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amelie111

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Tout ce qui a été posté par amelie111

  1. merci , je pense qu'il interresse plus les étrangers (peut être , plus ouverts aux nouvelles choses) je sais quelle taille fait Frank , merci
  2. sympa la balade , merci de nous la faire partager
  3. sympa le pull et celle qui le porte biensure
  4. et bien c'est la période des annonces , bonne chane pour la suite ça va en faire des bébés en 2011
  5. j'aime beaucou , hate de la voir en vrai .. tu la ressort quand ?
  6. a méditer , je ne sais pas , mais je crois que de toutes façons la sélection et la vision que l'on peut en avoir chacun , c'est en nous ou pas .. certains pourront élever et essayer de sélectionner des années sans fixer quelques choses de précis .. si l'élevage et la sélection sont un art (comme il est dit dans l'article ) alors la cynophilie ne regroupe que peu d'artistes malheureusement
  7. je re tiendrais en particulier cette phrase "Certains éleveurs se bercent d' illusions... Ils en viennent à interpréter le standard aux chiens qu' ils produisent. Bien sûr le résultat est affligeant"
  8. Gilbert Colas a écrit avec le professeur Denis un livre "Génétique et sélection chez le chien" Il a écrit pour le Boxer Club un article sur la sélection et il donne dans cet article quelques recettes qui iront sans aucun doute à l'encontre de beaucoup d'idées reçues ou d'illusions. Ces illusions entraîneront évidemment des désillusions, il n'y a alors qu'un pas vers la jalousie. Pourquoi cet éleveur réussit-il et pas moi ? Regarder les pedigrees des chiens et des grands champions et des lignées de champions permet d'essayer d'appréhender comment ces grands éleveurs ont travaillé. Un éleveur doit se fixer une ambition cynotechnique : obtenir des chiens ayant telles qualités et n'ayant pas tels défauts, sinon mieux vaut dire que ce n'est pas un éleveur. Pour résussir il y trois choses essentielles à faire - choisir les géniteurs au départ - choisir les méthodes d'accouplement - contrôler pas à pas les résultats Il faut aussi vérifier que les qualités que l'on recherche dépendent bien de facteurs génétiques avec un coefficient d'héritabilité pas trop faible, ce n'est pas toujours évident. le choix des géniteurs Certains éleveurs se bercent d'illusion qu'à partir de géniteurs quelconsques, ils obtiendront eux de beaux produits. Poursquoi ? Ils ne savent pas trop ! Leur bonne étoire, la reconnaissance des chiens devant tant de "petits soins"..Ils en viennent à interpréter le standard aux chiens qu'ils produisent. Bien sûr le résultat est affligeant ; c'est aussi désolant que fréquent ce genre de mésaventures. Même quand le chien "présente bien" le phénotype (l'apparence du chien, ce que l'on voit) n'est pas le génotype (le patrimoine génétique qu'il transmettra). Ce génotype il faut le déduire de certains renseignements, il faut le deviner, comment faire ? Méthode numéro 1 : d'après l'apparente (le phénotype). C'est une loterie. Elle n'a pas de chances raisonnables de "marcher" que si le géniteur a été obtenu par accouplement très consanguins ; car, das ce cas, il y a des chances pour que son patrimione génétique soit peu camouflé, pour que le chien ne soit pas beau par hasard, mais génétiquement bon. C'est la méthode anglaise. Méthode numéro 2 : d'après la généalogie. C'est difficile. Il faut bien connaître les nombreux ascendants. Les vieux éleveurs qui trainent sur les rings depuis plusieurs années ont cette connaissance car ils en ont vu défiler des chiens. Ici aussi la consanguinité est plutôt rassurante. Mais les erreurs ou les tromperies sur le filiations n'ont rien d'exceptionnel. Il y a plus de beaux pedigrees que de beaux chiens ! Méthode numéro 3 : par les collatéraux. C'est une bonne méthode. On analyse les caractéristiques du plus grand nombre possible de frères et soeurs issus des mêmes géniteurs. C'est tout l'intérêt d'aller aux nationales d'élevage en Europe et dans les expositions où la fréquentation est conséquente.