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0 NeutralÀ propos de Loulou34
- Date de naissance 30/11/1973
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Loulou34 a commencé à suivre Problèmes Ecologiques, Nature et biodiversité, Menaces sur la Biodiversité et et 6 autres
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Pour ça il suffit de mettre les deux populations en contact ! Ou plutôt de conserver ou restaurer les capacités du milieu à faire se rencontrer des populations différentes. Et le maintien d'un réseau de mares dense en forêt y est propice. C'est un peu comme le camelot ou le transhumant qui arrivait dans une vallée reculée des Alpes au siècle dernier, il avait intérêt à assurer parce qu'il y avait une sacré demande de brassage ;-) !!!
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Une mare n'est pas LE milieu de vie des batraciens mais un milieu nécessaire à deux phases particulières : la reproduction et la vie larvaire. Préserver ces milieux au sein DU milieu de vie d'une population en favorise la pérennité. Ensuite, favoriser la diversité intra-spécifique permet d'augmenter la capacité d'une espèce à résister aux changements de son environnement car chaque individu possède des capacités propres qui le rendent plus ou moins adaptable par rapport à ses congénères et du coup garantit une plus forte plasticité de l'espèce. L'isolement des populations et donc l'appauvrissement de la diversité intra-spécifique, si elle peut favoriser la spécification à long terme dans un environnement stable et constant, est par contre un grand danger d'extinction dans des environnements dynamiques et/ou perturbés. Merci Charles (entre autre) !
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Bonjour, Cela permet d'ouvrir des corridors et donc évite de cloisonner les populations et favorise donc les mélanges inter-population et la diversité intra-spécifique. De plus pour les amphibiens si on conserve un maximum de possibilité de trouver des zones de reproductions cela est favorable à la conservation et à l'expansion des espèces.
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Simplement, je trouve décevant, discréditant, médiocre de s'ériger en pourfendeur des grandes causes de dégâts sur la nature et par ailleurs avoir des comportements qui sont à même d'y nuire. Bien sur je ne suis pas aveugle, les échelles ne sont pas identiques, les pressions exercées, les impacts constatés n'ont rien à voir. Il n'empêche, ne pas se rendre compte que son comportement est susceptible d'exercer une pression discrédite de facto toute la démarche. C'est un peu comme ces particuliers qui hurlent (à juste titre) contre l'agriculteur intensif qui traite à deux pas de chez eux ses champs avec toute sorte de produits mais qui round-upent le caniveau devant chez eux "pour faire propre". Et oui Gaïa, sans être un chevalier blanc et à mon petit niveau, j'ai bien d'autres choses plus utiles à faire que de déblatérer face à un mur sur internet. Mais comme tu peux le constater, je prends tout de même le temps de venir lire tes réponses et voir si non pas ta certitude vacille, mais du moins si la perception des éléments que je t'apporte éveille un début de réflexion sur le sujet. Certes pas le sujet le plus impérieux pour enrayer la dégradation croissante de notre environnement, mais un sujet qui en vaut bien un autre : l'impact de la faune domestique sur les biocénoses.
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J'ai bien d'autres choses à faire plus constructives pour sauvegarder ce qui peut encore l'être ou améliorer les fonctionnalités d'écosystèmes dégradés que de déblatérer en vain sur un forum ... Lorsque je me permets d'intervenir ailleurs que sur les pages naturalistes c'est d'expérience. Alors on peut toujours ramener nos minuscules impacts face à d'autres gigantesques mais il n'empêche que ça n'aide pas à une prise de conscience générale des pressions qui s'exercent ici ou là sur la nature. Maintenant, je dis ça, je dis rien ... je ne convaincrais jamais personne sur un forum internet et ne gaspille que très rarement du temps à ça ! Bonne soirée ! ps : Une question à cent balles : Quel est un des premiers facteurs de la raréfaction de passereaux comme le rouge-gorge en zone péri-urbaine ?
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