Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Fabeleven06

Membres
  • Compteur de contenus

    8 279
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Fabeleven06

  1. Sur que non, le bac reste propre, tu vois, il est niquel, pas un excrément ni rien... vraiment clean, juste un dépot invisible dans le fond du bac PS ; c'est la meme substance que celle trouvé au fond du bac d'eau du chien (docn cii, pas d'excrement de serpents )
  2. Ouais, mais je pense leur laisser la gamelle 5 jours sur 7 du coup... comme ça, je les nettoies et je laisse secher deux jours :: tu n'as pas ça toi Stan ? tu nettoies tes bacs des IJ tous les jours ?
  3. je vais faire ça aussi, ça me prendra plus la tete comme ça, :merci:
  4. ouais, en théorie... mais je pense qu'on est déjà pas mal à le laisser 2 ou 3 jours :oops: tu penses qu'enlever l'eau toute la semaine et la laisser 2 journées par semaine est la meilleure solution ? j'ai peur que les serpents aient soif ? t'en penses quoi ? :deg:
  5. Voila, commes plusieurs ici je pense, lorsque je nettoies les bacs d'eau de mes terras environ deux fois par semaines, je remarque qu'au fond, il y a une fine couche grasse que l'on sent du bout des doigts. des algues ! m'a t'on dit que c'était... donc je voulais savoir si cela était dangereux pour nos animaux s'ils en buvait régulièrement ? car meme si on nettoie ça souvent, elle existent bien une journée ou deux dans le bac. ma question est donc : dangereuses ou non (les algues hein ) ?
  6. je te dirai ça dans deux semaines, mais vu l'age de tes Gutts, je suis sur que ça serait pas bon (meme un terra normal) elles sont tros fines ma poule
  7. ça me fait penser aux terras que l'on a découvert l'autre jour. tu as vu le lien ? http://www.komat.fr/pdf/pdf5.pdf ça ressemblait à ça ?
  8. le chanceux ou le fada ?? le chanceux !!! :geek: :happy: :mmm:
  9. déjà, question à Stan : tu auras déménagé avant tes acquisitions ou non ? (j'ai encore de la place chez moi si tu cherches qqun pour les heberger : Sinon, mes projets : Mai : changement de certains terra en testant la gamme komat. (PVC) Juin/juillet : achat d'un couple de pituo mugitus. Octobre : arrivée de deux femelles IJ 75% Jag de chez Olivier Heuninck. et acquisition de mon male Antaresia Childreni chez une amie éleveuse. c'est tout ce qu'il y a de sur pour le moment, à voir selon les coups de coeurs
  10. Cooooooooool, je vois ou c'est as tu retenu le prix des regius ? pour les terra en PVC, ils étaient plutot cher/raisonnable/peu cher ? Merci pour l'info en tout cas
  11. Ah, enfin d'autre photos de sauriens. elles sont très très belle et j'ai une préférence pour le Chamé' Merci pour ces belles photos :sage:
  12. Faut faire les yeux doux au patron XD plus serieusement, j'espère qu'on sera plus que 5 !!! (je te compte Thiago )
  13. de Rouen..... ah ouais, ça fait quand meme une trotte.. en plus, j'ai horreur d'aller à Rouen, cette ville, c'est pire que paris. Sinon, faut qu'on se fasse livrer chez Stan !!! hein Stan ? comme ça, on sera à une heure de route chacun (pas con l'admin :: )
  14. déjà, je leur prends le 100/50/50 pour mon couple de PR à 125€ et aussi le 60/40/40 à 79€ pour mon tarentola chazaliae (je compte avoir deux femelles pour lui cette année) ensuite, j'attaquerai le 80/40/40 pour mon couple d'antaresia (j'aurai le mal en septembre) et enfin, pour fin d'année je prendrais le 120/50/50 pour mon quaduor de morelias Spi IJ (j'ai deux femelle qui arriveront en octobre.) adultes, j'en mettrais deux pour un terra de meme dimensions. et si je trouve mon couple de Pituophis M. Mugitus, j'aurai un second 100/50/50. donc d'ici deux semaines ou trois, vous pourrez voir mon terra en verre à vendre (100/50/50) à carément pas cher. (je pense le laisser pour moins de 100 euros, mais je reverrais tout ça bientôt.) mais tu es de quel secteur Mat' ? car suis pas trop loin d'evreux moi allez, d'autres sujets m'appellent, à plus tard
