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Tout ce qui a été posté par Fidjy
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La communication : Le dressage des oiseaux par l'homme !
Fidjy a répondu à un(e) sujet de Fidjy dans Discussions sur le comportement des perroquets:
Maintenant commencez à réfléchir à ce que vous voulez faire une fois que la commande « ramène-le-moi » sera complètement acquise. Voulez-vous que l’oiseau mette une balle dans un panier ? ou peut-être des pièces dans une tirelire ? ou bien encore apprendre à empiler des éléments ? ou à retrouver une graine sous un gobelet parmi d’autres ? Pourquoi ne pas apprendre à l’oiseau des couleurs basiques en lui enseignant comment placer un anneau dans une cheville ? Pensez à cela maintenant et rassemblez ces objets pour l’oiseau tout en pratiquant le rapport. Utilisez des anneaux de différentes tailles et couleurs, des pièces différentes, des gobelets (N.B de la traductrice : adaptés à la taille de l’oiseau et modifiés pour pouvoir être soulevés), des puzzles pour enfant qui consistent à mettre des formes à leur place, et, si l’oiseau est devenu un rapporteur digne de ce nom, vous pouvez y rajouter des balles désormais (N.B de la traductrice : pour les petits perroquets et perruches, pensez aux balles d’entraînement de golf, elles sont légères car en plastique évidé et entourées de trous, bref l’oiseau pourrait facilement en soulever une, ça ressemble à ce que le caïque à tête noire utilise plus bas). Jouez à un jeu avec lui. Utilisez beaucoup d’objets différents et faites en sorte que l’oiseau vous les ramène. Rappelez-vous d’exprimer votre joie, de le féliciter et de le récompenser pour chaque rapport. N’oubliez pas d’introduire le petit anneau en plastique blanc qui se trouve habituellement dans les magasins de couture et qui peut être attaché à la fin de ficelles pour tirer des jouets, sonner une cloche etc. Ils deviennent très utiles pour les futurs tours Quand l’oiseau est devenu particulièrement familier avec la variété d’objets que vous comptez utiliser comme accessoires, vous pouvez commencer à lui apprendre des tours particuliers. Commençons avec la balle dans le panier vu que c’est un des tours les plus populaires. Premièrement demandez à l’oiseau de vous emmener la balle et de la placer exactement dans votre main. Bougez-la à différents endroits de la table afin qu’il apprenne à vous emmener la balle quelque soit le lieu où se trouve votre main et non pas simplement vers votre corps. Puis substituez un petit récipient, un qui soit approprié à la taille de la balle. Demandez à l’oiseau de vous emmener la balle, mais cette fois-ci placez votre main par-dessus le récipient et penchez là vers celui-ci afin que la balle tombe dans le récipient. Après quelque temps, contentez-vous d’indiquer le récipient dans lequel vous voulez que l’oiseau y mette la balle en tapotant sur sa paroi. Déplacer le récipient à différents endroits et tapotez dessus afin que l’oiseau apprenne à placer la balle là où vous lui indiquez. Si vous avez un mini panier de basket, utilisez-le désormais. Baissez-le à la hauteur de la table et demandez à l’oiseau de placer la balle dans le panier. Graduellement, soulevez le panier jusqu’à ce que l’oiseau ait vraiment à se tendre pour y mettre la balle. J’utiliserais un filet fermé afin que l’oiseau voit que la balle est à l’intérieur ; s’il est ouvert, la balle va tomber et ce sera plus long pour que l’oiseau comprenne ce qu’il a accompli. Pour rendre le tour vraiment mignon, assurez-vous que l’oiseau ait vraiment à se tendre pour mettre la balle dans le panier. Un panier bas donne l’impression que l’oiseau se contente de laisser tomber la balle à l’intérieur et qu’il ne fait pas vraiment quelque chose de spécial. Le tour du panier de basket ne demande en général aucune commande verbale ou vocale une fois appris. Placez la balle sur la table, près du panier, et normalement l’oiseau va immédiatement aller l’attraper et la lâcher dans le filet. Puis mettez la balle de plus en plus loin jusqu’à ce que l’oiseau porte triomphalement celle-ci le long de la table jusqu’au panier et cela pour votre plus grand plaisir. Puis, un jour, lorsque l’oiseau connaîtra ce tour ainsi que le rapport parfaitement, vous allez peut-être avoir envie d’y ajouter quelques variations. Utilisez votre imagination. Cassie, ma caïque à tête noire fait ses bonds caractéristiques en portant la balle dans son bec et cela jusqu’au panier. Squawk, ma conure à tête bleue, « dribble » avec la balle sur le terrain. Poopsie, la petite conure à joues-vertes, a à grimper sur une échelle pour atteindre le panier. Xena, mon perroquet maillé tourne sur elle-même tout le long du chemin jusqu’au panier. Un autre oiseau vole jusqu’en haut du panier de basket, en portant la balle, et ensuite la laisse tomber dans le filet de là où il est. En bref, il existe de nombreuses manières de rendre ce tour basique différent et intéressant. Mais ce sont des idées plus avancées. Attendez que votre oiseau soit vraiment confortable dans sa pratique avant de commencer à les introduire. Ensuite vient le tour de l’anneau dans un plot, un tour facile et marrant à apprendre. Mais pensez-y avant de commencer. C’est le bon moment pour introduire le discernement des couleurs. L’accessoire est simple, il vous suffit de prendre une base en bois carrée et d’y insérer un bout de bois rond tel une cheville, faites-en sorte que le tout soit approprié à la taille de l’oiseau. Ce sont les anneaux qui son plus difficiles à trouver, essayez d’en avoir de différentes tailles avec des couleurs vives. J’utilise les couleurs primaires : rouge, jaune, bleu et aussi parfois du vert. Mais trois couleurs suffisent largement pour commencer. Je peins les plots de la couleur correspondante aux anneaux. La raison pour laquelle je fais ça et pour m’assurer que l’oiseau ne mette l’anneau rouge