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Le réchauffement climatique passe-t-il à la vitesse supérieure ?

La fonte record des glaces du Groenland et le dégazage massif des dépôts de méthane autrefois congelé dans le sous-sol des côtes sibériennes indiquent que des changements importants sont en train de se produire en Arctique, risquant d'amplifier le réchauffement du climat mondial.

Il y a quelques mois déjà, les scientifiques avaient constaté que les fonds marins de l'Arctique libéraient du méthane dans l'atmosphère, un gaz à effet de serre vingt fois plus puissant que le dioxyde de carbone. Une nouvelle étude, présentée le 16 décembre 2008 à la conférence de l'Union américaine de géophysique à San Francisco, démontre que les estimations doivent être revues à la hausse.

« Il y a cinq ans, je n'étais pas certain que le phénomène soit très sérieux, mais à présent je suis sûr que quelque chose de grave est en cours et que nous devrions avertir les gens », s'alarme Igor Semiletov du International Arctic Research Center (IARC, université de l'Alaska, Fairbanks), chef scientifique d'une expédition océanographique le long du littoral sibérien l'été dernier.

Les analyses de l'eau indiquent des taux de méthane dissous jusqu'à 200 fois supérieurs à la normale, indiquant des dégagements significatifs qui n'avaient pas été mis en évidence durant les années 1990. Selon Igor Semiletov, cela démontre avec certitude que les dégagements de méthane sont en train de s'accroître dans des proportions importantes.

Les scientifiques estiment que la quantité de méthane stocké dans le pergélisol arctique sous forme de clathrates (des hydrates) serait supérieure aux réserves mondiales de charbon et représenterait douze fois la quantité actuellement présente dans l'atmosphère. Suite au réchauffement climatique, ce méthane se trouve maintenant au seuil de la fonte, et au niveau des côtes de la Sibérie, la température de l'air a augmenté de plus de 5 degrés durant la dernière décennie. « Nous ne nous étions pas rendu compte à quel point ce réservoir de méthane était vulnérable », confie Igor Semiletov.


La fonte se poursuit au Groenland
Les chercheurs ne disposent pas encore de suffisamment de données pour déterminer en quelle proportion cet hydrate de méthane qui s'échappe du plateau continental sibérien peut affecter le reste de la planète, selon Edward Brook, de l'université d'Etat d'Oregon. Dans un rapport rendu public au cours de la même conférence, le chercheur estime peu probable qu'un dégagement catastrophique de méthane se produise au cours de ce siècle, bien qu'il admette que le changement climatique accélérera le relâchement, et suggère une surveillance accrue du processus afin de prévenir toute modification brutale de la situation.

Tout comme en Sibérie, la calotte glaciaire du Groenland se réduit inexorablement. Alors qu'une année moyenne comprend de 10 à 15 jours de températures positives, donc de fonte, cette période s'est élevée à 35 jours en 2008. Les dernières évaluations basées sur des mesures effectuées au moyen d'un satellite météo militaire ont révélé que l'île perd maintenant plusieurs centaines de milliards de tonnes de glace par an.

Selon Julienne Stroeve, du National Snow and Ice Data Center de l'université du Colorado, cette observation confirme les prévisions antérieures, que d'aucuns trouvaient pourtant trop pessimistes.

Les modèles climatiques prévoient que l'Arctique devrait se réchauffer plus rapidement que le reste du globe, car la disparition de la glace de mer permet au rayonnement solaire de pénétrer les océans, accélérant encore la fonte.

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/climatologie-1/d/le-rechauffement-climatique-passe-t-il-a-la-vitesse-superieure_17677/

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Je transmets la réponse de Philippe, mon compagnon, à la question:

Le réchauffement climatique passe-t-il à la vitesse supérieure?

Réponse : NON

En fait, c'est l'extrême opposé qui se produit. La planète s'est considérablement refroidie au cours de la dernière décennie, et cette descente s'est accélérée de manière particulièrement importante, et je dirais même inquiétante, depuis janvier 2007. Au cours des seules 2 dernières années, s'est effacé le réchauffement des 2 dernières décennies du 20e siècle!

Les données les plus fiables (mesures par satellites) le prouvent de manière incontestable. De nombreux glaciers sont d'ailleurs en expansion partout dans le monde. Affirmer le contraire, comme le fait l'article ci-haut, c'est participer à l'une des plus vastes entreprises de manipulations publiques du monde. Elle s'appuie sur l'ignorance des gens au sujet de l'histoire des variations climatiques au cours des âges, des véritables causes de ces variations et de leur conséquences sur les sociétés humaines et les équilibres naturels.

Cette ignorance profonde des sciences naturelles rend les gens vulnérables à la propagande pseudo-scientifique. C'est ainsi qu'après des années de désinformation massive au sujet des changements climatiques, la majorité des gens croient:

- Qu'avant l'ère industrielle, le climat a toujours été à peu près stable, sans variation ou perturbation majeure.
- Qu'au cours du 20e siècle, la température a grimpé de manière anormale, qu'aucun facteur naturel ne peut en être la cause et qu'il n'a jamais fait aussi chaud depuis l'époque où la Terre était une boule de lave.
- Que les activités humaines ont fait augmenter le CO2 de façon significative.
- Que ce gaz a la propriété d'emprisonner la chaleur dans l'atmosphère, ce que nous appelons effet de serre.
- Que ce gaz est dangereux car c'est son augmentation qui est responsable du réchauffement climatique.
- Que ceci est un fait établi et que cela fait l'objet d'un consensus parmi les experts.
- Que des modèles prévisionnels solides nous permettent de prédire à partir des émissions de CO2 anticipés, le climat de l'avenir.
- Que si nous ne diminuons pas de manière drastique nos émissions, nous connaitrons d'ici la fin du siècle un réchauffement catastrophique.

Tous ces énoncés sont faux. La réalité est toute autre.

- Depuis la fin de la dernière glaciation, la température n'a cessé de monter et de descendre.
- Le réchauffement connu au cours du 20e siècle est relativement modéré comparativement à l'amplitude des variations passées et ce même à des époques récentes de notre histoire. Au coeur du moyen-âge et durant l'époque romaine par exemple, il faisait beaucoup plus chaud qu'aujourd'hui, et cela n'avait rien de catastrophique. Les périodes chaudes étaient des âges prospères durant lesquels la population augmentait.
- Les émissions de CO2 par les activités humaines n'ont que faiblement augmenté la concentration de ce gaz dans l'atmosphère et cette concentration est de toute façon, il faut le mentionner, tout à fait infime.
- Nos connaissances des lois de la physique ne nous autorisent pas à envisager qu'une augmentation du CO2 puisse avoir un effet plus que minuscule sur le climat.
- Les variations climatiques à travers lesquelles la Terre est passée au cours des âges, sont corrélées avec la variation de l'activité du Soleil, y compris durant le 20e siècle. Cela s'observe aussi sur d'autres planètes du système solaire où il n'y a pourtant personne qui émet du CO2.
- La grande majorité des scientifiques compétents et honnêtes intellectuellement savent tout ceci, et ne prennent pas le moins du monde au sérieux les balivernes avancées par les pseudo-experts du GIECC, même si peu nombreux sont ceux qui osent le déclarer publiquement.
- Les modèles prévisionnels des « réchauffistes » sont erronés. Ils ont déjà montré leur incompétence à prédire l'évolution du climat sur ces dernières années, alors imaginez sur un siècle.
- Le soleil suit des cycles d'activité d'une durée de 11 ans qui se superposent à d'autres cycles de périodes beaucoup plus longues. Connaissant ces cycles, il est par conséquent possible de prédire l'activité solaire à venir et par le fait même, les variations du climat. C'est ainsi qu'il a été prédit, il n'y a pas très longtemps, que le soleil entrerait dans une période de faible activité qui durerait entre 20 et 30 ans. Or, nous pouvons constater maintenant que c'est exactement ce qui est en train de se produire. Depuis que le dernier cycle de 11 ans s'est achevé, le nouveau cycle qui s'amorce ne semble pas vouloir démarrer. Le soleil est en hibernation, et comme par hasard, la terre se refroidit. Lorsque cela s'est produit dans le passé, beaucoup de gens sont morts de faim, de froid, de guerres, ou de maladies. Ce furent aussi des époques de troubles, révoltes et de grands bouleversements sociaux.

Avec une population frisant les 7 milliards d'individus et un mode de vie qui a épuisé les ressources du milieu à un niveau près du point de rupture, un coup comme celui-là provoquera l'effondrement de notre civilisation. Voilà qui explique en partie le pourquoi de cette escroquerie du réchauffement par effet de serre. Les élites savent que le navire va couler, que tous ne pourront pas survivre, que la misère, la détresse et la colère populaire provoqueront, comme par le passé, de grands soulèvements qui renverseront les gouvernements. Étant extrêmement minoritaires, les élites ne peuvent pas compter uniquement sur les forces de l'ordre et la brutalité militaire pour mater la révolte. Pour sortir gagnantes de la conjoncture et ne pas être guillotinées, elles doivent employer la ruse. Comme pour le naufrage du Titanic, la stratégie consiste à maintenir les masses distraites et ignorantes de ce qui va se passer pendant que le gratin monopolise furtivement toutes les chaloupes de sauvetage. Ce mensonge du réchauffement planétaire causé par les activités humaines était la meilleure fourberie possible pour maintenir les peuples dans l'ignorance des causes véritables des changements climatiques, de leur évolution à venir, et de ce qui doit être fait pour s'y préparer. C'est ainsi que sous prétexte de « prendre leurs responsabilités », les élites se mettent à serrer la vis sous les hourras des environnementalistes vendus ou décérébrés, et les peuples consentent à se faire progressivement écrasés, croyant que c'est pour leur propre intérêt.

La crise économique qui ne fait que commencer et qui fera très mal est un autre volet de ce plan. Il est préférable de commencer tout de suite à appauvrir, affaiblir, affamer et faire crever ces indésirables de façon préventive.

