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Cléo111

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Tout ce qui a été posté par Cléo111

  1. LE RAPPEL 1) Avec un chiot : Dès son arrivée à la maison vous devez commencer à habituer votre chiot à revenir à l'appel de son nom. Attention. Dans cet apprentissage, votre attitude est primordiale : soyez toujours très joyeux dans votre rappel. Ne criez pas. Accroupissez-vous. Tapez dans vos mains. Ce n'est pas un ordre que vous donnez mais c'est une invitation à revenir au pied pour recevoir des caresses, des récompenses ou son jouet préféré. Le maître-mot est "donner l'envie de revenir" et l'envie ne peut pas s'obtenir par la force et la contrainte. Votre chiot ne devra pas associer le rappel au pied à quelque chose de désagréable, de négatif comme : c'est la fin de la promenade ou si je reviens on va me gronder. Il faut que cet ordre de rappel représente quelques choses de positif : si je reviens j'aurai des caresses, ou des petits gâteaux (à utiliser avec modération pour ne pas transformer votre chiot en futur sumo) ou mon hérisson qui fait couic-couic. Si malgré cela votre chiot est un peu distrait ne faites pas les gros yeux, n'élevez pas la voix. Si vous n'arrivez pas à capter son attention avec vos mimiques, vos friandises, sa balle préférée, alors partez rapidement dans le sens opposé en le rappelant "Bébé au pied" ou allez vous cacher. Tout aventurier qu'il est, je peux vous assurer que votre explorateur n'aimera pas rester longtemps seul. Ce pré-apprentissage du rappel est primordial ! 2) Avec un chien adulte : L'apprentissage du rappel est un exercice qui cause souvent beaucoup de difficultés. Pourtant c'est un exercice que le chien doit posséder parfaitement pour sa sécurité et celle de son maître. Quoi de plus de plus désagréable et dangereux qu'un chien qui ne revient pas à l'appel de son nom. Une promenade avec son chien est une source de plaisir ... qui peut se transformer en véritable cauchemar lorsque votre chien se met à courir après un vélo ou une voiture, qu'il se met à la poursuite d'un lièvre, qu'il course les vaches ... et que vous vous époumonez en vain pour le rappeler. Il est vrai qu'avec la distance l'autorité du maître décroît très rapidement ! Il est aussi vrai qu'un chien n'a aucune chance d'obéir lorsqu'il est loin de son maître ... si son maître n'arrive pas à se faire obéir et respecter quand son chien est à ses pieds ! C'est pour cela que le rappel au pied est presque naturel pour un chien qui a parfaitement assimilé la suite en laisse. Le rappel est donc que le "simple" prolongement de l'exercice de la marche au pied. Pendant cet exercice nous avons répété, répété et encore répété "AU PIED, c'est bien, AU PIED, ..." toutes les fois que notre élève était parfaitement à notre niveau. Si l'exercice de la suite est parfaitement acquise, il sait maintenant parfaitement le sens de l'expression "AU PIED". Pour obtenir un beau rappel, net, rapide, rien de tel que la longe (grande laisse). Comme pour la suite en laisse nous allons mêler le plaisir (quand le chien est au pied) à l'autorité (quand le chien hésite à revenir). Le principe : Vous allez vous promener. Le chien a son collier et la longe que vous pouvez laisser traîner par terre. Lorsque votre chien décide de partir à l'aventure un peu trop loin ou trop rapidement, vous saisissez alors la longe et au moment où la longe se tend, vous rappelez "Médor AU PIED" ! Deux possibilités : - Il fait demi tour et revient vers vous : vous lui faites la fête lorsqu'il est revenu correctement à votre pied. - il tarde à obéir et continue de l'avant : infligez avec la longe une saccade en arrière, saccade d'autant plus forte que votre élève fait la sourde oreille. Lorsque votre chien revient vers vous encouragez de la voix, frappez dans vos mains ou même accroupissez vous dans une attitude accueillante. Le but est que votre chien revienne le plus rapidement possible vers vous. Votre chien reviendra rapidement et joyeusement à vous parce qu'il respecte son maître mais surtout parce que son retour au pied est synonyme de plaisir, de caresses, de flatteries, de récompenses. Il est donc essentiel de ne pas associer l'ordre de rappel à une punition. Ainsi travaillé, votre chien fera vite le rapprochement "je tarde à revenir = c'est désagréable pour moi", "je reviens immédiatement = c'est la fête !!!". Pendant la période d'apprentissage au rappel, ne sortez pas votre chien sans sa longe. Comme pour la suite en laisse vous avez à répéter et répéter et répéter (etc...) cet exercice jusqu'à ce que le rappel avec la longe soit parfait. Varier les distances et les circonstances de rappel : vous rappelez une fois à 1 mètre, une autre fois à 3 mètres lorsqu'il a le nez au sol, ... Quelques erreurs à éviter : - Arrêter trop vite les séances de rappel avec la