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Néphélie-titmousefairycottage

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Tout ce qui a été posté par Néphélie-titmousefairycottage

  1. " Le chagrin est comme un grand trésor : on ne s'en ouvre qu'à ses intimes. " Proverbe Malgache.
  2. J'adore ma Sonson ! On reprend le rythme d'une création par jour ? Ou plus si tu veux !
  3. sur Chihuahua Angel, Hirondelle ! J'espère que tu te plairas parmi nous.
  4. Oh oui Jaja ! On ne se lasse pas d'admirer vos tites merveilles !
  5. Non Kaali, ce ne sont pas les miens... Ce sont des images que j'ai trouvé par hasard sur Internet.
  6. Par Emmanuel ANGLEYS AFP - Dimanche 5 octobre, 09h43 PARIS (AFP) - La plus grave crise d'extinction des espèces depuis la disparition des dinosaures est en marche, selon des experts réunis à partir de dimanche à Barcelone sous l'égide de l'Union mondiale pour la nature (UICN). Quelque 8.000 participants - scientifiques, ministres de l'environnement, militants, représentants d'ONG - sont attendus à ce 4ème congrès du le plus vaste réseau de collecte d'informations sur l'environnement, du 5 au 14 octobre. Le déclin accéléré de la biodiversité provoqué par l'homme, directement ou indirectement, sera au centre des débats. Lundi l'UICN doit publier une "liste rouge" très attendue des espèces menacées, qui devrait confirmer la gravité de la crise actuelle. Cette liste, publiée chaque année et reconnue comme l'évaluation la plus fiable du statut des espèces de la planète, s'allonge dangereusement. En 2007, près de 200 nouvelles espèces avaient rejoint la liste des 16.306 espèces menacées d'extinction sur 41.415 espèces mises sous surveillance par l'UICN parmi 1,9 million connues dans le monde. Globalement, un mammifère sur quatre, un oiseau sur huit, un tiers des amphibiens et 70% des plantes sont en danger. Au total, 785 espèces sont déjà éteintes et 65 survivent seulement en captivité ou à l'état domestique, selon l'UICN. Les délégués, réunis à Barcelone, vont évoquer les enjeux de cette crise de la biodiversité et proposer des plans d'action pour tenter d'y faire face. "Le nombre d'espèces diminue sur terre et la vitesse de leur disparition augmente très rapidement ce qui fait qu'on parle de la 6ème grande extinction", indique Jean-Patrick Le Duc, du Muséum national d'histoire naturelle (MNHN). La précédente extinction massive remonte à la disparition des dinosaures. Selon les experts, le rythme actuel d'extinction est de 100 à 1.000 supérieur à ce qu'il a été en moyenne sur des centaines de millions d'années. Les défenseurs de la biodiversité plaident pour le salut d'un maximum d'espèces en vertu du principe de précaution. "Aucune espèce n'est banale, chacune est le produit de millions d'années d'évolution et joue un rôle dans l'écosystème", souligne Wendy Foden, responsable du programme changement climatique et espèces à l'UICN. Les scientifiques plaident pour la création de vastes espaces naturels préservés. En France, la création d'une "trame verte et bleue", constituée d'aires protégées et de corridors les reliant afin de faciliter la circulation des espèces sauvages, est à l'étude. L'érosion de la biodiversité est provoquée à la fois par l'étalement urbain, la pollution, le changement climatique, les conflits armés ou encore à la surexploitation des ressources. L'UICN devrait profiter de la vitrine offerte par ce congrès, qui se tient tous les 4 ans, pour sensibiliser les décideurs et l'opinion publique à la cause environnementale. Seul le sommet mondial sur le développement durable de Johannesbourg en 2002, avait réuni plus de participants, selon les organisateurs du congrès de Barcelone. Organisation atypique, créée le 5 octobre 1948 à Fontainebleau, en France, l'UICN, dont le siège est à Gland, en Suisse, rassemble plus d'un millier de membres, représentants de gouvernements (80) et d'ONG (800), et quelque 10.000 scientifiques bénévoles. A l'occasion de ce congrès, un rassemblement international de bateaux est prévu dans le port de Barcelone du 4 au 9 octobre afin de promouvoir la protection de l'environnement marin, avec le Fleur de Lampaul de la fondation Nicolas Hulot, et le voilier polaire Tara.
