terrienne 0 Posté(e) le 26 janvier 2008 Reportage photographique sur la maltraitance des serpents et autres animaux à Marrakech http://geos- nature.org/ Reportage- exploitation- serpents- et-autres_ Marrakech. html et Appel au boycott: http://geos- nature.org/ Appel_boycott_ spectacles- serpents. html Appel au boycott des spectacles de serpents et autres pratiques basées sur la maltraitance animale et l'exploitation de la biodiversité au Maroc " Tortues, caméléons, fouette-queues, serpents, sont menacés par la disparition de leurs habitats naturels et par le commerce. [...] Les touristes devraient être désireux de pouvoir visiter des pays où ils pourraient admirer des animaux et des plantes uniques dans un cadre sauvegardé" ("L'Appel de Marrakech", Premier Congrès Méditerranéen d'Herpétologie, 16-20 avril 2007/Marrakech- Maroc). À Marrakech, la Place Jemaa-El-Fna doit une partie de sa renommée aux traditionnels spectacles de "charmeurs de serpents". Ces spectacles sont reproduits dans de nombreuses autres places et hôtels du Maroc. La perpétration de ces douteuses pratiques moyenâgeuses induit la maltraitance des cobras, des vipères heurtantes, des couleuvres de Montpellier et autres serpents, lesquels sont remplacés par d'autres victimes ophidiennes après quelques mois ou semaines, car tous voués à une mort programmée. Cette consommation parasitaire de la biodiversité entraîne aussi bien de trop nombreuses captures qu'un maintien dans des boîtes infectes (sans eau, sans nourriture et au mépris de toute hygiène) et un trafic dans des conditions abominables provoquant une grande mortalité des serpents détenus. La plupart des belles espèces concernées sont soit menacées d’extinction en Afrique du Nord, soit sont en régression alarmante. Ceci contribue au consternant appauvrissement général des écosystèmes du Maroc à notre époque dramatique marquée dans le monde entier par le début d'une extinction massive des espèces qui va en s'accélérant et en s'aggravant. Une extinction accompagnant d'autres phénomènes étroitement imbriqués comme la déforestation, la raréfaction de l'eau, le surpâturage, le réchauffement climatique, etc., toutes catastrophes provoquées par un anthropocentrisme désastreux. Nous ne pouvons plus continuer de fermer les yeux sur ces « spectacles » sous prétexte qu'il s'agirait de traditions ancestrales et que les animaux concernés ne seraient que de « sales bêtes », des serpents voués à l’opprobre générale. C’est pourquoi, nous signataires, nous nous engageons à ne plus encourager ces spectacles d'un autre temps qui maltraitent les serpents, et, refusant de faire un choix discriminant au sein de la biodiversité menacée, nous nous engageons par la même occasion à ne plus encourager ces dompteurs de petits singes, attachés court et contraints, sous les coups, à exécuter de consternantes pirouettes. Nous nous engageons également à n’encourager sous aucune forme ces sordides marchands du souk qui proposent des animaux morts ou vifs, pour la plupart espèces protégées. Par ailleurs, nous nous adressons aux touristes variés et divers en leur demandant de bien vouloir ouvrir les yeux et de se détourner de ces pratiques ou mieux encore de protester auprès des autorités, afin que le Maroc puisse enfin se hisser à la hauteur des enjeux de notre époque marquée par des maux si graves qu’ils menacent à terme toute vie sur terre, dont la nôtre et celle de nos enfants. Reportage photographique sur la maltraitance des serpents et autres animaux à Marrakech http://geos- nature.org/ Reportage- exploitation- serpents- et-autres_ Marrakech. html et Appel au boycott: http://geos- nature.org/ Appel_boycott_ spectacles- serpents. html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 26 janvier 2008 Y-a-t-il un seul animal sur terre qui n'est pas exploité à outrance ! La semaine dernière, j'ai vu un reportage sur le Texas, et j'ai été étonné de voir que la population consomme des serpents. Capturés dans la nature, ils sont servis dans des restaurants, coupés en tranches, pannés et frits dans l'huile comme du poisson Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Animal 0 Posté(e) le 26 janvier 2008 Pour en savoir plus sur la façon dont ces serpents à sonnette sont capturés, lire cet article (en anglais) SWEETWATER, Texas - When Chris Soles says he works in a snake pit, he's not kidding. ... The snakes are caught during the annual rattlesnake roundup in Sweetwater, Texas, which this town 200 miles (320 km) west of Dallas bills as the biggest in the world. The three-day event, which ends on Sunday, includes a rattlesnake-eating contest. The roundup rattles ecologists but locals see it as a boon for drawing up to 30,000 visitors. Farmers say it helps control a pest that occasionally maims or kills livestock. Nothing is wasted, the organizers say, with the skins made into belts, the meat sold as a delicacy and the venom "milked" for sale to pharmaceutical companies. But scientists raise ecological and ethical concerns. "There's no glory in rattlesnake hunting," said Lee Fitzgerald, an associate professor and curator of amphibians and reptiles at Texas A&M University. Hunters scour the arid landscape for snake dens, into which they pump gas fumes to drive them out. Then they snatch them with the tongs. Hunters say the fumes have minimal ecological impact but many scientists disagree. "It's an unethical way to hunt and it harms other animals such as scorpions and rodents," said Fitzgerald. SUSTAINABLE HUNT? The specific species targeted around Sweetwater is the western diamondback rattlesnake. Data provided by the organizers shows the amount harvested each year, as measured in pounds, has fluctuated wildly, sometimes in response to the price of snake meat. Last year, the roundup yielded more than 13,000 pounds (5,910 kg) of meat, probably representing about 7,000 snakes. The record set in 1982 was almost 18,000 pounds (8,180 kg). Both totals far exceed those of early roundups almost five decades ago, suggesting the hunt may be sustainable but that the long-term consequences are unknown. The dim view of snake roundups from the American Society of Ichthyologists and Herpetologists was spelled out clearly in a position paper last year. "The biological ramifications of decades of rattlesnake roundups are difficult to assess, but they have great potential to affect snake populations negatively, and it is difficult to predict when rattlesnake harvests will push local populations beyond the point of recovery," it said. The society also raised ethical issues. "Snakes are handled roughly and are decapitated and butchered in large numbers in front of an audience, including small children, as entertainment. It is hard to imagine subjecting any other vertebrate animal to such thoughtless and inhumane treatment." The roundup is vintage Texas, from its claim to being the biggest of its kind to its unabashed celebration of the hunt. In Sweetwater, ecological or moral objections are brushed aside as overblown or just plain crazy. "We don't hardly put a dent into the population," said one cowboy as he prepared to tuck into some freshly fried snake. "More are killed on the road every year." Story by Ed Stoddard http://www.planetark.com/dailynewsstory.cfm/newsid/40769/newsDate/12-Mar-2007/story.htm Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites