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Tout ce qui a été posté par Phoenix-wild
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L'amblypige n'est pas une araignée, c'est un arachnidé qui se classe dans un groupe entre les scorpions et les araignées et qui n'a pas d'équivalent en France. Particulièrement adapté à son milieu de vie, la première paire de patte a été transformée en fouets sensitifs de plus de 30 cm de long. Malgré son aspect effrayant (lié à ses pédipalpes surdéveloppés), l'amblypige est parfaitement inoffensif.
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L’Acanthoscuria Geniculata possède des soies urticantes très efficaces qui peuvent vous gratter (y compris la gorge) ou vous faire pleurer plusieurs heures. Si elle se frotte l’abdomen, il vaut mieux refermer le terrarium au plus vite. Description : c’est une superbe mygale de couleur marron foncé presque noir. Le tour du céphalothorax est blanc-crème, les poils du corps sont rouge clair, et des stries horizontales sont présentes à chaque articulation. Des stries verticales blaches sont également bien visibles sur les tibias. L’envergure d’un spécimen adulte atteindra 20cm pour un corps d’environ 8cm ! Elle est imposante, et très puissante : rien ne semble en effet résister à ses chélicères, qui peuvent perçer un os ou de l’argile dure sans difficulté. Cette mygale n’est pas docile, et elle est souvent imprévisible, se retournant très rapidement : vous devez donc être prudent dés que vous pénétrez dans son habitat. Il faut donc éviter de la manipuler, et se contenter de l’observer. Maintenance : Les mygales comme les reptiles, sont poïkilothermes, c’est à dire qu’elles ne peuvent vivre de façon prolongée à des températures trop basses, même si elles sont plus résistantes que les reptiles à priori. Seront nécessaires une hygrométrie égale à 80%, et des températures de 24-26°C la nuit et 28°C le jour, jusqu’à 34°C à un point chaud qu’elle appréciera énormément : le gradient thermique lui permettra de bénéficier de plusieurs températures dans son habitat : vous verriez alors qu’elle affectionne la chaleur, pour passer la plupart de son temps prés du point le plus chaud. Préférez un chauffage par cordon chauffant (ou plaque chauffante), que vous mettrez si possible à l’extérieur du terrarium, sur une paroi, pour éviter les accidents (brûlures ou sècheresse excessive de l’installation). Si le cordon n’est pas très puissant, vous pouvez le disposer à l’intérieur, mais toujours sur une paroi plutot qu’au sol. Comme les mygales ne demandent pas des installations très spacieuses, il est nécessaire de ne pas mettre de chaleur par le sol, car vous ne pourriez éviter que l’ensemble du substrat, dans tout le terrarium, soit chaud (trop chaud), aidant ainsi le développement rapide et incontrôlable des parasites. En substrat, préférez la tourbe de sphaigne, qui engendre un nombre de parasites négligeable : vous pourrez ainsi le changer 2 à 4 fois par an seulement, si vous entretenez régulièrement l’habitat de la mygale (retirer les restes de repas par exemple). Vous pouvez aussi utiliser certains substrats pour reptiles qu’il faudra changer plus souvent. Les mygales ont besoin d’un cycle normal jour/nuit, cependant elles sont souvent plus active la nuit, lorsque tout est calme et qu’elle peuvent sortir de leur nid. Nourriture : insectivore (grillons, blattes, criquets), la mygale peut manger tout ce qui bouge. Cela dit, les insectes sont suffisants. En résumé : Caractère : agressif Moins Origine : Brésil Moeurs : Terricole / Autre Biotope : Tropical Taille adulte : 20 cm Esperance de vie : 15 ans environ Nourriture adaptée : insectes et rongeurs source jungle shop
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macroclemys temminckii
Phoenix-wild a posté un sujet dans Fiches amphibiens / cheloniens / crocodiliens
