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Nikita-equimonde a répondu à un(e) sujet de jessica07 dans Éducation du cheval
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Les disciplines olympiques de l’équitation classique
Nikita-equimonde a posté un sujet dans Équitation Classique
Voila pour ceux qui ne connaissent pas trop le classique...:P Saut d’obstacles La québécoise Laurie Bucci, Athlète identifiée « Excellence » Photo : professionalsphoto.com Une épreuve de saut d’obstacles est une compétition permettant d’évaluer la performance des chevaux et des cavaliers dans diverses conditions sur un parcours d’obstacles. Elle vise à démontrer la franchise d’un cheval, son énergie, son adresse et son obéissance à l’obstacle, ainsi que la qualité de monte de son cavalier. Les chevaux ne sont jugés qu’en fonction de leur performance sur un parcours dessiné d’avance. Un temps alloué est établi en fonction de la longueur du parcours et il doit être indiqué et respecté dans toutes les épreuves. En saut d’obstacles, lors d’une saison de compétition régulière, le niveau « Grand Prix » est le niveau international le plus élevé auquel un cavalier peut concourir. Les épreuves lors des Jeux olympiques, des Jeux équestres mondiaux, de la Coupe du Monde sont de niveau « Grand Prix ». La Fédération équestre Internationale (FEI) a établi des règles très précises quant à la description des obstacles et du terrain. Étant donné que le saut d’obstacles est une discipline combinant puissance et vitesse, les obstacles ne doivent jamais excéder 1,70 m en hauteur et 2,20 m en largeur. La « rivière », obstacle où le cheval doit sauter par-dessus de l’eau, ne peut excéder 5,50 m en longueur. Tout au long de l’année, les cavaliers cumulent des points lors de compétitions qui offrent des épreuves de qualifications pour la Coupe du Monde (à lire « World Cup Qualifier » ou « CSI-W » À la fin de l’année, Canada Hippique publie les résultats et les positions de chacun des cavaliers canadiens. L’acronyme CSI-W siginifie « concours de saut international ». Le W (pour « world ») désigne l’épreuve de qualification. Ces épreuves ont lieu au Canada mais répondent aux règlements de la FEI. Ce sont donc des épreuves internationales. Des concurrents étrangers sont invités à y participer. C’est le cas par exemple de l’International Bromont ou de la Classique de Blainville. (haut) Dressage Le dressage a pour but le développement harmonieux de la conformation et des moyens du cheval. Il a pour conséquence de le rendre à la fois calme, souple, délié et flexible mais aussi confiant, attentif et perspicace, réalisant ainsi une entente parfaite avec son cavalier. Ces qualités se manifestent par : La québécoise Evi Strasser, Athlète identifiée excellence, à Atlanta La franchise et la régularité des allures ; L’harmonie, la légèreté et l’aisance des mouvements; La légèreté de l’avant-main et l’engagement des postérieurs, dont l’origine est due à une impulsion toujours en éveil ; La soumission au mors, sans tension ni résistance aucune, c’est-à-dire dans une décontraction totale. Le cheval donne ainsi l’impression de se diriger lui-même. Confiant et attentif, il se livre aux demandes de son cavalier, restant absolument droit dans tous ses mouvements en ligne droite et ajustant son incurvation à la courbure des autres lignes. Le rythme maintenu par un cheval dans toutes ses allures est essentiel dans le dressage. On recherche ces qualités lors des reprises, une série de mouvements et d’allures obligatoires et imposés. Elles croissent en difficulté selon le niveau et permettent de mesurer les progrès du cavalier et de sa monture. La reprise libre (« freestyle » ou « kür ») se fait au son d’une musique choisie par le cavalier. On accorde ainsi des notes pour l’aspect technique et artistique. En dressage, lors d’une saison de compétition régulière, le niveau international le plus élevé auquel un cavalier peut concourir est également le niveau « Grand Prix ». Lors de concours internationaux, les reprises de « Grand Prix » sont habituellement utilisées pour les participations en équipe. C’est la FEI qui écrit les reprises. Les vingt-cinq meilleurs peuvent passer à la reprise suivante, soit le « Grand Prix Spécial ». Les meilleurs résultats des deux premières reprises sont ensuite compilés et seuls les quinze meilleurs peuvent passer à la reprise « Grand Prix Freestyle » qui se fait au son de la musique. Le résultat d’une équipe est basé sur les trois meilleures notes des membres