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bac de 180L communautaire
titimothee a répondu à un(e) sujet de yann67600 dans Présentation de vos aquas
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A savoir concernant l'Elodée
titimothee a répondu à un(e) sujet de Nath111 dans Les plantes et algues
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A savoir concernant l'Elodée
titimothee a répondu à un(e) sujet de Nath111 dans Les plantes et algues
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Voila l'oral est passé .. y'a plus qu'a attendre le résultat. On a fait sa sous forme de débat télévisé, quand je suis arrivé en présentateur télé, j'ai tout de suite vu une grand sourire sur le visage du jury. (qui est d'ailleur resté jusqu'au bout) C'était de toute maniere assez ludique avec notre experience(ils n'avaient d'ailleur jamais vu de daphnies), et quelques vidéo (dont une parodie des celebres "fred et jamie" réalisé par nos soins) BREF ! On ne pouvais pas faire mieux ! J'esperais donc avoir un peu de mou pour m'attarder sur mes passes-temps mais .. j'ai l'oral blanc de francais la semaine prochaine et les épreuves écrites de francais et histoire (blanc) dans deux semaines .. révisions révisions
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présentation de mes aquariums
titimothee a répondu à un(e) sujet de Arly dans Présentation de vos aquas
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Bon .. alors voila un résumé ! Protocole expérimental Nous avons voulu tester le réel impact de la pollution sur la faune au travers d'une expérience. Pour cela, nous allons employer des Daphnies. Comme polluant, nous utiliserons du dichromate de potassium, un solide ionique orangé de formule K2Cr2O7. Dans l'eau, il se dissocie en ions dichromate et en ions potassium. L'ion dichromate (Cr2O72-) étant un puissant agent oxydant. le dichromate est dangereux pour la santé. Il est utilisé dans la fabrication d'éthylotests. Cette dernière pouvant atteindre 200 000 exemplaires par jour en France, selon les chiffres du gouvernement. Le dichromate de potassium en excès lors de la fabrication en industrie ou bien lors du recyclage des éthylotests se retrouve alors rejeté dans le circuit de l'eau. Avec une quantité de 0,5mg de dichromate de potassium pour un éthylotest, la quantité de dichromate rejetée en France par ans selon nos calculs pourrait atteindre 36,5 kg ! Problématique : Quel est le réel impact de la pollution d'origine humaine sur la faune aquatique? Ou à notre échelle : Quel est le réel impact de notre polluant sur les daphnies? Hypothèse : La pollution d'origine humaine est responsable de la disparition d'espèces et du bouleversement donc de la destruction de la chaîne trophique. Déroulement de l'expérience : Après l'acquisition d'un échantillon de daphnies (une cinquantaine), nous l'avons mise en culture jusqu'à atteindre un nombre de très important soit environ 200 daphnies. Bien évidemment, les chiffres sont approximatifs. . Une fois arrivé au laboratoire, l'échantillon a été divisé en 2 groupes de daphnies de même nombre environ, puis nous avons procédé à un premier comptage à l'aide de deux cristallisoirs (un par échantillon de 2L), et d'une grille de comptage. A ce stade, nous avons compté environ 3 daphnies/ case dans les deux échantillons soit, 3 daphnies/ cm3. Après le comptage, nous avons préparé une solution de dichromate de potassium à 0,2g/ml, puis nous avons versé un premier échantillon de 5mL de cette solution dans le bac «pollué». Cinq jours plus tard (J 5), la population de daphnies dans le bac pollué avait légèrement baissée en nombre et les résultats théoriques donnaient une concentration de 2-3 daphnies/ cm3. Le bac non-pollué voyait sa population légèrement augmentée avec 3-4 daphnies par cm3. Après le comptage nous avons versé une seconde fois un échantillon de 5mL de notre solution de dichromate de potassium à 0,2g/ml. Seulement deux jours plus tard (J 7), le seuil critique était perceptible car le nombre de daphnies dans le bac pollué avait nettement baissé par rapport au premier jour avec une concentration de 2 daphnies/cm3 contre 4 daphnies/cm3 dans le bac sain. A la fin de notre comptage, nous ajoutons une nouvelle fois 5ml de notre solution polluante. La concentration de dichromate de potassium dans le bac pollué était alors de 3g/ml. Enfin, le dernier jour (J , le comptage était impossible à effectuer dans le bac pollué car la population était réduite à 6 daphnies dans un bac de deux litres ! A long termes, les résultats obtenus nous permettent d'affirmer que le dichromate de potassium est responsable de la disparition de notre population de daphnies dans le bac pollué. L'hypothèse est donc validée. De plus, nous avons pu observer des modifications physiques des daphnies au niveau de la taille et de la couleur : En effet, les daphnies restantes dans le bac pollué ont pris une coloration orangée et leur taille est très nettement inférieure à l'échantillon sain où les daphnies possèdent une taille d'environ 1mm et sont translucides. La couleur des daphnies de l'échantillon pollué nous laisse entendre que le dichromate de potassium, orange sous sa forme de solide ionique, est le facteur responsable de ce changement. Cette expérience nous a donc permis de prouver que certains polluant sont responsables de la disparition d’espèces mais aussi de la modification de leur phénotype puisque la population de daphnies dans le bac pollué présente un phénotype [orangé]. Grâce à notre expérience, il est possible de se rendre compte des dégâts causés par l'Homme à plus grande échelle : celle des requins mais aussi de toute autre espèce susceptible d'ingérer un polluant d'origine humaine.