longe. Lors des premières leçons, ne laissez JAMAIS partir votre chien sans longe. Vous devez pouvoir intervenir IMMEDIATEMENT sur votre chien dès que celui si tente de se sauver. Votre chien doit être toujours sous votre contrôle. - lors de l'apprentissage à la longe de jamais alterner les promenades en longe ("sous contrôle") et les promenades en liberté totale. Votre élève comprendrait alors trop facilement : avec la longe, je dois être docile et respectueux des commandements; sans la longe c'est la liberté absolue de faire ce que je veux. - Cas que vous rencontrerez sûrement : votre chien revient bien au pied mais s'immobilise à 1 mètre de vous, ou fait la danse du scalp, ou jappe devant vous. Sachez qu'en faisant ainsi il vous invite au jeu. Ce qu'il ne faut surtout pas faire ? Vous transformer en rugbyman pour tenter un placage de haute volée. Votre chien trouvera cela très marrant. Reprenez la longe, infligez une saccade et rappelez votre fantaisiste "au pied". Il se fera féliciter uniquement lorsqu'il sera en position correcte à votre hauteur ... et non pas à 1 mètre de vous ! - A ne pas faire : poursuivre un chien qui tarde à venir vers vous. A ce moment, le rappel devient un jeu pour votre chien qui ne se laissera rattraper que lorsqu'il sera épuisé ... sauf si vous vous essoufflez avant lui. - rappelez vous que vous devez le féliciter ... même si cela fait 15 minutes que vous vous égosillez pour le faire revenir. Je sais que cela n'est pas toujours facile mais un bon éducateur doit pouvoir maîtriser ses nerfs. Un conseil : Il est important de commencer l'apprentissage au rappel le plus tôt possible en sachant qu'un chiot n'aime pas se retrouver seul, avoir l'impression d'être perdu. Avec un chien adulte dominant, il sera peut-être nécessaire de revenir de temps en temps aux exercices de bases : suite en laisse rigoureuse, assis, couché. Une suite en laisse rigoureusement faite avec obligation de s'arrêter aux arrêts, de rester constamment à votre hauteur, va renforcer votre autorité sur lui et améliorera votre rappel.
  2. LA LAISSE 1) Les premiers pas en laisse : Arrivé à la maison apprenez rapidement à votre chiot à supporter son collier. Cela ne représente généralement aucune grosse difficulté, tout au plus votre chiot va se gratter le cou. Essayez dans un deuxième temps (lorsqu'il sera parfaitement habitué à son collier) de le mettre en laisse. Parfois c'est le moment où surviennent les problèmes. Il va s'opposer au port du collier et de la laisse. Il va refuser de se déplacer, tirera dans tous les sens en se débattant ou au contraire s'allongera et vous opposera sa force d'inertie. Alors que faire ? Secouez la laisse par quelques petites tractions pour obliger votre chien à se déplacer. Dès qu'il avance flattez le. Montrez lui que vous êtes content et fier de lui. Si c'est le refus catégorique, ne surtout pas punir ou élever la voix ce qui ne ferait qu'aggraver le blocage. Sortez votre chiot et allez le promener dans un endroit vaste et sans circulation. Vous lui mettez alors la laisse et vous le laissez se "débrouiller" tout seul, la laisse traîner par terre. Vous vous éloignez et vous l'encouragez à vous suivre en le félicitant ou en le tentant avec des friandises. Vous pouvez être sûr qu'au bout de quelques minutes votre chiot va se déplacer et venir vers vous. Continuez alors la promenade en laissant votre chiot gambader et traîner sa laisse derrière lui. Le stress de la laisse et du collier sera ainsi très vite oublié. 2) La marche en laisse : Plus tard quand il sera parfaitement habitué à sa laisse, il aura tendance à vouloir aller de l'avant et aller toujours plus vite, ou à tirer à gauche et à droite pour aller jouer, ou à traîner le nez au sol à la recherche des bonnes odeurs. Une chose est sûr : ce n'est plus vous qui promenez votre chien mais votre chien qui vous promène et qui vous impose sa cadence. Comment faire pour ne pas se faire "remorquer" par son chien ? Votre chien doit comprendre qu'il n'y a qu'une position "confortable" pour lui, c'est quand il est au pied de son maître. Quand il est dans cette situation (son épaule à hauteur de votre tibia, de votre genou ou de votre cuisse ... tout dépendra de la taille de votre chien ... ou de la votre ) ne tarissez pas d'éloges, flattez votre chien, parlez lui "c'est bien bébé, tout près, au pied, ..." (répétez toujours le commandement "AU PIED"). Par contre dès qu'il vous devance ou tire sur sa laisse ou traîne ou s'écarte, tirez la laisse d'un coup sec en disant "Non!". S'il persiste changez de direction : il veut aller à gauche alors allez à droite, il vous devance en tirant sur sa laisse alors faites demi tour. Toutes les fois que la laisse sera tendue, tirez la laisse d'un coup sec en disant "Non". Par contre aussitôt revenu à votre pied flattez le à nouveau "c'est bien, au pied, ..." avec une voix