de l’équipe. Les résultats individuels sont calculés selon la moyenne des reprises « Grand Prix », « Grand Prix Spécial » et « Grand Prix Freestyle ». La meilleure note remporte l’or, la deuxième meilleure l’argent et ainsi de suite. Peu importe le niveau de compétition, le cavalier a un temps limité pour effectuer sa reprise. Il ne peut exécuter les mouvements prescrits ni en-deçà ni au-delà du temps pré-déterminé. Au niveau international, les épreuves qualificatives sont appelées CDI-W. L’acronyme « CDI » signifie Concours de dressage international. Le W (pour « world ») désigne l’épreuve de qualification. (haut) Concours complet La québécoise Colleen Loach, Athlète identifiée Élite, lors d’une épreuve de fond Le concours complet est né des concours d’adresse que les officiers de cavalerie faisaient entre eux, question de mesurer le courage, la rapidité et la puissance de leurs montures. Aujourd’hui, le concours complet constitue l’événement compétitif le plus complet. Il exige de la part du concurrent une grande expérience des différentes facettes de l’équitation et une connaissance précise de son cheval. De la part du cheval, il exige un degré de compétence générale élevé, qui est le résultat d’un entraînement intelligent, rationnel et rigoureux. Le concours complet comprend trois épreuves distinctes qui se déroulent sur une, deux ou trois journées durant lesquelles le concurrent monte le même cheval pour effectuer : Une épreuve de dressage ; Une épreuve de fond (cross-country), qui peut consister uniquement en un parcours de cross-country (phase D) ; c’est le concours combiné (CIC). L’épreuve complète (CCI) comprend les phases suivantes : Phase A & C – parcours sur routes et sentiers Phase B – parcours de steeple-chase Phase D – parcours de cross-country Une épreuve de saut d’obstacles. En concours complet, les niveaux sont indiqués par le nombre d’étoiles. Le premier niveau est d’une étoile (*) et le niveau le plus avancé est de quatre étoiles (****). Comme le concours complet tient compte de trois épreuves distinctes, la FEI a établi des spécifications précises pour chacune d’entre elles : saut d’obstacles, reprises de dressage et épreuves de fond. Au niveau international, les épreuves qualificatives sont appelées CCI-W. L’acronyme « CCI » signifie Concours complet international. Le W (pour « world ») désigne l’épreuve de qualification (haut) Les autres disciplines en l’équitation classique Chasse Les obstacles composant un parcours de chasse doivent simuler les obstacles d’un parcours de chasse dans la nature, tels que des clôtures, des murs de pierres, des cages à poules, des haies de broussaille et autres. La plupart des épreuves de chasse prévoient une hauteur maximale de 1,10 m mais les règlements permettent aux chefs de piste de dessiner des parcours d’une hauteur maximale de 1.40 m. Lors des épreuves de chasse, le cheval est jugé. Les juges s’attardent à son aptitude au saut, son style, sa performance, son comportement, son allure et même sa conformation dans certaines classes. On attend de ce cheval puissance, souplesse, équilibre et surtout régularité. On recherche également de la part du cavalier une bonne performance et de l’élégance. L’épreuve débute à partir du moment où le cheval entre en piste et se termine au moment où il la quitte. On doit également présenter le cheval de chasse au trot en vue de l’évaluation de sa condition physique (yeux, poumons et membres). (haut) Équitation Lors d’épreuves d’ « équitation », le cavalier est jugé. Un cavalier peut se présenter avec n’importe quel cheval qui convient à un style particulier, tel que décrit par les exigences des épreuves d’équitation. Les épreuves d’équitation comprennent différentes phases et c’est une division qui comporte 3 sections distinctes : l’assiette de chasse, l’assiette de selle et l’assiette de dressage. Au Québec, l’équitation en assiette de chasse et en assiette de selle sont les plus populaires. Lors d’épreuves d’assiette de chasse, on retrouve une phase au plat et une phase à l’obstacle. Le cavalier doit performer également à chacune de ces phases. On juge l’assiette et la position des mains, la position du bas de la jambe, la longueur des étriers, la position du pied dans l’étrier, la monte et la descente du cheval, etc. Lors de l’épreuve au la performance du cavalier aux trois allures est évaluée. Le juge peut demander à certains cavaliers d’exécuter des figures précises ou lui poser des questions. Lors de la phase à l’obstacle, le cavalier