Pour en apprendre plus sur la science du climat, je vous invite à consulter les liens suivants:

http://www.oism.org/pproject/s33p36.htm
http://network.nationalpost.com/np/blogs/fpcomment/archive/2008/05/17/32-000-deniers.aspx
http://www.globalwarmingheartland.org/
http://www.heartland.org/custom/semod_policybot/pdf/22835.pdf
http://www.warwickhughes.com/agri/pastandfuture2.pdf
http://iceagenow.com/
http://earthobservatory.nasa.gov/IOTD/view.php?id=6502
http://www.scienceagogo.com/news/20020015034521data_trunc_sys.shtml
http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/1542332/Cosmic-rays-blamed-for-global-warming.html
http://news.nationalgeographic.com/news/2007/02/070228-mars-warming.html
http://www.canadafreepress.com/index.php/article/6855
http://wattsupwiththat.com/2008/09/22/new-cycle-24-sunspot/
http://www.laterredufutur.com/html/modules.php?name=News&file=article&sid=503
http://zone-7.net/rss---rechauffement_de_la_planete_ou_du_systeme_solaire/index.html
http://www.earthtimes.org/articles/show/news_press_release,176495.shtml
http://mensnewsdaily.com/2008/07/18/disproof-of-global-warming-hype-published/
http://wattsupwiththat.com/2008/06/02/livingston-and-penn-paper-sunspots-may-vanish-by-2015/
http://www.dailytech.com/Solar+Activity+Diminishes+Researchers+Predict+Another+Ice+Age/article10630.htm
http://www.dailytech.com/Sun+Makes+History+First+Spotless+Month+in+a+Century/article12823.htm
http://www.dailytech.com/Arctic+Sees+Massive+Gain+in+Ice+Coverage/article12851.htm
http://icecap.us/index.php/go/joes-blog/global_cooling_is_here_evidence_for_predicting_global_cooling_for_the_next_/
http://co2sceptics.com/news.php?id=1396
http://www.newsmax.com/brennan/global_warming_ice_age/2008/11/19/152917.html

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Je transmets la réponse de Philippe, mon compagnon, à la question:
Le réchauffement climatique passe-t-il à la vitesse supérieure?
Réponse : NON
En fait, c'est l'extrême opposé qui se produit.
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mais oui mais oui ! et la Terre est plate.
affraidMr. Green

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Je crois aussi qu'une extinction massive mettra fin à la vie sur Terre à plus ou moins brève échéance, mais si nous ne sommes pas responsables du réchauffement climatique et de tout ce qu'il engendre, n'est-ce pas en quelque sorte, un incitatif pour continuer de polluer et de détruire ce qu'il reste de notre environnement ? scratch

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mais évidemment !!!!!!!!! les crétins qui répandent ce genre d'imbécilités sont très dangereux : en gros, ils incitent les gens à ne pas changer de comportement puisque "cé pas de not' faute" !!!!
quand on voit à quelle vitesse fondent les glaciers et les pôles, leur théorie lamentable est à pleurer de désespoir.

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Réponse de Philippe:

Je crois qu'il est important de mettre d'abord une chose au clair. Le CO2 n'est pas, de quelque façon que ce soit, un polluant. Il est produit par tous les organismes vivants, et constitue une étape du grand cycle naturel du carbone. Le CO2 émis dans l'air n'y demeure que de façon temporaire, il est rapidement absorbé par les océans et les plantes qui en ont besoin pour réaliser la photosynthèse. C'est pourquoi le CO2 n'est présent dans l'air qu'à l'état de trace (moins de 0,04%!). Il y en a tellement peu que c'est un facteur limitant la croissance et le développement des plantes. S'il n'y avait pas de CO2, il n'y aurait pas de plantes et par conséquent, pas de vie sur la Terre. Affirmer que le CO2 est un polluant est tout aussi faux et absurde que d'affirmer que l'oxygène ou l'eau sont des polluants!

Citation :
[...]mais si nous ne sommes pas responsables du réchauffement climatique et de tout ce qu'il engendre, n'est-ce pas en quelque sorte, un incitatif pour continuer de polluer et de détruire ce qu'il reste de notre environnement ? scratch


En quoi le fait indéniable que nous ne soyons pas responsables des changements climatiques devrait-il nous inciter à continuer de polluer? Quel est le rapport entre les deux? Si les changements climatiques ont une cause naturelle, il n'en demeure pas moins que la pollution et la destruction de l'environnement existent, que nous en sommes responsables, et que ce sont des problèmes d'une importance capitale.

Bien sûr, il ne faut pas trop compter sur l'intelligence de l'humain moyen pour faire la part des choses. La situation est la suivante : la campagne de désinformation massive au sujet du « réchauffement planétaire dû aux émissions de gaz à effet de serre » a eu pour effet que les gens deviennent davantage préoccupés par les problèmes environnementaux, mais en étant paradoxalement plongés dans une ignorance encore plus abyssale sur ces questions; le but n'étant pas d'informer, mais d'effrayer les gens et de leur faire avaler des mensonges afin de les manipuler. Le réchauffement planétaire a progressivement pris une place dominante dans le discours environnementaliste, à un point tel qu'aujourd'hui il occupe presque tout l'espace. Si nous faisions un sondage pour demander quelle est la plus grande menace environnementale, nous pouvons être certains que la grande majorité des gens répondrait que c'est le réchauffement planétaire. Cela est perçu comme étant à ce point important que tous les autres problèmes sont secondaires en comparaison. Il en est ainsi parce que c'est de cette manière que les médias traitent et présentent « l'information ». Si donc il était révélé que les changements climatiques ont en fait une cause naturelle, ce serait comme si le plus grave et le plus inquiétant de tous les problèmes environnementaux venait de s'effacer, ne laissant le devant de la scène qu'à des problèmes d'importance relativement modérée et peu préoccupants, ce qui bien entendu est totalement faux.

À première vue, cela peut nous inciter à penser qu'il vaut mieux dissimuler la vérité et laisser les choses telles qu'elles sont. Mais en regardant la chose plus attentivement, cela ne montre-t-il pas au contraire toute la perversité de ce mensonge qui braque les projecteurs sur un problème imaginaire et détourne l'attention des problèmes véritables et cruciaux (la déforestation, l'extinction de nombreuses espèces, l'érosion, l'épuisement des sols, l'agonie des océans, la contamination de l'environnement et l'empoisonnement qui en résulte...), rendant ainsi les gens doublement ignorants des vrais enjeux?

Être sensibilisé à un problème n'est pas en soi très utile si nous ne sommes pas informés de la nature de ce problème, de ses tenants et aboutissants. On ne peut pas solutionner un problème qu'on ne comprend pas. Bien plus grave, on peut facilement utiliser les bonnes intentions de gens mal informés pour les faire agir naïvement dans le sens contraire de leurs préoccupations.

Et si on veut bien se donner la peine d'observer l'évolution des politiques « environnementales » de nos « démocraties modernes », on peut constater que c'est exactement ce qui se passe. Le mythe du réchauffement planétaire par effet de serre est utilisé comme prétexte pour polluer davantage et détruire la nature à un rythme encore plus effréné.

Si l'intention des pouvoirs en place était de réduire significativement les « gaz à effet de serre », quelles devraient être les actions entreprises? L'action la plus urgente, la plus conséquente et la plus bénéfique à de multiples niveaux serait de s'attaquer à la principale source de GES : l'industrie agro-alimentaire, en mettant de l'avant de grandes campagnes d'éducation et des réformes vers une agriculture et une alimentation végétalienne. Mais les pouvoirs en place ne posent pas le moindre geste allant dans cette direction. Cela montre qu'ils se contrefichent des gaz à effet de serre, ce n'est qu'un prétexte pour mettre de l'avant des politiques « environnementales » infiniment pires que le mal qu'elles sont censées résoudre.

Quelles sont ces politiques? En voici une particulièrement scandaleuse: remplacer le carburant issu du pétrole par de l'éthanol fabriqué à partir des aliments de base. Quelles sont les conséquences? Agriculture encore plus intensive amenant déforestation, pesticides, contamination, érosion, épuisement de sols,...; génocide de millions de personnes par la famine en détournant les aliments de base de la bouche de ceux qui ont faim et profits records pour la crapuleuse industrie agro-alimentaire. Et comble de l'escroquerie, les études montrent que les agrocarburants génèrent du CO2 en quantité équivalente à ce que produisent les carburants standards! ( http://www.radio-canada.ca/regions/manitoba/2008/07/16/005-bio_carburants_ocde.shtml ) Cela prouve que le but réel de ces politiques n'est nullement la réduction des GES. L'impact environnemental de ces politiques est purement catastrophique à tous les niveaux, mais elles trouvent néanmoins un certain appui dans l'opinion publique, opinion si parfaitement manipulée par la désinformation massive qu'on parvient à lui faire croire que le blanc est noir et que le noir est blanc.

Voici un autre exemple tout aussi choquant: lors des négociations internationales, on demande maintenant que le nucléaire soit reconnu comme un moyen valable de réduction de GES! Voilà que le nucléaire est devenu une énergie propre puisqu'elle ne produit pas de CO2! Les masses se sont laissées entrainer dans un tel niveau d'abrutissement qu'on arrive à leur faire gober que la production de déchets radioactifs qui vont littéralement empoisonner la biosphère durant des centaines de millions d'années est préférable à l'émission d'un gaz vital et inoffensif qui est rapidement recyclé dans la nature! C'est de l'imbécilité à l'état pur.

Je pourrais donner encore d'autres exemple mais je me limiterai aux deux escroqueries exposées ci-haut. Tout cela montre de manière évidente que le lavage de cerveau au sujet du réchauffement planétaire (réchauffement qui n'existe même plus puisque la Terre se refroidit maintenant) ne sert nullement la défense et la sauvegarde de la nature et des êtres qui la composent mais bien au contraire, sert les intérêts des crapules qui les détruisent. Il ne faut pas s'en étonner puisque cela a toujours été, après tout, l'un des objectifs sournoisement dissimulés derrière ce mensonge.

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allo Catou et Philippe,

Je n'ai malheureusement pas le temps de passer au travers de tous les liens suggérés, mais merci d'en avoir fait un résumé. C'est toujours bon de pouvoir voir les deux côtés de la médaille content

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Les océans intoxiqués par le gaz carbonique
Pierre Kaldy
26/12/2008

L'augmentation continue du CO2 dans l'atmosphère entraîne le réchauffement de la planète mais aussi l'acidification des océans. Certains organismes marins commencent déjà à en souffrir sérieusement.

Quelques semaines après que 190 pays se sont réunis à Poznan, en Pologne, pour négocier l'application des accords de Kyoto pour lutter contre le réchauffement climatique, des chercheurs américains montrent pour la première fois que le gaz carbonique dissous dans les océans commence déjà à modifier les écosystèmes marins, avec une réduction notamment des moules dans certains secteurs de l'ordre de 30 %.