douce et réconfortante. Votre chien va vite comprendre le sens du mot "AU PIED" ce qui sera bien utile lorsqu'on lui apprendra le rappel. Après chaque leçon, détendez votre chien. Faites des séances d'éducation courtes et répétées. Souvenez vous que les exercices d'éducation ne doivent pas être une corvée ou une punition pour votre chien mais quelque chose de naturel et d'agréable. Ne lassez pas votre chien par des séances interminables ! Si vous pratiquez ainsi votre petit rebelle comprendra très vite qu'il n'y a qu'une position "confortable" et marrante pour lui, c'est quand il est sagement au pied de son maître et que tirer sur sa laisse, traîner est nettement plus désagréable. Important : Comme toujours il est primordial d'être cohérent dans les ordres donnés et dans son comportement : ne pas tolérer aujourd'hui ce que vous allez interdire demain, pour l'accepter à nouveau le surlendemain. 3) La marche au pied sans laisse : Si votre chien a parfaitement assimilé le principe de la marche en laisse ("qu'est-ce que c'est agréable de rester au pied de mon maître") et que sa suite est parfaite (ne pas brûler les étapes), on pourra passer à l'étape suivante : la marche au pied sans laisse. Pour ce faire, mettez néanmoins votre chien en laisse et commencez à marcher. Quand il est bien à votre hauteur répétez en le flattant de la voix "c'est bien, au pied, au pied". Puis vous allez lâcher la laisse et vous continuerez votre promenade. Si l'étape précédente a bien été assimilée (marche en laisse) il n'y a aucune raison que votre élève se mette subitement à détaler devant vous. Par contre, puisque votre chien a toujours sa laisse pendante autour du cou, vous allez pouvoir le corriger immédiatement si il venait à oublier ses bons principes. Vous allez marcher sur sa laisse et vous arrêter toutes les fois qu'il vous devance de plus d'une encolure. Il subira ainsi une saccade et aussitôt vous lui donnez l'ordre "au pied" et vous le félicitez dès qu'il sera revenu à votre hauteur. S'il traîne, s'écarte, renifle les bonnes ... ou mauvaises odeurs, saisissez vous de la laisse en tirant un coup sec et donnez l'ordre "au pied". Félicitez le dès qu'il est revenu en bonne position. Très rapidement vous allez vous rendre compte que votre chien vous suit sagement et joyeusement au pied. Vous pourrez alors le libérer de sa laisse.
  3. Lorsqu'on passe en revue les différents moyens de communication des chiens, il apparaît clairement que leur principal sujet de conversation tourne autour de la question : "qui domine qui ?". Cette question est tellement fondamentale qu'elle va influencer la plus grande partie des interactions, non seulement entre un chien et ses congénères, mais aussi entre un chien et son maître. La question de la dominance est bien connue de la plupart des propriétaires de chiens qui savent que, s'ils veulent se faire obéir de leur animal, ils doivent exercer sur lui une certaine autorité. Malheureusement, cette notion est souvent mal comprise et confondue avec celle de rapport de force, d'agressivité. Résultat : soit les maîtres crient constamment après leur chien ou, pire encore, le frappent pour l'obliger à obéir, soit, ne voulant pas avoir ce type de rapport avec leur compagnon à quatre pattes, ils décident tout simplement d'abdiquer, et tant pis si celui-ci n'en fait qu'à sa tête. La première méthode, parfois préconisée par certains mauvais dresseurs (puisqu'il faut "casser" le chien) est non seulement cruelle mais souvent néfaste. Elle peut engendrer divers troubles comportementaux allant de l'agressivité, offensive ou défensive, à la prostration. Mais si les maîtres qui ont choisi la deuxième solution pensent rendre leur chien heureux en le laissant agir à sa guise, ils se trompent lourdement. En effet, lorsque l'on cède à ses moindres caprices, on place son chien dans une position bien inconfortable : celle de chef ; cependant, à d'autres moments, on exige qu'il obéisse comme un subordonné. Or, ces deux positions, chef et subordonné, sont incompatibles, ce qui va créer pour l'animal incompréhension et frustration. C'est la porte ouverte à toutes sortes de problèmes comportementaux. Pour tenter d'assumer sa position ou de soulager son inconfort, le chien peut, dans certains cas, adopter des comportements de défense, de fuite ou de compensation, qui sont jugés "indésirables" par le maître. Ce dernier risque rapidement de se désintéresser d'un tel animal et de l'abandonner. La notion de hiérarchie sociale est pour le chien un concept fondamental qu'il est important de réhabiliter si l'on veut améliorer les relations entre les hommes et leurs compagnons canins. Méconnaître les lois qui régissent cette hiérarchie revient à nier la nature même de son animal et laisser libre cours à toutes sortes d'interprétations faussées par l'esprit des propriétaires, même bienveillants.