exécute le parcours entier à une vitesse contrôlée et une cadence rythmée. Trois fautes ou une chute entraînent une élimination. Le juge peut ensuite demander au cavalier d’exécuter certaines figures. En assiette de selle, on juge également la position générale du cavalier, la position de base, la position en mouvement mais également la tenue vestimentaire et les couleurs permises. Les tests peuvent être effectués individuellement ou en groupe, dépendamment du nombre d’inscriptions. L’épreuve d’assiette de selle la plus connue est celle de la Médaille Saut d’obstacles Canada. En assiette de dressage, le cavalier est jugé d’après certains règlements de dressage de Canada Hippique. Tout comme pour les épreuves d’assiette de chasse, le juge demandera aux cavaliers d’exécuter les trois allures dans le manège. Il pourra ensuite demander à certains compétiteurs d’exécuter des figures précises ou leur poser des questions sur l’anatomie du cheval, l’équipement, la régie d’écurie, etc. source:http://www.feq.qc.ca/feqclassique/ -
Je trouve sa vraiment intéréssant! je voulais vous en faire part! pour ceux qui connaissent moin le western... Discipline à part entière, l’équitation western requiert la maîtrise d’un ensemble de techniques très précises. Issue à l’origine du travail des cowboys lors des déplacements du bétail sur les immenses territoires de l’ouest américain, ces tâches difficiles exigeaient une collaboration étroite de la part de sa monture. Celle-ci devait faire preuve d’endurance sur les longues distances et les terrains difficiles, obéir au moindre commandement, effectuer des départs et des demi-tours rapides et posséder un tempéramment hors du commun. Souvent, le premier contact avec l’équitation western se fait par la randonnée ou les spectacles de rodéo. Mais, comme vous le constaterez, l’équitation western ne s’arrête pas là. De plus en plus populaire à travers le monde entier, l’équitation western mérite qu’on la découvre. Elle s’adresse aux cavaliers de tous âges et de tous les niveaux. Les principales disciplines western sont: Obstacles - Plaisance - Reinning -Course de barils - Cutting- Travail avec le bétail L’importance de la qualité des chevaux sélectionnés et leur niveau de dressage de plus en plus élevé sont des critères indispensables pour obtenir de bons résultats dans les diverses disciplines. Le Quarter Horse et le Paint Horse sont des races particulièrement appréciées pour ce type d’équitation. Toutefois, d’autres races comme l’Arabe, l’Appaloosa ou le Morgan ont les dispositions nécessaires pour la plupart de ces disciplines. Les performances se divisent en trois grandes catégories Épreuves de precision, d’obéissance d’habileté. Les concurrents sont jugés selon les normes et critères établis propres à chaque épreuve. Obstacles western Le cavalier conduit le cheval à une seule main et doit franchir un parcours d’obstacles qu’on peut vraisemblablement renconter lors d’une randonnée sans toutefois effectuer aucun saut. La performance du cheval aux obstacles, sa réponse au cavalier, ses manières et son attitude sont jugées dans cette épreuve. Les trois allures sont présentées d’un obstacle à un autre, selon la description du parcours. Les obstacles et le parcours sont conçus en tenant compte de la sécurité de manière à éliminer les accidents.Un parcours d’obstacles western comporte des obstacles obligatoires (barrière; 4 perches soit en ligne droite, courbe, cassée ou surélevée; reculer entre des obstacles au sol ou élevés du sol) et complémentaires (étendue d’eau, obstacles en serpentine, pont de bois, etc.). Plaisance western Particulièrement populaire en équitation western, cette épreuve est jugée sur la performance, la condition et la conformation du cheval. Le cheval de plaisance est confortable et agréable à monter, calme et détendu, répondant de façon volontaire aux demandes du cavalier. Ses allures sont fluides et confortables. Un port de tête naturel avec la nuque égale ou légèrement plus élevée que le garrot est recherché. Ils sont présentés en groupe, aux trois allures sur la piste dans les deux directions, avec la tenue des rênes raisonnablement relâchées ou dégagées, en maintenant un léger contact. Il est surprenant de constater à quel point même des jeunes chevaux de 2 ans affichent un dressage suffisant et un comportement adéquat pour ce genre d’épreuve où tout se déroule dans le calme. Reining L’origine de cette discipline provient de l’épreuve working cow horse durant laquelle cavalier et monture