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Néphélie-titmousefairycottage

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Tout ce qui a été posté par Néphélie-titmousefairycottage

  1. Ma Choubi, ta petite famille à 4 pattes respire le bonheur ! La photo de Toutie et de ton minou me fait complètement craquer. Elle a du caractère ta petite dernière ! Et qu'est-ce qu'elle est petite par rapport à Youyou et Cassie. Gros calins à toute la Choubifamily de ma part et beaucoup de bonheur à vous partager.
  2. Je n'y serais malheureusement pas présente non plus, ma Choubi. Mais comme le dit Sonson, ce serait formidable si nous pouvions avoir quelques photos !
  3. Info du 17/01/2009 Suisse - Les mushers devraient pouvoir s'élancer le week-end prochain Photo : SPECTACLE NON-STOP Samedi et dimanche prochains, environ 700 chiens nordiques devraient prendre le départ à Saignelégier dès 9h30 le matin. (ARCHIVES RICHARD LEUENBERGER) Annulées en 2007 et 2008 faute de neige, les courses internationales de chiens de traîneaux ont de bonnes chances d'avoir lieu les 24 et 25 janvier. Elles s'inscriront sous le thème des «Trappeurs du Grand Nord» «Cette fois-ci, on a de la neige, et elle est dure!» Depuis que René Jaquet préside la Société de développement et d'embellissement de Saignelégier, en 2007, les Courses internationales de chiens de traîneau et la Fête du chien nordique n'ont jamais eu lieu. Mais vu la couche de neige bien tassée qui couvre en ce moment les Franches-Montagnes, la manifestation devrait bel et bien faire son retour, samedi 24 et dimanche 25 janvier. La décision définitive sera prise lundi soir. Une cinquantaine d'attelages ont déjà rendu leur inscription et trente devraient confirmer la leur cette semaine. Avec 80 attelages attendus, ce sont environ 700 chiens nordiques qui devraient s'en donner à cœur joie à travers la région et la rendre digne du Grand Nord. «Les courses devraient être particulièrement corsées, car la saison d'hiver a débuté tôt et les mushers ont bien eu le temps de s'entraîner», se réjouit Maurice Jobin, alias «leFrisé», grand manitou de l'événement depuis sa création en 1973. «Mais les concurrents sont des amoureux des chiens de race et courent plus pour le plaisir que pour le chronomètre.» Les onze courses se dérouleront en deux manches, soit samedi et dimanche dès 9h30 au départ de Saignelégier, pour des parcours de 8, 12, 18 ou 35 km. Elles se déclinent en catégories «races nordiques», «huskies de Sibérie», «skijoering», ou sont totalement ouvertes. Une course dédiée aux enfants de 6 à 16 ans se tiendra samedi et dimanche dès 14h30. Résultats complets le soir dès 16h30. Du côté de l'animation, les organisateurs annoncent un concept «encore plus beau, plus grand et plus soigné» que jamais. La manifestation ayant été annulée en 2007 et en 2008, des projets originaux sont en effet «en gestation» depuis deux ans. Pour assurer le spectacle entre les départs et les arrivées, une animation «Trappeurs du Grand Nord» sera proposée au public, les deux jours dès 13h30 sur l'esplanade du Marché-Concours (lire encadré). Des démontrations de fumerie de saumon à l'ancienne, de patinettes finlandaises et des présentations de races de chiens de traîneaux seront aussi proposées. Une vaste