  15. Fiche postée avec l'accord de son auteur : nom scientifique : Uromastyx aegyptia. nom courant : lézard ou agame fouette-queue d'Égypte, agame à queue épineuse. répartition géographique: Moyen orient, Israël, Égypte, Irak, Jordanie, Émirats Arabes Unis, Arabie saoudite. mœurs : diurne, terrestre, craintif à l'état sauvage. S'expose plus volontiers au soleil matinal ou de fin de journée. Évite les fortes chaleurs en se cachant dans un terrier ou sous des éboulis de pierre. habitat : biotopes arides et pierreux, reg, creuse de longs et profonds terriers. dimorphisme : les pores fémoraux sont plus marqués chez le mâle adulte. nourriture : les végétaux donnés quotidiennement (graines pour oiseaux, lentilles, luzerne, pissenlit, trèfle, cresson, choux, toutes les plantes à fleurs peuvent être données avec celles-ci) représenteront 100% de leur ration alimentaire. La proportion de nourriture d'origine animale n'est qu'exceptionnelle dans la nature. Il se nourrit essentiellement de plantes annuelles et de vivaces, ainsi que de fleurs, feuilles et cosses d'acacia. terrarium : de grande taille (2,0/1,0/0,60m) sera suffisant pour un groupe de quatre individus. Le substrat sera composé de sable avec des pierres plates ou des tuiles afin que les animaux puissent se cacher et se sentir en sécurité. Une écuelle d'eau est importante, même de faible profondeur. Quelques grosses branches ne s'élevant pas trop pourront faire l'affaire afin qu'ils usent leurs griffes et qu'ils régulent leur température pour se rapprocher du point de chaleur placé en hauteur. Un spot de 160w (Philips MLR 160) sera suffisant pour maintenir une température au point chaud proche de 40°, voire plus (max. 50°). La nuit, celle-ci peut descendre jusqu'à 25° en été et 15° en hiver, mais, ces animaux vivant dans des terriers, les températures sont moins fraîches qu'en surface. Il faut savoir que la température critique se situe aux alentours de 13,5°. Il est indispensable d'abaisser la température hivernale (et surtout la photopériode) pour obtenir une reproduction avec un réchauffement progressif printanier. Un apport en U.V est une condition sine qua non pour la bonne santé des animaux (tubes UV à placer à 40cm des animaux sans vitre ou plexiglas entre deux, lampe Ultra Vita Lux 300w de Osram à faire fonctionner à une distance de 1m à raison de 4X20 minutes par semaine, ou encore une lampe type PowerSun qui peut éclairer tout le temps). reproduction : le comportement reproducteur est semblable à celui de l'agame barbu australien, Pogona vitticeps. La femelle pond une vingtaine d'oeufs, voire plus (entre 15 et 40), au fond d'un terrier. Le substrat d'incubation doit être moins humide que pour les Pogonas, et la période d'incubation est plus longue (trois mois environ). La température est également plus élevée (entre 29 et 32°). Les nouveaux nés mesurent de 9,5 à 11,7 cm. La reproduction en captivité reste toutefois relativement difficile et réservée aux amateurs avertis. Les femelles portantes se montrent parfois agressives envers leurs congénères. particularités : sa queue, en dehors de faire office "d'arme" sert de réserve de graisse pour les périodes de disette, que ce soit pour l'estivation ou pour l'hibernation; mais les véritables réserves se constituent dans les deux lobes abdominaux. L'Uromastyx possède des glandes "à sel" près des narines qui servent à évacuer l'excès de sel sans déperdition d'eau. Ce lézard, comme le Pogona vitticeps, s'apprivoise très facilement et peut se montrer particulièrement familier. Souvent proposé sur les marchés et au bord des routes comme "attrape touriste", il est maintenant protégé et interdit d'importation. Toutes les espèces d’Uromastyx sont classées en annexe II de la Convention de Washington et en annexe B du règlement Européen 338/97 et 939/97. En conséquence, tous les animaux de capture ou de provenance extra–communautaire doivent être vendus avec un numéro de CITES. Par contre, les fouette–queue nés en captivité à l’intérieur de la CEE n’ont pas besoin d’un numéro de CITES mais d’une facture de l’éleveur permettant de prouver leur origine. L'Uromastyx aegyptia est le plus grand représentant de la famille avec une taille maximale avoisinant les 70-75 cm; il est aussi un des moins colorés. Il existe une certaine agressivité intra spécifique. Ce lézard peut vivre plus d'une trentaine d'années.