que sur le plot rouge, le vert sur le vert etc. Si vous insistez dessus dès le début, l’oiseau va apprendre les bonnes couleurs rapidement et sans effort. Pour apprendre ce tour, mettez l’anneau vert sur la table et demandez à l’oiseau de vous l’emmener comme il l’a déjà fait ; mais cette fois-ci tenez le palet vert avec une main pour l’incliner en avant, et glissez l’autre par-dessus en laissant la cheville passer entre vos doigts. Quand l’oiseau apporte l’anneau, vous pouvez l’aider à le mettre sur le plot (en harponnant l’anneau) autant que nécessaire. Quand l’oiseau comprend l’idée, enlevez votre main afin qu’il voit l’anneau tomber sur la base du plot. C’est toujours un tour qui est amusant à enseigner et à observer. Parfois, l’oiseau va retourner l’anneau sur sa tête et en être surpris, ou le porter en le laissant traîner et trébucher dessus, ou encore le tenir devant lui en espérant qu’il va atterrir tout seul sur le plot. Finalement il va apprendre à toucher le bout de la cheville avec le bec et habilement laisser glisser l’anneau autour de celle-ci. Travaillez avec des anneaux de différentes tailles une fois que l’oiseau a compris comment faire. Vous allez être surpris de voir à quelle vitesse il apprendra à gérer toutes les tailles des anneaux. Veillez à insister pour que l’oiseau mettre toujours l’anneau dans le plot correspondant à sa couleur. Et maintenant, pourquoi ne pas apprendre à votre oiseau comment emboîter des objets ? Ce tour est l’un de ceux que les oiseaux semblent apprécier particulièrement et apprendre tout aussi rapidement. Vous pouvez trouver les éléments emboîtables dans un magasin pour enfants. J’utiliserais une pièce sur deux pour commencer afin que les éléments s’emboîtent sans aucune résistance. En considérant que vous avez déjà utilisés ces objets pendant l’apprentissage du rapport, l’oiseau doit y être familier. Commencez avec seulement quatre éléments. Placez le deuxième plus grand élément au centre de la table et dites à l’oiseau « ramène-le-moi ». Gardez le plus gros élément face à vous afin que, lorsque l’oiseau vous emmène le second, vous puissiez indiquer en tapotant le plus gros, où vous voulez qu’il le mette. Si vous avez enseigné le tour du panier de basket, ce sera très facile, sinon, placez votre main, paume vers le haut, au-dessus du plus gros élément en la penchant afin que le second glisse dedans. Au bout de la deuxième fois, vous pouvez vous contenter de juste indiquer le plus gros élément et normalement l’oiseau va vite saisir. Ensuite, placez le troisième élément au centre de la table et demandez à l’oiseau de vous le ramener. Indiquez juste où il doit le poser et répétez avec le dernier élément. Quand il le fait facilement, mettez les éléments dans leur ordre de grandeur sur la table. Faites en sorte qu’il attrape le second plus large élément et le place dans le premier qui sera juste à côté de lui. Puis, faites-lui attraper le suivant de la ligne et le mettre dans les deux autres et ainsi de suite, l’oiseau va très vite comprendre. De nouveau, une fois acquis, ce tour ne demandera ni commande ni signal, placez juste les éléments sur la table et regardez l’oiseau faire. Pour compliquer les choses, vous pourrez mélanger les éléments afin que l’oiseau ait à juger de la taille des éléments pour savoir lequel ira dans l’autre ; mais n’essayez pas cela tout de suite, ceci est destiné à des oiseaux très bien entraînés. Apprendre le concept du rapport doit vous prendre deux, peut-être trois leçons. Chaque tour après cela demandera probablement une leçon particulière. Rappelez-vous de garder chaque leçon amusante, il n’y a rien qui presse. Si l’oiseau ne semble pas comprendre quelque chose, reprenez en un peu les bases et recommencez. Ce qui est génial est de savoir qu’une fois qu’une leçon est acquise, l’oiseau ne l’oubliera pas. Ils ont une mémoire phénoménale. Quand je travaillais avec des chiens, je devais toujours reprendre et renforcer ce que le chien devait avoir appris. Mais c’est différent avec les oiseaux. J’en ai eu que j’ai entraînés il y a des années et qui n’ont pas travaillé depuis, or ils font leur numéro comme si je les avais vu la veille. Pour moi c’est toujours incroyable. Et rappelez-vous, vous n’aurez jamais la main trop lourde sur les récompenses et les félicitations. Ce sont seulement trois tours faciles à apprendre quand l’oiseau a acquis le rapport. Espérons qu’ils vous donneront des idées pour innover avec d’autres. Mes vidéos vous montreront comment faire ce que j’ai décris jusque là et comment continuer avec plus de tours basés sur le rapport. Tani Robar dresse et fait des représentations avec ses oiseaux depuis plus de 12 ans. Pour ceux qui veulent continuer leur entraînement, Tani Robar a maintenant une série de 4 vidéos qui montrent chaque étape du dressage et comment chaque tour est enseigné. Video I , ‘Fantastic Performing Parrots’, montre les oiseaux de Tani exécuter les tours qu’elle apprendra dans les vidéos suivantes et plus encore. Video II, “Teach Your Parrot Beginning Tricks”, montre les oiseaux qui sont entraînés pour la première fois et couvre le système « félicitation/récompense », « comment donner les commandes et les signaux », et les tours de base comme « tourner », « serrer la main », « saluer », « donner un baiser », « soulever un panier » et bien d’autres Video III, “Intermediate Tricks” apprend le rapport en plus d’autres tours qui y sont associés comme placer une balle dans un panier, une pièce dans une tirelire, un cercle sur un plot et ériger un drapeau. Elle couvre aussi « faire le mort », » jongler », « se rouler sur le sol, « faire une cabriole » et d’autres. Video IV, “Advanced Tricks” montre comment apprendre à l’oiseau à tourner une manivelle, sauter à travers un cercle, conduire un scooter, empiler des éléments et d’autres tours combinés. -
La communication : Le dressage des oiseaux par l'homme !
