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sylvain951

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Tout ce qui a été posté par sylvain951

  1. quant j'en achete c pour la peche et je les laisses dans leur boite et en bas du frigo, et tu peut les garder un bon moment
  2. sylvain951

    Les aliments toxiques

    lydie en a deja manger frit, apparament c bon
  3. a mon avis cuit ca doit plus leur plaire
  4. d'apres johanne vaillancourt il faut les roulés dans les vitamines
  5. voila comment les elevés EXEMPLE D'UN ÉLEVAGE FACILE : Vers de farine ou Ténébrions Parmi les élevages très faciles de l’OPIE, les Ténébrions sont très intéressants. Les Ténébrions sont des coléoptères, c'est-à-dire que ce sont ces insectes dont une paire d’ailes est transformée en étuis, ou élytres, afin de protéger l’autre paire d’ailes qui leur sert à voler. Parmi eux il y a les coccinelles, les scarabées, les charançons, etc. Ces insectes ont le même développement que les papillons, c’est-à-dire que les larves ne ressemblent pas aux adultes et passent par une métamorphose complète de leur corps pour devenir des adultes. Ce stade s’appelle la chrysalide chez les papillons et la nymphe chez les coléoptères. Chez les espèces dont les larves vivent dans la terre, la nymphe est protégée dans une coque de terre fabriquée par la larve. Les larves et les adultes ont des modes de vie très différents. Parmi les élevages très faciles de l’OPIE, les Ténébrions sont très intéressants car la nymphe (étape de la métamorphose en adulte) est bien visible et ils n'ont pas besoin de beaucoup d'espace. C’est un coléoptère qui a longtemps vécu dans nos boulangeries ! En fait, c’est parce-que les larves, ou "vers", mangent de la farine ou du son. Mais, aujourd’hui, les conditions sanitaires des boulangeries limitent beaucoup sa présence. Appelée "ver", la larve a pourtant six pattes avec lesquelles elle se déplace. Elle est jaunâtre et ne ressemble pas du tout à l’adulte qui est tout noir. Durées de vie dans des conditions optimales [ zoom ] Le Ver de farine - incubation de l’œuf : 10 jours - développement larvaire : 3,5 mois - nymphe: 20 jours - adulte : 6 mois - Total maxi de l'oeuf à l'adulte : 4,5 mois Matériel nécessaire (voir photo) - vivarium à partir de 20 cm de longueur environ - nourriture larves : son, pain sec - nourriture adultes : pain sec, pomme, … INTERETS DES ELEVAGES DE VER DE FARINE - Grande facilité d’élevage et très peu d’entretien - Activité intense - Manipulation très facile des larves, des nymphes et des adultes - Toutes les étapes de la vie sont facilement observables (sauf les œufs) - Les adultes ne volent presque jamais - Les jeunes (larves) ne ressemblent pas aux adultes. - La nymphe est bien visible Particularités pour réaliser des observations et expériences - Larve : elles ne ressemblent pas aux adultes. - Nymphe : on aperçoit bien tous les futurs critères de l’adulte (pattes, ailes, …). - Adulte : coléoptère noir totalement différent de la larve. - Pattes : les six sont bien visibles à l’avant du corps des larves (thorax). - Ailes : elles sont absentes chez les larves et le nymphes. - Denrées stockées : ce coléoptère est un ravageur des stocks de grains. - Métamorphose : étape obligatoire pour passer de l’état de larve à celui de nymphe, puis d’adulte. - Développement indirect : c’est-à-dire que les jeunes ne ressemblent pas aux adultes. Leur aspect général changera au cours du développement grâce à une métamorphose complète du corps. source: http://www.insectes.org/elevage/vers-de-farine-tenebrions.html
  6. sylvain951

    Les aliments toxiques

    aller nikita lance toi pour crée le sujet :122:
  7. sylvain951

    Les aliments toxiques

    tu peut en trouver dans les magasins de peche, de sport ( qui ont un rayon peche), ddans les animaleries. apres comment les donnés alors la..... peut etre direct dans les graines ?
  8. sylvain951

    Les aliments toxiques

    tout a fait jojo c pour cela qu'il faut banir les fromages au lait crue, ils faut prendre des fromage a pate cuite
  9. sylvain951

    Les aliments toxiques

    tres bon les vers de farine, ca leur fait un super apport en proteine. tres utiles en periode de mue. contrairement a une idée recue, les perroquets mange aussi des inscectes dans la nature: - quant ils grugent - quant ils mangent des fruits ou legumes - et quant il joue avec les inscetes bon perso j'en donne pas car j'ai la fleme d'aller en acheter mais je donne un petit bout de jambon blanc ou jambon de poulet en periode de mue. juste un bout de 3cm * 1 cm de jambon 1 fois par semaine
  10. sylvain951