exposition de Jacques Tournel, photographe animalier, sera accrochée le long de la galerie supérieure de la halle du Marché-Concours. A noter qu'il y aura de quoi se restaurer et boire un pot au Bar du trappeur tout au long de la manifestation. Tout ça, grâce à plus de 150 bénévoles. /DWI Informations mises à jour à l'adresse http://www.sde-saignelegier.ch(...) DELPHINE WILLEMIN Trappeurs du Grand Nord Durant les deux jours de la manifestation, une animation ludique intitulée «Les trappeurs du Grand Nord» va créer le spectacle sur l'esplanade du Marché-Concours. Vêtus d'un costume de circonstance, les mushers s'affronteront sur un parcours semé d'embûches d'environ 500 mètres, avec un attelage à deux chiens de race nordique et un traîneau de style traditionnel. Les concurrents devront démontrer leurs talents de trappeurs, avec une besace contenant un couteau, trois allumettes et une feuille de journal. Le défi? Conduire les chiens avec dextérité, tout en franchissant une colline, une rivière, un slalom, avant de chercher du bois et d'allumer un feu, en chaussant des raquettes à neige. Les arbitres choisiront le meilleur trappeur ou la meilleure trappeuse, en fonction du temps, des épreuves accomplies et du déguisement. /dwi Le point sur la neige Enneigement Les conditions telles qu'aujourd'hui seraient idéales pour la manifestation. Point critique Le passage le plus délicat se situe entre Saignelégier et Les Emibois. Prévisions Les conditions météo n'arrêtent pas de changer ces derniers jours, difficile de s'y fier. A la pelle! Les nombreux bénévoles n'hésiteront pas à sortir la pelle si besoin.
  4. Ces 4 petits bouts sont adorables ! Ils vont faire des heureux, à n'en pas douter.
  5. à ton petit Brutus, Corinne ! Ton petit bout est magnifique !
  6. sur Chihuahua Angel, Corinne ! J'espère que tu te plairas parmi nous.
  7. Suisse : quatre chevaux meurent après avoir mangé des écorces d’acacia Suisse : quatre chevaux meurent après avoir mangé des écorces d’acacia. Vers la fin du mois de décembre 2008, un drame peu commun a touché une écurie de Rodersdorf (Suisse). Quatre chevaux ont été retrouvés morts après avoir ingurgité des écorces d’acacia. D’après les explications données par un praticien officiant auprès de l'hôpital vétérinaire de Zurich, un cheval pesant plus d’une demi-tonne n’a aucune chance de survivre après avoir consommé même 150 grammes d'écorces d'acacia, la mort pouvant intervenir après quelques minutes seulement. L’acacia compte plus de 1500 espèces dont l’Acacia Sénégal à partir duquel on extrait la vraie gomme arabique utilisée dans l’industrie agroalimentaire. Dans la nature, les cavités de ses grosses épines fournissent un nid douillet pour les fourmis, le défendant ainsi des espèces herbivores comme la girafe. En France, c’est le robinier que l’on désigne par ce nom vernaculaire. La police soleuroise chargée de l’enquête, n’a pu pour le moment élucider la seule question que tout le monde se pose, à savoir si la branche était tombée toute seule dans l’enclos ou si quelqu’un de malintentionné l’y a jeté volontairement. Ce qui est sûr c’est que la branche provenait d’un arbre se trouvant en dehors de la clôture. Ce malheureux accident constitue une mise en garde pour tout propriétaire de chevaux.
