Sonson

Bonne journée à toutes !

Les toilettes pour chien d'intérieur, c'est une idée toute bête, mais qui pourrait changer la vie de beaucoup de propriétaires d'animaux de compagnie. Vous êtes nombreux à vous demander s'il est possible pour un chien de faire ses besoins à l'intérieur de la maison. En effet, une personne âgée vivant en appartement ne peut pas toujours se permettre de sortir son compagnon autant de fois qu'elle le voudrait par jour. Dans certains cas, il se peut que le chien reste plusieurs heures d'affilée à la maison parce que ses maîtres sont en déplacement. D'autres fois encore, cette question se pose lorsque le chien est "déréglé" et qu'il aboie au milieu de la nuit pour aller faire ses besoins... Et puis certaines fois, le temps ne nous invite tout simplement pas à mettre le museau dehors ! Pour tous ceux-là la réponse est oui. Face au nombre important d'animaux vivant en appartement, plusieurs solutions se profilent pour les propriétaires s'inquiétant du "petit pipi sur le tapis". Parmi elles, les toilettes d'intérieur pour chien. Il s'agit d'un tapis de gazon artificiel, qui rappellera au chien son coin préféré du parc, disposé sur un bac de filtration des liquides. Ce tapis imputrescible (qui ne pourrit pas) et antimicrobien neutralisera les mauvaises odeurs et le petit pipi ne sera ni vu, ni connu. Une grosse commission ? Il suffit de la récupérer avec un sac plastique et de la jeter à la poubelle comme vous le faites dans la rue ou au parc.

Inventrice du Natural Rearing, Juliette de Baïracli Levy est une pionnière qui a posé les premières pierres d’une discipline aujourd’hui en pleine expansion : la santé holistique ou naturelle pour les animaux. L'inventrice du Natural Rearing Inspiratrice d’un vrai mode de vie, elle mise d’abord sur la robustesse d’un organisme sain (régime alimentaire proche de celui des canidés sauvages, exercice, vie au grand air, etc.) soutenu par l’utilisation de plantes médicinales, en prévention et en cas de maladie. En désaccord avec l’orientation de l’enseignement vétérinaire de son époque, elle interrompt ses études pour se consacrer à l’apprentissage des soins naturels aux animaux en vivant au contact de populations traditionnelles détentrices d’un savoir faire ancestral en la matière. Éleveuse, sous l’affixe Turkuman, de Lévriers afghans renommés, elle parcourt le monde avec sa petite meute, récoltant au passage les recettes des paysans, Berbères, Bédouins, tziganes et autres nomades de Grande-Bretagne, d’Israël, de Grèce, de Turquie, du Mexique et d’Autriche... Dans les années 1930, ses expériences lui permettent de soigner avec succès des chiens atteints de la maladie de Carré dans sa clinique londonienne, et de sauver des brebis condamnées. En matière d’alimentation, elle a inspiré de nombreux vétérinaires holistiques en Australie (BARF, Raw Feeding…) et aux États-Unis (régime Volhard, préconisations du docteur Pitcairn). Un petit retour aux sources permettra de comprendre la force de ses idées, issues d’une longue pratique cynophile, elle-même guidée par un amour dénué de tout anthropomorphisme vis-àvis du chien. La doctrine du Natural Rearing Grande admiratrice de l’état sauvage, Juliette de Baïracli Levy prône un régime naturel à base de viande crue, beaucoup de soleil et d’air frais, au moins 2 heures d’exercice par jour. Depuis que j’ai lu son apologie (le mot n’est pas trop fort) des bénéfices du contact avec la terre, je laisse mes chiens creuser des trous dans des endroits du jardin qui ne craignent pas l’assaut de leurs pattes véloces. Jadis, ces activités très prisées des jeunes chiens mais terriblement destructrices pour mes plantations me mettaient en colère. C’est un bonheur nouveau pour moi de les voir déployer toute leur énergie et revenir la truffe et le bas des pattes enduits d’une croûte terreuse. Outre ces conseils de mode de vie, l’éleveuse préconise ardemment la pratique du jeûne et autres méthodes naturelles (beaucoup de plantes sauvages, d’huiles…) à la place des vaccinations et des médecines de « suppression des symptômes ». Ses chiens mangent une nourriture variée incluant de la viande crue (parfois des lapins entiers avec la peau !), des produits laitiers, des oeufs, des herbes hachées, des algues en poudre, de petites quantités de fruits et légumes, de céréales comme des flocons d’avoine trempés pendant une nuit dans du lait de chèvre cru ou du yaourt.