Description : cette tortue aquatique n’est pas très esthétique, et si elle est facile à élever, nous la déconseillons à ceux qui voudrait acheter cette espèce pour le côté "prédateur" certain qu’elle représente ! Par ailleurs, elle possède des mâchoires redoutables, lesquelles, alliées à son impressionnante taille, représente un véritable danger pour des doigts qui traîneraient là ! A taille adulte elle fera 80cm et pèsera plus de 100kg, ce qui représente une énorme charge. En extérieur, il n’y aura aucun problème d’adaptation, sauf l’hiver dans les zones du Nord de l’Europe. Cette espèce est assez commune en animalerie spécialisée, malgré qu’il faille être prudent dans sa vente. Maintenance : Elle doit être mise dans un bassin profond en extérieur, pourvu d’une végétation aquatique abondante, ou en tout cas de nombreuses cachettes naturelles pour que les individus puissent se cacher si besoin. Dans un aquarium vaste, la maintenance est également possible, mais il faut prévoir très grand ! Dans le Sud et même dans le Nord, vous pouvez la laisser en extérieur en hiver si le bassin est très profond, mais on peut aisément la maintenir en intérieur dans un aquarium : pour cela, il faut installer un éclairage qui soit tamisé, sans UV qui ne seront pas nécessaires vu son régime alimentaire. La journée les températures d’un appartement ou d’une maison peuvent convenir, mais il est préférable qu’il y ait jusqu’à 28°C au moins l’été. Chauffez par cordon chauffant. Nourriture : Cette tortue est vorace : souris, rats, gésiers ou coeur de volaille, rien ne lui déplaît, que ce soit vivant ou mort (nourriture congelée). ATTENTION à toujours laisser des proies vivantes (guppys) pour les juvéniles. La croissance est rapide. En résumé : Caractère : Agressif ! Origine : Sud des Etats-Unis. Moeurs : Aquatique / Diurne Biotope : Varié Taille adulte : 80 cm Esperance de vie : 30 ans Nourriture adaptée : omnivore source jungle shop -
L’Hydrosaurus Weberi se rencontre principalement dans les grandes forêts, cependant on les observe aussi le long de n’importe quel fleuve ou cascade, car ils savent très bien nager (doigts "palmés"), plongent aisément à la moindre alerte, se déplacent avec une agilité à toute épreuve. Endémique les îles philippines et de l’ Indonésie Orientale (tout l’archipel indo-australien), sur les différentes îles, les populations ont des couleurs qui changent légèrement. Par exemple, on sait que les spécimens de Samar ont un phénotype unique, différent de ceux de Luzon ou Mindanao (autres îles). Description : Les Hydrosaurus sont de grands lézards omnivores. Les adultes Hydrosaurus portent une grande crête sur la queue, une sorte de voile qui leur donne le nom de grand Agame (en comparaison avec les Physignatus). Pouvant atteindre 1 mètre, ils vivent toujours en contact direct avec l’eau. Là, ils habitent dans les enchevêtrements de branches au bord des rives, plongeant à la moindre alerte avec une aisance certaine, et nageant sur quelques mètres (d’où leurs doigts "palmés"). Le terrarium doit être d’aspect et d’inspiration tropicale avec une taille 100x50x200 minimum pour un couple, et de grands réservoirs d’eau. Disposez du Red Bark par exemple, qui résiste bien à l’humidité, un brumisateur, et de nombreuses plantes et branches. Pour commencer, vous pouvez bien entendu prendre un jeune individu dans une installation plus restreinte, mais il sera absolument nécessaire de changer la taille de l’installation quelques mois plus tard. Nourriture : Les Hydrosaurus sont de grands lézards omnivores. Dans la nature, ils s’alimentent principalement de tout ce qui bouge dans la forêt, de végétaux et de fruits ( ils peuvent également se nourrir d’ invertébrés et de petits vertébrés). En captivité, ils se nourrissent principalement d’insectes, de végétaux et de fruits, mais peuvent aussi manger des rongeurs, des lézards, des poissons, des grenouilles... En résumé : Caractère : docile Origine : Indonésie et l’archipel indo-australien. Moeurs : Arboricole / Diurne Biotope : Tropical Taille adulte : 100 cm Esperance de vie : 10 Nourriture adaptée : omnivore source jungle shop
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description : Il s’agit d’un petit serpent vert vif, qui adulte n’atteindra pas le mètre, se cantonnant aux 70-75 cm. Dessous, la couleur va du vert-blanchâtre au jaune-verdâtre ; le tout faisant de lui un agréable serpent. Spécifiquement, on le trouve dans la région orientale des Etats-Unis : du Connecticut à la Floride, aux état du Golfe, et dans la vallée du Mississippi vers le Kansas, l’Illinois et l’Ohio. Au niveau du comportement, l’Opheodrys Aestivus essaye très rarement de mordre (il faut vraiment qu’il soit stressé) ; le plus souvent il se laisse approcher, même si son caractère vif fait de lui un rapide fuyard ! Un débutant peut parvenir à s’en occuper s’il prend soin d’observer tous les paramètres