  8. Les Oiseaux face au Général Hiver ! Mais, alors que l'hiver est solidement installé, cette parure semble bien fragile... Pour ces charmantes boules de plumes, la période actuelle est la plus difficile à traverser, la plus meurtrière. À nous de les aider à passer ce mauvais cap. Face au Général Hiver… Pour affronter le froid, la neige, le givre, certains oiseaux se préparent mieux que d'autres : ils muent juste avant le début de l'hiver, sachant que leurs plumes neuves, en se gonflant de manière optimale pour emprisonner l'air, les aideront à mieux se garder au chaud. D'autres ont la sagesse de faire des réserves, tels le Geai ou la Mésange. D'autres encore se rassemblent, comme les Moineaux, les Étourneaux ou les Pinsons; au sein de ces groupes, chaque individu trouve la chaleur et la sécurité (bien relatives, certes), tout en ayant accès aux informations concernant les sources de nourriture les plus proches, ou les plus faciles à atteindre. Malheureusement, ces différentes stratégies ne sont parfois pas suffisantes pour affronter le "Poireau Hiver" ("poireau" étant, dit-on, le surnom dont on affuble les généraux dans l'armée de terre !), surtout lorsque, comme en décembre dernier, le thermomètre a flirté pendant plusieurs jours avec les -15°… C'est alors à nous, les humains, d'intervenir, et cela pour au moins quatre bonnes raisons : 1 Par temps froid, les oiseaux ont besoin d'un surplus de nourriture pour maintenir leur température corporelle aux alentours de 40°. Et même si le plumage constitue un excellent isolant, il ne peut empêcher une certaine déperdition de chaleur, en particulier pendant la nuit, toujours trop longue et froide. 2 Le gel, la glace, la neige (même si elle est rare chez nous) rendent la quête de nourriture plus difficile qu'en temps ordinaire, et les oiseaux dépensent donc beaucoup plus d'énergie. Ce qui va évidemment à l'encontre de ce qu'ils devraient faire, c'est-à-dire rester bien tranquillement au coin du feu… 3 L'avancement de l'hiver correspond à une raréfaction progressive - voire parfois à la disparition complète - des baies, graines et larves. 4 Et n'oublions que nos pauvres petites bestioles disposent de moitié moins de temps qu'à la belle saison pour la recherche de leur nourriture, les jours étant plus courts. Bref, le constat est alarmant… Il nous faut donc, dès demain, se préoccuper du sort de nos petits compagnons à plumes. Il y a vraiment urgence ! Un plan ORSEC pour les oiseaux ! Nous reviendrons certainement un jour ou l'autre sur des mesures à plus long terme qui permettent d'attirer puis de "maintenir" dans son bout de jardin un grand nombre d'oiseaux : plantation de haies, d'arbres et arbustes à baies, pose de nichoirs, protection rapprochée… Mais, pour le moment, agissons : voici ce qu'il convient de faire, en urgence ! Point n° 1, installer une ou plusieurs mangeoires, que vous trouverez déjà montées ou en kits dans le commerce ou auprès d'associations de protection de la nature (1). Et si vous êtes un grand constructeur, laissez libre cours à votre imagination, mais en prenant soin d'utiliser des matériaux résistants aux intempéries et non traités - l'huile de lin est préférable à la peinture ou au verni. Quelques impératifs à respecter : la mise en place doit se faire à l'abri du vent et de la pluie (l'orientation au Sud-Est est la meilleure), et en tenant compte de la présence dans les parages d'un terrible prédateur : le chat du voisin… ou le vôtre ! Un nettoyage régulier est essentiel, de manière à éviter la propagation de maladies. Point n° 2, prévoir un abreuvoir, à proximité immédiate de la mangeoire - une coupelle peu profonde fera l'affaire. Vous êtes-vous déjà posé la question : comment font les oiseaux pour boire quand le gel a tout pris, la mare de votre voisin, l'étang ou le ruisseau près de chez vous, et jusqu'à la moindre flaque d'eau ? Il faut évidemment prendre soin de cet abreuvoir, à savoir le dégeler, le nettoyer et le remplir très régulièrement. Les oiseaux, qui meurent autant de soif que de faim en hiver, auront vite enregistré vos horaires de remplissage, avant que l'eau ne devienne glace !
  9. Un petit frère pour Dolby, Origane ?
  10. Apprenez la relaxation et l'art de la paresse grâce à votre chat Si vous vous y prenez bien, d'un côté votre animal appréciera certainement ce moment d'indolence que vous allez partager avec lui et quant à vous,vous serez pleinement satisfait de savourer un vrai moment de relaxation. Mais d'abord il va falloir résister à la tentation d'en faire trop, c'est exactement le contraire qui est demandé ici. Car malheureusement certains maîtres sont parfois excessivement envahissants avec leurs animaux domestiques. Cela part généralement d'un bon sentiment, mais imaginez que l'on vous parle sans cesse, qu'on cherche constamment à savoir où vous vous trouvez, ou que l'on vous questionne en permanence pour savoir ce que vous faîtes : nul doute que vous demanderiez à avoir un peu de répit et d'instants personnels. Or le chat est un animal qui précisément, n'a pas besoin d'attention extravagante et démesurée. De plus, il n'aime pas beaucoup non plus, être trop dérangé. Tout porte à croire également, qu'il prenne énormément de plaisir à ne rien faire. Et savez vous quoi ? Il est bien possible qu'il n'attende qu'une chose : c'est que vous fassiez comme lui! Il aime le calme et il est peu friand des agitations et du bruit. Comment s'y prendre ? D'abord sans le forcer et au moment où vous le sentirez disponible, invitez-le à venir dans vos bras, mais n'allez pas plus loin ; car pour être tout à fait exact, le chat ne demande pas à ce que l'on s'occupe moins de lui, mais il a besoin plutôt d'une attention qui se doit d'être à la fois subtile, respectueuse et parfois discrète. En fait, celle-ci doit s'exprimer avec le moins de tumulte possible. Là, vous observerez le réel plaisir qu'a le chat à partager ce moment de silence relaxant et paisible avec vous, simplement tous les deux, comme ça, à ne rien faire... Optez pour une position confortable et stable dans un fauteuil ou sur une chaise, le corps détendu et légèrement incliné(e) en arrière. Le chat pourra ainsi commodément se reposer sur votre poitrine pour s'imprégner de la chaleur dégagée par votre corps. Entourez-le de vos bras sans le serrer. Laissez le chat reposer sa tête sur l'un de vos avant-bras ou dans l'une des paumes de vos mains. Vous êtes maintenant prêt pour un instant de relaxation totale. Dites-vous que pour vous aussi, c'est une occasion de lâcher prise, de ralentir la cadence, d'évacuer le stress et de vous détendre. Le travail et les soucis pourront bien attendre encore cinq minutes...Vous allez vous concentrer sur les mouvements respiratoires de votre chat et observez sa façon de se blottir et de se prélasser. Ne pensez plus à rien. Savourez juste cet instant, laissez-vous bercer par les lentes oscillations du corps de l'animal lorsqu'il respire tout contre vous. Faites silence et pour ce genre de séance résistez vraiment à la tentation de le caresser. Il s'agit plus ici de se détendre , de ne plus rien faire et d'une certaine manière, de marquer une pause, de bloquer les aiguilles du temps qui passe, le chat étant vraiment le compagnon idéal pour ce genre d'exercice. Accordez-vous, à vous et à votre chat, cinq à six minutes par jour, pour ce moment de pure détente. Et souvenez-vous, moins vous en ferez et mieux cela sera. Si vous êtes quelqu'un d'extrêmement dynamique, que l'inactivité vous angoisse, ceci pourra probablement vous paraître long, irréalisable au quotidien, voire même peut-être un peu ridicule. Mais sachez que consacrer un peu de son temps au calme et au silence de manière proche et complice avec son chat, renforce les liens avec celui-ci. De plus, alors que ce félin a un plaisir non-dissimulé pour la paresse et la détente, si vous savez vous y prendre, c'est à dire en l'invitant et non en le contrariant , en l'incitant et non en lui forçant brusquement la main, il appréciera sans aucun doute, que vous partagiez cet instant privilégier, seul avec lui.