    La Perruche de Bourke

    moi non plus a vraie dire
  11. sylvain951

    Les aliments toxiques

    c le fromage au lait crue qu'il faut pas donner, apres pour les autres fromages temps que c de temps en temps y'a pas trop de probleme. bon faut que je le marque quant meme administrateur oblige : dans la nature il n'y a pas d'arbre a fromage !! un perroquets doit mange que des graines, des fruits et des legumes et rien d'autre. voila c fait sushi et spyrou ont egalement un petit bout de fromage mais cela reste tres rare 5 ou 6 fois par ans pas plus
  12. Perruche de Bourke ou Bourke On a longtemps classé cette Perruche dans la famille des euphèmes, Neophema ; elle en est très proche de part son comportement et sa morphologie, mais elle représente une famille à elle seule, Neopsephotus. La Perruche de Bourke est originaire d'Australie où elle fréquente plutôt les zones herbeuses plantées d'acacias où poussent des buissons, et toujours situées à proximité d'un point d'eau. C'est un Oiseau qui est souvent au sol à chercher sa nourriture, essentiellement des graines de graminées. Il est sédentaire, mais pour des raisons climatiques ou par manque de nourriture, il peut migrer sur d'autres sites plus accueillants. La Perruche de Bourke mesure entre 18 et 20 cm. Le dos et les plumes des ailes sont brunes bordées de jaune clair. Les petites plumes du ventre sont marron clair et la poitrine est rose. On trouve des plumettes bleues sur le bord des ailes, sur les cuisses et sur le front (pour le mâle). C'est la plus calme des Perruches. Son cri n'est pas plus fort qu'un moineau de notre nature. On loge les Bourkes en cage ou en volière, selon les possibilités de chacun, en intérieur ou en extérieur. Mais un couple aura besoin d'un minimum d'une cage de 1 m3 (1 m x 1m x 1 m), pour s'y reproduire en intérieur. Pour le bien être des Oiseaux et pour une meilleure reproduction, il est préférable de les loger à l'extérieur. Dans ce cas, une volière de 1 m de large, 2 m de long et 2 m de hauteur fera l'affaire. Attention, pour éviter les coups de vent et les courants d'air, il faudra la protéger au minimum sur 2 angles. Pour l'hiver on prévoira de couvrir les 2 autres cotés avec des plaques en matière translucide. C'est un Oiseau qui ne se baigne pas beaucoup, mais il sera souvent perché en bordure du plan d'eau que l'on installera au sol. Si vous avez des voisins ronchons qui ne supportent pas le bruit, cet Oiseau peu bruyant conviendra parfaitement. La cohabitation avec d'autres espèces est à déconseiller car celles-ci dérangeront les Bourkes par leur activité incessante. Deux couples de Bourkes peuvent cohabiter ; toutefois surveiller que les 2 mâles ne se "chahutent" pas. La Perruche de Bourke cohabite très bien avec les callopsittes et les Perruches Princesse de Galles. La base de l'alimentation de la Perruche de Bourke est un mélange de graines pour "Euphèmes". Elle appréciera le millet en grappe et la verdure sauvage, telle que le mouron blanc ou le séneçon. En supplément on lui donnera des graines canaris, car elle se régale de l'alpiste. Elle ne dédaignera pas un peu de tournesol. C'est un Oiseau qui mettra longtemps à s'habituer à une nourriture nouvelle : donner lui un petit quartier de pomme "golden", et de la pâtée à l'œuf de temps à autre ; cela lui permettra petit à petit de "goûter" avant la période de reproduction, pour laquelle ces aliments seront précieux en vitamines. En hiver par grand froid, ajouter un peu de chènevis 2 fois par semaine ; c'est une graine qui a la capacité de réchauffer les tissus du corps. Important : La Perruche de Bourke est sujette aux vers intestinaux. Il est impératif de la vermifuger au moins 2 fois par an, au printemps et à l'automne. En cours d'année, on doit surveiller sa forme de manière à vermifuger rapidement une fois en plus si c'est nécessaire. Dans certains cas, la différence sexuelle de la Bourke n'est pas facile à déterminer. Le plus simple concerne les sujets de couleur "type sauvage". A partir de 6 mois le mâle porte une bande de plumettes bleues sur le front alors que la femelle n'en a pas. Le rose de la poitrine est moins prononcé chez la femelle. La bande sous alaire de l'aile est bien présente en continu chez la femelle alors qu'elle est tronquée voire absente chez le mâle. Le sexage est plus compliqué à déterminer pour les mutations ; la bande frontale bleue n'existe plus chez le mâle. La bande sous alaire de la femelle n'est plus un élément déterminant. Si l'on peut comparer, la tête d'une femelle est en général plus petite que celle du mâle. L'élément le plus déterminant se situe à la forme de la tête : Le sommet de la tête de la femelle est plat alors que celui du mâle est plus arrondi. Bourke rose ou opaline : La tête et le corps sont "rose". Le bleu des épaules est devenu blanc. Le bord des grandes plumes et des rémiges est "brun foncé" et le front et les joues sont "blanc grisâtre". Bourke isabelle : La couleur un peu plus claire que la teinte type "sauvage". La différence avec la couleur sauvage réside au rouge foncé de l'oeil. Bourke fallow : La mutation "fallows" est la Bourke "isabelle", en plus clair. L'œil est rouge. La couleur de la femelle est plus foncée que celle du mâle. Bourke jaune : La couleur est plutôt "jaunâtre", les joues sont blanc laiteux. L'oeil est rouge clair. On pourrait croire à une mutation "fallow", mais en plus clair. Bourkes "lutinos" et "rubinos" : La couleur de ces Oiseaux est plutôt "jaune rose clair" chez la "lutinos", et "jaune rose foncé" chez la "rubinos". Le jaune des ailes est plus prononcé pour la "rubinos". Les yeux sont rouges et les pattes claires. En volière extérieure ou pour une pièce sans chauffage, la reproduction commence en mars/avril ; on installera le nid au début de mars. Le nid de la Perruche de Bourke est une "boite" en contre-plaqué de 18 x 18 sur 30 cm. de hauteur. Le trou d'envol, rond de 6 cm de diamètre, se situe aux 3/4 de la hauteur, juste au-dessus d'un petit perchoir. En captivité, la Bourke ne garnit pas son nid. Un mélange moitié/moitié de tourbe de sphaignes et d'aubiose, compose le fond du nid sur une épaisseur de 5 à 8 cm. Une semaine après l'installation du nid, la femelle le visite et commence à faire son "trou". Puis vient la ponte de 3 à 6 oeufs qui seront couvés par la femelle pendant environ 20 jours. On bague la Bourke en diamètre 3,8 ou 4,0 mm vers son 12ème jour. Les jeunes quittent le nid au bout de 5 à 6 semaines, mais continueront à réclamer leur nourriture durant 2 semaines. Durant cette période, ils retourneront au nid pour la nuit. La Bourke peut assurer 2 à 3 couvées dans l'année. Les jeunes de l'année peuvent rester avec les parents l'année de naissance. Ils devront être séparés pour la prochaine saison de reproduction. Source : http://sorp.pagesperso-orange.fr/3elevage/fiches/perr_bourk.htm
  13. La perruche de Pennant Identification : Les mâles adultes de la race nominale ont un plumage à dominante rouge. Le front et le pourtour des yeux sont traversé par une bande rouge qui contraste avec le gris-bleu du bas des joues. Les plumes du manteau des scapulaires et du dos sont noires avec des bordures rouges plus ou moins épaisses, ce qui donne à ces parties un aspect fortement écaillé. Les petites couvertures sont noires. La courbure de l'aile, les couvertures moyenes et les couvertures secondaires affichent une teinte bleu-violet. Les rémiges sont noirâtres. Le dessus de la queue est bleu foncé, excepté les rectrices externes qui ont des terminaisons blanches. Le dessous de la queue est gris-bleu clair. La femelle ressemble assez au mâle. Toutefois, elle se distingue de son partenaire par un bec plus petit et par une mandibule supérieure plus étroite. Elle ne présente pas de rayure sous les ailes. Les juvéniles affichent un plumage à dominante vert-olive. Le front, le capuchon, les régions adjacentes aux joues gris-bleu, la gorge, le haut de la poitrine, les cuisses et les couvertures sont caudales sont rouges. Les rectrices sont vert-olive foncé. Le dessous des ailes présente une rayure. Compte-tenu de la vaste superficie de l'aire de distribution, il existe de nombreuses variations géographiques dont certaines ont un aspect très différent : certains spécialistes ont répertorié 6 sous-espèces qui ont été réparties dans trois groupes de couleur. Le groupe rouge cramoisi comprend trois races : P.E.elegans, la race nominale, P.E.nigrescens, P.E. melanopterus) - Le groupe rouge-orange et jaune comprend 2 sous-espèces : P.E.fleurieuensis, P.E.subadelaidae. Enfin le groupe jaune ne contient qu'un race : P.E.flaveolus. Le Handbook of the birds of the world considère que seules les sous-espèces du groupe rouge cramoisi peuvent hériter de l'appellation perruche de Pennant. Flaveolus, fleurieuensis et subadelaidae sont considérés comme des espèces à part entière qui forment néanmoins une superespèce avec les trois autres. Chant : Perruche de Pennant jacasse, siffle. Les perruches de Pennant ont un répertoire assez varié. Leur cri le plus courant est un "cussik-cussik" dissyllabique émis lorsque l'oiseau est en vol . On peut également entendre un "kwik-kweek-kwik" doux et sifflant , avec une légère inflection vers le haut pour la seconde note. Au repos, ces oiseaux produisent parfois de faibles gazouillements ou des "chinka-chink....chinka-chink" métalliques. En cas de danger, les perruches de Pennant émettent des cris perçants et aigüs Habitat : Les perruches de Pennant fréquentent les forêts tropicales et subtropicales humides proches du littoral ainsi que les forêts montagneuses avoisinantes jusqu'à 1900 mètres d'altitude. On les trouve principalement à la lisière des forêts pluviales, dans les zones secondaires parvenus à un bon stade de maturité et dans les forêts denses d'eucalyptus. Au sud de la rivière Hunter , dans les Nouvelles-Galles-du -sud, elles sont répandues à toutes les altitudes. La race nominale Elegans marque une préférence pour les zones boisées épaisses mais elle pénètre volontiers dans les zones ouvertes et les terres cultivées où elle se mèle aux perruches omnicolores (Platycercus eximius). Elle visite également les parcelles de pins. A Kangaroo Island, où elle est la seule perruche présente, elle vit dans tous les types d'habitats boisés, s'adaptant également aux terres agricoles. Les races subadelaidae et fleurieuensis, parfois regroupées sous le vocable de