Durant huit ans, les chercheurs de l'Université de Chicago ont étudié la répartition des organismes vivant dans la zone de marée sur l'île Tatoosh, près de Seattle, dans le Pacifique. Parallèlement, un appareil mesurait la salinité, la température et l'acidité de l'eau, effectuant ainsi le plus long enregistrement continu de ces paramètres en zone côtière tempérée. Les résultats de l'étude, publiés tout récemment dans les comptes rendus de l'Académie nationale des sciences américaine (1), ont surpris tous les spécialistes. «Nous avons observé une augmentation de l'acidité dix fois plus rapide que celle prédite par les modèles, indique J. Timothy Wootton, premier auteur du travail. Et de tous les paramètres étudiés qui pouvaient être liés à ce changement, seule la concentration en gaz carbonique atmosphérique évoluait de la même manière.» Or, la dissolution du gaz carbonique dans l'eau augmente son acidité.

L'autre surprise de l'étude est la grande sensibilité de certains organismes à cette augmentation d'acidité : beaucoup d'espèces fixant le calcaire, telles que les moules, les algues calcaires et certains crustacés, commencent déjà à régresser sur le littoral.


Concentration critique

«En moins de dix ans, nous avons observé une réduction des moules qui doit être globalement de 30 %, précise Timothy Wootton, et cela dans un environnement que l'on peut retrouver le long de toute la côte pacifique, du sud-est de l'Alaska au sud de la Californie.» Jusqu'à présent, seules des mesures faites en laboratoire ou dans des conditions naturelles particulières avaient montré la sensibilité d'organismes marins à l'augmentation du gaz carbonique dissous. «Mais ici, pour la première fois, il s'agit d'observations sur le terrain, qui portent de plus non sur une seule espèce mais sur tout l'écosystème côtier», commentent Jean-Pierre Gattuso et Laurent Bopp, spécialistes français respectivement au laboratoire d'océanologie de Villefranche-sur-Mer (CNRS - Université Paris-VI) et à l'Institut Pierre-Simon-Laplace des sciences de l'environnement à Paris.

Coorganisateur du deuxième congrès international sur la question, qui s'est tenu en octobre dernier à Monaco, Jean-Pierre Gattuso souligne que les signaux alarmants d'acidification affluent maintenant de tous les coins du globe. Dans l'océan Antarctique, où les eaux froides et ventées sont propices à la dissolution du gaz carbonique, les analyses effectuées en pleine mer depuis dix ans par une équipe australienne révèlent une solubilisation progressive du calcaire. Selon eux, elle va devenir problématique pour une grosse partie du zooplancton dès 2030, lorsque la concentration critique en gaz carbonique atmosphérique de 450 ppm (parties pour million) sera franchie. «Cette disparition du zooplancton aura des conséquences incalculables sur tout le réseau alimentaire des océans polaires, s'inquiète Jean-Pierre Gattuso. C'est la raison pour laquelle nous avons lancé pour 2009-2010 la campagne d'étude européenne Epoca (European Project on Ocean Acidification) et que les Américains s'apprêtent à faire de même.»

Bien plus au sud, dans le vaste espace des Caraïbes, les chercheurs de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) tirent eux aussi la sonnette d'alarme : là encore, la solubilisation du calcium n'a cessé d'augmenter ces dernières années et menace de bientôt perturber la calcification des nombreux récifs coralliens de la région. Et ils montrent que ce changement est directement en rapport avec l'augmentation du gaz carbonique dissous dans les eaux tropicales.


Acidification

En Australie, la fixation du calcium dans la Grande Barrière de corail a chuté de 21 % en seize ans, une première depuis des siècles, selon une étude du gouvernement australien publiée cette année. Outre les effets néfastes du réchauffement et de la pollution sur la croissance des coraux, l'acidification due au CO2 dissous pourrait aussi en être la cause, estiment les chercheurs.

Depuis deux siècles, les océans ont patiemment absorbé le tiers des émissions de gaz carbonique dues à l'homme, mais cette capacité semble avoir atteint ses limites. «Une augmentation aussi forte et aussi rapide de l'acidité des océans ne s'est pas produite depuis plus de 20 millions d'années au moins, prévient Jean-Pierre Gattuso. Nous savons que toute augmentation supplémentaire du gaz carbonique atmosphérique affecte désormais profondément la vie dans les océans.»
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sans doute l'auteur de ce texte fait-il également partie du "complot" !!

:batman: cool-bluedwarfcrasy

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Animal a écrit:
allo Catou et Philippe,

Je n'ai malheureusement pas le temps de passer au travers de tous les liens suggérés, mais merci d'en avoir fait un résumé. C'est toujours bon de pouvoir voir les deux côtés de la médaille content


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des liens négationnistes concernant l'holocauste et les chambres à gaz, y en a aussi autant que tu veux ! c'est pas pour ça que leurs théories sont exactes.

http://www.phdn.org/

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Réponse de Philippe:

Citation :
Je n'ai malheureusement pas le temps de passer au travers de tous les liens suggérés, mais merci d'en avoir fait un résumé. C'est toujours bon de pouvoir voir les deux côtés de la médaille content

Cette attitude et cette ouverture d'esprit sont tout en ton honneur.

Je peux comprendre que ce que j'ai présenté plus haut puisse provoquer une certaine incrédulité. Cette incrédulité peut venir du fait que l'esprit se trouve face à une contradiction qu'il ne parvient pas à résoudre. Les liens que j'ai suggérés montrent que ce que j'avance est très bien étayé. Mais accepter cette thèse implique d'en rejeter une autre qui lui est opposée et irréconciliable. Et c'est là qu'il peut y avoir un bogue. Ce bogue, Terrienne a tenté de l'exploiter par ce commentaire sarcastique mais qui résume bien la chose :
Citation :
sans doute l'auteur de ce texte fait-il également partie du "complot" !!

Je crois qu'il est essentiel de bien résoudre ce point. Pour ce faire nous pouvons faire un parallèle entre la climatologie et une autre science que les membres de ce forum connaissent sans doute mieux, la science de la nutrition. Nous sommes d'accord, je l'espère, pour dire que depuis plus de 20 ans, la science de la nutrition et les études épidémiologiques ont démontré et démontrent encore aujourd'hui de façon très claire que l'alimentation à base d'aliments d'origine végétale est de loin la meilleure alimentation qui nous puissions avoir. La somme de ces nombreuses recherches constitue une preuve en béton que le végétalisme est la clé de la santé, la solution incontournable aux cancers, aux maladie cardiovasculaires, au diabète, etc. Il n'y a là aucun secret, tout est clair et limpide comme de l'eau de roche, et ces informations sont du domaine public. Et pourtant, après tout ce temps, nous vivons dans une société où apparemment cette connaissance d'une importance capitale semble ne pas exister. Il semble que personne ne soit au courant, même ceux qui devraient être le mieux placés pour le savoir. Comment cela est-il possible? Est-ce que les gouvernements qui nous disent les produits animaux forment des groupes alimentaires, les nutritionnistes qui disent que la viande est bonne pour le cerveau, les journalistes santé qui écrivent que les produits laitiers son bons pour les os, les chercheurs qui font miroiter le rêve d'un remède contre le cancer comme s'il n'avait pas déjà été découvert, les médecins qui prescrivent des pilules pour faire baisser le cholestérol et de la chimiothérapie, font tous partie d'une formidable conspiration pour tous nous garder carnivores et malades?

Collin Campbell qui a écrit un ouvrage remarquable sur les liens entre l'alimentation et la santé, est parfaitement conscient du problème posé par cette incrédulité du public. À la page 311 de son livre, Le Rapport Campbell, il écrit : « Souvent quand les gens prennent connaissance des faits scientifiques que j'avance pour justifier le passage à un régime végétarien, ils n'en croient pas leurs oreilles. « Si tout ce que vous dites est vrai, s'étonnent-ils, comment se fait-il que je n'en ai pas entendu parler avant? Que j'entends même le contraire, c'est-à-dire que le lait est bon pour nous, que nous devons manger de la viande pour avoir des protéines, et que le cancer et les maladies cardiaques sont d'origine génétique? » » C'est pourquoi M. Campbell consacre une grande partie de son livre à expliquer à ses lecteurs comment il se fait que les choses sont ainsi. Il n'y a là aucun délire paranoïaque, avec la plus grande objectivité, il nous explique le fonctionnement d'un système qu'il connait bien puisqu'il a pu en étudier les rouages de l'intérieur, un système contrôlé par le pouvoir de l'argent. Les industries agro-alimentaire et pharmaceutique ont établi leur mainmise sur les institutions scientifiques, médicales, et gouvernementales. Pour mettre en place et maintenir cet emprise, elles n'ont pas eu besoin de soudoyer tout le monde, c'est beaucoup plus simple, facile et efficace que cela. Pour le savoir lisez le livre.

Les sciences de l'environnement sont exactement dans la même situation. Il est intéressant d'ailleurs de remarquer que pour l'environnement comme pour la santé, le végétalisme est la voie incontournable vers la solution de nos problèmes. Y a-t-il là une connexion? Évidemment! Et il n'y a pas que les sciences de l'environnement et de la santé, les élites ont noyauté ou bâillonné de nombreux autres domaines de la science tels que l'astrophysique, l'histoire, l'économie, la psychosociologie, ..., au sujet desquels je n'en dirai pas davantage ici.

Cela implique-t-il que tous ces chercheurs, politiciens et journalistes qui disent depuis de nombreuses années que la planète se réchauffe à cause du CO2 nous mentent délibérément et font partie d'un formidable complot? La réponse est oui et non. Il y a bien un complot et d'une certaine façon tous ces gens y participent. Cependant la très grande majorité ne le font pas consciemment. Ils croient faire correctement leur travail, mais en fait ils se mentent à eux-mêmes, ils se sont plus ou moins laissés diriger par leur orgueil, leur vanité, leur désir de reconnaissance, leur propension à suivre le troupeau, par la facilité, par la paresse intellectuelle, par opportunisme ou par leur simple instinct de survie dans un système qui élève ceux qui servent les intérêts des puissants et écrase ceux qui font preuve de compétence.

Terrienne, qui faute d'arguments et de connaissances réelles sur le sujet utilise l'insulte et la dérision pour combattre mes positions, nous donne par cette attitude et bien malgré elle, un exemple vivant de la façon dont une personne peut, de façon non consciente, se tromper soi-même et servir des intérêts qui sont en réalité contraires à ceux qu'elle croit servir. Cela est tout aussi possible pour des gens qui occupent des fonctions de scientifiques, de journalistes, de médecins, etc.