  4. Votre chiot vient juste de quitter sa mère pour un milieu qui lui est totalement étranger. Lors des premières nuits, il risque de se plaindre, de vous chercher ou de vouloir monter sur votre lit, ne cédez pas, il recommencerait les nuits suivantes. Attribuez-lui, dès son arrivée, un endroit qui deviendra son territoire et où il se sentira en sécurité. Installez un panier, avec une couverture ou un coussin, une gamelle d'eau et une de nourriture. Si vous ne souhaitez pas que votre chiot pénètre dans telle ou telle pièce, il faudra lui en interdire l'accès dès le début, et ne jamais céder (jamais !) Le secret d'une bonne éducation passe par la compréhension du fait que le chien communique avec des codes et des signaux qui lui sont propres. Il est programmé pour vivre dans un groupe bien hiérarchisé, aux règles bien établies. Ne prenez pas vos repas en sa présence, il serait alors tenté de mendier de la nourriture. L'idéal est de lui donner ses repas après vous. Pour éviter qu'il ne mordille vos meubles ou autres, donnez-lui des jouets ou des os en peau de buffle afin qu'il se fasse les dents.(évitez de lui donner de vieilles chaussures, il ne serait pas en mesure de faire la différence avec celles que vous utilisez encore...) Mettez régulièrement vos mains dans sa gamelle lorsqu'il mange. Vous éviterez ainsi les futures réactions hostiles. Ignorez ses bêtises si vous ne le prenez pas sur le fait. Le chien n'est pas capable de comprendre une punition "à retardement", il ne fait pas la relation entre le passé et le présent. N'oubliez pas que votre chiot est encore trop jeune pour se retenir très longtemps. Habituez-le à être propre dès le départ en le sortant régulièrement : - à son réveil le matin - juste après ses prises de boisson ou de nourriture - après chacune de ses siestes - à votre retour d'une absence - le soir avant de vous coucher Si, par contre, vous êtes là au bon moment, prenez-le et emmenez-le dehors immédiatement. Il ne sert à rien de lui mettre le nez dedans, vous risqueriez plus de le déstabiliser que d'arranger le problème. L'idéal serait de rester avec lui à l'extérieur jusqu'à ce qu'il fasse ses besoins et de le féliciter. La logique devient alors très simple pour le chien : je fais dedans, on me gronde. Je fais dehors, on me cajole. Même un humain préfèrerait ce deuxième cas... Ne nettoyez-pas en sa présence. Pour lui, cela pourrait ressembler à une marque d'intérêt et il pourrait s'en servir par la suite pour attirer votre attention. IMPORTANT Les chiots sont curieux de tout et ont tendance à mettre à la bouche tout ce qu'ils trouvent. Ils peuvent être blessés à l'ingestion d'objets pointus ou nocifs. Vous devez surveiller votre chiot au maximum, et lui retirer de la gueule tout objet qui serait inconvenant pour lui. Le mieux est de ne rien laisser de dangereux à sa portée. La santé de votre chiot dépend essentiellement de son activité et de votre attention. De nombreuses maladies se préviennent. Dès qu'un symptôme alarmant se manifeste, contactez le vétérinaire, mieux placé pour vous conseiller.
