Bonjour L'article publié est assez exact dans son ensemble , à quelques exceptions prêtes que je vais me permettre de préciser . Le Kakariki de Nouvelle-Calédonie est une espèce à part entière comme celle de Norfolk qui n'existent en aucun cas en captivité sauf pour celle de Nouvelle Calédonie chez un seul éleveur qui ne peut d'ailleurs les vendre hors de l'île . Il existe plusieurs autres espèces de Kakariki , limitées pour la plupart à une seule île et qui sont toutes légèrement différentes de l'espèce type ( Nouvelle-Zélande ) içi présentée . Le nom Kakariki ne lui vient en aucun cas de son cri mais de la langue Maori ( peuple d'origine de la Nouvelle-Zélande ) et signifie dans cette langue " Petit Perroquet " . Le nom Kakariki est invariable dans son orthographe . Le type sauvage ne comporte aucune trace de jaune y compris pour la queue et l'oeil n'est rouge que pour les Ino Lutino qui ne se rencontrent qu'en mutation d'élevage . Ne pas se fier au bec pour identifier la femelle du mâle , seul la taille ( parfois ) , l'oeil de l'éleveur spécialisé ( souvent ) et l'ADN sont vraiment valables . Le Kakariki vit plus souvent proche du sol que dans la cime des arbres et je ne connais pas de cas ou il fut observer des nids ailleurs que dans des arbres creux . La tourbe n'est plus utilisée pour les nids aujourd'hui mais remplacée par des copeaux de bois bien compactes et du foin . Il ne faut JAMAIS laisser une femelle démarrer une seconde couvée alors que les jeunes ne sont pas sevrés , il y a un risque important alors pour que le mâle devienne très agressif envers la femelle . En intérieur un Kakariki peut pondre toute l'année , il faut donc limiter les couvées à 2 par an .