nécessaires à son maintien idéal. Cet animal, lorsqu’il est issu d’élevage, n’est pas particulièrement difficile à maintenir, nous le garantissons par expérience. Toutefois, certains ont une mauvaise expérience de cet animal parce qu’il s’agit d’un spécimen provenant souvent de la nature, ou ayant subi un mauvais entretien lors de son passage en animalerie. Les conditions que nous indiquons doivent être tenues à la lettre. Maintenance : dans la nature, ce serpent préfère les habitats humides tels que les prés humides et les bords de lacs, les marais et les régions boisées. On le trouve fréquemment dans une végétation de bois, étalé de tout son long dans les branches, en surplomb au-dessus de l’eau. C’est en effet un bon grimpeur, qui, d’après les observations faites, va rarement au sol s’il a ce qu’il faut en hauteur (perchoirs, végétation). En captivité, disposer une partie sèche et une partie humide avec de la végétation et un grand point d’eau. Le terrarium sera de préférence constitué avec un peu de hauteur, pour qu’il puisse grimper. Vous pouvez mettre un spot chauffant de jour type Basking, en veillant à ce qu’elle soit inaccessible ou protégée, ou un spot infrarouge si votre intérieur est suffisamment éclairé. Les températures devront être de 24-28°C le jour et de 20-23°C la nuit. Il est conseillé de laisser ce serpent pendant 4 mois entre 5 et 12°C pour le repos hivernal. En ce qui concerne la reproduction, elle a lieu entre Avril et Mai, et la femelle pondera de 2 à 12 oeufs en Juin-Juillet. Nous vous conseillons enfin de plaçer un néon UVB une partie de la journée pour que l’animal puisse synthétiser correctement la vitamine D3 nécessaire à son développement osseux. Rappelons qu’il est insectivore, et que contrairement à d’autres serpents il peut manquer de nutriments essentiels. Nourriture : insectes. Adulte, il peut manger des grandes quantités d’insectes. En résumé : Caractère : docile Moins Origine : Amérique du Nord Moeurs : Semi-Arboricole / Diurne Biotope : Varié Taille adulte : 70 cm Esperance de vie : 10ans Nourriture adaptée : insectes source jungle shop
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maladies des tortues terrestres
Phoenix-wild a répondu à un(e) sujet de Phoenix-wild dans Santé Amphibiens - Cheloniens - Crocodiliens
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maladies des tortues terrestres
Phoenix-wild a posté un sujet dans Santé Amphibiens - Cheloniens - Crocodiliens
Les causes les plus fréquentes sont l’exposition aux courants d’air, l’absence de sources de chaleur indispensables, une mauvaise alimentation, le manque de vitamines ou la suralimentation. Le manque d’hygiène peut être aussi cause de maladies. Mesures d’hygiène importantes contre les maladies : Le bassin et les zones de sable humide sont de véritables foyers de reproduction des vers parasite, ainsi que de diverses bactéries. Dans la nature, les tortues qui parcourent de grands trajets ne rencontrent plus ces parasites, qu’elles excrètent définitivement. Mais la réalité est tout à fait différente dans le terrarium. En buvant et en mangeant, elles avalent de nouveau les germes qu’elles ont éliminés, d’autant plus que le manque d’hygiène favorise le développement de ces germes. Ceci empêche l’organisme de la tortue de se développer correctement et elle tombe malade. Nettoyez bien quotidiennement le bassin d’eau et faites en sorte que le sol à proximité soit sec. Pour cela, posez des dalles qui sont réchauffées par la chaleur du sol. Changez le sable qui entoure le bassin fréquemment (tout les 4 à 8 semaines selon l’importance de la saleté causée par la tortue). La tortue dépose volontiers ses excréments dans l’eau. Il faut alors changer immédiatement cette eau. Transmission des maladies : Il y a de nombreux parasites qui vivent dans le corps de la tortue et plus généralement chez tous les animaux à sang chaud. Cependant ils ne peuvent pas se développer dans le corps humain dont la température est constante, à 37°C. Si votre tortue n’a pas de vers, si vous faites analyser ses excréments deux fois par an par le vétérinaire pour y rechercher d’éventuels parasites, si vous avez des règles rigoureuses d’hygiène, vous n'encourez aucun risque. C’est pour cette raison qu’il y a peu de risques que la tortue nous transmettre des maladies. Les maladies les plus fréquentes : Les tortues sont des compagnes