Fidjy a répondu à un(e) sujet de Fidjy dans Discussions sur le comportement des perroquets:
Apprendre ces deux tours doit vous avoir pris une demi-heure. Si vous continuez à prendre plaisir à ces exercices et que l’oiseau vous regarde toujours avec attention, passez au tour numéro 3. Ce n’est pas trop de l’apprendre en une leçon et vous allez voir que l’oiseau semble en fait aimer ça. Ne vous souciez pas de la perfection du mouvement, tout ce dont vous avez besoin pour le moment est que l’oiseau ait vu ce que vous attendiez de lui. Le perfectionnement viendra plus tard. Troisième tour: “serrez la main”. C’est un tour facile ! Avec l’oiseau sur son perchoir en T comme précédemment, offrez votre main droite en face de sa patte droite. Rappelez-vous, c’est le salut avec la patte gauche, et la poignée de patte avec la droite. L’oiseau va sans aucun doute essayer de monter sur votre main avec sa patte gauche, vu que c’était ce que vous vouliez avant. Ne le laissez pas faire. Insistez pour que l’oiseau lève sa patte droite et essaye de monter sur votre main avec cette patte. Soyez persévérant(e), ça viendra. Ensuite félicitez-le et récompensez-le. Laissez-lui juste toucher votre main avec sa patte droite, ne le laissez pas y transférer son poids et essayer de monter sur votre main. La vitesse à laquelle l’oiseau va comprendre où vous voulez en venir et cela après deux autres tours va vous étonner. Il a compris que tout ce qu’il avait à faire était quelque chose de simple comme lever une patte et que cela lui valait des petits soins et une récompense. Les oiseaux sont très intelligents et une fois que vous leur avez montré ce que vous voulez qu’ils fassent, ils sont habituellement plus que contents de le faire. C’est seulement lorsque votre oiseau posera sa patte sans hésitation sur le doigt que vous lui présentez, que vous pourrez essayer de lever et baisser votre main comme pour le classique mouvement de « serrer la main ». Pour terminer, touchez le haut de sa patte avec votre pouce. Si vous avez fait tous les exercices « d’apprivoisement » mentionnés plus haut pour préparer l’oiseau aux tours, toucher les pattes de l’oiseau et bouger votre main autour ne devrait pas l’alarmer. A ce point vous avez sûrement envie de revoir les trois tours que vous avez juste enseigné, mais si jamais vous êtes fatigué(e), arrêtez sur une réussite. Félicitez votre oiseau, récompensez-le, ramenez-le à sa cage et laissez-le. N’enchaînez pas sur des jeux. Laissez les leçons d’entraînement devenir le moment privilégié de votre oiseau avec vous, et il sera impatient de suivre la prochaine. Votre première leçon doit vous avoir prit 30 à 45 minutes. Plus long si vous vous amusiez tous les deux, moins si soit vous ou soit l’oiseau s’est mis à stresser. Mais si cela est arrivé c’est que vous vous y preniez mal. Aidez l’oiseau à avoir le plus de succès possible. Récompensez chaque petite évolution. C’est bien mieux de le guider vers la bonne réponse que d’avoir à le corriger pour une mauvaise. Si l’oiseau ne fait rien de bien, essayez d’une autre manière afin qu’il puisse être récompensé pour un mouvement correcte. Le dressage pour faire des tours a de la valeur, même si l’oiseau ne s’exécute que devant son propriétaire. L’entraînement apprend à l’oiseau la discipline et vu que vous passez plus de temps à l’observer, vous allez mieux le comprendre et lui va également mieux apprendre comment répondre à vos demandes et ce qui vous fait plaisir. Ce sont juste les trois tours de base. Chaque tour qui suivra viendra plus facilement. Ne vous découragez pas si tout n’est pas parfait. Soyez patient(e) et n’abandonnez pas. La réussite va venir plus vite que vous le pensez. Apprenez à votre oiseau le rapport « mettre une balle dans un panier » « un anneau dans un plot » « emboîter des éléments » par Tani Robar traduit en français par Wen Vous avez réussi les trois premiers tours basiques: le « tourne », le « salue » et le « serre la main ». Vous avez votre mot associé à la réussite (j’utilise « bien »), et vous avez sélectionné la nourriture qui sert de récompense comme décrit au début de la première leçon. Vous êtes maintenant prêt(e) à passer au niveau suivant. Le « rapport » est probablement le plus important des simples comportements que vous puissiez lui apprendre. C’est la base pour tellement de futurs tours (environ 70%) que vous pouvez avoir envie d’enseigner. Pensez « mettre une balle dans un panier », « un anneau dans un plot », « une pièce dans une tirelire », « les formes dans un jeu d’enfant », « emboîter des objets », « pousser ou tirer un objet », « tourner une manivelle » et encore plus. Vu que c’est tellement important, prenez votre temps et enseignez le concept du rapport de manière minutieuse. N’essayez pas d’aller trop vite et faites chaque tour séparément. Enseigner le concept du rapport pour que l’oiseau vous ramène n’importe quel objet que vous lui indiquez, si c’est fait comme il le faut, peut faire en sorte que tous les futurs tours soient acquis bien plus vite et plus facilement Commençons avec l’idée de base de demander