perruche d'Adélaide, fréquentent les vallées forestières, les galeries d'arbres bordant les cours d'eau ou alignées le long des routes. Elles sont également présentes dans les vergers et les terres cultivées. La race flaveolus, appelée communément perruche flavéole, fréquente approximativement le même type d'habitat, c'est à dire les rideaux d'arbres dominés par les gommiers rouges le long des cours d'eau. Pour se nourrir, elle s'eloigne des rivières et fait des incursions dans les terres agricoles, les plaines inondables, ou les broussailles de "mallee". Distribution : Les Perruches de Pennant sont endémiques de l'Est et du sud-Est de l'Australie ainsi que de certaines îles qui bordent le littoral. Leur aire de distribution s'étend sur la côte Est , du Nord du Queensland jusqu' Adelaïde et le golfe de Spencer. Elle pénètre peu profondement à l'intérieur du continent. Voici la répartition des différentes sous-espèces en allant du Nord vers le sud : P.E.nigrescens ( Nord-Est du Queensland, de Windsor jusqu' au plateau d'Atherton) - P.E.elegans, la race nominale, la plus largement répandue ( large bande côtière du centre du Queensland jusqu'au Cap Jaffa, en Australie méridionale) - P.E. fleurieuensis ( Uniquement, la péninsule de Fleurieu en Australie Méridionale) - P.E.subadelaidae ( Sud de la Chaine des Flinders, Australie Méridionale) -P.E melanopterus (Kangaroo Island) - P.E.flaveolus (berges de la rivière Murray et de ses affluents Lachlan et Murrumbidgee, sud des Nouvelles-Galles du sud). Comportements : Les adultes sont sédentaires. Ils vivent habituellement en couples ou en petits groupes. A l'opposé, les juvéniles et les subadultes forment des groupes bruyants et assez nombreux qui errent localement et quittent le dortoir commun dès le lever du soleil. Leur activité principale se déroule le matin et en fin d'après-midi. Au milieu de la journée, ils se reposent dans les feuillages ombragés. Toutefois, si le ciel est couvert et que le temps est frais, ces oiseaux sont actifs pendant toute la journée. Les perruches de Pennant cherchent leur nourriture à terre, dans les arbres et dans les buissons. Elles se restaurent souvent en compagnie des perruches omnicolores (Platycercus eximius), mais si le groupe mixte est dérangé pendant son activité, les deux espèces se séparent en vol et prennent des directions opposées, chacune cherchant un abri de son côté. Les perruches de Pennant ne sont pas très timides, elles se laissent approcher à une très faible distance. En milieu urbain , elles sont particulièrement familières. Nidification : La saison de nidification se déroule du mois d'Août au mois de Février et parfois même plus tard. Les perruches de Pennant nichent dans un trou de branche ou dans la cavité d'un tronc d'arbre. Elles choisissent généralement un eucalyptus mort ou en bonne santé, mais parfois elles installent leur nid dans un endroit aussi insolite que la poutre métallique d'une grue de chantier. Dans tous les cas, le nid est situé à une grande hauteur au-dessus du sol. La ponte comprend généralement entre 4 et 7 oeufs blancs, rarement 8, qui sont couvés pendant environ 19 jours. La femelle couve seule mais les oisillons reçoivent un soin égal de la part des deux parents. Le cycle de nidification est assez long et dure environ 5 semaines Régime : Les perruches de Pennant ont un régime mixte à dominante végétarienne. Elles consomment les graines des cyprès noirs d'Australie (Callitris endlicheri), les figues, les graines des acacias et des eucalyptus. La partie végétale de leur menu est complétée par une grandes variété de plantes importées telles que le rosier rubigineux, la petite oseille, le trèfle douteux ou le mouron des oiseaux (stellaria media). Dans le sud de leur aire, elles ingurgitent les fruits ou les fleurs des arbres du genre melaleuca, banksia ou casuarina. Les insectes ne sont pas oubliés dans leur menu : hémiptères, psylles, termites, pucerons et larves de coléoptères. Les perruches se comportent parfois comme de véritables pestes dans les vergers , elles y consomment des pommes, des prunes, des poires et des coings. Protection / Menaces : Les perruches de Pennant sont assez rares aux deux extrémités de leur aire, mais partout ailleurs, elles sont communes ou localement abondantes. Dans le Nord, elles sont légèrement moins nombreuses. Dans un passé récent, elles ont colonisé avec succès les parcs urbains et les jardins, si bien qu'elles sont désormais très répandues dans les banlieues de Camberra et d'Adélaide. A Norfolk Island, leur importation est si réussie qu'elles représentent désormais une concurrence et un danger important pour là perruche de Sparrmann (Cyanoramphus novaezelandiae). Sources : ◦Vol. 4 - Handbook of the Birds of the World, Josep del Hoyo-Andrew Elliott-Jordi Sargatal ◦Parrots of the World, Joseph M. Forshaw ◦Wikipédia, Wikipedia, The Free Encyclopedia ◦Avibase, Lepage Denis ◦Birds in backyards, Birds Australia and Australian Museum ◦New Zealand birds and birding, Narena Olliver ◦THE AVIANWEB, Sibylle Faye ◦IOC World Bird List (v2.10), Gill, F and D Donsker (Eds). 2011.