  16. http://www.batraciens-reptiles.com/underwoodisaurus_milii.htm
  17. http://www.batraciens-reptiles.com/eublepharis_phases.htm
  18. Le gecko à cils ou gecko à crête: (posté avec l'accord de son créateur) nom scientifique : Rhacodactylus ciliatus. Reptile, Squamata, Sauria, Gekkonidae, diplodactylinae. nom courant : gecko à cils ou gecko à crête, crested gecko (anglais). Comme dans toute nomenclature, seul le nom scientifique fait foi pour la détermination exacte de l'espèce. autres espèces : Rhacodactylus ciliatus, Rhacodactylus auriculatus, Rhacodactylus chahoua, Rhacodactylus leachianus, Rhacodactylus sarasinorum, Rhacodactylus trachyrhynchus. répartition géographique : Nouvelle Calédonie, sud de Grande Terre et l'île des Pins. Cette espèce est endémique. terra typica : Nouvelle Calédonie. On le croyait disparu ou non observé depuis 1967, il a été redécouvert en 1994. Il a été décrit pour la première fois en 1866 par le naturaliste français Guichenot. mœurs : essentiellement nocturne et arboricole, il sort de sa retraite diurne (essentiellement une large feuille ou dans les plis d'un tronc) afin de partir en quête de nourriture. Comme certaines espèces de geckos asiatiques (Ptychozoon sp.), il est capable d'effectuer des bonds entre les branches sans toutefois atteindre le degré d'évolution de ces derniers. Le Rhacodactylus présente une ébauche de membrane servant à "planer" sur les pattes arrières. Sa queue est semi préhensile et l'aide dans ses péripéties arboricoles. Il a été observé prenant des bains de soleil. C'est un animal relativement rapide et agile. habitat et climatologie : très isolée géographiquement, la Nouvelle Calédonie est soumise le plus souvent au courant des alizés; bien que située entièrement dans la zone intertropicale, elle bénéficie d'un climat relativement tempéré. On y distingue quatre saisons qui sont déterminées par la variation annuelle de la ceinture anticyclonique subtropicale et des basses pression intertropicales. De décembre à mars: c'est la saison chaude, dite saison des cyclones. Au cours de cette saison, on observe dans la zone comprise entre le sud de l'équateur et l'est de l'Australie la formation d'une dizaine de perturbations tropicales qui provoquent des pluies torrentielles et des vents qui augmentent avec l'importance du phénomène. En avril et mai, c'est une saison de transition: la zone de convergence intertropicale remonte vers le nord. Les perturbations tropicales sont rares et généralement peu actives. La pluviosité diminue et les températures décroissent sensiblement. De juin à août, c'est la saison fraîche: la zone de convergence intertropicale se situe dans l'hémisphère nord. Les fronts froids de perturbations d'origine polaire traversent la mer de Tasman et atteignent parfois le territoire. Leur passage s'accompagne de précipitations souvent abondantes, surtout sur le sud de la Grande Terre, et d'une irruption de vent d'ouest soufflant quelque fois en tempête. La température de l'air passe par son minimum annuel entre la mi-juillet et la mi-août. De septembre à novembre, on observe une saison de transition: la zone de convergence intertropicale descend vers le sud, franchissant l'équateur. La ceinture anticyclonique subtropicale, qui atteint alors son importance maximale, protège cette région des perturbations d'origine polaire. L'alizé souffle en quasi permanence, c'est la période la plus belle de l'année, mais c'est aussi la saison sèche. Les températures moyennes se situent entre 23-26 C. Il n'existe pas d'hiver sur l'île seulement une saison dite fraîche (de juin à septembre) durant laquelle la température reste très convenable (autour des 20° parfois plus bas avec un record de 13° à Nouméa). De décembre à mars, la Nouvelle-Calédonie connaît des records de chaleur (parfois 35°). le Rhacodactylus vit dans la canopée des forêts humides de plaine entre 2 et 10 mètres de hauteur. Le sol de ces forêts est jonché de feuilles mortes et une grande variété de plantes y est observée. Les températures régnant dans ces forêts peuvent, dans les extrêmes, osciller entre 10° et 32°. dimorphisme: le mâle possède des loges hémi péniennes à la base de la queue qui se traduisent par la présence de deux "boules" prononcées (en dehors des ergots latéro-cloaquaux qui sont aussi plus apparents chez le mâle); la femelle présente une base de la queue nettement plus plate, mais encore faut-il avoir les deux sexes pour faire la comparaison (cf. images