  7. «Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d'aller de l'avant.» Paulo Coelho
  8. Info du 03/10/2008 Ile Maurice : La MSPA dénonce des combats entre chiens dans le Nord Le «pit fighting», qui ferait aussi l’objet de paris illégaux, serait courant à Piton. La MSPCA alerte également sur les autres délits concernant les chiens de race, dont les vols et le commerce illégal. Le chien est le meilleur ami de l’homme, dit l’adage. Mais par les temps qui courent ce serait plutôt l’homme qui serait le meilleur ennemi du chien. Les chiens de race sont souvent exploités par certains qui n’hésitent pas à les voler pour ensuite les revendre. D’autres encore n’hésitent pas à organiser le pit fighting, des combats entre chiens, notamment dans le Nord, à Piton. C’est ce qu’ont indiqué des membres du public à la Mauritius Society for the Prevention of Cruelty to Animals (MSPCA). Selon des informations de l’autorité, ces combats se déroulent dans un endroit, à huis clos, mais ils feraient aussi l’objet de paris illégaux. Une enquête est ainsi en cours pour traquer ceux qui sont à l’origine de ces combats. Pour la consommation Outre cette activité illégale, des voleurs n’hésitent pas à s’emparer des chiens des autres. Pour mieux les revendre sur le marché noir. Car ces chiens coûtent entre Rs 15 000 et Rs 40 000. Plusieurs régions de l’île sont touchées par ces vols. Mercredi, la Criminal Investigation Division a effectué une crack down operation dans le Nord. Deux chiens volés ont été restitués à leur propriétaire. L’opération était menée sous la supervision du surintendant de police, Devanand Reekoye. Autre cruauté contre les animaux dénoncé par la MSPCA dans un rapport soumis au commissaire de police : des allégations concernant des vols ou le commerce de chiens pour consommation. A l’initiative de la MSPCA, une enquête a été ouverte à ce sujet. Maurice compte également plus de 500 éleveurs de chien. Cependant, plusieurs d’entre eux opèrent dans l’illégalité. Le vice-président de la MSPCA, Del Ghurburrun, explique que seulement une centaine d’éleveurs sont enregistrés auprès de l’autorité. En fait, une personne doit avoir un permis d’éleveur si elle possède plus de deux chiens. Mais beaucoup ne se font pas connaître auprès de la MSPCA. Cette dernière a ainsi mis sur pied une cellule anti-trafic pour traquer les individus qui s’adonnent au commerce illégal des chiens. Ces trafiquants sont repérés par des annonces qu’ils passent dans des journaux, sur Internet à travers le site Servihoo, ou quand ils font vacciner des chiens volés chez un vétérinaire, ou dans une clinique pour animaux. Pour être plus efficace dans le combat contre le trafic illégal des chiens, la MSPCA a aussi renforcé ses effectifs à la cellule anti-trafic et aussi au niveau de ses inspecteurs. Des contrats de vente et d’achat seront également bientôt obligatoires pour limiter le trafic au marché noir. Le trafic de chien prend de l’ampleur à Maurice à cause de la demande grandissante pour les chiens de race sur le marché. Le pays compte environ 50 000 chiens de race. La MSPCA soutient que beaucoup souhaitent posséder un chien de race, celui-ci étant un symbole de richesse. Un chien confère également un sentiment de sécurité au propriétaire qui vit seul. Alors qu’ils sont de plus en plus nombreux à quitter le toit familial pour être indépendants. Ces personnes cherchent donc souvent un chien de compagnie. Ce dernier est aussi un atout pour les aveugles ou malvoyants. Jonathan RAJARAM
  9. Info du 04/10/2008 Yves Rénier lance un appel à l’adoption Une dame se retourne, toute surprise de découvrir le commissaire Moulin au milieu des cages de la SPA. Puis court quérir un autographe. C’est bien lui ! L’acteur Yves Rénier était hier au refuge Grammont de Gennevilliers pour lancer un appel à l’adoption à l’occasion des portes ouvertes de la SPA samedi et dimanche prochains. D’ordinaire, celles-ci permettent de trouver des maîtres à environ 1 000 animaux dans toute la France. Un désengorgement des centres bienvenu après l’arrivée massive de nouveaux pensionnaires pendant l’été. Cette année, il y a urgence. Caroline Lanty, la présidente de la SPA, souligne : « Nous avons 12% d’entrées supplémentaires par rapport à 2007, et ce n’est pas fini… » La présence d’un parrain permet de personnaliser l’événement et de lui donner plus de portée. Aux portes ouvertes de mai, c’est d’ordinaire l’animateur de télévision Jean-Pierre Foucault qui met à disposition sa notoriété. Et en octobre… Yves Rénier ! « T’es triste ? Patience, les gens vont se déplacer nombreux… » L’ami des bêtes, qui a fêté ses 66 ans mercredi, prend son rôle à coeur : « Aujourd’hui l’animal est déifié ! On voit des chiens avec des colliers en or massif… A côté de ça, il y a aussi des animaux attachés au bord de la route… C’est intolérable. Ce sont des êtres, capables de souffrir comme nous… » Le comédien possède trois chiens, Louma,Malco etNJ. Il s’arrête devant une cage où jappe un vieux toutou : « T’es triste ? Patience, les gens vont se déplacer nombreux… » Christophe Bellanger, le directeur du refuge Grammont, s’inquiète pourtant un peu : « Le contexte actuel ne joue pas en notre faveur. Pour abandonner leur animal, les maîtres avancent de plus en plus qu’ils n’arrivent plus à faire face financièrement. » Soucieuse qu’ils adoptent en connaissance de cause, la SPA insiste justement auprès des nouveaux propriétaires sur le budget à prévoir. «Nourrir son chien avec des aliments de qualité, le faire vacciner, ça coûte de l’argent », résume Christophe Bellanger. Il y a quand même des raisons d’espérer. Jacques et Joëlle sont venus spécialement d’Auxerre jusqu’à Gennevilliers pour adopter un petit chat repéré sur Internet. Yves Rénier, lui, continue sa visite. L’acteur sort un livre courant octobre : « Et si je m’étais trompé de vie ? » Un titre accrocheur, c’est tout, car l’homme ne regrette pas ses choix, et certainement pas son engagement pour la cause animale. Volubile, il raconte au milieu des aboiements : « J’étais en Indonésie en juin. Là-bas, ils mangent les chiens et les tuent devant vous sur les marchés. Je m’indigne àvoixhaute etuntypeme répond : Vous n’avez pas de leçon à donner, vousmangez bien les vaches… Je lui rétorque : Oui, mais elles ne dorment pas sur mon lit… » L’entreprise de vente par correspondance Vitrine Magique, qui appartient au groupe 3 Suisses, a remis hier à la SPA un chèque de 35 880 €, destiné au sauvetage des animaux de cirque, en présence d’Yves Rénier, qui a parrainé il y a peu un lion de cirque en Essonne. Le Parisien Photo : GENNEVILLIERS, HIER. Yves Resnier est venu soutenir la SPA à l’occasion de l’annonce de l’opération portes ouvertes qui aura lieu samedi et dimanche. Source : http://www.leparisien.fr/hauts(...)
  10. Ils sont superbes ces tits lutins. Ca me donne des envies de Noel...
  11. Info du 03/10/2008 Protection contre le loup : l'association FERUS défend les chiens de protection L'association FERUS qui protège le retour du loup, veut aussi soutenir les éleveurs qui utilisent des chiens de protection. Un éleveur est poursuivi en Maurienne après qu'un chien a mordu un randonneur. Un éleveur comparaissait le 25 septembre au tribunal de police de Saint Jean de Maurienneson chien de protection ayant mordu une personne. Le procureur avait requis une amende 750 euros (avec sursis). La procédure avait provoqué un rassemblement d'éleveurs venus soutenir leur collègues. Les éleveurs et bergers estiment en effet que les mesures imposées par l'Etat, l'utilisation de chiens patos qui peuvent être dangereux, leur fait courir une lourde responsabilité. FERUS a commenté la procédure dans un communique. « Si l’incident est fort regrettable, écrit-elle, la peine demandée l’est tout autant, sans parler du réquisitoire proprement décalé des réalités du terrain. Le comble dans cette affaire serait par exemple que le substitut du procureur impute, comme il l’a mentionné dans son réquisitoire, une « faute caractérisée » à l'éleveur car son chien est de race Maremme des Abruzzes et non Montagne des Pyrénées (patou). Il s’agit pourtant d’un type de chien tout aussi approprié et promu au même titre que le patou par les services administratifs et techniciens en charge du dossier » Statut juridique du chien de protection FERUS rappelle qu'ave son programme Pastoraloup, elle considère la présence des chiens de protection comme indispensable auprès des troupeaux. Ferus « déplore que cet accident soit évoqué devant une instance pénale et apporte son soutien aux éleveurs qui mettent en œuvre les moyens techniques et humains recommandés par tous ceux qui veulent maintenir à la fois l’élevage et la faune sauvage dans un même espace. » L'association considère que le statut juridique des chiens de troupeaux, qui ne peuvent être surveillés en permanence par leur propriétaire, doit les considérer comme des chiens « non divaguants » Pour en savoir plus FERUS http://ours-loup-lynx.info / http://ferus.org
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