tout à fait silencieuses, qui ne crient pas lorsqu’elles souffrent. Observez bien votre animal. Si vous constatez des changements dans son comportement, comme une certaine apathie ou un manque d’appétit ou encore des transformations externes comme les paupières gonflées, vous devez aller immédiatement chez le vétérinaire. Maladies Respiratoires: Le syndrome du nez qui coule\" RNS n'est pas une maladie, mais plutôt un terme décrivant une infection des voies respiratoires qui peuvent avoir plusieurs causes. Elle peut se produire sur n'importe quelles espèce, mais paraît être surtout présente sur les Geochelone pardalis, la tortue Léopard. Il peut se produire n'importe quand dans l'année, il est assez difficile de la prévoir et elle a la désagréable habitude de revenir malgré un traitement. L'animal qui a été infecté en devient \"porteur\". Il ne présente aucun symptôme, mais peuvent contaminer toute tortue qui entre en contact avec eux. La tortue-léopard est la plus affectée, peut-être à cause de sa taille, et ses habitudes alimentaires. Elle a une incapacité générale à s'adapter à notre hygrométrie. Elle rechute souvent surtout si le traitement est interrompu lorsqu'il y a une amélioration. RNS est plus courant dans les populations mélangées et peut s'étendre d'une manière alarmante rapidement si une action rapide n'est pas entreprise. Ne dites jamais au sujet d'un nez qui coule \"ca ira mieux demain\" . Si aucun traitement n'est entrepris, RNS peut se développer de façon chronique ou devenir une pneumonie chronique ou aiguë qui peut être extrêmement difficile à guérir. Souvent UNE stomatite (infection de la bouche) accompagne les RNS et peuvent entraîner des complications la plupart du temps. Il y a plusieurs facteurs qui augmentent les risques d'infection de votre tortue : environnement sale(provoquant des irritations des membranes du mucus), corps étrangers logeant dans les narines, humidité ou température peu appropriées, manque de lumière du soleil, confinement dans des lieux humides sans accès au sable, malnutrition, et stress. Prévention: Une alimentation naturelle conservera votre tortue en bonne santé longtemps. Les tortues aiment \" les déchets \" de la même façon que les êtres humains sont intoxiqués par les hamburgers et les hot-dogs. En les nourissant avec des produits de cuisine frais vous lui faites du tort. Vous allez vous coucher détendu : \" Ma tortue a bien mangé aujourd'hui \"!.Sur plusieurs années les dégâts se développent, sans être détectés, et le problème est ignoré. Votre tortue, quotidiennement, prend un bain de soleil et mange, et dort. Elle semble être en bonne santé alors que, en réalité son corps se détériore lentement jusqu'au moment où les choses commenceront à aller mal. Si, et plus souvent quand la maladie arrive, votre tortue a plus de chance de s'éteindre qu'une autre élevée avec une nourriture naturelle. Cette tortue active aura des muscles fermes et forts, son métabolisme fonctionnera plus rapidement, et sa prise de vitamines et minéraux lui garantiront un système immunitaire pour la protéger contre l'arrivée de maladies. Une tortue souffrant de malnutrition n'a aucune protection contre maladie, elle n'a pas de défense pour lutter contre les envahisseurs, et succombera souvent à un infection bénigne. N'ajoutez pas de nouvelle tortue à votre collection existante sans une mise en quarantaine sur une période d'au moins 6 mois (minimum recommandé). Votre nouvelle tortue peut avoir une RNS ou autre bactérie, mycoplasmine ou même maladie virale et peut être porteur dès maintenant. Il n'y a aucun moyen d'identifier un porteur avec certitude. Évitez le stress - chiens ou autres animaux qui taquinent votre tortue, aggression d'autres tortues, ou les enfants autorisés à \" jouer \" avec l'animal sont stressants. Le stress entraine plusieurs changements biochimiques chez l'animal, entre autre la production de stéroïdes qui supprime le système immunitaire - de tels animaux ont plus de risque de succomber à une infection alors qu'une tortue non-stressée est exposée aux mêmes agents infectieux. Le stress est presque impossible à détecter jusqu'au dernier moment, et peut entrainer des effets à long terme sur la santé générale et la résistance de l'animal. Évitez le sommeil dans un endroit humide. Fournissez un endroit sec et confortable pour la nuit. La chose la plus importante à