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présentation de mes aquariums
titimothee a répondu à un(e) sujet de Arly dans Présentation de vos aquas
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présentation de mes aquariums
titimothee a répondu à un(e) sujet de Arly dans Présentation de vos aquas
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Bonjour tout le monde, Comme je vous l'avais annoncé il y a quelques mois, pour le bac nous voulions faire une experience. Elle est terminée et l’expérience est rédigée donc pour ceux qui ont le courage et surtout le temps de lire voici le compte rendu : 1.2.2 Expérience sur les daphnies Protocole expérimental Nous avons voulu tester le réel impact de la pollution sur la faune au travers d'une expérience. Pour cela, nous allons utiliser des Daphnies. Les daphnies sont des petits crustacés zooplanctoniques mesurant de un à cinq millimètres, de la famille du genre Daphnia phyllopodes cladocères. Elles vivent dans les eaux douces et stagnantes, quelques espèces supportant des conditions légèrement saumâtres. Leur nom populaire de « puce d'eau » donne une bonne idée de leur taille, de leur forme et de leur façon d’évoluer dans l’eau. Elles sont utilisées par les aquariophiles comme aliments pour poissons, mais aussi pour nettoyer l'eau. Les toxicologues les utilisent aussi pour détecter la présence de certains toxiques dans l'eau. Comme polluant, nous utiliserons du dichromate de potassium, un solide ionique orangé de formule K2Cr2O7. Dans l'eau, il se dissocie en ions dichromate et en ions potassium. L'ion dichromate (Cr2O72-) étant un puissant agent oxydant, ce produit est couramment utilisé dans les réactions d'oxydoréduction (Une réaction d'oxydoréduction est une réaction chimique au cours de laquelle se produit un transfert d'électrons. L'espèce chimique qui capte les électrons est appelée «oxydant» ; celle qui les cède, «réducteur»), en laboratoire et dans l'industrie. Comme tous les composés du chrome hexavalent le dichromate est dangereux pour la santé. Il est utilisé dans la fabrication d'éthylotests. Cette dernière pouvant atteindre 200 000 exemplaires par jour en France, selon les chiffres du gouvernement. Le dichromate de potassium en excès lors de la fabrication en industrie ou bien lors du recyclage des éthylotests se retrouve alors rejeté dans le circuit de l'eau. Avec une quantité de 0,5mg de dichromate de potassium pour un éthylotest, la quantité de dichromate rejetée en France par ans selon nos calculs pourrait atteindre 36,5 kg ! Il constitue donc un polluant pour la faune marine et par le phénomène de bioaccumulation, pour la faune terrestre. L'Homme doit donc se sentir concerné par le rejet de polluants quelconques dans l’océan et dans notre cas, il s’agit du dichromate de potassium. Problématique : Quel est le réel impact de la pollution d'origine humaine sur la faune aquatique? Ou à notre échelle : Quel est le réel impact de notre polluant sur les daphnies? Hypothèse : La pollution d'origine humaine est responsable de la disparition d'espèces et du bouleversement donc de la destruction de la chaîne trophique. Implications vérifiables : Si notre hypothèse est vraie, alors le dichromate de sodium va considérablement réduire notre culture de daphnie et possède un effet néfaste voir mortel sur la faune aquatique. À grande échelle, ses effets sont identiques de part une concentration du polluant équivalente. Liste des composants de l'expérience : culture de daphnies avec 2 bacs de 2L contenant 75 daphnies environ chacun, dont un sain et un pollué par notre polluant : le dichromate de potassium. Une culture de phytoplancton dans une bouteille de 1L à verser 10cl par bac 2 fois/ semaine Deux cristallisoirs afin de permettre le comptage d'un échantillon des cultures. Un cristallisoir par culture. Une feuille de comptage à l'échelle des daphnies (feuille transparente avec une grille tracée au marqueur noir fin et indélébile avec des carreaux de 1cm²). Un rétroprojecteur pour permettre le comptage des daphnies Déroulement de l'expérience : Après l'acquisition d'un échantillon de daphnies (une cinquantaine), nous l'avons mise en culture jusqu'à atteindre un nombre de très important soit environ 200 daphnies. Bien évidemment, les chiffres sont approximatifs. Ensuite, nous avons divisés notre culture en deux groupe: D'un côté, environ 150 daphnies ont été répartie dans 4L d'eau pour la réalisation de notre expérience et de l'autre côté, la cinquantaine restante a été gardée en culture afin de pouvoir refaire l'expérience en cas de problème ou d'une mauvaise manipulation. Les conditions de températures et la qualité de l'eau seront identiques pour tous les échantillons de daphnies quelconques même pour la culture préservée et non-expérimentée. Nous avons par la suite apporté l'échantillon de 4L au laboratoire pour la réalisation de l'expérience. Une fois arrivé, l'échantillon a été divisé en 2 groupes de daphnies de même nombre environ, puis nous avons procédé à un premier comptage à l'aide de deux cristallisoirs (un par échantillon de 2L), et d'une grille de comptage réalisée par nos soins avec des carreaux de 1cm². Pour le comptage, nous avons versé une hauteur de 1cm d’eau dans chaque cristallisoir. Nous avons donc obtenus des cases à 1cm3. A l’aide d’une lampe, nous avons éclairé les deux cristallisoirs permettant la mise en mouvement de la population de daphnie. A ce stade, nous avons compté environ 3 daphnies/ case dans les deux échantillons soit, 3 daphnies/ cm3. Après le comptage, nous avons préparé une solution de dichromate de potassium à 0,2g/ml, puis nous avons versé un premier échantillon de 5mL de cette solution dans le bac étiqueté «pollué». Cinq jours plus tard (J 5), la population de daphnies dans le bac pollué avait légèrement baissée en nombre et les résultats théoriques donnaient une concentration de 2-3 daphnies/ cm3. Le bac non-pollué voyait sa population légèrement augmentée avec 3-4 daphnies par cm3. Après le comptage nous avons versé une seconde fois un échantillon de 5mL de notre solution de dichromate de potassium à 0,2g/ml. Seulement deux jours plus tard (J 7), le seuil critique était perceptible car le nombre de daphnies dans le bac pollué avait nettement baissé par rapport au premier jour avec une concentration de 2 daphnies/cm3 contre 4 daphnies/cm3 dans le bac sain. A la fin de notre comptage, nous avons décidé de dépasser le seuil critique en ajoutant une nouvelle fois 5ml de notre solution polluante. La concentration de dichromate de potassium dans le bac pollué était alors de 3g/ml. Enfin, le dernier jour (J , le comptage était impossible à effectuer dans le bac pollué car la population était réduite à 6 daphnies dans un bac de deux litres soit 3 daphnies/ L tandis que la population dans le bac sain atteignait une concentration de 6 daphnies/cm3 ! A long termes, les résultats obtenus nous permettent d'affirmer que le dichromate de potassium est responsable de la disparition de notre population de daphnies dans le bac pollué. L'hypothèse est donc validée. De plus, nous avons pu observer des modifications physiques des daphnies au niveau de la taille et de la couleur : En effet, les daphnies restantes dans le bac pollué ont pris une coloration orangée et leur taille est très nettement inférieure à l'échantillon sain où les daphnies possèdent une taille d'environ 1mm et sont translucides. La couleur des daphnies de l'échantillon pollué nous laisse entendre que le dichromate de potassium, orange sous sa forme de solide ionique, est le facteur responsable de ce changement. Cette expérience nous a donc permis de prouver que certains polluant sont responsables de la disparition d’espèces mais aussi de la modification de leur phénotype puisque la population de daphnies dans le bac pollué présente un phénotype [orangé]. Cependant, il aurait été intéressant de pouvoir observer jusqu'à quelle échelle le phénotype des daphnies a-t-il été modifié et si le génotype des daphnies a-t-il été bouleversé en conséquence ? Étant donné que le phénotype [orangé] s'observe à [l'échelle de l'organisme], nous pouvons malgré tout affirmer que notre polluant a agit sur le phénotype [cellulaire]. Mais nous manquons de moyens pour approfondir notre expérience. Grâce à notre expérience, il est possible de se rendre compte des dégâts causés par l'Homme à plus grande échelle : celle des requins mais aussi de toute autre espèce susceptible d'ingérer un polluant d'origine humaine.
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titimothee a répondu à un(e) sujet de Arly dans Présentation de vos aquas