Avec les meilleures intentions du monde, Terrienne s'imagine agir de la bonne façon en défendant avec conviction des faussetés auxquelles elle croit aveuglément et en attaquant sans réfléchir quelqu'un qui soutient des vérités factuelles incompatibles avec sa foi. L'examen de ce comportement peut permettre à celui qui s'y intéresse de mieux comprendre les mécanismes psychologiques qui interviennent ici.

La recherche sincère de la vérité objective doit, pour avoir la moindre chance de parvenir à son but, s'affranchir de tout préjugé et de tout dogmatisme. En science, les modèles théoriques doivent s'appuyer sur les faits et jamais l'inverse. Si un modèle est incompatible avec les faits, alors il doit être corrigé ou abandonné. Par exemple, Terrienne écrit :
Citation :
quand on voit à quelle vitesse fondent les glaciers et les pôles, leur théorie lamentable est à pleurer de désespoir.

Ici Terrienne fait exactement le contraire de ce qu'il faut faire. Plutôt que de bâtir sa vision de la réalité sur les faits, elle sélectionne, déforme, falsifie ou fabrique les faits pour qu'ils se conforment à sa perception des choses. Ce qu'elle écrit laisse entendre que ce monde imaginaire est pour elle à ce point réel qu'elle croit même « voir » ces immenses étendues de glace polaire fondre comme neige au soleil avant de disparaître inexorablement, comme si cela se passait juste devant ses yeux. Qu'en est-il véritablement?


Cette carte de l'Antarctique montre que le continent s'est refroidi entre 1982 et 2004. Les mesures ont été prises par un satellite de la NASA.


Cette autre carte montre que sur la majeure partie de sa surface, l'inlandsis Antarctique s'est épaissi entre 1992 et 2003.


L'inlandsis du Groenland s'est épaissi lui aussi entre 1992 et 2003.

Ces deux inlandsis à eux seuls comportent 95% de toute la glace de la planète. Et de nombreux autres glaciers sont en expansion partout dans le monde : http://www.iceagenow.com/Growing_Glaciers.htm


Ce graphique montre les variations de la température au cours de l'holocène. Ça remet les choses en perspective.


Un plan plus rapproché des 3 derniers millénaires. Nous sommes dans les normales saisonnières, mais la prochaine glaciation n'est pas loin. Faites provision de couvertures, de tuques et de mitaines.

En terminant, je vous incite fortement à visiter le lien suivant : http://wattsupwiththat.com/2008/12/29/don-easterbrooks-agu-paper-on-potential-global-cooling/ C'est un bref résumé de la situation présentée récemment par Don Easterbrook lors du congrès annuel de l'American Geophysical Union.

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demande donc aux participants du Vendée Globe qui sont en ce moment dans les mers du sud et qui croisent (et heurtent pour certains) des centaines de glaces flottantes à des latitudes TOTALEMENT INHABITUELLES. ce n'est pas MOI qui le dit mais EUX qui sont sur place.
quant à apporter du crédit aux études réalisées par des instances américaines, très peu pour moi : ils ont refusé depuis des années de signer le protocole de Kyoto. je pense qu'heureusement Barack Obama a l'air un peu + concerné par le sujet que l'administration bush, laquelle n'a cessé de nier toutes les atteintes à l'environnement en falsifiant les données (ça non plus, ce n'est pas moi qui le dit, c'est de notoriété publique).
va demander également aux inuits ** si le permafrost n'est pas en train de se dérober sous leurs pieds :
http://www.casafree.com/modules/news/article.php?storyid=5384
http://www.lyc-hautil-jouy.ac-versailles.fr/spip.php?article32
http://www.econologie.com/forums/animation-terrestre-des-gaz-a-effet-de-serre-co2-et-methane-vt5057.html
http://www.courrierinternational.com/article.asp?prec=0&suiv=4990&page=2&obj_id=91984
fonte des glaciers : http://la.climatologie.free.fr/rechauffement/rechauffement3.htm
tiens donc, même la NASA : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_254.php
moi aussi, je peux aligner les liens qui contredisent ceux que tu envoies !
** puisque tu parles de tuques, tu écris donc depuis le Québec, bien joli pays où j'ai vécu pendant quelques années. donc tu dois être parfaitement au courant de la situation des gens qui vivent au-delà de la baie James :
http://www.usherbrooke.ca/environnement/publications/ouvrages/essais_memoires/SSilicani.pdf
http://www.climatechangenorth.ca/section-bgf/BG_HS_11_O_F.html

maintenant, la vieille terrienne végétarienne et sarcastique que je suis va vous laisser continuer sans moi. et n'oubliez pas : la dérision et l'humour sont la politesse du désespoir. la vie elle-même n'est-elle pas dérisoire ? qui sommes-nous pour avoir saccagé, de multiples façons, l'endroit qui nous fait vivre ?
pour qui nous prenons-nous pour ne pas manifester le minimum de respect envers notre planète ? nous sommes de fameux salopards (et je m'inclus dans le lot, bien évidemment).

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Réponse de Philippe:

Citation :
demande donc aux participants du Vendée Globe qui sont en ce moment dans les mers du sud et qui croisent (et heurtent pour certains) des centaines de glaces flottantes à des latitudes TOTALEMENT INHABITUELLES. ce n'est pas MOI qui le dit mais EUX qui sont sur place.

Cette observation est intéressante mais, prise isolément, elle ne peut en soi rien nous dire de plus. Pour connaître la cause de ce phénomène, il faut enquêter, rassembler l'ensemble des informations et des connaissances qui peuvent y être liées, et chercher l'explication la plus cohérente et plausible pour les expliquer. Terrienne nous donne une fois de plus une démonstration de la façon dont un esprit dogmatique, quel qu'il soit, fonctionne: de façon subjective. Lorsqu'il y a absence de glace en un endroit où on se serait attendu à en voir, c'est la preuve que la planète se réchauffe et que le CO2 en est la cause; et lorsque, inversement, il y a de la glace à un endroit où on ne s'y attendait pas, c'est encore la preuve que la planète se réchauffe et que le CO2 en est la cause!!! Et lorsqu'ils sont mis face à des évidences que le réchauffement planétaire est terminé, que les variations climatiques sont un phénomène cyclique qui a toujours existé, et que leur origine se trouve dans le cosmos, ils nient ces évidences et accusent ceux qui les leur ont mis sous le nez de négationnistes!

Quel est l'état des glaces flottantes en ce début 2009? Exactement le même qu'il y a 29 ans!
Preuve : http://images.dailytech.com/nimage/9972_large_daily.gsia.jpg
Regardez la courbe. Tout est normal.
Les mesures ont été prises par satellite. Source: Arctic Research Center, Université de l'Illinois.

Citation :
quant à apporter du crédit aux études réalisées par des instances américaines, très peu pour moi : ils ont refusé depuis des années de signer le protocole de Kyoto.

Shocked Mais de quelles instances parles-tu ici??? C'est le gouvernement états-unien qui a refusé de ratifier le protocole de Kyoto (il l'avait signé). Mais le gouvernement fait de la politique, pas des études scientifiques.

Et je mentionne que les deux cartes illustrant la variation altitudinale de la glace ont été réalisées à partir de mesures prises par un satellite de l'Agence spatiale européenne, pas de la Nasa.

Citation :
je pense qu'heureusement Barack Obama a l'air un peu + concerné par le sujet que l'administration bush, laquelle n'a cessé de nier toutes les atteintes à l'environnement en falsifiant les données (ça non plus, ce n'est pas moi qui le dit, c'est de notoriété publique).

L'administration Bush est résolument anti-science et anti-environnement. Et franchement, en ce qui concerne la science, sans vouloir être vexant, je trouve que le comportement de Bush ressemble beaucoup au tien: rejeter les faits pour élever au rang de vérités des croyances que vous souhaitez imposer.

L'administration Bush a essayé de bidouiller des informations... Et alors? Essaies-tu d'insinuer que toutes les données qui sortent du territoire états-unien ont été falsifiées par Bush, ou du moins celles qui ne te plaisent pas? Et tous ces scientifiques, des États-unis et de partout ailleurs, qui soutiennent que la thèse du réchauffement causé par le CO2 est une mauvaise blague, ils sont dans le coup eux aussi? Serait-ce donc que tu crois en l'existence d'un complot?! Tiens tiens...

Comment expliques-tu le cas de William Gray, spécialiste mondial des ouragans, 50 ans d'expérience, qui s'est vu couper le financement de ses recherches après avoir déclaré dans les médias et devant le Sénat que le réchauffement d'origine anthropique est un canular? http://seattletimes.nwsource.com/html/nationworld/2003040068_warming05.html

Et ce physicien Will Happer, qui en 1993 fut renvoyé de son poste de directeur de la recherche au Département de l'énergie par Al Gore pour avoir témoigné devant le Congrès qu'il n'y avait aucune donnée scientifique pour soutenir les craintes d'un réchauffement causé par le CO2. Al Gore lui aurait dit que la science ne devait pas s'immiscer dans la politique!!!
http://www.dailytech.com/Princeton+Physicist+Calls+Global+Warming+Science+Mistaken/article13773.htm

Citation :

Ils contredisent mais ils ne réfutent pas. Voilà la différence entre mes sources et les tiennes. J'apporte des faits, des évidences, des données, des graphiques, des corrélations, ..., bref j'apporte des preuves. En allant visiter tes liens, je ne vois que des déclarations non étayées, essentiellement toujours les mêmes, déclarations que j'ai déjà réfutées. Des liens comme ceux-là tu peux en aligner autant que tu veux, internet et les autres médias sont surchargés de ce genre de pollution. Cela essaie de se faire passer pour de la vulgarisation ou de l'éducation alors qu'il s'agit plutôt d'un genre de sensationnalisme pseudo-scientifique. Une fausseté répétée un million de fois n'en demeure pas moins une fausseté.

La question est : voulons-nous croire ou voulons nous savoir? Si ce qui nous intéresse est de demeurer prisonnier d'un système d'idées fausses auquel nous sommes égotiquement attachés, alors toute discussion est inutile, la vérité est un concept abstrait qui se rapporte à ce en quoi nous croyons, le bons sens et la rigueur intellectuelle n'existent plus, nous entrons dans un monde fantaisiste où n'importe quelle déclaration gratuite ou mensongère peut tenir lieu de preuve. Si toutefois ce qui nous intéresse c'est la connaissance de la réalité objective, alors il nous faut du solide, il faut chercher, étudier et accepter les faits, même si cela ne peut être accompli qu'au prix d'une profonde remise en question.

