Pour les chiens, ça ne pose pas vraiment de problème. On a tout ce qui faut en préventif, et en cas de mauvaise piqûre un veto injectera l’antidote. Pour nos oiseaux c’est autre chose. La première difficulté est de s’apercevoir qu’il y a une tique… ensuite faut l’enlever proprement (mon faucon l’avait à la commissure du bec, donc impossible de la chaperonner). Le syndrome de mortalité des oiseaux lié aux tiques, « avian tick-related syndrom » A.T.R.S. est encore très méconnu, cependant le zoo de la Palmyre essaye de l’étudier. De mon coté j’essaye une combine d’éleveur de perroquets qui consiste à appliquer une pipette, dosée pour les chats, d’antiparasites externes en action répulsive… A voir