faire pour éviter les RNS (et autres maladies sérieuses) est de ne JAMAIS METTRE EN CONTACT DES ESPECES DIFFERENTES. Des animaux d'origines différentes ont des résistances différentes aux microbes.Un organisme qui peut être inoffensif pour l'un peut en tuer un autre Traitement : Le pire est arrivé, votre tortue a le nez qui coule - que devez-vous faire ? En premier lieu vérifiez qu'il n'y ait pas de corps étranger logé dans la narine - graine d''herbe, herbe, etc.... Si l'on trouve quelque chose, le corps étranger doit être enlevé sans délai et des gouttes doivent être utilisées pour éviter toute infection éventuelle. Si un corps étranger n'est pas en cause, demandez à votre vétérinaire (ou votre pharmacie habituelle) un tissus stérile. Prenez un échantillon de mucus sur son nez et donnez cet échantillon à votre vétérinaire et tentez un traitement immédiat. Les résultats de ce test vous donneront la cause de l'infection et quels antibiotiques pourront être utilisés. Ceci est très important, il est impossible de lutter avec un seul antibiotique contre tous les germes. La plupart des infections chez les reptiles sont causées par ce que l'on nomme les \"grams-négatifs \" et leur reconnaissance permet à un vétérinaire de savoir ce qu'il doit faire. Donc, si le test n'est pas là, dans l'attente des résultats, il faut démarrer un traitement efficace avec un antibiotique pouvant lutter contre les organismes gram-négatif. Dans les petites et moyennes infections, le traitement consiste en un antibiotique administré en gouttes dans les chambres nasales quotidiennement. En premier lieu essuyez le nez de l'animal avec une serviette en papier jetable pour enlever le plus de mucus possible. Utiliser alors une seringue courte et rigide pour mettre une goutte d'antibiotique dans chaque narine une fois par jour en tenant l'animal droit (vérifiez que le médicament rentre bien dans la cavité nasale). Le mieux est de les installer en fin d' après-midi avant que les animaux ne s'endorment pour la nuit. Si le temps est humide ou frais, il est préférable de placer la tortue dans une boîte à l'intérieur de la maison dans un endroit tiède. Les cas plus graves devront être gardés sous les lampes pendant toute la durée du traitement. Ce traitement simple poursuivi pendant une semaine ou deux fera disparaitre les symptômes et évitea la rechute. En ce qui concerne les antibiotiques, sachez que quelques tortues (Léopard et tortues de l'angulate du Cap en particulier) peuvent être aller allergiques au Baytril. Le résultat de l'allergie est un vomissement et de l'écume sortant du nez et de la bouche. Si, les tests indiquent qu'un autre antibiotique est exigé, vous devrez changer immédiatement. La cortisone ne devra jamais être utilisée car elle supprime le système immunitaire d'un animal déjà en danger. Pendant la durée de ce traitement sachez que la cause de l'infection peut prédominer (stress, malnutrition, humidité etc.) et que cela doit être modifié pour éviter la rechute. Ce n'est pas fini! Vous avez essayé les gouttes, et elles semblent inefficaces.. Alors, que faire ? Quelques infections sont compliquées. De plus, les choses peuvent se compliquer, la stomatite \"necrotique\" pourrait entraîner des complications graves ou la pneumonie chronique pourrait s'installer. Il peut y avoir de nombreuses causes et une action rapide doit être entreprise. Les conseils du vétérinaire doivent être obtenus immédiatement car une injection d'antibiotiques sera pratiquement toujours nécessaire. Il est d'un intéret vital de garder la tortue à une plus haute température pendant la durée du traitement, cela accélère le métabolisme et facilite l'effet des médicaments. Le système immunitaire de l'animal est également renforcé. Une température d'environ 28-30 degrés est en général recommandée. Il est très important que l'hydratation soit maintenue ; si l'animal ne boit pas d'eau votre vétérinaire peut injecter les fluides en piqure sous-cutanée (sous la peau ) ou intramusculaire (entre l'intestin et le corps). Des bains à 28°/30°C, quasi-quotidiens aideront également la tortue à se réhydrater. Quelques médicaments affectent le système rénal et les problèmes rénaux peuvent résulter d'une mauvaise 'hydratation. Une série de 5 à 10 injections sont généralement nécessaires.selon les médicaments utilisés. Pour les médicaments néphrétiques utilisés (dangereux