  5. Nourriture de marque ??? Expliquez votre choix ...
  6. Est-il difficile ??? Pour la nourriture, est-ce que votre chiens est difficile ???
  7. Combien de repas par jour ??? Expliquez-vous ...
  8. Quelle sorte de friandises ??? Dites pourquoi ...
  9. Vous lui donnez quoi ??? Dites-nous pourquoi ???
  10. POURQUOI CHOISIR DES CROQUETTES PLUTÔT QUE DES BOÎTES OU UNE RATION MÉNAGÈRE ? Il existe trois sortes d'alimentation le plus souvent données aux chiens : - l'alimentation faite maison (appelée ration ménagère) qui consiste en un mélange de viande, légumes riz et restes de table. La ration ménagère est généralement appréciée des chiens qui trient la viande en laissant riz et légumes. Malheureusement, ce comportement, associé au fait qu'une ration ainsi préparée est le plus souvent carencée en minéraux et vitamines, aboutit à une alimentation déséquilibrée et source d'embonpoint. - l'alimentation industrielle humide (boîtes) - l'alimentation industrielle sèche (croquettes) Le mélange croquettes-boîtes ou croquettes-restes est considéré comme une ration ménagère du fait que la composition exacte de la gamelle ne peut pas être définie. • Les croquettes : un aliment complet et nutritif Les croquettes sont parfaitement équilibrées en nutriments nécessaires à une vie en pleine forme. Contrairement à la ration ménagère, déséquilibrée en éléments indispensables, les croquettes sont mises au point par des nutritionnistes vétérinaires : elles sont adaptées aux besoins des différents chiens, selon leurs taille et âge et elles évitent toute carence. Les croquettes sont également très nutritives : pour une même valeur nutritive, on doit donner beaucoup moins de croquettes que de boîtes. En effet, les boîtes contiennent une grande quantité d'humidité (environ 80 % d'eau) : il faut donc en donner plus pour rassasier le chien. Des calculs ont été faits et montrent que pour nourrir un chien de 20 kg pendant un an, il faut environ 8 sacs de 15 kg (soit 120 kgs) de croquettes alors qu'il faut environ 365 boîtes de 1,2 kg (soit plus de 430 kgs) ! Les aliments secs de qualité finissent donc par revenir moins cher qu'une alimentation en boîtes. • Les croquettes : des aliments sains et appétents Les croquettes ne nécessitent aucune préparation particulière. Elles se conservent très bien à température ambiante alors que les boîtes et les produits frais doivent se conserver au réfrigérateur. Les croquettes sont aussi plus sûres au niveau hygiénique surtout lorsqu'il fait chaud, car les aliments humides se dégradent rapidement et peuvent parfois entraîner des gastro-entérites si l'animal ne mange pas immédiatement sa gamelle. Il faut enfin noter qu'au niveau du goût, un chien préfèrera un aliment à température ambiante plutôt qu'un aliment sortant juste du réfrigérateur et qui est encore trop froid pour lui. • Les croquettes : faciles d'utilisation et faciles à doser Les croquettes sont très simples à doser. La ration nécessaire au chien selon sa taille, son poids et son âge sont le plus souvent notées sur le paquet et il n'y a plus qu'à peser la quantité nécessaire. Il y a même encore plus pratique : certaines marques de croquettes fabriquent des gobelets doseurs avec le poids de croquettes correspondant à la quantité ce qui rend le dosage encore plus fiable et encore plus simple. • Les croquettes : des aliments très digestibles Les croquettes sont fabriquées de façon à assurer une très bonne digestibilité des nutriments qu'elles contiennent. Elles sont donc bien digérées et rassasient mieux le chien. De plus, elles permettent généralement la formation d'une moins grande quantité de selles car elles sont très digestes et sont presque totalement assimilées. En revanche, les rations ménagères contiennent beaucoup de déchets peu nutritifs : mauvaises graisses, morceaux d'os, etc… qui sont responsables de la médiocre digestibilité de ces aliments. Quant aux boîtes, leur haute teneur en eau et gélatine remplit rapidement l'estomac du chien qui est "calé" sans avoir reçu la quantité suffisante de nutriments, et qui a faim à nouveau au bout de quelques heures. • Les croquettes : de bonnes armes contre le tartre Il faut noter que les croquettes ont également un effet non négligeable de brossage des dents par leur effet abrasif. Elles ralentissent donc le dépôt de tartre par leur action mécanique sur les dents. Le tartre est mauvais pour la santé de votre chien (risques de gingivite, de déchaussement des dents, etc…, pour en savoir plus, consultez notre Fiche Santé correspondante) et il est aussi désagréable pour l'entourage du chien (mauvaise haleine, présence de bactéries en grand nombre dans la bouche du chien, …). Il est donc judicieux de lutter contre son dépôt en donnant à votre compagnon une alimentation sous forme de croquettes car les boîtes et les aliments frais ne possèdent aucune action de brossage sur les dents. Au contraire, les aliments humides restent collés entre les dents des chiens, favorisant le développement de bactéries responsables de la mauvaise haleine et du tartre. • Conclusion Pour toutes ces raisons, wanimo.com conseille de nourrir votre compagnon avec une alimentation sous forme de croquettes. L'équipe des vétérinaires de Wanimo conseille également une alimentation haut de gamme dite "Premium". Pour en savoir plus sur les avantages des croquettes Premium par rapport aux croquettes standard, consultez notre Fiche sur le sujet.
