terrienne 0 Posté(e) le 27 octobre 2008 L'instinct de survie à l'ordre du jour : pour une urgence de l'écologie, et pas d'un faux-semblant au profit du blanchiment vert. L’écologie politique nait-elle de l’instinct de survie, de l’instinct de conservation ? Évidemment oui ! En ce troisième millénaire, l’instinct de survie ne correspond plus à surproduire, à surcultiver, à surpêcher, à surchasser, à surpâturer, à s’approprier, à stocker, à spéculer…, il doit tout au contraire nous inciter à gérer avec parcimonie, à en laisser non seulement pour les autres, mais surtout pour demain. Reprenant le vieux thème qui ne fut jamais appliqué « des pollueurs qui seront les payeurs », il serait grand temps d’exercer la plus intransigeante coercition envers ceux qui confondent usage et abus, consommer et consumer. Quant à l’instinct de conservation, il se résume plus à procréer sur une grande échelle, mais à limiter les naissances pour ne pas encombrer une planète fatiguée, surchargée, devenue trop exigüe. Toutes les civilisations qui ont sombré d’elles-mêmes n’avaient pas respecté ces deux règles d’or : ne pas épuiser les ressources et contrôler la démographie. Si l’écologie devenue écologie humaine puis écologisme politique n’a fait que se mentir à elle-même, au point de se retrouver au service d’un détestable blanchiment vert, l’instinct de survie devra obligatoirement passer par un réveil des écocitoyens en vue d’exercer une veille quasiment dictatoriale. Patience, ça va venir… Devant tant de désordre, il faudra, il faut siffler la fin de la récréation. Maintenant et tout de suite. Auriez-vous une autre idée pour sauver les meubles ? MAIS… Nous sommes cernés : l'éco-tartufferie des manipulateurs, des récupérateurs prend le relai de l'égologisme, des Verts, des écologues, des scientifiques qui donnaient initialement l'alarme. Ces fourbes dominants ont plus d'un tour dans leur sac et, déjà, le souci écologique est reformaté, recyclé et remis entre les mains tachées de sang et de sève des maîtres du monde. Un Grenelle qui devait être un signal fort se voit voté une fois vidé de l’essentiel, devenu signal faible et sans consistance, mais avec un tel effet d’annonce que les malvoyants de l’écologie peuvent seuls y croire. Tel est l'imparable rapport de force d'une société qui a troqué la connaissance pour l'information. Rentrez chez vous, l'écologie revendicative qui était une contre-culture, un contre pouvoir a été détroussée, il n'y a plus rien à voir, ni à entendre, que des mensonges éhontés et criminels. Quand les ennemis de la nature s'emparent et détournent le sujet Rappel d'un des premiers discours perfides et spécieux. Depuis, siphonage et théâtre pharisien n’ont eu de cesse, souvenez-vous : http://fr.truveo.com/Chirac-et-l%C3%A9cologie-humaniste/id/1282373093 « Les thuriféraires officiels, s'accordant avec les coryphées du nationalisme, ont composé une pièce à grand spectacle qu'ils représentent quotidiennement et qui peut s'appeler le mélodrame du franc. » (Joseph Caillaux, 1926, Discours de Montpellier, in Ma doctrine) « Personne n'obligera le pot de terre à taire ce que se permet le pot de fer de faire. » (Jean Brasier) Que croire ? À l'heure de la grande désinformation, de la perte de conscience, de la récupe la plus éhontée, du déni, du reniement et du négationnisme environnemental, au lendemain du fagotage des cendres du Grenelle 1, feu de paille franco-franchouillard, à l'heure aussi d'une véritable guerre des crises, où la crise économique d'un capitalisme en loques (luxueuses) masque la crise écologique (cause majeure) et détourne de la crise alimentaire, si le rapport de forces ne laisse que si peu de visibilité à une vérité étouffée par l'écrasante imposture de la pensée unique, que croire, qui croire ? Pour contredire - s'il est possible - les affronts faits à la conscience lucide par un débordement d’auteurs thuriféraires et carriéristes, dont l’inspiration collaboratrice va du déni à la réparation de la planète, dirigez-vous vers des lectures d’auteurs extérieurs au complot de l’establishment, de libres-penseurs non galonnés et qui n’ont rien ni à perdre, ni à gagner. Être iconoclaste, c'est quelque part la capacité à s'écarter de la pensée unique, d’être un électron libre qui va tracer ou imaginer un nouveau chemin, qui va agiter des idées désintéressés et de vérité. A ce titre, les iconoclastes ont toujours été utiles pour identifier des pistes décalées, bien sûr après avoir fait un tri. Au final peu de gens du monde de l'économie et de l'entreprise !! C’est dans cette ambiance de belle indépendance que moi-même et quelques autres, nous nous adonnons à l’écriture écologique et au pamphlet environnemental. HUMAINS, RÉVEILLEZ-VOUS ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
terrienne 0 Posté(e) le 1 novembre 2008 Urgent : cherche Terre de secours pour 2030 ! (Libération du 29 octobre). http://www.liberation.fr/terre/0101165817-urgent-cherche-terre-de-secours-pour-2030?xtor=EPR-450206 Ce millénaire ne durera même pas un siècle… Notre Terre est en déliquescence ! En 1950, nous pensions pouvoir faire reverdir les déserts. En 2050, nous aurons réussi à désertifier la Terre entière. Dans un de mes livres, je pronostiquais le début d'une vie invivable à compter de 2050. Certains m'ont traité de marchand de peur alors que j'étais encore trop serein. Selon le WWF et Libération, c'est dès 2030 que nous allons commencer à payer cruellement nos inexcusables erreurs. Vous n'avez pas encore lu : 2050, Sauve qui peut la Terre ? Alors, vous ne savez pas tout de l'histoire du grand hold-up planétaire. Pour comprendre pourquoi nous n'avons plus beaucoup d'illusions à nous faire, consultez la page du livre : http://users.skynet.be/jdelacre/2050/unedelecologie.html 2050, Sauve qui peut la Terre !, de Michel Tarrier Partout disponible, notamment chez Amazon.fr : http://www.amazon.fr/2050-Sauve-qui-peut-Terre/dp/2842743857 __._,_.___ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites