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Tierschutzcausa: DNA-Tests belegen Unschuld
http://www.vgt.at/presse/news/2008/news20081016.php
DNA-Tests prove innocence
http://www.vgt.at/presse/news/2008/news20081016_en.php


Les tests d’ADN prouvent l’innocence des militants


Il n'y a aucune correspondance entre les échantillons d’ADN prélevés sur les
militants animalistes prisonniers et ceux trouvés sur les lieux des crimes.

Après les arrestations des 10 militants pour les animaux en mai de cette
année, la police avait prélevé des échantillons d’ADN sur chacun d’eux,
contre leur gré et en utilisant la violence dans biens des cas - rendant
ainsi ces opérations illégales. Les résultats des prélèvements ont été
comparés avec les échantillons d’ADN trouvés sur les lieux des crimes
motivés par la protection animale.

Ni le ministère public, ni la police n’ont rendu publics ces résultats mais
à présent, après avoir eu accès à des dossiers de l’accusation
supplémentaires, la défense est en mesure de les révéler : pas de
correspondance ! Qu’il s’agisse de l’ADN relevé sur des timbres utilisés
pour du courrier revendiquant la responsabilité d’actes criminels, sur des
pneus perforés, sur des billes de peintures ou sur du matériel utilisé pour
briser des vitres, aucun ne correspondent à ceux des 10 militants maintenus
en détention provisoire cet été. Ainsi c’est officiel : après presque 2
années de surveillance intensive, 23 perquisitions et de nombreux tests
d’ADN, il n’existe aucune preuve permettant de relier les 10 militants à des
actes criminels.

- aucun d’eux n’a été surpris en train de commettre une acte criminel
- aucun d’eux n’a projeté d’acte criminel
- aucun d’eux n’a organisé d’acte criminel
- aucun d’eux n’a chez lui du matériel pouvant être relié avec un crime
- l’ADN d’aucun d’eux ne correspond aux échantillons prélevés sur les scènes
de crimes.

A la lumière de ce qui précède, les enquêtes devraient prendre une direction
différente, ou bien cesser. La police et le ministère Public sont obligés de
présenter tout élément disculpatoire mais au lieu de cela, ils continuent de
travailler sur des suspicions non soutenables. Malheureusement, dans le cas
présent, rien ne semble normal. C’est une affaire politique dont le but est
de nuire aux associations de protection animale, une procédure indigne d’un
état de droit.

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