à l’oiseau de soulever un objet désigné et de vous le rapporter. Je commence avec un simple objet comme une petite pelle en plastique, ou un bloc en plastique. L’objet doit être facile à soulever pour l’oiseau et bien sûr adapté à sa taille. Sachez que l’oiseau ne doit pas être autorisé à jouer avec ou à mâcher l’accessoire utilisé pour le dressage, c’est pourquoi je continue à ne pas tenter l’oiseau avec un objet en bois à ce moment. C’est trop facile pour l’oiseau de prendre un petit morceau de quelque chose en bois. Rappelez-vous, tout est dans le « renforcement positif » à ce niveau, donc vous ne voulez pas avoir à enlever un objet à l’oiseau ou avoir à dire « non », ou montrer de la gêne s’il mâche l’accessoire. Utilisez des objets en plastique pour commencer. Pour la même raison, ne prenez pas un des jouets de l’oiseau, c’est un entraînement sérieux et vous voulez que votre oiseau le prenne sérieusement. Placez l’objet choisi sur la table d’entraînement. Mettez une graine (ou ce que vous avez choisi en guise de récompense) près de l’objet. Habituellement, l’oiseau va directement aller prendre la graine, félicitez-le et recommencez en plaçant cette fois-ci la graine d’un autre côté de l’objet afin que l’oiseau ait à chercher pour la trouver. Une fois que l’oiseau est à l’aise pour prendre la graine et commence à l’attendre, cachez la graine sous l’objet. Maintenant l’oiseau va devoir bouger l’objet pour la trouver. Vous allez simplement devoir faire chaque exercice quelques fois, l’oiseau va vite comprendre. La commande vocale pour ce comportement est la longue phrase « ramène-le-moi ». J’aime cette longue commande parce que ça a un son différent et ce n’est probablement pas quelque chose que vous avez déjà dis à votre oiseau auparavant. L’oiseau va maintenant associer ces mots avec le fait de vous ramener quelque chose et, ensuite, il va toujours chercher quelque chose à rapporter quand il entendra la demande. La commande visuelle est la main posée sur la table, la paume grande ouverte vers le haut. C’est une des rares fois où vous allez enseigner une commande et un signal en même temps et, plus que probablement, vous allez toujours les utiliser ensembles, alors que la plupart du temps vous alliez avoir besoin de l’un ou de l’autre. Habituellement c’est la commande visuelle qui devient la dominante, les oiseaux comme vous le savez sont plus orientés sur le visuel. La prochaine fois où vous répétez cet exercice, ne mettez pas de graine sous l’objet. A la place, placez votre main à plat sur la table, la paume ouverte vers le haut et dites à l’oiseau « ramène-le-moi ». L’oiseau va aller directement à l’objet comme avant et chercher la graine. Quand il ne va pas la trouver, il va probablement essayer de le bouger pour la trouver. Félicitez-le immédiatement et donnez-lui une graine de l’autre main. Faites-le de nouveau en attendant juste quelques secondes de plus pour récompenser l’oiseau. Habituellement, par frustration, l’oiseau va essayer de soulever l’objet. Félicitez-le immédiatement et récompensez-le. Dès que l’oiseau soulève l’objet, essayez de glisser votre main tendue en dessous afin que l’objet tombe dans votre main. C’est la raison pour laquelle cette commande visuelle est particulière, l’oiseau va toujours associer votre main tendue, paume vers le haut, avec le fait de devoir vous ramener quelque chose. Il va vite comprendre ce que vous attendez de lui et que, quelque part, désormais la récompense est liée au fait de soulever l’objet, puis de le laisser tomber dans votre main. Maintenant commencez à doucement retirer votre main afin qu’elle ne se retrouve plus directement sous l’objet. L’oiseau va comprendre qu’il a à tendre un peu le cou pour mettre l’objet dans votre main. Rappelez-vous de chaudement féliciter l’oiseau pour chaque petit succès. Bientôt vous aurez la main suffisamment loin pour que l’oiseau ait à faire un pas en portant l’objet pour le placer dans votre main. Reculez votre main un petit peu plus après chaque rapport réussi. Finalement, l’oiseau devra marcher pour vous ramener l’objet. Félicitez-le et récompensez-le chaudement lorsqu’il y arrive. Utilisez le premier objet seulement jusqu’à ce que l’oiseau ait compris le concept de vous le ramener, puis changez-en. N’utilisez pas une balle ou quoique ce soit de rond à ce niveau. La balle peut trop facilement frapper une partie de votre main et être déviée de manière à ce que vous ayez à briser votre position pour essayer de l’attraper. Ceci gâcherait le fondement de l’exercice. Gardez la balle pour plus tard quand l’oiseau sera vraiment doué au rapport. Sélectionnez un autre objet. Vous allez vraisemblablement avoir à recommencer depuis le début avec cet objet mais vous allez voir que l’oiseau va comprendre beaucoup plus vite et va vite le ramener à votre main. Puis changez de nouveau, faites en sorte que les objets soient différents et intéressants. Bientôt, l’oiseau devrait ramener sans hésitation l’objet que vous aurez mis sur la table, quelqu’il soit....SUITE.... -
La communication : Le dressage des oiseaux par l'homme !