ci-dessous). nourriture : dans son habitat d'origine, Grevillea gillivrayi est prédominant et semble être l'arbre qui donne suffisamment de fleurs, de pollen et de nectar pour satisfaire ses besoins en végétaux. Les geckos à crête sont donc omnivores, n'hésitant pas la nuit à rechercher dans son biotope le nectar de certaines fleurs. L'examen des excréments prélevés dans la nature a montré qu'ils mangeaient des fruits mûrs, ainsi que des insectes. Ceux-ci semblent toutefois n'être qu'un supplément à leur régime frugivore de base. En captivité, son régime sera identique: abricots bien mûrs (excellent rapport calcium/phosphore), bananes, ananas, mangues, poires, pèches ou, si cela n'est pas possible, il acceptera très bien les pots de fruits mélangés et vitaminés pour bébés: je donne personnellement les pots Blédina pomme/banane auquel j'ajoute du carbonate de calcium. Il est également possible de lui donner du nectar de pollen que l'on peut trouver dans les magasins spécialisés "bio". En plus de son régime frugivore, le Rhacodactylus sera nourri principalement de grillons (taille adaptée à la largeur de la tête) qui seront saupoudrés de vitamines deux fois par semaine, plus lors de la croissance. La purée de fruits sera déposée dans un petit récipient (un couvercle de bouteille en pet par exemple): les geckos prendront très vite l'habitude de localiser cette nourriture si elle est placée au même endroit, sinon, leur flair leur servira à la localiser. Pour les jeunes, la taille des grillons sera adaptée à leur croissance. Un apport de rayons ultra- violets ne semblent pas indispensable car c'est une espèce nocturne; toutefois je trouve plus prudent de mettre une ampoule ou un néon UV car il arrive à cette espèce de prendre des bains de soleil dans la nature. terrarium : il sera évidemment de grande dimension vu la taille adulte des Rhacodactylus qui avoisine les 22 cm: 80h/60L/60l est une dimension tout à fait acceptable. Pour l'élevage des jeunes, un plus petit terrarium facilitera la localisation des proies. Le décor sera fait de plantes artificielles, ce que je préconise pour une plus grande facilité d'entretien et d'hygiène. Les plantes naturelles comme le ficus peuvent être installées mais sans excès; leur avantage est de maintenir un taux d'humidité plus élevé qu'avec les plantes artificielles. L'humidité relative sera assez élevée (~80%) et maintenue au moyen de pulvérisations bi quotidiennes avec de l'eau osmosée (ce qui empêche la formation de taches de calcaire contre les vitres). La température ne sera pas excessive et de l'ordre de 22° à 25° la journée, et de 18° à 20° la nuit. La source de chaleur et de lumière peut être simplement produite avec un spot de 60w pour le volume sus mentionné, spot qui sera protégé par un grillage afin d'éviter toute brûlure pour l'animal. Il est capital de ne jamais maintenir deux mâles ensemble, le risque d'agression ou de domination est trop important: cette règle vaut d'ailleurs pour tous les gekkonidae. Le substrat sera fait de tourbe, elle conserve l'humidité, ne moisit pas, et son acidité diminue le risque de prolifération bactérienne. Pour l'hydratation, celle-ci peut se faire conjointement à l'aide de pulvérisation d'eau ou d'un petit récipient dans lequel on mettra de l'eau; j'utilise les deux méthodes, le récipient en plastic est autant utilisé comme abreuvoir que les gouttes d'eau perlant sur la surface des vitres. reproduction: celle-ci est aisée, même pour un débutant à condition que le minimum décrit ci-dessus soit respecté. Un petit groupe composé d'un mâle et de deux femelles sera l'idéal pour débuter l'élevage. Les Rhacodactylus sont sexuellement matures vers huit à neuf mois, mais je recommande de ne pas les faire s'accoupler avant 12 mois. La femelle portante sera alimentée suffisamment et un apport supplémentaire en calcium est indispensable pour la bonne santé des oeufs. La femelle pond 2 oeufs entre 20 et 28 jours après l'accouplement, et le nombre de pontes annuelles varie entre 6 et 10. Il faudra installer une niche de ponte constituée d'une boîte en plastic installée directement dans le terrarium et contenant quelques centimètres de vermiculite humide. Une fois les oeufs déposés, il faudra les retirer sans les retourner (on peut marquer délicatement avec un stylo le dessus des oeufs) de leur position d'origine et les déposer semi enfouis dans un incubateur garni lui aussi de vermiculite. La température d'incubation peut varier entre 22° et 