La réalité est ce qu'elle est, quelles que soient les croyances qu'on peut avoir à son sujet. Si nous souhaitons sincèrement avoir un effet positif sur le monde, alors il faut découvrir ce qu'est la réalité, apprendre à la connaître et à la comprendre, ce qui nous permet de vivre et d'agir en accord avec elle. Dans le cas contraire, et même avec les meilleures intentions possibles, on ne fait que nier la réalité et agir à son encontre, ce qui ne peut qu'engendrer du mal et de la destruction dans le monde. Problème auquel on remédie en créant encore plus mal et ainsi de suite. Jusqu'au jour où ce mal finit par se retourner contre nous et nous détruit. La réalité a toujours été et sera toujours la plus forte, et elle ne nous laisse le choix qu'entre 2 possibilités: l'intelligence ou la mort.

Citation :
maintenant, la vieille terrienne végétarienne et sarcastique que je suis va vous laisser continuer sans moi. et n'oubliez pas : la dérision et l'humour sont la politesse du désespoir.

Tu as eu la démonstration que la température de la planète est normale (bien que fluctuante), que les glaciers se portent bien et que le CO2 n'est pas menaçant; ne devrais-tu pas être heureuse de l'apprendre? Je croyais que tu voulais lutter pour faire disparaitre le réchauffement causé par le CO2, et maintenant qu'il s'évanouit, voilà que tu te débats désespérément pour le sauver!!! N'y a-t-il pas déjà suffisamment de maux dans le monde sans avoir en plus à s'inventer des problèmes qui n'existent même pas? Ne devrions-nous pas concentrer nos forces à résoudre les vrais problèmes et cesser de nous comporter comme des Don Quichotte guerroyant contre des dragons imaginaires, qui ont été inventés précisément dans le but de nous faire gaspiller nos énergies?

Citation :
la vie elle-même n'est-elle pas dérisoire ? qui sommes-nous pour avoir saccagé, de multiples façons, l'endroit qui nous fait vivre ? pour qui nous prenons-nous pour ne pas manifester le minimum de respect envers notre planète ? nous sommes de fameux salopards (et je m'inclus dans le lot, bien évidemment).

Tu poses un questionnement mais tu ne me donnes pas l'impression de vouloir en connaître la réponse. Pourtant, si tu fais partie du lot comme tu le déclares, alors la clé de l'énigme pourrait être trouvée en tournant ton regard vers toi-même.

Et pour terminer ce message sur une note d'humour, je vous invite à regarder cette vidéo qui met en évidence le délire médiatique entourant le réchauffement planétaire. Ça m'a bien fait rigoler.

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A neuf mois de la conférence de Copenhague, où la communauté internationale s'est fixé un ultime rendez-vous pour s'accorder sur un plan de réduction des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique, rien ne garantit qu'un accord sera trouvé. C'est dans l'espoir de conjurer un possible échec que près de 2 000 scientifiques, parmi lesquels les plus éminents climatologues mondiaux, se sont réunis du 10 au 12 mars dans la capitale danoise.

"Imaginez un avion dont la probabilité d'arriver à destination est de 10 %. Monteriez-vous à bord ? Evidemment non..." Stefan Rahmstorf, de l'Institut de recherches de Potsdam sur le climat, aime bien cette métaphore pour expliquer ce qui est en train de se passer : depuis le dernier rapport du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC), publié en 2007, il est certain, à 90 %, que l'homme est à l'origine de la transformation du climat qui menace les grands équilibres planétaires.

Or tout se passe comme si les gouvernements s'interrogeaient encore sur la possibilité d'embarquer dans cet avion promis à la catastrophe. A Copenhague, la communauté scientifique a voulu démontrer une dernière fois, avant la fin des négociations, que le doute n'était plus permis. "Nous avons accumulé beaucoup de données depuis le dernier rapport du GIEC, en 2007. Nous voulons que les gouvernements décident en connaissance de cause", a expliqué Katherine Richardson, de l'université de Copenhague, l'une des neuf universités à l'origine de cette initiative.

Les conclusions du GIEC s'appuient sur des données datant au mieux de 2005. Compte tenu de la lourdeur de cette organisation, qui réunit 2 500 chercheurs de 130 pays et dont l'ensemble des publications est soumis au consensus, le prochain rapport ne paraîtra pas avant 2014. Or "les dernières observations confirment que le pire des scénarios du GIEC est en train de se réaliser. Les émissions ont continué d'augmenter fortement et le système climatique évolue d'ores et déjà en dehors des variations naturelles à l'intérieur desquelles nos sociétés et nos économies se sont construites", a affirmé le comité scientifique de la conférence. Les prévisions du GIEC anticipent une hausse des températures comprises entre 1,1 °C et 6,4 °C à la fin du siècle par rapport à la période préindustrielle.

Stefan Rahmstorf a présenté une étude selon laquelle le niveau des océans pourrait augmenter dans une fourchette de 75 cm à 190 cm d'ici à 2100. Soit bien au-delà des prévisions du GIEC allant de 18 cm à 59 cm. Celles-ci - et le GIEC avait pris soin de le souligner - ne prenaient pas en compte l'évolution des calottes glaciaires du Groenland et de l'Antarctique. Or leur rôle serait en réalité majeur, au travers de la fonte des glaces mais surtout de leur "écoulement" dans la mer. "Ce phénomène est beaucoup plus massif et beaucoup plus rapide que nous ne le pensions", confirme Eric Rignot, professeur à l'UC Irvine en Californie.

Lucka Kajfez Bogataj, de l'université de Ljubljana (Slovénie), a épluché l'ensemble des études climatiques parues dernièrement. Elle conclut sans hésiter : "L'impact du réchauffement est plus précoce et plus rapide que prévu." Entre 1990 et 2006, le monde a connu les treize années les plus chaudes depuis 1880, qui marque le début de l'ère industrielle, cite-t-elle en exemple.

Spécialiste des écosystèmes, Andreas Fischlin, de l'Institut fédéral de technologie de Zurich, va dans ce sens : "Les écosystèmes stockent 25 % des émissions mondiales de carbone. Cette capacité de stockage devrait culminer vers 2050, avant que les écosystèmes fragilisés par le réchauffement ne se mettent à leur tour à relâcher du CO2 dans l'atmosphère aggravant ainsi le phénomène. Ce problème est beaucoup plus important que nous ne le pensions il y a cinq ans."

Ce que les scientifiques ont baptisé des tipping points, soit des seuils au-delà desquels les conséquences du réchauffement deviennent irréversibles et incontrôlables, pourraient être plus bas. "Nous pensions que la survie des ours polaires serait menacée à partir d'une hausse des températures de 2,8 °C, il est probable que cela soit déjà vrai à partir de 1,5°C", avance M. Fischlin.

La richesse des hotspots ("points chauds") de la biodiversité, ces régions qui concentrent quantité d'espèces rares ou endémiques, serait en danger à partir d'un réchauffement de 1,6 °C. "Les nouveaux modèles dont nous disposons nous montrent que beaucoup de seuils de rupture se trouvent dans la bande des 2 °C à 3 °C. Et qu'il faudrait mieux garder une distance de sécurité pour ne pas risquer de s'en approcher", poursuit le chercheur. Sir Nicholas Stern, auteur du célèbre rapport sur "l'économie du changement climatique", a indiqué que "le coût de l'inaction sera supérieur à ce qu'il avait présenté en 2006".

Présent à Copenhague, le président du GIEC, Rajendra Pachauri, n'est pas sorti de son devoir de réserve mais, à neuf mois de l'échéance, il a jugé "utile que cette conférence rappelle aux politiques qu'il existe une crise plus grave que la crise économique". James Hansen, le célèbre climatologue de la NASA qui fut l'un des premiers à alerter en 1988 sur les dangers du réchauffement, a été plus direct : "Il faut que l'opinion soit sûre d'une chose. Les scientifiques sont clairs. Il n'existe pas de grosses incertitudes sur le film qui est devant nous. Et les politiques ne peuvent pas s'abriter derrière de prétendues inconnues pour ne pas agir." En clair, les scientifiques ont fait leur travail. Aux politiques maintenant de faire le leur.

Laurence Caramel

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Citation :
la communauté scientifique a voulu démontrer une dernière fois, avant la fin des négociations, que le doute n'était plus permis.

S'il est interdit d'en douter, alors ce n'est pas de la science.

Toute théorie scientifique doit pouvoir être mise à l'épreuve. S'il est interdit d'en douter, cela signifie qu'il est interdit de la mettre à l'épreuve, et par conséquent qu'elle ne répond pas aux critères d'une théorie scientifique.

C'est le propre du dogmatisme de diaboliser le doute et de valoriser la foi. Le dogmatisme peut bien revêtir les habits de la science afin de se donner de l'autorité et susciter la foi des ignorants, fondamentalement cela n'en demeure pas moins de l'anti-science.

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Nobody listens to the real climate change experts
The minds of world leaders are firmly shut to anything but the fantasies of the scaremongers.
By Christopher Booker
Last Updated: 12:46PM GMT 16 Mar 2009

Considering how the fear of global warming is inspiring the world's politicians to put forward the most costly and economically damaging package of measures ever imposed on mankind, it is obviously important that we can trust the basis on which all this is being proposed. Last week two international conferences addressed this issue and the contrast between them could not have been starker.

The first in Copenhagen, billed as "an emergency summit on climate change" and attracting acres of worldwide media coverage, was explicitly designed to stoke up the fear of global warming to an unprecedented pitch. As one of the organisers put it, "this is not a regular scientific conference: this is a deliberate attempt to influence policy".

What worries them are all the signs that when the world's politicians converge on Copenhagen in December to discuss a successor to the Kyoto Protocol, under the guidance of the UN Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC), there will be so much disagreement that they may not get the much more drastic measures to cut carbon emissions that the alarmists are calling for.

Thus the name of the game last week, as we see from a sample of quotations, was to win headlines by claiming that everything is far worse than previously supposed. Sea level rises by 2100 could be "much greater than the 59cm predicted by the last IPCC report". Global warming could kill off 85 per cent of the Amazon rainforest, "much more than previously predicted". The ice caps in Greenland and Antarctica are melting "much faster than predicted". The number of people dying from heat could be "twice as many as previously predicted".

None of the government-funded scientists making these claims were particularly distinguished, but they succeeded in their object, as the media cheerfully recycled all this wild scaremongering without bothering to check the scientific facts.

