terrienne 0 Posté(e) le 29 octobre 2008 Tierschutzcausa: DNA-Tests belegen Unschuld http://www.vgt.at/presse/news/2008/news20081016.php DNA-Tests prove innocence http://www.vgt.at/presse/news/2008/news20081016_en.php Les tests d’ADN prouvent l’innocence des militants Il n'y a aucune correspondance entre les échantillons d’ADN prélevés sur les militants animalistes prisonniers et ceux trouvés sur les lieux des crimes. Après les arrestations des 10 militants pour les animaux en mai de cette année, la police avait prélevé des échantillons d’ADN sur chacun d’eux, contre leur gré et en utilisant la violence dans biens des cas - rendant ainsi ces opérations illégales. Les résultats des prélèvements ont été comparés avec les échantillons d’ADN trouvés sur les lieux des crimes motivés par la protection animale. Ni le ministère public, ni la police n’ont rendu publics ces résultats mais à présent, après avoir eu accès à des dossiers de l’accusation supplémentaires, la défense est en mesure de les révéler : pas de correspondance ! Qu’il s’agisse de l’ADN relevé sur des timbres utilisés pour du courrier revendiquant la responsabilité d’actes criminels, sur des pneus perforés, sur des billes de peintures ou sur du matériel utilisé pour briser des vitres, aucun ne correspondent à ceux des 10 militants maintenus en détention provisoire cet été. Ainsi c’est officiel : après presque 2 années de surveillance intensive, 23 perquisitions et de nombreux tests d’ADN, il n’existe aucune preuve permettant de relier les 10 militants à des actes criminels. - aucun d’eux n’a été surpris en train de commettre une acte criminel - aucun d’eux n’a projeté d’acte criminel - aucun d’eux n’a organisé d’acte criminel - aucun d’eux n’a chez lui du matériel pouvant être relié avec un crime - l’ADN d’aucun d’eux ne correspond aux échantillons prélevés sur les scènes de crimes. A la lumière de ce qui précède, les enquêtes devraient prendre une direction différente, ou bien cesser. La police et le ministère Public sont obligés de présenter tout élément disculpatoire mais au lieu de cela, ils continuent de travailler sur des suspicions non soutenables. Malheureusement, dans le cas présent, rien ne semble normal. C’est une affaire politique dont le but est de nuire aux associations de protection animale, une procédure indigne d’un état de droit. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites