur maître est absent. Cela peut arriver quand tout le monde dans la maison s’absente, ou si le maître s’absente et quelqu’un d’autre reste avec l’animal ou lorsqu’il est séparé de son maître par une simple porte. Les raisons entraînant ce trouble ne sont pas encore définies. L’angoisse des chats est moins flagrante que celle du chien parce que les chats n’aboient pas et n’attirent donc pas l’attention des voisins. Un chat angoissé urine sur les affaires personnelles de son maître. Il devient collant et suit son maître dans toute la maison. Il exprime également son angoisse au moment où son maître s’apprête à partir en haussant le ton de sa voix, en boudant et en se cachant. Il vomit pendant l’absence de son maître et manque d’appétit. Un chat angoissé grogne excessivement et développe un comportement destructeur comme déchirer les habits de son maître ou griffer la porte. Si votre chat se comporte ainsi, ne le punissez pas sauf si vous le prenez en plein délit. Si vous punissez le chat quelques heures après qu’il ait fait une bêtise, cela va le rendre plus anxieux et craintif. La première chose à faire pour aider votre chat à surmonter une séparation est de l’emmener chez le vétérinaire. Vous pouvez aider votre chat à ne pas distinguer la différence entre votre absence et votre présence en modifiant son comportement et son environnement associé à un traitement si nécessaire. Dans certains cas, les chats ont besoin d’un traitement médical quotidien pendant un mois au moins. Vous devez commencer par changer la manière dont vous interagissez avec votre chat. Ignorez toutes les tentatives qu’il met en œuvre pour attirer votre attention. Faites en sorte que votre départ et votre arrivée soient le plus discret possible. Ignorez votre chat 15 à 20 minutes avant votre départ et après votre arrivée pour qu’il ne le remarque pas trop. Si le fait de prendre votre clé angoisse votre chat, prenez le plus souvent pendant la journée quand vous ne sortez pas ou garder une clé dans votre porte feuille, votre poche ou votre garage. Si votre chat reconnaît votre départ lorsque vous franchissez une porte, empruntez-en une autre. Enrichir l’environnement de votre chat peut vous aider à résoudre le problème. Laisser la radio ou la télé en marche pour distraire votre chat pendant votre absence. Installez un griffoir ou laissez des jouets intéressants ou quelque chose à grignoter pour que votre chat oublie votre absence. Ne sortez ces jouets que lorsque vous envisagez de sortir et ranger les lors de votre arrivée. Les chats ne sont pas des animaux stoïques comme certaines personnes le pensent surtout lorsqu’on les laisse tout seul. En observant attentivement votre chat et en effectuant des petits changements, vous pouvez calmer l’angoisse de votre chat. En principe, le chat ne doit pas trop sentir la différence entre votre présence et votre absence.
  6. Comment calculer l'âge d'un chien grâce à sa dentition ? Les chiens ont une dent de plus à la mâchoire du bas, soit 42 au total. Ils possèdent 6 incisives et 2 crocs en haut et en bas. Puis 6 précarnassières en haut et 8 en bas numérotées PC1, PC2, PC3, PC4. Ensuite, 2 carnassières à chaque mâchoire puis 2 arrière-molaires ou tuberculeuses. La carnassière est une très grosse dent qui sert à broyer les aliments, attrapés par les incisives et maintenus par les précarnassières. Il y a d’abord une dentition de lait, puis une dentition d’adulte. Les dents s’usent peu à peu, ce qui permet de calculer l’âge du chien. Celui-ci se mesure surtout d’après les incisives, qui ont l’allure d’une fleur de lys. A la naissance, les chiots n’ont pas de dents. Vers 3 semaines, on voit sortir les incisives et les canines, d’abord en haut et en bas. A 6 semaines, les dents sont bien sorties, mais se touchent. A 2 mois, elles s’écartent. Les 2 incisives du milieu s’appellent les pinces, ensuite on a les mitoyennes, et à l’extérieur, les coins. Lorsque la partie haute de la fleur de lys est usée et rejoint les bords, on dit que la dent nivelle. Ce nivellement a lieu vers 2 mois et demi pour les pinces, 3 mois pour les mitoyennes, 4 mois pour les coins. Les dents d’adulte sortent ver 4 mois et la bouche est complète vers 6 mois (les pinces de lait tombent vers 4 mois, les crocs vers 5 mois). A 1 an et demi, les pinces sont effacées (il n’y a plus de fleur de lys), puis à 2 ans et demi, ce sont les mitoyennes inférieures qui s’effacent leur tour. Conseil : Bien que l’usure des dents soit la meilleure façon de calculer l’âge d’un chien, cela reste toutefois approximatif, dans la mesure où l’alimentation joue un rôle important pouvant fausser les données. Le manque d’une ou deux dents par mâchoire n’a pas grande importance en soi, mais il faut savoir qu’il interdit la confirmation dans un certain nombre de races.