Que feriez-vous si votre vétérinaire vous disait que votre chien doit être euthanasié à moins que vous n’ayez 1 700 $ (soit plus de 1 235 €) à débourser ? Que feriez-vous si en plus ce même vétérinaire refuse de vous rendre votre chien ? Ce jeune Néo-Zélandais de 18 ans n’a pas hésité : il a demandé à voir son chien, l’a pris dans ses bras, et s’est enfui en courant le plus vite possible. Buck, le chiot de 5 mois appartenant à Bronson Stewart a été percuté par une voiture. Le jeune Bronson accoure chez le vétérinaire qui lui annonce qu’il en coutera 1 700 $ pour soigner sa patte arrière cassée. Malheureusement le jeune Bronson ne travaille pas et n’a pas cette somme en poche. Comme alternative, le vétérinaire lui propose d’amputer la patte de son chien pour 547 $ (soit près de 400 €) ! Bronson, qui veut vraiment sauver son chien, propose de payer le vétérinaire 5 $ par semaine pour payer le prix de l’opération. Malgré la bonne volonté du jeune homme, le vétérinaire refuse l’offre et lui annonce qu’il faudra euthanasier son chien. Le pauvre Bronson ne peut même pas récupérer son chiot : le cabinet vétérinaire refuse de lui rendre parce qu’il est « en souffrance » et doit être soulagé. Il a alors demandé à voir son chien. Le personnel soignant l’a autorisé à sortir Buck de sa cage et à le prendre dans ses bras. C’est à ce moment que Bronson s’est enfui aussi vite qu’il le pouvait alors qu’un vétérinaire le pourchassait. Plus tard, un membre de la SCPA (équivalent de la SPA) s’est rendu chez lui pour lui annoncer qu’il devait rendre le chien. Sinon il risquait d’être poursuivi en justice ! Soutenu par son père, le jeune Bronson a refusé et a affirmé préférer aller en prison plutôt que de laisser son chien mourir. Mais tout est bien qui finit bien : le journal local a relayé la mésaventure de Bronson et son chien. Un mouvement solidaire s’est mis en place et les dons de la communauté ont afflué pour payer l’opération de Buck. L’association locale des vétérinaires a réagi en affirmant que les vétérinaires on un devoir éthique et l’obligation de faire ce qu’il est en leur pouvoir afin de sauver les animaux… quel qu’en soit le prix. Cette fois-ci, la solidarité a triomphé sur l’appât du gain, et Bronson a affirmé vouloir rembourser ses généreux donateurs en tondant les pelouses et en sortant les poubelles !

Sumo, le bichon maltais de Jacques et Bernadette Chirac, n’a pas supporté de quitter l’Elysée et ses jardins. Dans son nouvel appartement, le toutou de l’ex couple présidentiel, tournait en rond et déprimait. Malgré des antidépresseurs, le chien n’a jamais retrouvé sa joie de vivre. Après avoir mordu deux fois son maître, Bernadette s’est résolue à envoyer Sumo en pension, dans une ferme de Seine-et-Marne où il peut s’adonner à de belles gambades avec des potes à quatre pattes. Comment éviter d’arriver à cette solution traumatisante pour tous? Estelle Neveu, comportementaliste pour chiens, nous donne quelques conseils en cas de déménagement. Pourquoi, lors d’un déménagement, mon chien devient-il dépressif et agressif? Estelle Neveu : Par l’agressivité ou l’apathie, un chien manifeste qu’il ne peut pas s’adapter à son nouvel environnement. Son adaptation varie fortement selon son âge, son état de santé, sa sensibilité, ses habitudes et tous les bouleversements apportés par son nouveau cadre de vie. Le chien ne retrouve plus ses marques habituelles. Cette modification de son espace de vie l’affecte. Sans faire une liste exhaustive, ce nouveau quotidien peut ne pas lui convenir parce qu’autrefois, il avait un emplacement au calme qu’il n’a plus ou encore parce que son lieu de vie est moins riche en exploration. Il ne faut pas non plus négliger les interactions avec la famille. A la suite d’un déménagement, l’emploi du temps de ses maîtres peut changer, le chien se retrouve seul plus longtemps ou au contraire, la famille s’agrandit et il est trop sollicité. Quels sont les signes qui doivent nous alarmer? Estelle Neveu : Entre eux, les chiens ont des codes pour prévenir avant d’agresser. Ces signaux de menace sont lisibles dans les postures de votre chien. S’il est dans une position offensive, il cherchera à se grandir : droit sur ses pattes, oreilles vers l’avant, queue en l’air, poils hérissés. En en défensif, il se fera petit : fléchi, queue basse, oreilles en arrière. Bien souvent, cela s’accompagne de bruitages qui va du grognement à l’aboiement, avec également un retroussage de babines et fixité du regard. Dès que vous avez repéré ces signaux, il faut se détourner du chien. Demi tour sur vos talons, changez de pièce, écartez-vous de lui sans un mot. Faut-il lui donner des antidépresseurs? Estelle Neveu : Les antidépresseurs font partie d’un ensemble de solutions dont les maîtres disposent actuellement pour gérer les comportements gênants. Mais seul le vétérinaire est habilité à les prescrire. D’un chien à un autre, leur efficacité est variable. Il existe aussi la médecine naturelle ou encore le recours à un comportementaliste. Parfois, plusieurs approches sont à essayer avant de trouver la bonne solution. Que faire si mon chien me mord? Estelle Neveu : Se faire mordre par son propre chien peut être vécu comme une trahison. C’est une situation à prendre au sérieux. Il est plus fréquent de se faire mordre par un chien de la famille que par un chien inconnu car c’est celui avec lequel on a le plus d’échanges. Après une morsure, votre chien peut sembler montrer des regrets par une léchouille. Cela ne sert à rien de le punir à ce moment-là ni de le caresser. L’une de ces attitudes pourrait être mal comprise et entraîner une autre morsure. Encore une fois, sur le moment, offrez-lui votre plus belle indifférence sans un mot ni un regard à son égard. Doit-on se séparer d’un chien agressif qui a mordu à plusieurs reprises? Estelle Neveu : Tout dépend si les maîtres sont en mesure d’intervenir sur la cause de ce comportement. Et également s’ils souhaitent encore s’investir aux côtés de leur chien. Il circule souvent l’idée que le chien qui a mordu, mordra à nouveau. C’est aller vite dans l’examen de la situation. Il n’y a pas de constante. Si on réussit à éradiquer les raisons de son agressivité, il ne mordra pas nécessairement à nouveau ou alors, s’il le fait, peut-être a-t-il de nouvelles motivations de le faire. Par exemple, en vieillissant, le chien est plus sujet à des douleurs liées à l’âge. Jeune, ça ne lui posait aucun problème de se lever rapidement pour dégager le passage. S’il souffre des articulations, cela lui devient insupportable. Si son maître ne le comprend pas et le force, le chien peut réagir en mordant. Que faut-il faire en cas de déménagement? Estelle Neveu : Avant de vous installer, vous pouvez emmener votre chien visiter sa nouvelle habitation. Faites-le dans des conditions agréables, en lui laissant le temps de l’explorer en toute sécurité. On pourra l’y faire manger. Le jour du déménagement, tenez-le à l’écart de l’agitation. Et le lendemain, évitez de le laisser seul trop longtemps.