  11. LES FRIANDISES ADAPTÉES À VOTRE CHIEN Par respect pour sa santé et pour ne pas lui donner de mauvaises habitudes, il faut être raisonnable et être vigilant sur trois points : quoi, combien et quand. Quoi? Signifie qu'il ne faut surtout pas donner n'importe quel reste de table ... morceau de sucre, chocolat ou tout autre sucrerie. Combien? Signifie qu'il faut limiter les friandises, cela doit rester de l'exceptionnel. Quand? Implique qu'il faut donner des friandises bien à propos si vous voulez garder un chien bien élevé. Pourquoi donner des friandises à mon chien ? Plaisir, éducation ou santé, les friandises ont de nombreux aspects positifs. Le plaisir : Tout d'abord, il est toujours agréable de faire plaisir à son chien. La plupart des propriétaires considèrent que l'alimentation de leur chien n'est pas très variée et veulent lui donner de temps en temps "une petite gâterie", ce qui est très compréhensible. La friandise rapproche le chien de son maître et crée des liens affectifs particuliers. L'éducation : Le second intérêt (et le principal du point de vue du vétérinaire) est le rôle éducatif de la friandise. En effet, l'éducation d'un chien passe principalement par la récompense, et la meilleure récompense est une friandise. C'est pourquoi, il est conseillé de toujours donner une friandise en récompense d'un ordre bien effectué, même s'il s'agit d'un ordre simple comme "assis" ou "à ta place". A l'inverse, il ne faut pas récompenser un chien sans raison, car il n'associera plus l'obéissance et le plaisir, ce qui perturbera son équilibre psychique. L'hygiène : On trouve enfin un intérêt non négligeable du point de vue santé avec certaines friandises: il s'agit des os, lamelles et bâtonnets à mâcher et à ronger qui, grâce à leur action mécanique sur les dents, limitent la formation du tartre. Quel type de friandise donner à mon chien ? Les friandises "maison" sont à bannir : Très jeune, le chiot se rend compte qu'il ne mange pas la même chose que ses maîtres, il va rapidement et instinctivement venir quémander. Or, il ne faut surtout pas accepter de la part de son chien qu'il réclame lorsque vous êtes à table voire qu'il vous suive partout et réclame une gâterie à tout moment. C'est pourquoi il est fortement recommandé de ne pas donner à manger à votre chien pendant que vous préparez le repas ou pendant que vous êtes à table, car cela encourage le chien à mendier et lui confère une position supérieure (il réclame, vous donnez, donc c'est lui le chef). Si les friandises données correspondent à des restes de table, le chien fera vite le rapprochement et risque de réclamer dès que vous ouvrez le frigo ou dès que vous êtes dans la cuisine. De plus, les friandises "de table" les plus souvent données sont des morceaux de viande (morceaux gras, couenne de jambon) et des sucreries (gâteaux, chocolat, sucre). Ce qui est très nocif pour la santé de votre compagnon, en pensant le gâter on déséquilibre son alimentation et on lui "fait du mal". Sachez que le chocolat contient une substance toxique pour les chiens. Une ingestion trop importante de chocolat noir peut avoir des conséquences dramatiques. Ensuite, à titre de comparaison, un morceau de sucre que vous donnerez à votre Caniche de 10 kilos correspond à 7 morceaux pour un être humain adulte… Imaginez donc ce que ce simple carré de sucre, englouti en quelques secondes, apporte à un petit Yorkshire de 3 kilos ! Les sucreries ou les restes de tables ne sont jamais un bon apport car ils sont toujours trop sucrés et trop gras et déséquilibrent l'alimentation du chien en lui fournissant un apport énergétique 10 à 20% plus élevé que ses besoins, ce qui aboutira en quelques mois à un embonpoint visible et plus tard à des problèmes de santé. Les avantages des friandises "intelligentes" : Il est donc conseillé de donner uniquement des friandises "spéciales chiens", bien différentes de la nourriture humaine et sans danger pour la santé de votre compagnon. Ces bouchées tendres ou croquantes, aux parfums variés, ont une grande appétence et leur composition ne déséquilibre pas le régime alimentaire. Wanimo.com propose dans sa Boutique un grand choix de friandises "intelligentes" conçues aussi bien pour le plaisir de votre compagnon que pour sa santé : --> Friandises-plaisir sous forme de bouchées au saumon Lakse Kronch, de Drops au lait pour les petits chiens, etc... --> Friandises-éducation comme les biscuits durs Eukanuba ou Acrobate ou les bouchées --> Friandises-santé à ronger avec les os Fluosky, les os à mâcher. La composition de ces produits permet une utilisation régulière sans effet néfaste. Les friandises-bouchées sont généralement constituées d'une base céréalière mélangée à de la viande ou tout autre ingrédient appétissant : poisson, yaourt... Peu grasses, elles peuvent être données quotidiennement sans risque d'obésité. Certains biscuits pour chiens ont, de plus, été conçus pour apporter des éléments spécifiques à votre chien, et cela d'une manière appétissante: apport en calcium pour les jeunes chiens, en biotine (molécule de l'effort) pour les chiens très actifs, etc… Les os à ronger sont fabriqués à partir d'organes naturels: peau de buffle, oreille de porc. Très peu gras, leur appétence naturelle et leur consistance sont un vrai plaisir pour les chiens (en particulier les jeunes chiens) qui retrouvent le plaisir de ronger. De plus, l'action mécanique de l'os contre les dents aide à prévenir l'apparition du tartre.