  14. La grande perruche Omnicolore Identification : Chez les mâles, le bec est blanchâtre. Le bas des joues et le menton sont également blancs, contrastant fortement avec le reste de la tête et la poitrine qui sont rouge écarlate. La partie supérieure du ventre affiche une belle teinte jaune qui vire progressivement au vert pâle sur le bas de l'abdomen. Les couvertures sous-caudales sont rougeâtres. Les plumes du manteau, du dos et des scapulaires sont noires avec une large bordure jaune, ce qui donne à ces régions un aspect fortement écaillé. Les moyennes couvertures sont noires. Les petites couvertures, l'extérieur des couvertures secondaires et les rémiges ont une couleur gris-bleu. Le croupion est vert clair. Les rectrices centrales sont vert-bouteille alors que les rectrices externes sont gris-bleu avec des extrémités blanches. Les iris sont bruns, les pattes grises. La femelle ressemble à son partenaire, mais le rouge de sa tête et de sa poitrine est moins éclatant. Le dessous des ailes possède une fine rayure pâle. Les juvéniles sont une terne copie de la femelle. Ils ont un peu de vert sur l'arrière de la tête. Il existe deux variations géographiques que ne sont pas très marquées : les individus de la race cecilae ont un croupion et des sus-caudales vert bleuâtre. Leur manteau est moucheté de jaune doré chez le mâle et jaune verdâtre chez la femelle, ce qui leur vaut parfois l'appellation de perruche à manteau doré. Les individus de la race diemenensis ont une tête rouge plus foncé. Les taches blanches de leurs joues sont plus développées. Chant : Perruche omnicolore jacasse, siffle. En vol, les perruches omnicolores ont un cri de contact rude qu'on peut retranscrire de la façon suivante : "chit-chut....chit-chut" ou "chut-chit-chut...chut-chit-chut". Lorsqu'elles sont perchées on peut entendre un sifflement trisyllabique qui monte progressivement ou un "kwink...kwink " flûté. Les cris d'alarmes sont perçants et aigus. Quand elles se nourrissent, ces perruches produisent des petits bavardages intermittents. Tous les cris d'appels sont nettement plus aigus que ceux de la perruche de pennant. Habitat : Les perruches omnicolores sont généralement assez répandues dans tous les habitats boisés ouverts, y compris les terres agricoles, les parcs urbains et les jardins. On les trouve généralement dans les zones d'arbres clairsemés, les rideaux d'arbres le long des cours d'eau, les savanes arbustives et les broussailles de "mallee". Elles sont courantes sur les espaces cultivés et elles visitent volontiers les vergers où elles peuvent causer de sérieux dommages. Dans de nombreuses régions, c'est l'espèce de perroquet la plus répandue, allant même jusqu'à nicher dans les arbres qui bordent les rues des villes et des cités. Autant que possible, elles évitent les forêts denses et les zones de moyenne montagne où elle est remplacée par la perruche de pennant. L'habitat des perruches omnicolores se situe généralement en-dessous de 1250 m d'altitude. Distribution : Les perruches omnicolores sont endémiques de l'est et du sud-est de l'Australie. Leur aire de distribution coïncide en grande partie avec celle de la perruche de pennant. Elle part du sud-est du Queensland et se poursuit jusqu'en Australie Méridionale en passant par les Nouvelles-Galles-du-Sud et l'état de Victoria. Les perruches omnicolores sont également présentes en Tasmanie et occasionnellement à King Island, dans le détroit de Bass. L'espèce a été introduite en Nouvelle-Zélande. Trois sous-espèces sont officiellement reconnues : P.E. cecilae (sud-est du Queensland jusqu'au nord-est des Nouvelles-Galles-du-Sud) - P.E. eximius, la race nominale (des Nouvelles-Galles-du-Sud jusqu'au sud-est de l'Australie Méridionale) - P.E. diemensis (partie orientale de la Tasmanie). Comportements : Les couples nicheurs sont sédentaires dans leurs territoires tandis que les jeunes et les immatures forment des bandes pouvant compter jusqu'à 25 oiseaux qui errent localement. Assez couramment, les perruches omnicolores peuvent être observées sur les fils électriques ou sur les poteaux qui bordent les bas-côtés des routes à la périphérie des villes. Elles recherchent leur nourriture à terre plus fréquemment que les autres perruches du type rosella. En vol, elles sont assez bruyantes et, de ce fait, assez faciles à repérer. Toutefois, lorsqu'elles sont à terre, elles ne sont pas toujours observables et souvent, quand elles sont dans les airs, elles passent inaperçues jusqu'à ce qu'elles passent au-dessus de nos têtes. Les perruches omnicolores s'alimentent parfois en compagnie de perruches de Pennant ou de perruches à croupion rouge (Psephotus haematonotus) mais elle ne forment jamais avec elles de bandes mixtes organisées. Nidification : Les perruches omnicolores nichent du mois d'août au mois de février mais aussi occasionnellement en avril et en mai. Les couples sont appariés pour la vie et c'est la femelle qui choisit l'emplacement du nid. La plupart du temps, ce dernier est installé dans un trou de branche ou dans la cavité d'un eucalyptus, mais une grande variété d'autres endroits peut être également choisie : vieille souche, poteau de clôture, tronc abattu, terrier de lapin ou tunnel de guêpier arc-en-ciel qui est élargi et réaménagé. Eventuellement, les