What a striking contrast this was to the second conference, which I attended with 700 others in New York, organised by the Heartland Institute under the title Global Warming: Was It Ever Really A Crisis?. In Britain this received no coverage at all, apart from a sneering mention by The Guardian, although it was addressed by dozens of expert scientists, not a few of world rank, who for professional standing put those in Copenhagen in the shade.

Led off with stirring speeches from the Czech President Vaclav Klaus, the acting head of the European Union, and Professor Richard Lindzen of MIT, perhaps the most distinguished climatologist in the world, the message of this gathering was that the scare over global warming has been deliberately stoked up for political reasons and has long since parted company with proper scientific evidence.

Nothing has more acutely demonstrated this than the reliance of the IPCC on computer models to predict what is going to happen to global temperatures over the next 100 years. On these predictions, that temperatures are likely to rise by up to 5.3C, all their other predictions and recommendations depend, yet nearly 10 years into the 21st century it is already painfully clear that the computer forecasts are going hopelessly astray. Far from rising with CO2, as the models are programmed to predict they should, the satellite-measured temperature curve has flattened out and then dropped. If the present trend were to continue, the world in 2100 would not in fact be hotter but 1.1C cooler than the 1979-1998 average.

Yet it is on this fundamental inability of the computer models to predict what has already happened that all else hangs. For two days in New York we heard distinguished experts, such as Professor Syun-Ichi Akasofu, former director of the International Arctic Research Center, Dr Willie Soon of the Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics and Professor Paul Reiter of the Pasteur Institute, authoritatively (and often wittily) tear apart one piece of the scare orthodoxy after another.

Sea levels are not shooting up but only continuing their modest 3mm a year rise over the past 200 years. The vast Antarctic ice-sheet is not melting, except in one tiny corner, the Antarctic Peninsula. Tropical hurricane activity, far from increasing, is at its lowest level for 30 years. The best correlation for temperature fluctuations is not CO2 but the magnetic activity of the sun. (For an admirable summary of proceedings by the Australian paleoclimatologist Professor Bob Carter, Google "Heartland" and "Quadrant").

Yet the terrifying thing, as President Klaus observed in his magisterial opening address, is that there is no dialogue on these issues. When recently at the World Economic Forum in Davos, he found the minds of his fellow world leaders firmly shut to anything but the fantasies of the scaremongers. As I said in my own modest contribution to the conference, there seems little doubt that global warming is leading the world towards an unprecedented catastrophe. But it is not the Technicolor apocalypse promised by the likes of Al Gore. The real disaster hanging over us lies in all those astronomically costly measures proposed by politicians, to meet a crisis which in reality never existed.

http://www.telegraph.co.uk/comment/columnists/christopherbooker/4990704/Nobody-listens-to-the-real-climate-change-experts.html

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Christopher Booker... mouais Confused

Booker soutient aussi que l’amiante blanche, mise en cause par le "puissant lobby anti-amiante blanche", est sans risque pour la santé.
Il soutient aussi que les risques liés au tabagisme passif, mis en cause par le puissant lobby anti-tabac, n’existe pas.
Il semblerait, par ailleurs, qu’il adhère aux thèses créationnistes, victimes de "l"intolérance fanatique" des darwiniens.

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Dérèglements climatiques, réchauffement planétaire, banquise en lambeaux, montée du niveau des océans, pénurie d'eau potable, phénomènes météorologiques irréguliers et extrêmes, épuisement des ressources en combustibles fossiles, érosion de la biodiversité, extinction massive d'espèces animales et végétales... La catastrophe majeure est annoncée, pour bientôt, quelques dizaines d'années, le pire va arriver. Mais l'homme ne fait rien, les hommes restent passifs face à ces menaces toutes plus crédibles les unes que les autres.

Pourquoi se comporte-t-il ainsi ?

Le magazine Psychologies du mois d'avril (numéro 284) qui vient tout juste de sortir s'est penché sur cette question qui tient du déni de réalité et tente de répondre à l'interrogation suivante : " Pourquoi la catastrophe la plus probable est-elle celle qui nous inquiète le moins ?".

Quatre raisons sont soulevées.

- Le réchauffement climatique n'a pas de barbe; c'est à dire que notre cerveau enregistre surtout les menaces d'origine humaine et les intentions agressives de nos semblables.

- Le réchauffement climatique ne nous choque pas moralement. Autrement dit, cela ne nous indigne pas. Nous ne sommes pas furieux, comme nous le sommes par des actes de séquestration et torture ou de pédophilie par exemple.

- Le réchauffement climatique n'est pas pour cet après-midi. En effet, notre cerveau est conçu pour éviter des dangers imminents. L'évolution ne nous a pas encore appris à considérer le futur comme le présent qu'il doit devenir.

- Le réchauffement climatique est trop lent pour que notre cerveau, qui n'enregistre que les changements nets et brutaux, y croie.

Comment s'en sortir ?

Faire un voyage dans le temps, en 2050 par exemple, et constater, horrifiés, que c'est vraiment la catastrophe.

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Great Depression! Global hurricane activity reaches new lows.
by ryanm on March 12th, 2009

Post by Ryan N. Maue, Florida State University COAPS

Global hurricane activity has decreased to the lowest level in 30 years.


Figure: Global 24-month running sum time-series of Accumulated Cyclone Energy updated through March 12, 2009.

http://www.climateaudit.org/?p=5449

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Warming Antarctic Waters Begin to Cool

Nature News

Antarctica’s deep ocean waters are getting colder after years of warming, say researchers who have just returned from a Southern Ocean voyage aboard the German research vessel Polarstern.

Samples from previous expeditions showed that water at a depth of 4,500 metres in the Weddell Sea warmed by a tenth of a degree Celsius between 1989 and 2005, although the warming trend may have begun earlier. The latest work, by researchers from the Alfred Wegener Institute for Polar and Marine Research in Bremerhaven, found that temperatures have cooled slightly since 2005, suggesting that more cold surface water is reaching the deep ocean, perhaps as a result of changes in sea-ice coverage and atmospheric conditions. The team plans to revisit the region during the summer of 2010–11.



http://icecap.us/index.php/go/joes-blog/warming_antarctic_waters_begin_to_cool/

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Pas la moindre réduction de la banquise Antarctique au cours des 3 dernières décennies. En fait, l'étendue de la glace a atteint le record jamais enregistré en 2007!


http://arctic.atmos.uiuc.edu/cryosphere/

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Regardez un peu ce dont avait l'air le réchauffement en Alaska il y a quelques jours:
http://www.alaskadispatch.com/news/rural-alaska/1049-let-it-snow

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Petite vidéo vous présentant l'histoire véridique de Roger Revelle. Ce scientifique est, pourrait-on dire, nul autre que le père du réchauffement anthropique et était aussi le mentor d'Al Gore dans les années 60. De bonne foi, il réalisa plus tard qu'il avait commis une erreur et regretta d'avoir lancé une fausse alerte. Il le fit savoir aux politiciens afin de désamorcer toute l'affaire, mais la créature qu'il avait engendrée était devenue un monstre hors de son contrôle. Al Gore dit de lui qu'il était devenu sénile!
http://www.brasschecktv.com/page/586.html

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Philippe

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Pourquoi a-t-il fait aussi froid cet hiver alors qu’on nous répète que les températures à la surface du globe montent ? Et ces tempêtes à répétition, sont-elles un signe du réchauffement ? Et cette terrible canicule en Australie, est-elle due au changement climatique ?

A chaque fois qu’un événement météo remarquable se produit quelque part – canicule, tempête, inondation –, on se pose la question du rôle du changement climatique.

Entêtés, les climatologues donnent toujours la même réponse : quand on parle de climat, un événement n’a aucune signification.

Seules comptent les répétitions. Ainsi, une canicule – disons celle de 2003 – n’est pas une preuve que le climat change : un tel événement, même s’il est inédit et improbable, n’est pas impossible dans un climat non perturbé par l’homme.
En revanche, le fait que l’on trouve dans les douze dernières années (1997-2008) les dix les plus chaudes depuis que l’on fait des mesures dans le monde est quasiment impossible en l’absence d’un réchauffement global.

De la même façon, le froid et la neige de cet hiver ne signifient pas que le climat se refroidit.

Au contraire, l’observation qu’il y a de moins en moins souvent de tels hivers rigoureux est une indication qu’il se réchauffe.

Pour mieux comprendre, imaginez que la température chaque saison est donnée par un lancer de dé. Quand le dé tombe sur 1, il fait beaucoup plus froid que la normale ; quand c’est sur 6, il fait vraiment plus chaud. Le changement climatique, c’est l’activité humaine qui pipe le dé.

Il donne alors plus souvent des 4, 5 et 6, et moins de 1, 2 et 3. Il a donc tendance à faire de plus en plus chaud. ça ne veut pas dire qu’il ne donne plus jamais de 1.
Nous en avons tiré un cet hiver, et nous nous sommes retrouvés avec 30 cm de neige à Marseille. Mais plus souvent, le dé donne des 6 et des canicules, comme à l’été 2003 et 2006.

Cette image permet aussi d’expliquer pourquoi l’on est capable de dire que le climat sera différent en 2070, alors qu’on ne sait pas quel temps il fera dans quinze jours… Comme avec un dé pipé, on sait qu’on aura à l’avenir de plus en plus de 6 et de fortes températures, mais on ne peut deviner ce qui va sortir pour chaque lancer.
La mauvaise nouvelle, c’est qu’il existe une différence notable entre un dé pipé et le changement climatique.
A l’avenir, ce dernier nous apportera quelques surprises, comme celle de voir notre dé donner des 7 ou des 8, c’est-à dire des conditions météorologiques aujourd’hui inconnues et avec lesquelles il faudra apprendre à vivre.

Stéphane Hallegatte, économiste climatologue
membre du GIEC

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météo france, bonjour.
2 avril 2009, 17h10, 27°C au soleil.
je ne suis pas sur les bords de la méditerrannée mais en picardie, dans le nord de la france.

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Terrienne, pourquoi n'as-tu pas affiché le lien donnant la provenance, de ton copier-coller? Est-ce parce que tu souhaitais éviter qu'on ne lise les commentaires en bas de page? Voici le lien :
http://www.terra-economica.info/Stephane-Hallegatte-Le-climat-Une,4439.html

Cette désinformation devient indigeste pour un nombre grandissant de gens. puker La propagande devient de plus en plus délirante, comme pour compenser le fait que la réalité diverge du discours réchauffiste. Mais cette divergence n'en devient alors que plus manifeste. Les gens finissent par se rendre compte que le discours ne colle pas avec se qu'ils vivent tous les jours.