Fidjy a répondu à un(e) sujet de Fidjy dans Discussions sur le comportement des perroquets:
CHERS AMIS VOICI UNE AUTRE METHODE ...Nous sommes tous là pour nous instruire...Cette méthode est une traduction d'anglais en Français...Sachez parait-il, qu'il est plus facile pour l'éducation d'un oiseau de dialoguer en Anglais qu'en Français; je pense que par exemple le mot COME! en anglais est plus court et plus aigu que VIENS! par exemple...Je vous informe de cet exemple mais vous conseille d'avoir en correspondance un Maître en privée en correspondance, notre Ami Domi,( qui est sur ce forum) en cliker training: il sera là pour vous aider personnellement pour réaliser vos tours: contacter le gratuitement par ce forum ou son site de professeur: http://fr.groups.yahoo.com/group/clicker_training/ Entraînement des tours basiques: « tourne » « salue » « serre la main » par Tani Robar, traduit en français par Wen Sources : Le site web : http://www.parrottricktraining.com/index.html Les images : http://www.parrottricktraining.com/birds/cassie.html Et un extrait d’une vidéo à télécharger : http://host186.ipowerweb.com/~houdinia/feathered/fantasticdvd2sample.wmv Apprendre des tours à votre perroquet et l’un des meilleurs moyens pour vraiment vous lier avec lui et faire en sorte qu’il soit et reste heureux. La plupart des perroquets sont très intelligents et ont une excellente mémoire. Ils semblent aimer apprendre de nouvelles choses, travailler avec vous et recevoir toute votre attention. Fait avec amour, patience et gentillesse, la plupart des perroquets sont avides de leurs entraînements et répondront avec empressement à ce que vous voudrez qu’ils fassent. Mais avant toute chose, avant de commencer à essayer d’apprendre des tours à votre oiseau, assurez-vous qu’il est complètement apprivoisé et sociabilisé. L’oiseau doit venir facilement vers vous et vous laisser le toucher sur tout son corps, ses pattes, et sous ses ailes, il doit aussi savoir prendre de la nourriture dans votre main. En d’autres mots, il doit déjà y avoir un certain degré de confiance entre vous et votre oiseau avant que vous n’essayiez de lui apprendre des tours. Si vous avez peur qu’il ne vous morde, ou bien qu’il a peur de vous, aucun réel apprentissage ne se mettra en place. La clé, c’est la confiance totale. Une fois que votre oiseau est apprivoisé et complètement sociabilisé, vous pouvez commencer à penser à lui apprendre des tours. Premièrement : où allez-vous effectuer l’entraînement ? Vous avez besoin d’un endroit tranquille, sans aucune distraction : pas de sonnerie de téléphone, d’enfants bruyants, ou de chiens aboyants et courant partout qui puissent détourner l’attention de votre « élève ». De préférence, il faut que ce soit un lieu en retrait des autres oiseaux et de sa propre cage. J’utilise une petite table où je peux m’asseoir confortablement tout en travaillant avec l’oiseau et sans qu’il ne puisse aller hors de ma portée. Cela va sans dire que les plumes doivent être rognées. Si vous préférez rester debout, faites-le. Mettez-vous juste à l’aise et relaxez-vous Un autre problème est le fait que les oiseaux ne restent pas concentrés très longtemps. Je n’ai pas de problème pour garder éveillée l’attention d’un oiseau, la clé du succès semble être de ne pas laisser de temps mort dans la leçon. Dès que l’oiseau a appris un comportement, je passe au suivant. Pas d’ennuyeuses répétitions sans fin. Je peux rapidement vérifier où en sont les tours que j’ai enseignés précédemment avant de commencer une autre leçon ; ensuite je repasse à celui que j’étais en train d’apprendre et pour finir, j’en commence de nouveaux. Je ne vois pas le besoin de faire plusieurs courtes leçons comme j’ai entendu certains dresseurs le préconiser. La plupart des gens n’ont pas autant de temps. Faites une bonne leçon, et aussi longtemps que vous la gardez amusante et intéressante, vous n’aurez pas à vous soucier de la longueur de celle-ci. N’importe quel perroquet, et basiquement quelque soit son âge, peut apprendre des tours. Mais l’oiseau jeune est probablement le plus facile à entraîner car il a peu d’habitudes ancrées. La situation idéale est de travailler avec un jeune oiseau qui a été élevé à la main par des passionnés et a reçu beaucoup d’attention. Mais quelque soit son âge, essayez, vous allez y prendre plaisir. Sans se soucier du genre de l’oiseau avec lequel vous travailler ou quel tour vous allez essayer de lui apprendre, la méthode appelée « renforcement positif » est celle utilisée par presque tous les dresseurs professionnels, qu’ils entraînent un oiseau, une baleine, un dauphin ou n’importe quel autre animal sauvage. Le type de renforcement positif ou « récompense » que nous utilisons pour apprendre un comportement varie selon l’oiseau. Certains propriétaires rapportent que leurs oiseaux répondent à une gratouille sur la tête et aux câlins en guise de récompense, quand d’autres pensent que le simple fait de savoir qu’ils font plaisir à leur maître est une récompense pour eux et est suffisant. Mais la plupart sentent que les oiseaux travaillent mieux et avec plus de sérieux avec de la nourriture en guise de récompense. J’utilise des petites graines avec les plus petits oiseaux, des cacahuètes ou de plus larges noix avec les plus gros oiseaux. Regardez ce que votre oiseau sélectionne en premier parmi ses graines, puis enlevez-les de sa nourriture régulière, ce sera sa récompense. Il faut que la récompense soit quelque chose que l’oiseau puisse consommer rapidement et facilement. Mes oiseaux mangent seulement des granulés, plus les fruits et légumes habituels et quelques autres aliments. Par conséquent, les graines sont un véritable plaisir pour eux. Je laisse les granulés dans des mangeoires en libre service tout le temps, mais j’enlève la nourriture fraîche environ deux heures avant un entraînement ou une démonstration. De cette manière, ils ont un peu faim, ne sont pas endormis et sont plus enclins à me donner toute leur attention contre leurs graines favorites. La « récompense » est notre principal moyen de faire comprendre à l’oiseau qu’il nous a fait plaisir et fait ce que nous attendions de lui. Si vous associez toujours un mot comme « bien », juste après le bon comportement et avant de donner la graine en récompense, l’oiseau apprendra vite à faire la relation entre ce mot et le bon comportement et également l’arrivée de la friandise. Ça fait partie de ce que vous êtes en train d’apprendre avec vos premiers petits tours, c’est plus important que le tour lui-même. Cela rend toutes les leçons qui vont suivre plus faciles. Emmenez votre futur « élève » à la zone d’apprentissage à plusieurs occasions avant de commencer à l’entraîner. Jouez avec lui à cet endroit, laissez lui voir le perchoir en T que vous allez utiliser et laissez-lui le temps d’y prendre ses aises. Faites gentiment basculer votre