Depuis que Paris Hilton en a adopté un, le cochon miniature est devenu l’animal de compagnie à la mode aux Etats-Unis. Il faut dire qu’ils sont adorables, affectueux et très vite propres. En Angleterre, dans le Cambridgeshire, Jane Croft s’est reconvertie dans l’élevage des mini-cochons. “J’avais le coeur lourd, chaque fois que je devais conduire à l’abattoir les cochons que j’élevais. Je me souvenais de chacun d’eux. J’ai décidé de tout arrêter et de me lancer dans l’élevage des cochon miniatures. Dès qu’ils vous connaissent, ils se comportent comme de vrais bébés. Ce sont de fabuleux animaux de compagnie, très atachants. Comme les êtres humains, ils ont chacun leurs particularités, aucun ne se ressemble. ” Seul petit hic : des propriétaires de mini-cochons ont vu leur petit compagnon à la queue en tire-bouchon d’1 kilo peser en quatre mois 65 kilos! Et là, dans un salon, Mister ou Miss Pig, devient très vite encombrant. Résultat: leurs maîtres les abandonnent! “Il faut faire très attention à leur alimentation, explique Jane. Moi, je ne mange jamais de pancetta devant eux. Et puis, il faut aussi les acheter chez des éleveurs spécialisés. Vous n’aurez ainsi aucune mauvaise suprise.”

Unique, je domine ! A ma façon est le reflet de mon opinion. Mais c'est fleurie que j’exprime toute ma grâce !

Origane !

pour ma petite princesse ! Oh oui le temps passe tellement vite auprès de nos puces. Ce sentiment est encore plus fort vis à vis de mes filles plus agées, je me souviens de leurs premiers mois comme si c'était hier. Rhéa aura 10 ans à la fin de l'année et j'ai du mal à réaliser...

Toujours sous la neige !

Bon dodo et doux rêves

Origane Une autre... Ma monture ne mange jamais, elle ne boit jamais non plus, d’ailleurs ses verres sont impossibles à remplir, car les branches auxquelles ils s’accrochent n’ont pas de feuilles...

Oh non

C'est terrible ! Les animaux ne sont pas volés pour rien. J'espère qu'ils ne vont pas se retrouver dans des usines ou être utilisés pour des expérimentations. Bon sang ! Ca me rend malade !

Cette photo de Dolby est superbe

Elle est extra la nouvelle corbeille. Joline l'a bien adoptée !

Elle doit etre bien chaude cette doudoune

Le dernier est un chihuahua. Extraordinaire cette vidéo.

Bon anniversaire petit bonhomme, tu es superbe Quelle classe

Deville

Ma tite Enza fête déjà son premier anniversaire

A toutes !