  12. VOTRE CHIEN REFUSE DE MANGER SES CROQUETTES: QUE FAIRE ? Il arrive que nos compagnons boudent leur gamelle et n'apprécient pas leurs croquettes. Ceci peut avoir plusieurs causes et donc plusieurs solutions s'offrent à vous pour que votre chien finisse enfin sa gamelle. • Votre animal mange des croquettes standard Dans ce cas, il faut savoir qu'il est très possible que votre chien boude sa gamelle car ses croquettes ne sont pas très appétentes. En effet, il faut être conscient que des croquettes de qualité standard sont bien moins appétissantes que des croquettes "Premium" pour votre chien. Même si l'aspect des croquettes vous semble assez ressemblant et la composition à peu près identique, il faut savoir que les croquettes Premium contiennent des sources de protéines, de lipides (matières grasses), de fibres, de vitamines et de minéraux très variées qui font la différence aussi bien dans l'assiette que pour la santé de votre compagnon à quatre pattes. Dans ce cas de figure, notre équipe de vétérinaires vous conseille de passer à une alimentation Premium qui pourra à la fois ravir les papilles de votre chien mais aussi le protéger contre des problèmes d'excès ou de carences alimentaires et préserver sa santé pour les années à venir. • Votre animal mange déjà des croquettes Premium Dans ce cas, il semble que votre compagnon fasse le difficile car vous lui offrez déjà une alimentation de très bonne qualité. Plusieurs causes peuvent expliquer ce genre de comportement : - Votre chien a droit à des "à côtés" comme les restes de table ou des friandises, dans ce cas, il fait un caprice jusqu'à obtenir autre chose que ses croquettes. - Votre chien adopte un comportement légèrement dominant qui consiste à bouder ses croquettes, à se faire supplier pour qu'il mange voire à n'accepter de la nourriture que lorsqu'elle est donnée à la main. - Vous distribuez à votre chien une trop grande quantité de croquettes : il ne finit donc pas sa gamelle. Pour obtenir le dosage exact de la ration nécessaire à votre compagnon en croquettes Premium, vous pouvez consulter nos vétérinaires, ils vous feront une recommandation alimentaire personnalisée. - Les croquettes de votre chien ne sont, par exemple, pas adaptées à sa taille : les chiens de petite race ont en effet parfois du mal à croquer de trop grosses croquettes. Dans ce cas, sachez qu'il existe maintenant de nombreuses gammes d'aliments Premium qui ont développé des croquettes adaptées à la taille des races de chiens. - Il arrive aussi que, même si ce sont des croquettes Premium, elles ne soient pas au goût de votre compagnon. Dans ce cas, il faut peut-être essayer une autre marque (mais toujours une gamme Premium) ou encore changer de parfum : les marques de croquettes Premium développent en effet d'autres parfums que le classique poulet comme le saumon, l'agneau, le boeuf, etc... Dans tous les cas, nous vous conseillons de rester sur un aliment Premium et de donner une alimentation stable à votre chien. Il ne faut donc pas céder et changer son alimentation dès qu'il commence à bouder ses croquettes. Nous vous conseillons donc de lui donner sa ration quotidienne (correctement calculée) en deux repas. Il faut lui enlever la gamelle au bout de 20 minutes même s'il n'y a pas touché. Rassurez-vous un chien ne s'est jamais laissé mourir de faim et quand il aura compris qu'il n'aura rien d'autre, votre chien prendra goût à ses croquettes ! Il ne faut donc pas céder en lui donnant des restes ou des friandises qui sont de plus mauvaises pour sa santé. • Conclusion Nous vous conseillons de donner à votre compagnon une alimentation stable et de bonne qualité. Des croquettes Premium adaptées à ses besoins devraient lui convenir tout à fait et lui permettre une vie en pleine forme ainsi qu'une vieillesse sereine.
  13. Ils varient d'un chien à l'autre selon : La race Les chiens de petite, moyenne ou grande race n'ont pas les mêmes besoins alimentaires. Par exemple, un chiot de petite race doit recevoir dans un petit volume ingéré une alimentation un peu plus riche qu'un chiot de grande race. Selon le caractère, la longueur du poil, la race influence la dépense énergétique. Aussi, à poids égal, un Dogue Allemand nécessite plus d'énergie qu'un Terre-Neuve. Le poids Un chien de petite race réclame plus de calories, par kg de poids corporel, qu'un chien de grande race. L'âge Selon sa taille et son âge un chiot a des besoins en protéines, minéraux et vitamines différents du chien adulte. Aussi l'apport énergétique pour un jeune chiot doit être 2 fois plus élevé que pour un chien adulte. Il faut savoir que la fin de la croissance pour un chiot de petite race se situe de 8 à 10 mois, et aux environs de 16 à 18 mois pour un chiot de grande race. Le sexe La femelle est moins exigeante que le mâle qui a plus tendance à prendre du poids, surtout s'il est castré. L'individu Comme chez l'homme, la dépense énergétique varie suivant chaque individu. L'activité Un chien qui se dépense beaucoup ou qui pratique une activité sportive régulière a des besoins énergétiques plus importants qu'un autre.