pour le système rénal), il doivent etre injectés dans les veines sinon des dégats importants du rein peuvent en résulter. Avec les autres médicaments, les membres arrières peuvent être utilisés. Dans les cas difficiles, une nébulisation peut être utilisée pour améliorer le traitement en utilisant les antibiotiques recommandés par le vétérinaire, mélanger 1/2 ml d'antibiotique mélangé avec 5ml de sel. Cela devrait être fait 4 fois quotidiennement dans la mesure du possible. Oui, une tortue peut cesser de respirer pendant un temps considérable, mais un animal malade n'a généralement pas la force de le faire et malgré tout, des nébulisations doivent être tentées dans de nombreux cas. Pour finir ne faites pas l'erreur de comparer RNS de l'être humain, rhume commun ou grippe, en pensant qu'il s'améliorera avec le temps. Il ne le faut pas. Le traitement est essentiel, et le plus tot possible. Les RNS qui se prolongent sont plus difficiles à soigner. RNS peut tuer, ne laissez pas votre tortue en être victime. Inspectez les narines quotidiennement si possible demandez l'aide d'un expert rapidement si vous constatez tout écoulement au niveau du nez. Problèmes de Carapace : Ils sont souvent causés par des blessures et quelquefois des tiques. Le traitement comprend le déplacement de tous les boucliers et le nettoyage consciencieux et quotidien avec une solution de Nolvasan ou Betadine. L'exposition à l'air favorisera la guérison. Si ce traitement n'est pas possible, les flamazine peuvent être appliquées une fois par jour avec un nettoyage consciencieux. Les cas avancés peuvent avoir besoin de l'administration d'un antibiotique injectable par le vétérinaire. Accidents : Les égratignures superficielles de la carapace ne sont pas très grave. Mais si la blessure est profonde jusqu’à l’os, il faut conduire la tortue chez le vétérinaire. Il extrait les tissus infectés ou détruits et traite chaque jour la blessure de l’os. On peut réparer une carapace par des prothèses en résine. -
le serpent de vos reve
Phoenix-wild a répondu à un(e) sujet de Phoenix-wild dans Discutions serpents
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sea turtles hatching
Phoenix-wild a posté un sujet dans Discutions amphibiens / cheloniens / crocodiliens
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camel spider
Phoenix-wild a répondu à un(e) sujet de Phoenix-wild dans Discutions araignées / scorpions
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Mes pythons régius du 19
Phoenix-wild a répondu à un(e) sujet de reptilesmania19 dans Photos/videos serpents
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La pathologie des mygales est mal connue, car elles ne font pas l’objet d’études scientifiques réelles, malheureusement. En captivité, on peut rencontrer les problèmes suivants : Parasites Les maladies parasitaires sont courantes chez les specimens prélevés dans la nature, alors que les specimens nés en captivité et élevés dans de bonnes conditions n’en présentent normalement pas. Toutefois, même en faisant attention, il arrive qu’un reste de proie oublié dans un coin aide au développement de parasites qui vont ensuite se loger sur les parties les moins accessibles de la mygale. Les asticots et acariens peuvent être dangereux dans la mesure où ils risquent de proliférer et de stresser l’animal. Les acariens se logent généralement autour des chélicères, et aux articulations, là où la mygale ne peut intervenir efficacement. Les asticots quand à eux séjournent souvent sur le cephalothorax, notamment au niveau de la fovéa où la mygale ne peut les atteindre. Pour soigner l’animal, munissez-vous d’un pinceau fin et oeuvrez avec persévérance et minutieusement. Si vous devez soigner une espèce agressive, le mieux est de tenter de ralentir son métabolisme avant, en arrêtant les chauffages ou en la plaçant dans une pièce plus fraîche ; le danger reste néanmoins présent car elle n’acceptera guère votre intrusion. Evitez le réfrigérateur qui peut provoquer un accident au niveau des centres nerveux. Certains parasites externes proviennent des blattes malades, affaiblies, mortes ou en décomposition !! La parasitose interne, quant à elle, n’est pas diagnosticable et aboutit à la mort de l’animal sans qu’on ait pu intervenir. Quand on sait que la mygale est infesté, il est déjà trop tard. Certains parasites internes proviennent des grillons !! C’est pourquoi nous ne saurions trop vous conseiller les criquets et les blattes dés que c’est possible. Les accidents induits par une mauvaise mue : Ils sont nombreux car les paramètres de chauffage et d’humidité donnés aux mygales par de nombreuses personnes ne sont pas ce qu’elles devraient être. Toutes les mygales ont besoin d’être chauffés : votre température intérieur ne peut être suffisante. Par ailleurs, beaucoup d’espèces ont besoin d’un taux d’humidité élevé. Si ce taux n’est pas assez ou trop élevé, la mygale peut soit rater sa mue partiellement et s’en tirer avec un membre en moins (photo ci-dessous), soit rester coinçée et mourir imobilisée. Sur cette photo, on voit bien le moignon restant ; Cette poecilotheria Fasciata a manqué certainement d’humidité à un moment important de sa croissance. Résultat : une patte ambulatoire minuscule parce que sans doute perdue dans la mue précédente, et encore une patte en moins à la mue suivante. Pour réparer cela, il n’y a rien à faire, sinon corriger les erreurs d’environnement commises et attendre. Les pattes des mygales repoussent, heureusement. A l’inverse, un excés d’humidité dans un terrarium confiné peut amener des champignons : cela se soigne avec une pommade anti-mycosique à l’aide d’un fin pinceau. Plaie ouverte En cas de chute, due à une réaction brusque de votre part, ou de la mygale elle-même, pas grand chose à faire si c’est trop sérieux : la mygale se vide et se traîne piteusement jusqu’à la mort. Si la plaie ouverte est fine, vous pouvez essayer de la colmater avec un morceau d’une feuille de papier à cigarette. Déposez-là juste sur la plaie et collez-la en appuyant doucement sur le tour. Ce n’est pas chose facile mais cela a fait ses preuves. N’oubliez pas d’hydrater beaucoup votre mygale à l’aide d’un pinceau !! Une chute peut se produire dans le cas d’un maintien de l’animal dans un aquarium ou un terrarium mal conçu : les mygales sont les reines de l’évasion et ont proportionnellement beaucoup de force ! Elles peuvent ainsi soulever ou déplaçer des couvercles que l’on croyait trop lourds, sortir et tomber maladroitement sur le sol trop dur, éclatant comme un fruit trop mûr ! C’est surtout le fait des espèces terricoles et des arboricoles engraissées ou gravides qui sont moins alertes en hauteur. Alors prudence : ouvertures de face coulissantes ou porte à lever (ouverture avec ventouse) sont conseillées. Une agression entre un mâle et une femelle lors d’un accouplement peuvent aussi causer des dégâts. Il existe enfin un accident peu connu et peu fréquent mais qui doit être craint : La perte d’un ou deux crochets. Cette perte peut se produire lorsque la mygale mord un objet trop dur, ou la carapace trop dure d’une grosse blatte de Madagascar (Gromphadorrhina Sp) par exemple. Il est donc déconseillé de titiller sa mygale avec une baguette fort rigide sur laquelle, si elle a une réaction agressive, elle pourra se briser un croc. Pour les proies, c’est rare mais selon la taille de son animal il faut éviter les trop grosses carapaces. Il faut savoir enfin qu’une mygale qui perd ses 2 crochets est condamné si elle n’est pas sauvée par une mue imminente qui restituera le manque. Températures Des températures trop basses, peuvent, à terme, aboutir à la mort de la mygale qui ne se déplaçait plus et ne mangeait plus. Soyez sùr de votre installation et des températures que vous devez apporter à votre animal. Bien entendu certaines n’ont pas besoin de températures très élevées, mais d’autres, la plupart, doivent vivre dans un environnement chaud à plus de 25°C, températures rares dans nos intérieurs.
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la difference entre le serpent corail et le faux corail
Phoenix-wild a répondu à un(e) sujet de Phoenix-wild dans Discutions serpents
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sea turtle rescue
Phoenix-wild a répondu à un(e) sujet de Phoenix-wild dans Discutions amphibiens / cheloniens / crocodiliens
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la difference entre le serpent corail et le faux corail
Phoenix-wild a posté un sujet dans Discutions serpents
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ceratophrys cranwelli
Phoenix-wild a répondu à un(e) sujet de Phoenix-wild dans Fiches amphibiens / cheloniens / crocodiliens
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