26°; certains éleveurs maintiennent une température constante de 25°. Certains auteurs (de Vosjoli, 1999) affirment que la T° d'incubation n'influence pas le sexage. D'autres affirment qu'un sex ratio de 50% sera obtenu à une température constante de 26°. L'incubation dure entre 65 et 80 jours suivant la température. Les jeunes Rhacodactylus percent la coquille de l'oeuf grâce à leur "dent de museau", comme la plupart des reptiles. Ils naissent à une taille comprise entre 6,5 et 7,5 centimètres, ne se nourrissent pas les 3 premiers jours car ils absorbent le reste de la poche vitelline. Les jeunes peuvent être placés dans un petit récipient dont on installera sur le fond du sopalin ou papier ménage; l'humidité sera plus importante (2 à 3 pulvérisation par jour), la température sera identique à celle des adultes et ils pourront être maintenus en petits groupe jusqu'à l'apparition des caractères sexuels secondaires (vers 4 mois). Leur nourriture de base sera identique également à celle des adultes sans omettre un apport vitaminé et en calcium plus important (3 X par semaine). Il est très important de ne pas donner plus de grillons qu'ils ne peuvent en consommer, être très attentif à leur taille et ne les nourrir qu'en début de soirée. Il est important de ne pas leur fournir de produits fruités comme les agrumes contenant de l'acide citrique. La manipulation est à éviter car le risque d'autotomie (séparation de la queue à sa base) est important, en plus des facteurs de stress non négligeables. Il semblerait que les Rhacodactylus possèdent un organe capable de stocker le calcium et de le redistribuer dans l'organisme selon ses besoins. particularités : ce gecko possède des variations de coloris très importantes et les éleveurs, comme pour le gecko léopard, Eublepharis macularius, ne se gênent pas pour créer de nouveaux "pattern" à force de croisement suivant la couleur désirée. Dans la nature, les couleurs les plus souvent observées sont de l'ordre du brun, du gris, du jaune, du noir au rouge brique, du rouge, de l'orange, du jaune pâle et du beige. Voir les différents coloris. L'extrémité de sa queue est pourvue d'une surface adhésive qui lui permet, en plus de sa semi préhensibilité, d'adhérer aux branches ou feuilles sur lesquelles il évolue. Celle-ci est pourvue d'une faculté d'autotomie, c'est-à-dire que le reptile est capable de s'auto sectionner à l'aide de certains muscles, une partie de ce membre, principalement du côté proximal. Chez cette espèce, il ne repousse qu'un minuscule moignon. Les doigts sont pourvus de larges lamelles adhésives (constituées de micro griffes) qui lui permettent de grimper même sur les surfaces les plus lisses. L'odorat et le goût sont particulièrement développés chez ce reptile arboricole omnivore qui se sert de ces sens pour repérer son alimentation à base de fruits mûrs et de pollen ou nectar de fleurs. Son tympan externe, qui est remarquable par son étroit orifice situé derrière les maxillaires, lui sert principalement à détecter ses proies mobiles et à le prévenir d'un danger. Ses yeux , non amovibles, sont particulièrement adaptés à la vision nocturne. Durant la journée, la pupille est réduite (verticalement) à son strict minimum afin de laisser pénétrer la lumière nécessaire; ce gecko est capable de réguler la quantité de lumière sans que sa rétine n'en soit affectée. Lors de la mue, celle-ci est immédiatement absorbée (comme la plupart des Gekkonidae) avec sa bouche et ce, dans le but de ne pas laisser de traces sensibles pour ses prédateurs. Un dernier point: considéré comme disparu ou non observé depuis 1967, il a été trouvé à nouveau sur l'île des Pins en 1994. De Vosjoli a été l'instigateur de son élevage en captivité. Actuellement, les Rhacodactylus ciliatus ne proviennent que d'élevages réglementés car il est strictement protégé.
  19. http://www.batraciens-reptiles.com/tarentola_chazaliae.htm
  20. http://www.batraciens-reptiles.com/stenodactylus.htm
  21. j'en prends déjà deux en commande dès le mois prochain. je vous dirai ce qu'il en est de la qualité les amis
  22. trés sincérement, ça dépend des tapis chauffants. moi j'ai des tapis de 38/38 en 12W et je les plaques sur une planche, avec une autre planche perforée par dessus et j'en fais la taille voulu. parfois 1/2 parfois 1/3, par fois moins... c'est au feeling, au début, on se prend trop la tete puis au fur et à mesure on acquiert une certaine experience et on fait comme on le sent
×
×
  • Créer...