oiseau sur son dos tout en le tenant dans vos bras ou sur vos genoux, gratouillez-lui la tête et le ventre, soulevez-le avec vos mains autour de son dos, et donnez-lui sa friandise favorite. Laissez votre oiseau voir que c’est un endroit amusant et agréable. A ce moment, et seulement à ce moment, vous êtes prêts à commencer le véritable dressage. Première leçon : Nous allons commencer avec « tourne », puis « salue » et enfin « serre la main », et oui, tout ceci peut-être appris dans la première leçon ! Avec l’oiseau installé sur son perchoir en T ou autre perchoir similaire en face de vous, donnez-lui une friandise (je vais dire graine vu que c’est ce que j’utilise) et parlez-lui doucement. En utilisant l’ordre « viens » faites en sorte que l’oiseau monte sur votre main, puis qu’il retourne sur le perchoir en lui disant « perchoir ». Même si ce sont des comportements que l’oiseau doit déjà connaître, faites-le plusieurs fois en lui disant « bien » dès qu’il s’exécute correctement et donnez-lui une graine comme récompense. Premier tour : « tourne ». Montrez une graine dans votre main droite au niveau des yeux de l’oiseau, laissez-lui la voir. Dites-lui « tourne ». Dès que l’oiseau essaye d’attraper la graine, bougez votre main autour de l’oiseau vers son dos afin qu’il ait à tourner sa tête et ensuite, on espère, tout son corps pour suivre et atteindre la graine. Dites-lui « bien » et donnez-lui la récompense. Si l’oiseau ne fait qu’un simple demi-tour de façon à ce qu’il se retrouve à vous tourner le dos, dites-lui quand même « bien », récompensez-le et encouragez-le à finir son tour en l’appâtant avec une nouvelle graine toujours dans votre main droite. Utilisez le simple mot « tourne » à chaque fois que vous lui demandez ce tour. Lorsque l’oiseau tourne de 90° facilement, insistez pour qu’il fasse un tour complet avant d’obtenir sa récompense. C’est un simple premier tour qui peut ne pas vous intéresser autant que les futurs, mais ce que vous êtes en train d’enseigner à votre oiseau ici et plus qu’un simple tour. Vous lui montrez comment apprendre, ce que vous attendez de lui et que ceci sera récompensé. Rappelez-vous qu’un oiseau ne répétera pas un comportement pour lequel il n’a aucune compensation. A l’étape suivante, laissez l’oiseau suivre la graine dans votre main droite, mais prenez-en une autre dans votre main gauche. Lorsque l’oiseau a fini son tour, récompensez-le avec la graine de votre main gauche. Graduellement, maintenez votre main droite un peu plus haut à chaque fois que le tour est bien exécuté. Ensuite, ne prenez pas de graine dans votre main droite, et faites juste un petit cercle avec votre main droite au dessus de la tête de l’oiseau et à chaque fois, assurez-vous de bien le récompenser avec une graine de votre main gauche. Finalement vous allez être capable de juste faire un cercle avec votre index droit au-dessus de la tête de votre oiseau en lui disant de tourner en même temps. Une chose à savoir : un oiseau répond beaucoup mieux à une commande visuelle que vocale, mais au début, utilisez les deux. L’ordre vocal force l’oiseau à rester concentré et permet au dresseur de se focaliser. Pour le moment, contentez-vous du fait que votre oiseau tourne sur son perchoir même s’il le fait de manière un peu maladroite ou lente. Pensez à ce que l’oiseau a appris en seulement quelques minutes. Il a acquis un ordre (tourne), il a vu et appris à obéir à une commande visuelle (la main droite, l’index faisant un cercle au-dessus de sa tête), il a appris que le mot « bien » voulait dire que son humain était satisfait et, pour finir, que la récompense allait suivre. Et pour cela, tout ce qu’il a eu à faire est un tour complet sur lui-même ! Une fois que l’oiseau a saisi l’idée, passez à un autre tour. N’ennuyez pas l’oiseau avec d’interminables répétitions. Faites en sorte que cette leçon et toutes les autres soient passionnantes. Je suis passionnée par chaque petit succès, chaque progrès que l’oiseau fait, et je le lui laisse savoir. Quand l’oiseau a finalement exécuté un tour sur lequel nous avons tous les deux beaucoup travaillé, j’ai souvent le réflexe de l’emmener à mon mari pour qu’il refasse le tour pour lui. Ça peut sembler bizarre, mais d’une certaine manière, il semble comprendre, et après le choc initial, il est heureux de recommencer le tour pendant que mon mari et moi exprimons notre joie, lui donnons des friandises et lui disons quel merveilleux oiseau il est. Maintenant ce n’est pas quelque chose que je recommande comme méthode de dressage, mais ça semble marcher pour moi vu que c’est un acte spontané et ça semble aussi être un bon début pour apprendre à l’oiseau le plaisir de faire son numéro devant les autres. Le second tour: “le salut”. Faire en sorte que l’oiseau « salue » avec la patte gauche et « serre la main » avec la droite. Ne laissez pas l’oiseau faire ces comportements avec la même patte car cela ne ferait qu’apporter de la confusion. La plupart des oiseaux sont gauchers (oh oui, les oiseaux ont définitivement une patte préférée) et vont monter sur un perchoir en utilisant en premier leur patte préférée. Pour apprendre le « salut », installez de nouveau l’oiseau sur son perchoir en T, remuez les doigts de votre main droite comme pour un petit salut et dites “salut”, ou ce que vous voulez. Cela peut-être « au revoir », « salute » etc. Souvenez-vous juste que ça n’a pas beaucoup d’importance vu que vous allez laisser tomber l’ordre vocal rapidement et juste utiliser l’ordre visuel que vous allez associer au tour. Je l’ai utilisé sur l’un de mes oiseaux : pour qu’il salue le drapeau après qu’il l’ait érigé, tout ça avec juste un petit salut avec les doigts. Donc contentez-vous de juste remuer le bout de vos doigts, puis immédiatement offrez votre main/doigt à l’oiseau comme pour qu’il y monte. Il va sans aucun doute essayer de s’avancer vers votre main. Ne le laissez pas faire ! A la minute où vous le voyez commencer à soulever son pied gauche, retirez votre main, dites-lui « bien » et donnez-lui la récompense que vous tenez dans la main gauche. Cela ne va pas nécessiter vraiment beaucoup de répétitions avant qu’il ne comprenne où vous voulez en venir, que tout ce qu’il a à faire pour avoir sa récompense est de lever sa patte gauche. Au bout d’un moment, n’offrez plus votre main, remuez juste vos doigts et l’oiseau va commencer, à titre d’essai à lever sa patte. Quand il le fait volontiers, commencez à faire durer la récompense un petit peu plus longtemps. La réaction habituelle est de lever la patte un peu plus haut. Quand l’oiseau a la patte aussi haute qu’il le peut et qu’il va donc la reposer, récompensez-le immédiatement, et vous avez le début du salut. Faites-le seulement jusqu’à ce que l’oiseau lève la patte facilement et vous pouvez en faire l’éloge. Puis passez à autre chose. -
Pourquoi la mue chez les perroquets ?