  11. Un concours de beauté pour chiens sera organisé au Vietnam Pour la première fois, un concours de beauté qui mettra en vedette nos amis les chiens, sera organisé au Vietnam. La manifestation se tiendra au palais culturel Dâm Sen de Hô Chi Minh-Ville dans les jours à venir, indique le Courrier du Vietnam sur son site internet. Pour cette grande première qui sera organisée selon les règles prescrites par la Fédération Cynophile Internationale (FCI), on verra la participation de plus de 300 chiens de race. Les boules de poils seront jugées selon des critères de beauté définissant la race tels que le pelage par exemple. Le jury, présidé par Thomas Lim, membre de la FCI, décernera 18 prix aux 6 plus belles races qu’il aura méticuleusement sélectionnées. Le bouledogue, le rottweiler, le chihuahua du Mexique, le berger, le chien de Phu Quôc seront jugés différemment par un standard physique prédéfini. Pour inscrire leur compagnon à quatre pattes à ce grand événement de l’année, les propriétaires de chiens ont dû s’acquitter de la modique somme de 100.000 à 200.000 dôngs ; ceux qui ont raté leur inscription, pourront toutefois se rattraper pour la prochaine manifestation qui aura lieu le 2 septembre 2009. Le recensement du Club Vietnamien du Chien (CVC), une association nouvellement créée, fait état de 200 personnes se trouvant pour la plupart dans le sud du pays et possédant de précieuses races de chiens. L’organisme table sur la protection des chiens de races vietnamiennes et étrangères et en ce sens coopère avec des centres d’étude génétique. Il organise des expositions et des colloques pour permettre aux amateurs de chiens de faire des échanges d’expériences.
  12. Info du 16/01/2009 Suisse (Valais) - Chiens sauvés in extremis Le refuge d'Ardon (VS) a récupéré 26 bêtes qui vivaient dans une remorque et dans un état sanitaire désastreux. Gaëlle Cajeux Une vingtaine de chiens affamés, bourrés de puces et de vers, les poils noircis par leurs déjections fécales, souffrant de fièvre, d'otites ou de conjonctivites. C'est une vraie scène d'horreur, à laquelle les employés du refuge d'animaux d'Ardon (VS) ont dû faire face lundi soir. Peu après 18 h, deux hommes, un père et son fils, se présentent au refuge. Ils sont Belges, ont environ 75 et 50 ans, des vêtements totalement souillés et paraissent complètement perdus. Dans leur véhicule 4x4 et leur remorque - utilisée habituellement pour transporter 4 ou 5 huskies - s'entassent 17 caniches (dont 3 petits), 2 pékinois, 1 labrador, 5 dalmatiens et 1 chat. Dans un état sanitaire déplorable. Les deux individus cherchent à placer leurs animaux, que les autres centres de la région avaient refusés. Refuge débordé «Nous avons accepté, pour les animaux, explique Chantal Oberson, responsable bénévole du refuge d'Ardon. Mais nous accueillons déjà 27 chiens et une soixantaine de chats. Avec ces nouveaux pensionnaires, le refuge déborde. Nous avons dû engager une personne à 100% pour s'en occuper.» «Cette prise en charge représente un coût supplémentaire de plusieurs milliers de francs. Alors que nous avons déjà du mal à boucler notre budget», poursuit Jean-Charles Zimmermann. Déclaration de cession Mais le vice-président de la Ligue valaisanne pour la protection des animaux tient surtout à souligner «le drame de la misère humaine» qui se cache derrière cette affaire tragique. «C'est un cas de dé-tresse morale.» Et non pas une crapuleuse affaire de commerce d'animaux. Ayant perdu la ferme où il élevait ses chiens en France, le cinquantenaire belge les a placés dans un chenil. Avant de découvrir que ses bêtes n'étaient absolument pas soignées. Il les a alors retirées d'urgence et s'est retrouvé, sans domicile, avec cette meute à prendre en charge. «C'est une personne en détresse, prise dans une spirale et qui n'a plus les moyens de s'occuper de ses chiens», précise le vétérinaire cantonal, Jérôme Barras. Grâce à la collaboration de la police de proximité, de la Ligue valaisanne pour la protection des animaux* et de l'Office vétérinaire cantonal, ce cas dramatique a finalement été résolu hier soir. Le propriétaire des chiens a signé une déclaration de cession des animaux au refuge et n'a désormais plus le droit de détenir de chiens en Valais.