perruches omnicolores utilisent aussi le nid abandonné d'un martin-chasseur à ailes bleues, une termitière arboricole, une fougère murale sur la façade d'une maison, une façade rocheuse, un vieux bâtiment ou un ancien nid de pomatostome. Le fond du nid est garni de sciure ou de petits copeaux de bois. La ponte comprend 4 à 9 oeufs (habituellement 5) qui sont couvés pendant 19 jours. La femelle se charge seule de l'incubation et son partenaire la ravitaille au nid. Le séjour des jeunes au nid dure environ 35 jours. Régime : La perruche omnicolore a un régime principalement végétarien. Elle consomme surtout des graines d'eucalyptus et d'acacias, mais aussi des graines provenant d'une grande variété de buissons et de zones herbeuses. Les baies, les feuilles et les bourgeons sont également à son menu. Pendant la période estivale, elle ingurgite quelques insectes ainsi que leurs larves et leurs oeufs. Elle ramasse les graines qui se sont éparpillées dans les champs et au bord des routes. Elle pénètre dans les vergers où elle occasionne quelques dégâts. Protection / Menaces : Sur l'ensemble de leur aire de distribution, excepté la Tasmanie, les perruches omnicolores sont des oiseaux assez communs. Contrairement aux perruches de Pennant qui aiment les forêts denses, elles ont bénéficié de la déforestation qui a été entreprise pour l'établissement de pâtures ou de nouvelles zones céréalières. Sources : ◦Vol. 4 - Handbook of the Birds of the World, Josep del Hoyo-Andrew Elliott-Jordi Sargatal ◦Parrots of the World, Joseph M. Forshaw ◦Birds in backyards, Birds Australia and Australian Museum ◦Avibase, Lepage Denis ◦Wikipédia, Wikipedia, The Free Encyclopedia ◦IOC World Bird List (v2.10), Gill, F and D Donsker (Eds). 2011.
  15. Amazone à Joues Vertes Amazona viridigenalis Nom commun: Amazone à Joues Vertes Dimorphisme sexuel: La tête de la femelle serait légèrement plus petite que celle du mâle. Taille: 33cm environ. Sous-espèces: Pas de sous espèce. Informations générales: Oiseau doux et sympathique apprécié des éleveurs. Description et habitat naturel: Originaire du littoral Nord-Est du Mexique à Véracruz, cette amazone se caractérise par ses joues qui sont d'un vert brillant ainsi que son front et le dessus de la tête qui sont rouges. Une teinte bleutée est située vers la nuque, le reste de son corps est d'un beau vert clair comme toutes les Amazones. Ses pattes sont gris-clair, son bec est jaune pâle et ses plumes sont entourées de noir. Cette Amazone très active se déplace en groupe de 50 à 100 individus et s'arrête près des arbres pour y dormir ou s'y nourrir. Les Amazones à Joues Vertes vivent dans les zones boisées et vers les forêts souvent près des cours d'eau. Elles ne vit pas dans les hauteurs et reste donc toujours à basse altitude. Les agriculteurs ne l'apprécient pas vraiment en raison des dégâts importants qu'elle cause aux cultures. Elles nichent généralement dans les creux des arbres ou dans des nids abandonnés qu'elles aménagent. Elevage en captivité et informations diverses: Bien que ses cris soient génants (elle crie souvent tôt le matin et en fin d'après midi), cette amazone est très douée pour la parole. En effet, elle pourra répéter des mots, des sons, ou bien même quelques fois des phrases assez longues. C'est un oiseau intelligent qui peu également être très doux et aimable. Il est conseillé de loger cette Amazone dans une volière entièrement en métal. Cette amazone est également très active, il lui arrive très rarement de ne rien faire. Vous devez absolument lui fournir des jouets et des brindilles pour qu'elle puisse jouer avec. Les jeux pour enfants très résistants pourront lui être donné à condition qu'elle soit surveillée. Elle est très appréciée des aviculteurs car elle donne de bons résultats d'élevage. Alimentation et soins à apporter: On nourrira cette amazone de tournesol, blé, maïs, avoine, millet, chenevis sans oublier les légumes et fruits occasionnels. Nous ne pouvons pas nous permettre de dire que cette amazone ne gaspille pas sa nourriture, car c'est totalement faux. Comme elle y prend presque du plaisir, il faudra adapter ses mangeoires de façon à ce qu'elle ne puisse pas gaspiller beaucoup de nourriture. Elle apprécie la noix de Palme, qui constitue son alimentation naturelle. Donnez lui également quelques branches pour qu'elle puisse s'amuser avec son bec très puissant. Elle aime se baigner. Reproduction en captivité: La période de reproduction est détectable lorsque les oiseaux sont plus bruyants et plus aggressifs. Même si les croisements sont à éviter car ils fragilisent les descendants, ils sont possibles avec l'Amazone à Front Blanc. Une volière métallique de 1m50 * 3m sur 1m80 de hauteur est conseillée pour la reproduction. Comme pour l'amazone à front bleu, un nichoir de 40cm*50cm et 1m de hauteur et une entrée de 15 cm de diamètre conviendra parfaitement. Vous pouvez espérer généralement de deux à trois oeufs par ponte. La durée d'incubation de ces oeufs est de 27 jours environ et les oisillons sortent au bout de 68 jours après éclosion. Les petits sont sevrés au bout d'un mois encore. La maturité sexuelle des jeunes se passe vers l'age de 4 ans.
  16. sylvain951