Citation :
Pourquoi a-t-il fait aussi froid cet hiver alors qu’on nous répète que les températures à la surface du globe montent ? Et ces tempêtes à répétition, sont-elles un signe du réchauffement ? Et cette terrible canicule en Australie, est-elle due au changement climatique ?
Entêtés, les climatologues donnent toujours la même réponse : quand on parle de climat, un événement n’a aucune signification.
Seules comptent les répétitions. Ainsi, une canicule – disons celle de 2003 – n’est pas une preuve que le climat change : un tel événement, même s’il est inédit et improbable, n’est pas impossible dans un climat non perturbé par l’homme.

Comparer ceci avec ce que terrienne a elle-même écrit juste après:

terrienne a écrit:
2 avril 2009, 17h10, 27°C au soleil.
je ne suis pas sur les bords de la méditerrannée mais en picardie, dans le nord de la france.

Mettez aussi cela en parallèle avec bon nombre d'articles que terrienne publie régulièrement sur ce forum, dont voici un exemple:
Australie: la gravité des incendies liée au réchauffement climatique

N'y a-t-il pas comme une contradiction? Ce double discours est omniprésent dans les médias. On hurle au réchauffement à chaque fois que l'occasion se présente, mais lorsque des vagues de froid polaire s'abattent sur des continents entiers, les propagandistes nous disent : "Mais non, pauvres demeurés, c'est juste la variabilité. Les glaçons pendent au bout de votre nez mais en fait le réchauffement est toujours là et il est même pire que jamais..."

Citation :
En revanche, le fait que l’on trouve dans les douze dernières années (1997-2008) les dix les plus chaudes depuis que l’on fait des mesures dans le monde est quasiment impossible en l’absence d’un réchauffement global.

Ce qu'on omet de vous mentionner est que cette affirmation est basée sur des données à la fois incomplètes et biaisées. Nous ne disposons de données relativement fiables quà partir de 1979. Avant cette date, les données manquent de fiabilité et de représentativité, et ce pour plusieurs raisons dont une des plus importantes est l'effet îlot urbain (http://www.norcalblogs.com/watts/2007/05/how_not_to_measure_temperature.html). Comme nous n'avons pas de mesures par satellites, il faut étudier la question sous un angle plus local.

Sur le territoire des État-Unis (qui n'est pas le monde entier, mais est néanmoins très vaste), les données météorologiques nous montrent que les 10 années les plus chaudes sont, par ordre décroissant:
1934, 1998, 1921, 2006, 1931, 1999, 1953, 1990, 1938 et 1939.
http://data.giss.nasa.gov/gistemp/graphs/Fig.D.txt
http://icecap.us/images/uploads/NEW_RANKINGS.pdf

Seulement 3 des 12 dernières années font partie de ce classement! Et 1934 est au moins aussi chaud que 1998 sinon plus!

Aussi surprenant que cela puisse paraître, si on tient compte des nombreux biais qui existent dans les données et qui vont tous dans le sens d'une exagération importante du réchauffement, on découvre alors qu'il est très probable que les années 30 aient été aussi chaudes, peut-être même plus chaudes, que les années 2000!

Citation :
De la même façon, le froid et la neige de cet hiver ne signifient pas que le climat se refroidit.
Au contraire, l’observation qu’il y a de moins en moins souvent de tels hivers rigoureux est une indication qu’il se réchauffe.
Pour mieux comprendre, imaginez que la température chaque saison est donnée par un lancer de dé. Quand le dé tombe sur 1, il fait beaucoup plus froid que la normale ; quand c’est sur 6, il fait vraiment plus chaud. Le changement climatique, c’est l’activité humaine qui pipe le dé.
Il donne alors plus souvent des 4, 5 et 6, et moins de 1, 2 et 3. Il a donc tendance à faire de plus en plus chaud. ça ne veut pas dire qu’il ne donne plus jamais de 1.
Nous en avons tiré un cet hiver, et nous nous sommes retrouvés avec 30 cm de neige à Marseille. Mais plus souvent, le dé donne des 6 et des canicules, comme à l’été 2003 et 2006.

Baliverne, au cours des 2 dernières années, il y a eu à travers le monde tant de records de neige et de froid qu'on ne les compte même plus. La canicule qu'il y a eu en Australie fait figure d'exception.
http://iceagenow.com/Record_Lows_2009.htm

Citation :
Cette image permet aussi d’expliquer pourquoi l’on est capable de dire que le climat sera différent en 2070, alors qu’on ne sait pas quel temps il fera dans quinze jours… Comme avec un dé pipé, on sait qu’on aura à l’avenir de plus en plus de 6 et de fortes températures, mais on ne peut deviner ce qui va sortir pour chaque lancer.

Imaginez quelqu'un qui vous dirait, données à l'appui, que les températures ont augmenté de 30°C en moyenne du mois de janvier au mois de juillet de cette année. Et imaginez aussi qu'ignorant le cycle naturel des saisons, cet individu vous affirme aussi, sans apporter le moindre élément de preuve, que ce changement climatique est causé par le CO2, et que par extrapolation on peut prédire avec certitude que la température poursuivra son ascension de 30 degrés supplémentaires dans les six mois à venir. À ce rythme de 60 degrés par année, nous auront atteint en 2070 la température infernale de 3 600°C! Et imaginez enfin que ce gars-là se donne le titre de climatologue et qu'il participe à la rédaction d'un rapport intergouvernemental présenté comme la référence sur le sujet!

Or voici qu'arrive le mois d'août durant lequel la température plafonne puis commence doucement à descendre, et ensuite le mois de septembre. Ça ne colle pas du tout avec les anticipations des réchauffistes qui, pour essayer de noyer le poisson, lancent que les deux derniers mois sont les plus chauds depuis que les mesures ont débuté en janvier dernier, ce qui prouve l'existence du réchauffement et donc qu'ils ont raison. Le discours actuel des réchauffistes est aussi ridicule que ça.

terrienne a écrit:
pas besoin de graphiques alambiqués et abscons pour comprendre dans quelle situation nous nous trouvons.

Oui tu as raison, il est inutile de prendre connaissance des faits. Et ces graphiques qui illustrent et synthétisent l'information, houlala que c'est compliqué! Dorénavant, je vais essayer d'utiliser des petits émoticônes pour expliquer la climatologie. tongue

L'autre jour, j'ai présenté plusieurs de ces graphiques à une quinzaine d'enfants de 4e, 5e et 6e année de l'école primaire. Croyez-le ou non, ils ont très bien compris ce que je leur ai montré et expliqué!

Philippe

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Contrairement à moi qui n'ai strictement rien à vous dire, je vois bien que vous mourrez d'envie d'engager la conversation avec moi. Soit. Je vais donc vous répondre pour la seule et unique fois. Je ne sais pas qui vous paie pour répandre vos fadaises, mais si vous saviez, mon bon monsieur, à quel point j'aimerais que vous ayiez raison : c'est même mon souhait le plus cher.
Enfin, sachez pour votre gouverne que je n'ai aucun orgueil, aucun amour-propre et aucune fierté, je suis plus humble qu'un humble ver de terre. Donc, vos allusions aux émoticônes et à mon faible quotient intellectuel (puisque c'est cela que ça sous-entend), vous ne pouvez même pas vous imaginer à quel point je m'en tape.
Voilà. Ce sera tout.

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Stop Global Warming Virtual March
04/08/09

MASSIVE ANTARCTIC ICE SHELF SET TO BREAK FREE
A huge ice shelf in the Antarctic the size of Connecticut is in the last stages of collapse and could break free any day. The Wilkins shelf is the largest slab of ice so far to disintegrate in the Antarctic. According to a recent Guardian article, "Though the collapse of Wilkins shelf will not raise sea levels directly - as ice shelves float on the sea surface - its demise is a warning sign of potentially disastrous changes in the earth's climate. "

Click here for more on the story.

FACT: Scientists predicted in 1993 that the Wilkins shelf would collapse within 30 years, but the increasing effects of global warming have caused it to melt at double the anticipated rate.

MELTING ARCTIC SEA ICE
And from the other end of the planet, researchers say that more than 90 percent of the sea ice in the Arctic is only one or two years old. That makes it thinner and more vulnerable to melting than ever before, according to researchers with NASA and the National Snow and Ice Data Center in Colorado.

Sea ice is important because it reflects sunlight away from Earth. The more it melts, the more heat is absorbed by the ocean, heating up the planet more and adversely changing weather patterns worldwide.

For more, visit NASA and the National Snow and Ice Data Center

FACT: The amount of thick sea ice hit a record wintertime low of just 378,000 square miles this year, down 43 percent from last year. The amount of older sea ice lost is larger than the state of Texas.

"ON THIN ICE" AIRS ON PBS APRIL 17TH
Check out the documentary "On Thin Ice: Our Disappearing Glaciers", scheduled for broadcast on NOW on PBS on April 17, 2009. This investigative film features award-winning journalist David Brancaccio and Conrad Anker, one of the world's best high-altitude mountain climbers.

Anker and Brancaccio travel to India's Gangotri Glacier, located in the Himalayas, which is receding at an alarming rate; and Glacier National Park in Montana, where the ancient ice has nearly disappeared. "On Thin Ice" will change the way Americans think about global warming, by making connections between global warming and crucial life and death issues such as competition for water, global food security, and national security.

Learn more at PBS.org.

FACT: The rate of Greenland's ice melt has increased 70% over the last five years.

MAKE EVERY DAY EARTH DAY
With the April 22 Earth Day approaching, our partner Grist wants to remind you that living an environmentally-friendly life is not about how you choose to live one day of the year. It's about the choices you make every day. To help make every day Earth Day, Grist is offering a free download of their book "Wake up and Smell the Planet" to anyone who joins one of their free email lists. You'll also be entered to win a trip for two to the Bonnaroo music festival. Check out Grist.org.

Keep Marching,

Laurie David
Founder
StopGlobalWarming.org

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Terrienne a écrit:
Contrairement à moi qui n'ai strictement rien à vous dire, je vois bien que vous mourrez d'envie d'engager la conversation avec moi.

Habitez-vous chez vos parents? flowers

Citation :
Soit. Je vais donc vous répondre pour la seule et unique fois.

N'oublie pas ton crucifix.

Citation :
Je ne sais pas qui vous paie pour répandre vos fadaises,

Tu ne sais pas qui me paie, mais tu sais que quelqu'un me paie. Tu ne sais pas qui je suis, mais tu sais que je suis un être mal intentionné.