  13. Je suis tellement désolée, Nel...
  14. Transport des carnivores domestiques en Union Européenne source: http://www.snpcc.com/page000101e4.html Pour exécution : - Directeurs départementaux des services vétérinaires - DDSV/R – Services des affaires régionales -Directive 92/65/CEE du Conseil du 13 juillet 1992 définissant les conditions de police sanitaire régissant les échanges et les importations dans la Communauté d’animaux, de spermes, d’ovules et d’embryons non soumis, en ce qui concerne les conditions de police sanitaire, aux réglementations communautaires spécifiques visées à l’annexe A section I de la directive 90/425/CEE. -Règlement (CE) N° 998/2003 du Parlement européen et du Conseil du 26 mai 2003 concernant les conditions de police sanitaire applicables aux mouvements non commerciaux d’animaux de compagnie, et modifiant la directive 92/65/CEE du Conseil. -Règlement (CE) N° 599/2004 de la Commission du 30 mars 2004 relatif à l’adoption d’un modèle harmonisé de certificat et de compte rendu d’inspection liés aux échanges intracommunautaires d’animaux et de produits d’origine animale. -Règlement (CE) N° 1/2005 du Conseil du 22 décembre 2004 relatif à la protection des animaux pendant le transport et les opérations annexes. -Décision 2003/803/CE de la Commission du 26 novembre 2003 établissant un passeport type pour les mouvements intracommunautaires de chiens, de chats et de furets. -Code rural, notamment les articles L.236-1, L.236-5, L.236-8, L.236-9 et L.236-10 relatifs aux échanges intracommunautaires des animaux vivants. -Arrêté du 14 janvier 2008 relatif à vaccination antirabique des animaux domestiques en Guyane -Arrêté du 24 juillet 2007 modifié relatif aux conditions et modalités de la vaccination antirabique des animaux domestiques -Arrêté du 20 mai 2005 relatif aux conditions de police sanitaire régissant les échanges intracommunautaires commerciaux et non commerciaux de certains carnivores. -Arrêté du 15 octobre 2004 relatif à la gestion des passeports pour animal de compagnie par les éditeurs et les vétérinaires. -Arrêté du 8 avril 2004 relatif aux modalités d’édition, de diffusion et de délivrance du passeport pour animal de compagnie. -Arrêté du 9 juin 1994 relatif aux règles applicables aux échanges d’animaux vivants, de semences et embryons et à l’organisation des contrôles vétérinaires. -Circulaire du 15 novembre 2004 relative à la mise en application du règlement (CE) N° 998/2003 et de l’arrêté du 19 juillet 2002, notamment l’importation illégale d’animaux vivants ainsi que la gestion des non conformités à l’importation et aux échanges intracommunautaires. -Note d’information DGAL/SDSPA/B2005-8001 du 24 août 2005 relative aux mouvements non commerciaux des carnivores domestiques entre les Etats membres de l’Union européenne. INTRODUCTION Depuis le 1 les carnivores domestiques (chiens, chats et furets) doivent répondre à de nouvelles conditions sanitaires pour circuler au sein de l’Union européenne. Afin d’éviter que les mouvements commerciaux soient frauduleusement dissimulés comme mouvements non commerciaux d’animaux de compagnie, le règlement (CE) N° 998/2003 modifie les dispositions de la directive 92/65/CEE et uniformise les règles applicables aux mouvements commerciaux et non commerciaux des carnivores domestiques. Par ailleurs, le régime spécifique pour les mouvements d’animaux de compagnie vers le Royaume-Uni, l’Irlande, Malte et la Suède qui a été mis en place pendant une période transitoire de cinq années est prolongé jusqu’au 30 juin 2010. La présente note rappelle les conditions applicables à la circulation des carnivores et des autres animaux de compagnie Une autre note viendra préciser les règles à mettre en oeuvre, en