(championnat du monde, championnat d'europe) Si par exemple, la queue est portée de façon différente d'un frère à l'autre il y a de l'hétérozygotie dans l'air pour la queu, même si le chien qui vous interesse est impeccacble. Cela veut dire que le caractère n'est pas fixé et donc à héritabilité faible. Si tous les frères et soeurs ont un bon port de queue, il est très probable que, de ce point de vue, il y a une "honnête homozygotie dans le géntoype et qu'on peut y aller. Méthode numéro 4 : d'après la descendance. Oui, évidemment ...mais il faut attendre pour consacrer un chien bon géniteur, d'avoir pu examiner une descendance nombreuse. Le géniteur risque d'être en fin de carrière quand on s'intéresse à lui.... Choix du système d'accouplement Le procédé de loin le plus utilisé est la panmixie. "Pan" non pas dans comme "pan dans le mille" hélas, mais dans le sens de "tout" est "mixie" comme dans mixer. C'est à dire : on mélange tout et hue cocotte..à Dieu vat ! Au petit bonheur la chance. Quelques succès individuels et l'échec collectif. Et cela à partir de géniteurs qui peut être possédaient certains qualités à l'état homozygote. Mais comme on a mis n'importe quoi en face, on a de bonnes chances de faire des hétérozygotes : en premère génération, on ne s'en aperoit pas et en deuxième génération, crac, le désastre !!! C'est aussi ce qui arrive à ceux qui veulent corriger un défaut par le défaut inverse : avec un museau trop long et un museau trop court ça fera un museau moyen.. On oublie que les caractères héréditaires se juxtaposent et ne se mélangent pas comme le sirop de cassis et le petit blanc sec pour faire un kir. Et puis il y a la consanguinité. C'est bien la seule méthode valable. On ne peut pas dire à la fois "je fais de la sélection dans mon élevage" et j'évite come la peste la consanguinité. Celui qui dit cela est un ignorant ou un farceur (on peut cumuler). On ne peut sélectionner qu'en pratiquant une étroite consanguinité. Qu'est ce que la consanguinité ? si on peut trouver dans deux êtres vivants un seul et même allèle au même locus (même endroit) sur le même chromosome), c'est qu'il vient du même ancêtre aussi éloigné soit-il. La consanguinité augmente la proportion d'allèles homozygotes dans l'individu et bien sûr diminue la proportion d'allèles hétérozygotes. Or un caractère génétique n'est fixé que si l'on tient des géniteurs homozygotes pour ce caractère, des géniteurs dont on connaît non seulement le phénotype ( c'est facile de regarder l'apparence extérieure du chien) mais le génotype c'est plus difficile. Donc seule une étroite consanguinité permet de diriger une lignée vers le génotype que l'on souhaite et de le conserver quand on le tient. Mais la réputation de la consanguinité est horrible ! C'est peu dire qu'elle a mauvaise réputation. La grande majorité des gens même certaines personnes qui, tout de même ne devraient pas dire n'importe quoi sont persuadés que les chiens de race souffrent de consanguinité comme s'il s'agissait d'une maladie honteuse et incurable. Pourquoi ? Tout d'abord, on fait l'analogie avec l'homme chez qui la consanguinité étroite n'est pas acceptée pour des raisons de morale ou de religion. Dans les anciennes civilisations où elle était pratiquée elle amenait à des concentrations de fortune. Il est vrai qu'elle peut amener à des résultats heureux ou malheureux. Chez l'animal si les résultats ont pour certains individus mauvais, la nature ou l'homme élimine les défavorisés et ne gardent que ceux qui vont dans le sens d'un progres d'aptitudes ou d'esthétique. Chez l'homme, on n'élimine pas les inaptes dont la question se présente différemment. Nous trouvons dans la nature tous les exemples de la consanguinité : la plupart des pigeons ne se reproduisent qu'entre frères et