  7. Joyeux anniversaire à Dalhia qui fete ses 47 ans aujourd'hui et à Lilyblondy qui a 24 ans ce jour !
  8. Karine, Diva ressemble à une petite fée qui sème plein de bonheur autour d'elle avec sa baguette magique ! Elle est sublime !
  9. Deux petits princes qui ont l'air très complices !
  10. Passez une agréable journée !
  11. Mille mercis pour ce superbe montage avec mes petites puces adorées, Gilou ! Tu es une fée !
  12. C'est une formidable nouvelle, Martine ! Tu as de très jolies choses. Je te souhaite toute la réussite que tu mérites.
  13. Ce qu'il est chic ton petit Elvis ! Tu as deux petits bonhommes adorables.
  14. Le système olfactif canin La truffe du chien est une structure cartilagineuse mue par différents groupes de muscles, qui permettent de faire varier le calibre des narines et donc le débit de l'air inspiré et expiré. La truffe du chien est une structure cartilagineuse mue par différents groupes de muscles, qui permettent de faire varier le calibre des narines et donc le débit de l'air inspiré et expiré. Derrière se trouve la cavité nasale, entourée d'une charpente osseuse et scindée en deux fosses longitudinales. Chacune se divise en plusieurs canaux formés par des lames osseuses ou cartilagineuses, appelées cornets, dessinant un réseau complexe communiquant par de fins orifices. Débouche aussi dans la cavité nasale le conduit naso-lacrymal, qui assure son humidification, le conduit incisif, qui communique avec la cavité buccale, et l'organe voméro-nasal ; contrairement à ce qu'on croit souvent, celui-ci ne sert pas au chien dans le pistage des odeurs humaines, car il est seulement stimulé par les phéromones qu'émettent les glandes de ses congénères. La cavité nasale est tapissée vers l'avant d'un tégument garni de poils filtreurs ; puis d'une muqueuse respiratoire richement vascularisée, ajustant la température de l'air inspiré à celle du corps et filtrant aussi les poussières ; et enfin vers l'arrière de la muqueuse olfactive. Celle-ci est composée de plusieurs couches, qui contiennent de nombreuses glandes produisant un mucus dans lesquelles les molécules odorantes se dissolvent et se concentrent (10 000 fois plus que dans l'air ambiant), ainsi que des fibres nerveuses. Les molécules entrent ainsi en contact avec un maillage serré de cellules neuroréceptrices, dont les extrémités rejoignent les neurones du bulbe olfactif cérébral. La fixation de la molécule odorante aux récepteurs entraîne une cascade de réactions biochimiques qui modifie la polarisation électrique de ces cellules, ces différences de potentiel étant transmis au bulbe olfactif. L'intensité de la stimulation olfactive dépend du débit aérien, que le chien accroît lors du flairage (le faisant passer de 100 ml/s à 1 l/s), qui augmente le nombre de molécules rentrant en contact avec ses récepteurs, et de la concentration en molécules odorantes. Une faible concentration peut être perçue, car les récepteurs sont beaucoup plus nombreux (25 000 pour 10) que les neurones auxquels ils se connectent : le message est concentré et amplifié. Un récepteur peut être activé par une substance et non par une autre ; la perception d'une odeur dépend donc de la somme des effets des molécules sur l'ensemble des récepteurs ; Le bulbe olfactif, qui intègre l'afflux des signaux, décrypte finalement l'odeur. Il est aussi en relation avec d'autres zones du cerveau, ce qui permet de mémoriser l'information olfactive ainsi que toute émotion associée, comme de commander d'autres actions, tels des flairages supplémentaires.
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