Tu possèdes un don merveilleux terrienne. Tu possèdes le don de savoir sans savoir.

Par exemple, lorsque tu dis:
Citation :
regardez ces petites vidéos, à la portée de tout le monde :
http://www.sondage-collaboratif.org/formation.aspx
pas besoin de graphiques alambiqués et abscons pour comprendre dans quelle situation nous nous trouvons.

Ce que tu nous dis en fait (si j'ai bien saisi) c'est que tu comprends le climat en visionnant une courte vidéo de Nicolas Hulot nous invitant à participer à un sondage! Pour moi c'est absolument prodigieux!

Je suis malheureusement dépourvu de cette extraordinaire capacité qui semble chez toi si naturelle. En effet, et cela va peut-être te paraître difficile à croire, lorsque je regarde la vidéo, tout ce que je vois c'est Nicolas Hulot nous invitant à participer à un sondage, et rien d'autre!

Pour savoir, moi je dois connaître, ce qui me demande du temps et des efforts en recherches, en lectures, en analyse critique et en réflexion. Je n'ai pas comme toi d'accès simple et direct à la connaissance révélée, il me faut des évidences concrètes.

C'est pourquoi je te demande d'être indulgente à mon endroit. Il ne faut pas m'en vouloir si tes idées sont pour moi infondées, en contradiction avec la réalité observable, parfois même inintelligibles. Je ne suis pas un mauvais garçon, je suis juste un peu taré.

Citation :
mais si vous saviez, mon bon monsieur, à quel point j'aimerais que vous ayiez raison : c'est même mon souhait le plus cher.

Si ce que tu dis est est vrai, alors pourquoi refuses-tu obstinément d'envisager la possibilité que cela puisse effectivement être le cas? Après tout, je ne demande à personne de croire ce que je dis sur parole.

Cela dit, si tu as porté le moindrement attention à ce que j'ai dit dès le début, tu auras noté que je ne suis pas venu porter la bonne nouvelle sur ce forum. Il semble que la campagne de peur se résumant à l'équation suivante : CO2 = réchauffement = apocalypse, aussi invraisemblable soit-elle, ait néanmoins si bien atteint son but que lorsqu'on la réfute pour ensuite désigner en direction opposée un danger bien plus sérieux et bien pire, cela est perçu comme une vision optimiste!

Citation :
Enfin, sachez pour votre gouverne que je n'ai aucun orgueil, aucun amour-propre et aucune fierté, je suis plus humble qu'un humble ver de terre.

Ta modestie ne donne pas sa place.

Citation :
Donc, vos allusions aux émoticônes et à mon faible quotient intellectuel (puisque c'est cela que ça sous-entend), vous ne pouvez même pas vous imaginer à quel point je m'en tape.

Et c'est la raison pour laquelle tu tenais à me le faire savoir. Rolling Eyes

Citation :
Voilà. Ce sera tout.

Jusqu'à la prochaine fois.

Citation :
MASSIVE ANTARCTIC ICE SHELF SET TO BREAK FREE

Baliverne, il s'agit d'un fragile pont de glace reliant le continent à une petite île. Il fait 100km de long mais est très étroit. http://www.esa.int/esaEO/SEMWZS5DHNF_index_0.html

Citation :
FACT: Scientists predicted in 1993 that the Wilkins shelf would collapse within 30 years, but the increasing effects of global warming have caused it to melt at double the anticipated rate.

Les propagandistes souhaitent vous cacher que les glaciers sont des choses dynamiques. Ils sont constamment en mouvement et les phénomènes de ce genre sont normaux et existent depuis toujours. Fort heureusement, car si les glaciers était des objets statiques, toute l'eau de la planète resterait figée en Antarctique.


La banquise Antarctique s'est accrue légèrement au cours des 30 dernières années.
Source: http://arctic.atmos.uiuc.edu/cryosphere/

Citation :
FACT: The amount of thick sea ice hit a record wintertime low of just 378,000 square miles this year, down 43 percent from last year. The amount of older sea ice lost is larger than the state of Texas.

Désinformation.
http://wattsupwiththat.com/2009/04/07/nsidc-raises-the-bar


Il y a en 2009 à peu près autant de glace qu'en 2008 et il y en a plus qu'en 2005, 2006 et 2007.
Source: http://www.ijis.iarc.uaf.edu/en/home/seaice_extent.htm


L'Arctique s'est refroidie depuis 2005!
Source: http://spreadsheets.google.com/pub?key=pj0h2MODqj3gAmFVOnSFEWQ


Cette photo a été prise en 1987 lors d'un rendez-vous très précisément situé au pôle Nord. Elle est signée par les commandants des trois sous marins HMS Superb, USS Billfish et USS Sea Devil. On aperçoit les taches bleues de la mer libre de glace.

Entre autres, en 1922, les rapports des explorateurs déclarent qu'on n'a jamais vu si peu de glace en Arctique...Un navire a atteint le 81N sans voir de glace...
Source: http://docs.lib.noaa.gov/rescue/mwr/050/mwr-050-11-0589a.pdf

Citation :
FACT: The rate of Greenland's ice melt has increased 70% over the last five years.

Foutaise.
http://www.theresilientearth.com/?q=content/greenlands-ice-armageddon-comes-end
http://wattsupwiththat.com/2008/12/30/the-ice-in-greenland-is-growing/


L'inlandsis s'accroit en moyenne de 5 cm/année!
Source: http://www.esa.int/esaEO/SEMILF638FE_planet_0.html

Il ne faut pas s'attendre à beaucoup d'objectivité d'un site se nommant StopGlobalWarming.org

Philippe

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Beware the climate of conformity

Paul Sheehan
April 13, 2009

What I am about to write questions much of what I have written in this space, in numerous columns, over the past five years. Perhaps what I have written can withstand this questioning. Perhaps not. The greater question is, am I - and you - capable of questioning our own orthodoxies and intellectual habits? Let's see.

The subject of this column is not small. It is a book entitled Heaven And Earth, which will be published tomorrow. It has been written by one of Australia's foremost Earth scientists, Professor Ian Plimer. He is a confronting sort of individual, polite but gruff, courteous but combative. He can write extremely well, and Heaven And Earth is a brilliantly argued book by someone not intimidated by hostile majorities or intellectual fashions.

The book's 500 pages and 230,000 words and 2311 footnotes are the product of 40 years' research and a depth and breadth of scholarship. As Plimer writes: "An understanding of climate requires an amalgamation of astronomy, solar physics, geology, geochronology, geochemistry, sedimentology, tectonics, palaeontology, palaeoecology, glaciology, climatology, meteorology, oceanography, ecology, archaeology and history."

The most important point to remember about Plimer is that he is Australia's most eminent geologist. As such, he thinks about time very differently from most of us. He takes the long, long view. He looks at climate over geological, archaeological, historical and modern time. He writes: "Past climate changes, sea-level changes and catastrophes are written in stone."

Much of what we have read about climate change, he argues, is rubbish, especially the computer modelling on which much current scientific opinion is based, which he describes as "primitive". Errors and distortions in computer modelling will be exposed in time. (As if on cue, the United Nations' peak scientific body on climate change was obliged to make an embarrassing admission last week that some of its computers models were wrong.)

Plimer does not dispute the dramatic flux of climate change - and this column is not about Australia's water debate - but he fundamentally disputes most of the assumptions and projections being made about the current causes, mostly led by atmospheric scientists, who have a different perspective on time. "It is little wonder that catastrophist views of the future of the planet fall on fertile pastures. The history of time shows us that depopulation, social disruption, extinctions, disease and catastrophic droughts take place in cold times … and life blossoms and economies boom in warm times. Planet Earth is dynamic. It always changes and evolves. It is currently in an ice age."

If we look at the last 6 million years, the Earth was warmer than it is now for 3 million years. The ice caps of the Arctic, Antarctica and Greenland are geologically unusual. Polar ice has only been present for less than 20 per cent of geological time. What follows is an intense compression of the book's 500 pages and all their provocative arguments and conclusions:

Is dangerous warming occurring? No.

Is the temperature range observed in the 20th century outside the range of normal variability? No.

The Earth's climate is driven by the receipt and redistribution of solar energy. Despite this crucial relationship, the sun tends to be brushed aside as the most important driver of climate. Calculations on supercomputers are primitive compared with the complex dynamism of the Earth's climate and ignore the crucial relationship between climate and solar energy.

"To reduce modern climate change to one variable, CO2, or a small proportion of one variable - human-induced CO2 - is not science. To try to predict the future based on just one variable (CO2) in extraordinarily complex natural systems is folly. Yet when astronomers have the temerity to show that climate is driven by solar activities rather than CO2 emissions, they are dismissed as dinosaurs undertaking the methods of old-fashioned science."


Over time, the history of CO2 content in the atmosphere has been far higher than at present for most of time. Atmospheric CO2 follows temperature rise. It does not create a temperature rise. CO2 is not a pollutant. Global warming and a high CO2 content bring prosperity and longer life.

The hypothesis that human activity can create global warming is extraordinary because it is contrary to validated knowledge from solar physics, astronomy, history, archaeology and geology. "But evidence no longer matters. And any contrary work published in peer-reviewed journals is just ignored. We are told that the science on human-induced global warming is settled. Yet the claim by some scientists that the threat of human-induced global warming is 90 per cent certain (or even 99 per cent) is a figure of speech. It has no mathematical or evidential basis."

Observations in nature differ markedly from the results generated by nearly two dozen computer-generated climate models.
These climate models exaggerate the effects of human CO2 emissions into the atmosphere because few of the natural variables are considered. Natural systems are far more complex than computer models.

The setting up by the UN of the Intergovernmental Panel on Climate Change in 1988 gave an opportunity to make global warming the main theme of environmental groups. "The IPCC process is related to environmental activism, politics and opportunism. It is unrelated to science. Current zeal around human-induced climate change is comparable to the certainty professed by Creationists or religious fundamentalists."

Ian Plimer is not some isolated gadfly. He is a prize-winning scientist and professor. The back cover of Heaven And Earth carries a glowing endorsement from the President of the Czech Republic, Vaclav Klaus, who now holds the rotating presidency of the European Union. Numerous rigorous scientists have joined Plimer in dissenting from the prevailing orthodoxy.

Heaven And Earth is an evidence-based attack on conformity and orthodoxy, including my own, and a reminder to respect informed dissent and beware of ideology subverting evidence.

http://www.smh.com.au/opinion/beware-the-climate-of-conformity-20090412-a3ya.html

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