soeurs. Tous les mérinos viennent de deux troupeaux. Tous les pur sang descendent de trois étalons qui vivaient il n'y a pas si longtemps. Et ni le pigeon, ni le mérinos, ni le pur sang ne sont des espèces souffreteuses, démentes ou en voie de disparition. L'homozygote fait ressortir des tares camoufflées dans le génotype et, donc, renseigne sur les géniteurs. Quant aux produits indésirables, on les élimine ou bien on les vend dans une terre d'asile : la France a toujours été une terre d'asile. A chaque génération on ne conserve pour la reproduction que les meilleurs produits. S'il faut en éliminer trop, cela prouve qu'on s'est trompé sur les géniteurs, et il faut orienter sa sélection dans une autre direction. Il faut vérifier de préférence par rétroaccouplement qu'il n'y a pas , au pas trop, de tares camoufflées. (le rétroaccouplement c'est le mariage père fille ou mère fils. On procède alors à un contrôle des résultats. La consanguinité si elle permet de faire apparaître, donc d'éliminer les tares, ne peut apporter plus que ce qui se trouvait dans les géniteurs de base. Elle conduit donc à un plateau de sélection. D'autre part, aboutissant à une pourcentage élevé d'homozygotie elle limite les facultés d'adaptation. Il faut donc veiller non seulement au type mais au maintien de la robustesse. Ainsi l'éleveur n'est pas mécontent, mais il "plafonne", il n'arrive pas à éliminer un défaut, il lui manque une qualité qui n'a vraiment pas l'airt d'être présente dans ses souches. Dans ce cas il cherchera un sujet apparenté à sa souche ( là il ne s'agit pas de tout bouleverser) où la qualité recherchée est constante ou tout au moins fréquente. A vendre chiots père champion L'annonce "père champion" est -elle une garantie de qualité des chiots ? Si ce père champion, fait partie chez l'éleveur d'une lignée ou de nombreux chiens ont été primés. Il est en effet probable que les chiots auront hérité d'un bon patrimoine génétique. Ne pas oublier toutefois qu'il y a aussi l'autre géniteur : si le champion a été accouplé avec "n'importe quoi" cela ne signifie plus rien pour les chiots. Si ce père champion est un isolé en qualité dans la portée ou la lignée. Il est probable qu'il s'agit d'un heureux hasard et sa descendance n'a aucune raison d'être particulièrement birllante. Donc se renseigner sur la famille du "champion". Une science et un art L'élevage canin comme la médecine, la sculpture ou la musique est un art. Un art demande certes des dispositions naturelles encore qu'on n'ait pas isolé à ma connaissance le "gène de l élevage canin." Il exige pour s'exercer avec succès un minimum de connaissances dans les sciences qu'il utilise, '(connaissances vétérinaires, connaissances du comportement du chien, connaissances sur la nutrition et l'alimentation) et plus particulièrement dans la génétique. Connaître au moins un peu de génétique ou avoir ces connaissances ne peut pas être un gage de réussite ; mais cela permet au moins de ne pas échouer lamentablement. Or rien n'est plus désolant que de voir des personnes pleines de foi, de dévouement et d'amour pour les chiens commettre des erreurs génétiques, ou des erreurs sur les soins à porter aux chiots ou lors de la mise bas telles que l'appréciation sur leurs production ou sur leurs erreurs sera le plus souvent :" Ouais !... Bof... çà arrive... c'est la vie...c'est la loterie..." Ce danger n'est pas si difficile à conjurer. Il suffit de faire un effort de formation et il y a actuellement toutes facilités pour le faire.".
  9. il a la rage ce chien ! lol un petit dur au coeur tendre
  10. sympa la petite par contre elle a toujours la troisième paupière qui ressort comme ça ? c'est surtout sur les premières tofs
  11. ils en tiennent une couche ... c'est grave quand même
  12. vous nous ferez un bilan de votre journée
  13. sympa le petit bout de cul sur le canap' avec sa copine
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