application de l’article L.236-9 du code rural, dans le cas de contrôles à l’introduction défavorables des animaux de compagnie originaires des autres Etats membres, qu’ils soient détectés par vos soins dans les établissements de destination (animaleries, notamment), par les vétérinaires sanitaires ou bien encore par les agents d’autres administrations dans le cadre de leur contrôle de routine. A/ CONDITIONS SANITAIRES COMMUNES APPLICABLES AUX ÉCHANGES INTRACOMMUNAUTAIRES DES CARNIVORES DOMESTIQUES (ANNEXE I) 1) L’IDENTIFICATION : Jusqu’au 3 juillet 2011, les chiens, les chats et les furets sont considérés comme identifiés s’ils sont porteurs : - d’un tatouage clairement lisible, - ou d’un système d’identification électronique (transpondeur). Après cette période transitoire, seul le système d’identification électronique sera accepté en tant que moyen d’identification d’un animal. Lorsque le système d’identification électronique utilisé dans l’Etat membre expéditeur n’est pas conforme à la norme ISO 11784 ou à l’annexe A de la norme ISO 11785, le propriétaire ou la personne physique qui assume la responsabilité de l’animal de compagnie doit, lors de tout contrôle, fournir les moyens nécessaires à la lecture du transpondeur. Le Royaume-Uni, l’Irlande et Malte ne reconnaissent que le système d’identification électronique. En outre, pour les expéditions vers un autre Etat membre, il est vivement recommandé aux propriétaires de carnivores domestiques de se renseigner auprès de l’Ambassade du pays de destination pour vérifier les modalités d’identification officiellement reconnues. Attention : transpondeur au moment de la vaccination antirabique sont considérés comme ayant unevaccination en cours de validité. Toutefois, un animal peut entrer en Grande-Bretagne si sontranspondeur a été posé après la vaccination et le titrage d’anticorps, à la condition qu’il soitidentifié au moment de la vaccination et de la prise de sang par le moyen d’un tatouage officiel.Dans ce cas, le passeport de l’animal doit comporter le numéro du tatouage et celui de la puce électronique.
  15. Les restaurants chinois servent aussi du chat Une sordide histoire vient d’être révélée par un quotidien chinois, le Southern Metropolis Daily. Le journal nous rapporte qu’un trafic de chats s’opère dans la ville de Guangdong et les boules de poils finissent leur vie dans la casserole des grands chefs de restaurants. Le trafic a commencé depuis le début du mois de décembre 2008. Les petits félins sont capturés dans les provinces avoisinantes et sont vendus auprès des grossistes de Dongguan qui les revendent à leur tour aux restaurateurs. Une pratique barbare et honteuse, désavouée par certains et tolérée par d’autres, si l’on se réfère au sondage en ligne mené auprès des internautes. 661 des 886 des interrogés ont en effet manifesté leur dégoût à l’idée de manger un chat. Par contre, 207 trouve la viande plutôt bonne. Toutefois, la police chinoise indique qu’aucune action ne sera menée pour interrompre ce trafic tant que les commerçants sont en mesure de produire des pièces justificatives ; des actes qui, de surcroît, ne vont pas à l’encontre de la loi chinoise selon les dires d’un avocat de la ville, Zhang Yuanlong. Manger du chat n’est pas une pratique propre à la Chine. Il y a quelques mois de cela, la Suisse a frisé le ridicule lorsque la communauté européenne a appris que dans ce pays, les chats font partie des mets très appréciés à la campagne. La loi suisse n’interdit pas l’abattage et la consommation de chat. On présume que les plus préférés devraient être les maine coon, étant donné qu'ils figurent parmi les plus gros chats du monde.
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