    Les aliments toxiques

    PFF 3ans que je lui donne pas d'eau, pauvre bête. tu n'etonne qu'elle se tappe mon whisky :66: :63: je me disait aussi : pourquoi elle gonfle quant je la douche. pauvre bête elle et lyophilisé. 5 min sous la douche et hop un gris en 3D :31:
  17. moi aussi j ai vue l emission il paler d ailleur d un filtre a mettre sur un appareil photo pour voir presque comme eux. j ai chercher ce filtre sans succer
  18. sylvain951

    Le Cacatoes de Goffin

    mais de rien il n'y a pas encore toutes les especes, va faloir que je bosse sevére pour completer toutes les especes, il y a beaucoup de manque dans toute les races
  19. Le Cacatoes de Goffin Identification : La femelle pèse en moyenne environ 250 grammes et le mâle 300 grammes. Cet oiseau mesure environ 31 cm de longueur. Le Cacatoès de Goffin est le plus petit de tous les cacatoès. Il s'agit d'un cacatoès blanc avec les plumes de la face roses ou saumon et un bec gris pâle. Les deux sexes sont similaires. Comme tous les membres des Cacatuidae, le Cacatoès de Goffin possède une crête, ce qui signifie qu'il possède un groupe de plumes sur sa tête qu'il peut gonfler ou diminuer. Son corps est principalement recouvert de plumes blanches, avec des plumes de couleur rose saumon entre le bec et les yeux. Les plumes les plus profondes de la crête et du cou sont aussi couleur saumon, mais la coloration est ici masquée par la couleur blanche des plumes les plus superficielles. Les plumes des dessous des ailes et la queue présentent une teinte jaunâtre. Les yeux vont de brun à noir. Ce cacatoès est souvent confondu avec le Cacatoès corella (Cacatua sanguinea) en raison de leur apparence similaire. Chant : Les cacatoès de Goffin délivrent des cris stridents et bruyants. Les jeunes émettent des sons assez semblables à ceux des calopsittes élégants. Ils produisent également des sortes de miaulements. Habitat : Les cacatoès de Goffin vivent principalement dans les forêts qui longent le littoral. On les trouve à la fois dans les boisements primaires et dans les parcelles en cours de régénération, dans les broussailles et dans les zones avec de petits arbres épars. Les cacatoès de Goffin sont endémiques de Tanimbar et des petites îles avoisinantes (Yamdena, Larat et Selaru) dans la province de Maluku, en Indonésie. Des populations férales (c'est à dire retournées à l'état sauvage) sont également établis aux îles Kai. Compte-tenu de la très faible superficie de son aire de distribution, l'espèce est considérée comme monotypique. Comportements : Son mode de vie est peu connu. Le cacatoès de Goffin vit très souvent en grandes bandes dont les effectifs peuvent atteindre plus de 300 individus. Ces bandes envahissent fréquemment les terres cultivées et font des razzias dans les récoltes. Quand ils atterrissent, ils ont tendance à dresser la longue crête qui surmonte le dessus du crâne. Le cacatoès de Goffin se fait surtout entendre pendant la nuit. Nidification : On ne possède pas de renseignement sur la période à laquelle se déroule la nidification. Pendant les parades nuptiales, ces oiseaux se pavanent de façon assez démonstrative et lancent des cris stridents. Les femelles déposent 2 ou 3 œufs dans une cavité d'arbre. Les deux parents se relaient pour couver pendant environ 30 jours. Les jeunes naissent avec un duvet jaunâtre. Ils mettent environ 10 semaines avant de quitter le nid. Après l'envol, ils dépendent encore de leurs parents qui leur fournissent la nourriture pendant quelques semaines supplémentaires. Régime : Les cacatoès de Goffin sont vraisemblablement végétariens. On ne connaît pas le détail de leur menu. La seule chose dont on soit certain, c'est qu'ils apprécient particulièrement les récoltes de maïs. Protection / Menaces : Bien que la déforestation et la capture des oiseaux aient commencé dès les années 70, l'espèce est encore assez répandue dans l'île principale de Yamdena. Elle est également assez commune dans les petites îles avoisinantes. Entre 1983 et 1989, on estime que plus de 50 000 oiseaux ont été capturés et commercialisés, ce qui semble absolument énorme pour une aussi petite population. Néanmoins, malgré tous ces prélèvements opérés sur le terrain, la population a été estimée à environ 200 000 oiseaux en 1992. L'espèce est classée comme presque menacée (NT) par l'IUCN. Sources : ◦Parrots of the World, Joseph M. Forshaw ◦Parrots, Tony Juniper ◦Vol. 4 - Handbook of the Birds of the World, Josep del Hoyo-Andrew Elliott-Jordi Sargatal ◦Avibase, Lepage Denis ◦Wikipédia, Wikipedia, The Free Encyclopedia ◦World Parrot trust, ◦IOC World Bird List (v2.10), Gill, F and D Donsker (Eds). 2011.
  20. sylvain951