Fidjy a posté un sujet dans Discussions sur la santé des perroquets:
LA MUE C'est un changement dans le plumage, auquel les oiseaux sont sujets à certaines époques de l'année. Au moins une fois par an, tout oiseau doit renouveler son plumage pour conserver sa protection thermique et la beauté de ses couleurs. La mue intervient généralement après la période de reproduction, rendant les oiseaux particulièrement vulnérables. Lorsque les nouvelles plumes poussent, elles ressemblent à des petits tubes blancs dont les barbes colorées sortent peu à peu. En pleine période de repousse, l'oiseau peut ressembler à un étrange cactus ailé ! Lorsque les plumes sont à leur maturité, les tubes vont s'effriter et tomber. L'oiseau se chargera avec son bec d'éliminer les particules des tubes et il le fera avec délice car parait-il que ces tubes sont très vitaminés donc très bon pour l'oiseau. La mue est une période fatiquante pour les oiseaux et il faut leur apporter des complémants alimentaires mais aussi leur donner la posibilité de profiter de la pluie et du soleil. Lors d'une mue complète, l'oiseau perd toutes ses plumes. Mais cela se produit progressivement , et il est rare de voir un oiseau sans queue lors de la mue. Plus généralement, les premières sont déjà repoussées quand les dernIères tombent La mue varie suivant les éspèces, et Il n'y a pas d'époque bien précise pour la mue: La mue des goulds démarre en fonction de la date de naissance de l'oiseau Un Gould mue entre 4 et 6 mois après la naissance, on appelle cela la mue juvénile, à partir de cette date 1 an après, l'oiseau fait sa mue adulte mais, la femelle ne fera pas systématiquement la mue en même temps qu'un mâle. Elle peut durer plusieurs semaines en ce qui concernent les calopsittes. La première (fausse mue) se produit vers 4 ou 5 mois. La vraie mue principale se produit lorsque l'oiseau ateind 9 / 10/12 mois. En ce qui concerne les Aras, elle est beaucoup moins spectaculaire que chez les autres espèces... LES MUES ANORMALES: la mue anormale est parfois due à un déséquilibre alimentaire. L'oiseau trie les graines et ne mange pas le mélange et autres aliments. Il faut alors donner des vitamines appropriées . L'époque de la mue remplit bien souvent les volières de plumes … Collectez les dans une pochette transparente stockée dans un classeur par exemple. Ainsi elles feront la joie des enfants lors de visites ou orneront les carte de vœux, menus ou autres événements pour les âmes artistiques. Pourquoi pas faire une collection de plumes. Faire un "chasse-cauchemar", c'est un cercle en bois ou autres, avec acrochées a des ficelles une dizaines de plumes; les indiens d'amérique du sud en faisaient avec des plumes de perroquets. Il s'accroche au-dessus du lit et apparemment, on ne fait plus que des rêves... Pourquoi ne pas chercher à se faire un coussin? pourquoi ne pas faire un nid avec les plumes de l'oiseau en les mettant dans un gant cousu par fermeture par exemple (fermeture pour prévoir de nettoyer le gant)?, ou faire un tabeau artistique... LE SAVIEZ VOUS? Pour les personnes qui ont leur élevage à l'interieur. La lumière solaire est riche en rayon ultra violets. Un bon éclairage naturel est donc un facteur d'hygiène non negligeable.Les lampes électriques ou par tubes fluorescents n'apportent pas d'ultra violets.L'ornithose est une maladie causé dans des volières mal éclairés. Puis vient aussi le problème de la durée de l'éclairement. L'augmentation de la durée du jour déclenche la reproduction et, sa diminution entraine l'arrêt de la reproduction et la mue. Il est trés important de bien comprendre ce qui compte dans ce cas. Ce n'est pas la durée de l'éclairement ,mais sa variation en augmentation ou en diminution qui est le plus important pour que vos oiseaux soient reglés . TÉMOIGNAGES : A la place des lumières artificielles, vous pouvez utilisez des lampes spécial UV pour oiseaux (voir reportages intitulés lumières de jour et de nuit indispensables aux oiseaux): "J'ai 90% de mes volières en intérieur, sous un terrasse 38m2. J'ai 3 tubes néon de 1,20m du type BIRD LAMP.... En plus j'ai fait dernièrement l'aquisition d'un dimmer électronique qui fait un coucher et lever de soleil artificiel... C'est vrai un peu cher 128€...Voilà pour l'éclairage au profit de mes oiseaux".... « Mon EAM est actuellement en pleine mue et ça dure depuis quinze jours environ. Ces derniers jours, peu avant l'arrivée de Ketchup, je l'ai trouvée très fatiguée, à dormir l'après-midi alors que d'habitude elle est très enjouée. J'ai été chercher des vitamines spéciales mue, de chez Versele Laga. Le produit s'appelle Amino-Vit gamme Pretige Premium. Je fais pas de pub mais j'informe seulement (5 euros le flacon). En tout cas l'efficacité est réelle, Pilgrim est plus vive, plus attentive et sa mue se passe mieux. Très important de ne pas surdoser...N'oublies pas de lui offrir aussi des bains ou vaporisations d'eau."