  14. Les premiers mammifères apparurent il y a 200 millions d'années. Ils se nourrissaient d'herbe et peuplèrent la plus grande partie du globe. La diversification des espèces donna naissance, il y a 100 millions d'années, aux Créodontes qui, eux, se nourrirent de viande. Ce furent les premiers carnassiers. Les Créodontes évoluèrent à leur tour et, 50 millions d'années avant notre ère, ils laissèrent la place aux Miacidés, petits carnivores de la taille et de l'apparence de la belette. Ils colonisèrent l'Amérique du Nord puis l'Eurasie qu'ils gagnèrent par le détroit de Béring, non encore immergé à l'époque. C'était il y a 35 millions d'années. Pendant les 25 millions d'années suivantes cette famille de carnivores prit racine dans différentes régions, évoluant en fonction des climats, des terrains et des gibiers différents auxquels il durent s'adapter. Les Miacidés devinrent Cynodictis, puis Hesperocyon et Tomarctus. Il y a 10 millions d'années, les individus retournés en Amérique du Nord, au hasard de leurs migrations, s'y fixèrent. Apparût alors le Canis Lépophagus, que l'on peut considérer comme l'ancêtre du Canidé moderne. A son tour, ce dernier repassa le détroit de Béring. En Amérique du Nord ses descendants seront le Chacal et le Loup Américain. En Eurasie le Canis Lupus Chanco et le Canis Lupus Pallipes. Ce dernier est à l'origine des Chiens dits primitifs, car leur domestication n'a jamais été réussie et leurs caractéristiques sont restées très proches du stade initial, comme par exemple le Dingo Australien, apparu il y a 12 à 13.000 ans. En Europe le Canis Cipio engendrera le Coyote et le Canis Etruscus enfantera du Loup Européen. La période qui suit ne permet malheureusement pas de définir avec précision la filiation et l'évolution des différentes espèces. Qui, du Chacal, du Coyote ou du Loup, est le grand-père du Canis Familiaris, le véritable aïeul de notre chien moderne ? Les théories scientifiques actuelles, appuyées de récentes découvertes à l'occasion de fouilles, tendent à pencher pour le Loup. Aujourd'hui, on distingue deux branches issues de cette évolution : - Canis, qui comprend le Chien, le Loup, le Chacal, le Coyote et la Hyène. - Vulpus, qui regroupe toutes les variétés de Renards. Les premières traces de cohabitation et de domestication du Canis Familiaris remontent à environ 10.000 ans. L'Homme de l'époque vit en meute hiérarchisée, comme lui, chasse le même gibier et fréquente les mêmes territoires. Tous deux ont un fort instinct grégaire, synonyme de survie. Il est probable que cette promiscuité et cette concurrence aient donné lieu à de sanglantes rencontres, avant que quelques représentants canins, tenaillés peut être par la faim, se soient laissés tenter par la chaleur d'un foyer. Ce furent les premiers pas vers ce qui devait devenir une indissociable coopération. Très vite, l'Homme a compris les avantages qu'il pouvait retirer des fantastiques qualités de cet animal. Des sens plus aiguisés que les siens, des facultés physiques plus adaptées à la chasse, une endurance supérieure à la sienne et une socialisation rendue facile par la volonté d'intégration instinctive du chien. Dans chaque région, sous chaque climat et dans chacune des étapes de son évolution et de sa survie, l'Homme a pratiqué un élevage sélectif qui a affiné les caractères spécifiques du chien et a donné autant de variétés de cet animal qu'il y avait de situations différentes. A partir de l'emploi primitif de chasseur pour lequel il était utilisé, le Chien est devenu plus tard le gardien efficace des habitations sédentaires ou nomades de l'Homme, ainsi que celui des troupeaux qu'il élevait. En Egypte, 3.000 avant notre ère, il incarna Annubis, gardien des morts, et fût momifié avec les Pharaons. En Grèce il devint Cerbère, aux portes de l'Enfer. En Chine, les Empereurs lui firent une place sur leur trône. Les romains l'initièrent à l'art de la guerre… Ce n'est qu'à partir de la fin du 19ème siècle qu'un nouveau rôle lui a été attribué, qui rend hommage à son intelligence, à son amour et à sa fidélité... ...celui de Compagnon de tous les jours.
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