démontrent leurs habiletés à diriger le déplacement d’une vache en effectuant des mouvements similaires à ceux que l’on retrouve en reining. Une épreuve de reining présente ces manoeuvres dans un ordre précis au moyen d’un parcours prédéterminé. Le cheval est jugé sur son aptitude à répondre avec facilité, promptitude et vitesse aux demandes du cavalier. Chaque mouvement exécuté est contrôlé par le cavalier, sans résistance apparente de la part du cheval. Les aides sont discrètes et les rênes détendues durant le parcours afin de démontrer le niveau de dressage de la monture. Un cheval rassemblé et réagissant positivement aux aides du cavalier devient un avantage considérable lors d’une présentation en concours. Pour compléter un parcours de reining il faut maîtriser les techniques permettant d’effectuer les manoeuvres suivantes : les cercles lents et rapides, les vrilles (4 pivots rapides sur un membre postérieur), les changements de pieds, les arrêts en glissade, les voltes-faces et le reculer.Le reining est présentement la seule discipline western reconnue par la United State Equestrian Team (U.S.E.T.) et par l’Équipe équestre canadienne (É.É.C.). Style Libre : cette discipline, quoique absente au Québec en ce moment, présente des manoeuvres de reining sous forme de chorégraphie musicale équestre. D’autres disciplines de type performance permettent également de mettre en valeur les qualités d’une monture bien dressée, soit : équitation western obéissance aux commandements parcours western présentation au licou. Le gymkhana Épreuves de vitesse (chronométrées) et d’agilité. Le respect du parcours et le temps obtenu comptent pour déterminer le gagnant. Course de barils Cette épreuve spectaculaire est également très populaire. Le concurrent contourne trois barils placés en forme de triangle, de manière à ce qu’il puisse y faire un parcours en forme de «trèfle». Il exécute le parcours le plus rapidement possible sans faire tomber de barils. Il a le choix de faire le parcours en partant du côté gauche ou droit, en respectant la forme du parcours. Le meilleur temps pour effectuer correctement le parcours détermine le gagnant.Les autres épreuves de cette catégorie sont : la course en slalom la course des 4 coins la course de l’entre-deux la course de sauvatage la course du trou de serrure l’échange de cavalier la course du drapeau la course à relais la course de l’aller-retour le Poney express la course des six pôles. Le travail avec le bétail Épreuves chronométrées où la vitesse est parfois jugée et où l’habileté du cavalier et du cheval sont très importants.Parmi les multiples vocations du cheval, celle-ci utilise les aptitudes naturelles du cheval à réagir au bétail et à effectuer par lui-même le travail pour lequel on l’exerce. Le rude travail des cowboys sur les fermes exigeait des cavaliers bien en selle et en excellente condition physique. Pour se détendre et se mesurer aux autres cavaliers, plusieurs disciplines western sont nées de ce travail. Le cutting Provenant du travail des cowboys où ceux-ci rassemblaient ou séparaient le bétail, le cutting ressemble au jeu du «chat et de la souris». Il s’agit pour le cavalier de diriger sa monture parmi un troupeau de bétail, de choisir un veau pour ensuite tenter de l’isoler de ses congénères.C’est un jeu où la performance et l’impression favorable du cheval sur les juges influencent les résultats. À partir du moment où le veau est isolé du troupeau, c’est le cheval qui fait seul le travail. Il s’élance énergiquement de gauche à droite avec souplesse et trouve la bonne position pour maîtriser son opposant sans jamais l’agresser. C’est un sport dans lequel cavalier et cheval s’amusent. Le cheval doit avoir le «cow sense», c’est-à-dire avoir des dispositions naturelles pour vouloir confronter la vache et jouer avec elle. Certaines lignées de Quarter Horse sont très recherchées pour ces habiletés très particulières. D’autres disciplines, telle la prise du veau au lasso ou le team penning, démontrent l’habileté du cavalier à contrôler et manipuler le bétail à l’aide de sa monture. source: http://www.feq.qc.ca/feqwestern/
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Sunny et chance chez le docteur hihi
Nikita-equimonde a répondu à un(e) sujet de bobby_boy dans Santé
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un cheval incontrolable ... quelque truc !
Nikita-equimonde a répondu à un(e) sujet de jessica07 dans Disciplines
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