    Cacatoes Ducorps

    Le Cacatoes Ducorps Ce cacatoès de petite taille est immédiatement identifiable en raison de sa longue huppe de forme triangulaire qui est souvent dressée. Son plumage est presque entièrement blanc, excepté le dessous des ailes et de la queue qui sont infiltrés de jaune. Les plumes de la huppe, des joues, du manteau et de la poitrine ont une base rosâtre. Le bec est grisâtre. La peau nue qui entoure les yeux est bleu pâle. Les iris sont brun foncé, les pattes grises. Les femelles se distinguent de leur partenaire par un iris plus rougeâtre. Les cacatoès de Ducorps sont assez semblables aux cacatoès de goffin qui vivent aux îles Tanimbar. Ils ressemblent également aux cacatoès corella, bien que ces derniers possèdent une zone orbitale bleue plus développée et une tache rose-orange sur les lores. A bien des égards, ils peuvent être également confondus avec les cacatoès laboureurs et avec les cacatoès nasiques, encore que dans les milieux naturels, ces espèces soient endémiques de l'Australie et aient une aire de distribution très différente. Chant : Les cacatoès de Ducorps émettent deux notes interrogatrices "érrk-érrk....érrk-érrk" qui se prolongent souvent en "érrk-érrk-érrk-érrk". Ils produisent aussi des "kounk-kérrk, kounk-kérrk" dans lesquels la première note de chaque paire est accentuée et la seconde, infléchie vers le bas. On peut également entendre un "aak-ack-aak" sec et variant en hauteur et en longueur. Habitat : Les cacatoès de Ducorps fréquentent un grande variété d'habitats comprenant les forêts, les lisières des forêts, les zones boisées en cours de régénération, les jardins, les broussailles et les banlieues des villes. Bien qu'ils soient assez courants à toutes les altitudes, du littoral jusqu'aux versants des montagnes, on les trouve plus particulièrement jusqu'à 700 mètres. Parfois, ils peuvent grimper jusqu'à 1800 m. Ils sont toutefois moins répandus aux altitudes les plus élevées, devenant absents dès qu'on aborde la lisière inférieure des forêts de brume. Distribution : Les cacatoès de Ducorps sont endémiques des îles Salomon. Leur aire de distribution s'étend de Bougainville (en Papouasie -Nouvelle-Guinée) jusqu'à Malaita, en passant par Choiseul, la Nouvelle-Géorgie et Santa Isabel. L'espèce est absente à San Cristobal et dans les îles environnantes. Comportements : Les cacatoès de Ducorps sont des oiseaux bruyants et assez faciles à observer, bien qu'ils vivent la plupart du temps en couples ou en petites bandes. Ils volent à de grandes hauteurs au-dessus de la cime des arbres où ils utilisent des perchoirs bien exposés tout au sommet de la canopée. Ce sont des oiseaux très prudents et ils jaillissent en poussant des cris stridents dès qu'ils sont dérangés. Les cacatoès dressent souvent leur crête aussitôt qu'ils sont excités. Ils ont un vol ferme et saccadé composé de battements peu profonds qui alternent avec des glissades au cours desquelles on peut apercevoir le bout arrondi de leurs ailes. Nidification : Les informations provenant du milieu naturel sont très réduites. Le cacatoès de Ducorps est un espèce cavernicole, c'est à dire qu'elle niche dans les cavités naturelles d'arbre. La femelle pond habituellement deux ou trois oeufs de couleur blanche qu'elle couve pendant environ 25 jours. Les oisillons sont nidicoles et ne prennent leur envol qu'au bout de 9 semaines après voir brisé la coquille. Régime : Les cacatoès de Ducorps sont surtout des végétariens. Ils se nourrissent de graines, de baies, de fruits, de bourgeons, de fleurs ainsi que d'insectes et de leurs larves. Occasionnellement, ils ingurgitent les parties charnues des plantes épiphytes. Ils pénètrent dans les jardins où ils effectuent une razzia de papayes et d'ignames (discorea). Protection / Menaces : Les cacatoès de Ducorps sont considérés comme assez répandus dans une grande variété d'habitats. La population mondiale est estimée à 100 000 individus et les effectifs semblent stables. Dans un avenir immédiat, deux menaces peuvent viser cette espèce : la commercialisation des oiseaux de compagnie et la dégradation de son habitat. Cette dernière semble particulièrement sérieuse, compte tenu du défrichement des forêts dans les régions de plaine. Sources : ◦Parrots, Tony Juniper ◦Parrots of the World, Joseph M. Forshaw ◦Vol. 4 - Handbook of the Birds of the World, Josep del Hoyo-Andrew Elliott-Jordi Sargatal ◦Avibase, Lepage Denis ◦Wikipédia, Wikipedia, The Free Encyclopedia ◦IOC World Bird List (v2.10), Gill, F and D Donsker (Eds). 2011.
  21. sylvain951

    sushi discute

    la verité doit sortir du bec d'un perroquet :63: :63:
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