... Rappel: Une mue normale ne nécessite aucun apport supplémentaire en alimentation, si cette dernière est variée. Si la mue dure trop longtemps (plus de 5 semaines), alors on peut ajouter des vitamines spécifiques à la mue. Une grande chaleur peut aussi accélérer la mue et l'intensifier. Les premières années, l'oiseau peut faire deux mues par an puis, en vieilissant, il n'en fait souvent plus qu'une. Lorsqu'une femelle qui n'a pas de repas équilibré se sent plus fatiguée pendant la couvaison, il pourrait lui arriver d'arracher quelques plumes à son oisillon afin de manger ce fameux tube. Donc, une autre bonne raison de très bien nourrir son oiseau. ASTUCES: Ajouter quelques gouttes d' l'huile de germe de blé (du blé germé aussi), ou d’huiles de morue à ses rations de temps en temps pour le tonus de la peau et l’éclat du plumage. http://www.oiseau.info/plumage.et.cycles.html http://bestofpiafs.free.fr/bestof/A5.php -
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PETIT JEU : Expressions sur les oiseaux
Fidjy a répondu à un(e) sujet de luciole1 dans Perroquet café:
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PETIT JEU : Expressions sur les oiseaux
Fidjy a répondu à un(e) sujet de luciole1 dans Perroquet café:
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Bonjour voila ma petite famille a plume
Fidjy a répondu à un(e) sujet de Fredo_christelle dans Galerie photos:
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Faut-il vermifuger les perroquets ?
Fidjy a répondu à un(e) sujet de Fidjy dans Discussions sur la santé des perroquets:
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La lumière du soleil et de la nuit indispensable ou non ?
Fidjy a répondu à un(e) sujet de Fidjy dans Discussions sur la santé des perroquets:
Les vétérinaires ne sont pas contre le fait de mettre un drap (plutôt sombre) sur la cage des oiseaux pour le coucher. Je vous le recommande si une lumière est permanente dans la pièce ou trop de monde qui allume la lumière artificielle qui est une gène pour l'oiseau. Sachez que si votre oiseau se trouve dans une pièce à la nuit sans avoir de lumière artificielle, le drap est inutile et est une gène. Mais ne le mettez pas en nuit noire, (je pense au rideau dérouleur) il est préférable de laisser voir l'oiseau la lumière de la nuit légèrement ou complètement. Sachez que la lumière des étoiles et de lune sont aussi important que le soleil. Nos oiseaux doivent voir de temps à autres le levé ou le coucher du soleil (moment pour eux de silence). Pourquoi? car l'oiseau va réguler son alimentation en fonction des lumières , nuit /jour. Bien sûr les UV de la nuit ne passent pas par la fenêtre ce qui est dommage, mais l'oiseau aime voir cette lumière. L'été faites profiter vos oiseaux à l'extérieur de la nuit ne serai ce qu'une heure, car les rayons UV de nuit reposent les rayons UV du jour. Autre chose, nos hivers sont longs pour les oiseaux, quelquefois l'hiver même si la nuit tombent vite, ils aiment profiter 1 heure de nous en lumière artificielle car le matin on se reveille nous même plus tard par rapport au levé du soleil. Le sujet avait été vu , d'ou l'intérêt des lampes Birds... Donc quelquefois l'oiseau se plaint de dormir un peu tôt... Sachez que l'oiseau se sent plus en sécurité s'il voit la lumière naturelle de nuit et de jour, mais la lumière artificielle est une gène, c'est à nous de savoir gérer l'habitude de nos oiseaux, mais si vous mettez un drap sur la cage ne l'oubliez de l'enlever le jour car l'oiseau peut en mourrir. -
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Faut il protéger nos oiseaux des courants d'air ?
Fidjy a posté un sujet dans Discussions sur la santé des perroquets:
NOUS N'Y PENSONS PAS!!! : L'hiver arrive...Faut il les protéger du vent, des courants d'air? Avec la grippe aviaire à nos portes, il vaut mieux bâcher les oiseaux à l'extérieur, nous le répétons. N'oubliez pas des oiseaux sont plus fragiles que d'autres suivant les espèces. Les oiseaux sont en mesure de résister à des températures relativement basses. Pour cela, il faut qu'ils aient à disposition une nourriture suffisament riche pour "fabriquer des calories" et compenser. En hiver, en pleine nuit, si l'oiseau lutte déjà contre le froid, et quand plus, si il est au courant d'air, et bien la déperdition de chaleur est telle qu'il ne peut y faire face jusqu'au matin (pour se nourrir à nouveau) et vous le retrouverez mort . C'est le principe du gros moulin qui tourne devant le moteur de votre voiture pour le refroidir (favorisant la perte calorique, voulue dans ce dernier cas). Donc il faut protéger au moins les côtés exposés aux vents dominants. En journée les oiseaux sont moins génés car actifs et pouvant compenser par le nourrissage. Encore faut-il qu'il y ait un minimum d'abri, et qu'ils ne soient pas exposés trop longtemps. PENSEZ Y , IL VAUT MIEUX PREVENIR QUE DE DEVOIR GUÉRRIR