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UN IPCC Scientist: 'No convincing scientific arguments to support claim that increases in greenhouse gases are harmful to the climate'

Tuesday, May 05, 2009
By Marc Morano

Selected excerpts from UN IPCC scientist's recent testimony.

IPCC reviewer and climate researcher and chemist Dr. Vincent Gray of New Zealand is an expert reviewer on every single draft of the IPCC reports going back to 1990 and author of The Greenhouse Delusion: A Critique of "Climate Change 2001. Dr. Gray's research is featured on page 155 of the 2009 edition of the 255-page "U.S. Senate Minority Report Update: More Than 700 International Scientists Dissent Over Man-Made Global Warming Claims"

Below are selected excerpts of his testimony before New Zealand's Committee for the Emissions Trading Scheme Review May 5, 2009:

I am an experienced research chemist, with a PhD from Cambridge 1946, and a long research career in the UK, France, Canada, New Zealand and China. I have over 100 scientific publications, many of them on climate science, which I have studied intensively for the past 18 years.

I have been an Expert Reviewer for the IPCC Reports since the beginning in 1990. I submitted 1,898 comments to the last (fourth) Working Group I (Science) Report.

I was recently invited to the Beijing Climate Center as a Visiting Scholar and I recently lectured to a Conference in New York.

I have reluctantly concluded, after detailed study of the evidence presented by the IPCC, that there are no convincing scientific arguments to support the claim that increases in greenhouse gases are harmful to the climate. [...]

The IPCC “central/benchmark projections” are based on a combination on ridiculously oversimplified models and unrealistic futures scenarios. The projections themselves conflict with the current fall in global temperatures, the absence of any warming in New Zealand, and the lack of local evidence of sea level change. [...]

The presumed dangers of failing to implement the Emissions Trading Scheme appear to be illusory. We have enough problems coping with the current economic crisis without burdening ourselves with additional costs to our manufacturing and farming industries and adopting uneconomic sources of energy. [...]

Changes in climate can have many causes, some of which are partially understood, but the influence of increases in greenhouse gases are not likely to be important if there is no detectable warming resulting from them. [...] In reality the sun only shines in the daytime. The earth absorbs energy by day and emits it by night. It rotates, so that all surfaces have a diurnal and seasonal cycle. There is no energy balance anywhere, and no net energy balance either, as there are warming and cooling cycles of different lengths. Also none of the greenhouse gases are “well-mixed”, so the assumption by models that they are is wrong. [...]

The first IPCC Working Group I Report "Climate Change", published in 1990, provided the first set of climate models, from which the Panel made predictions about future global temperature change. It contained a Chapter 4 entitled "Validation of Climate Models". A similar Chapter appeared in the First Draft of the Second (1995) Report. I sent in a comment pointing out that the Title of this Chapter was inappropriate, since no Climate Model had ever been "validated" in the sense understood by computer engineers. They agreed with me. The same Chapter in the next Draft was entitled "Evaluation of Computer Models", and they had changed the word "validation" to "evaluation" throughout the Chapter no less than fifty times. Since then, they have never used the word “validation”, and their models now never make “predictions”, but “projections”, dependent only on the prior assumptions.

"Validation" is a term used by computer engineers for the procedure that has to be applied to computer models before they can be considered useful for future prediction. This procedure must involve successful prediction of the range of circumstances for which it is to be used. Unless this is done there is no evidence of how accurate the predictions can be.

Not only has no computer climate model ever been subjected to this process, no IPCC Report has even discussed how it might be done. As a result, computer models cannot make "predictions", they only provide "projections" which are based on the value of the assumptions made in their preparation. Also there is no evidence as to how accurate they might be. This is one reason why the IPCC never gives opinions on the relative importance of the many models. There is no probability range for the models, and there is no "central" model. They do, however, seem prepared to provide “best estimates” and “likely ranges” .which are no more than guesswork. One early example of such a “best estimate” was decided by “a show of hands” by model providers.

Dr. Gray's research is featured on page 155 of the 2009 edition of the 255-page "U.S. Senate Minority Report Update: More Than 700 International Scientists Dissent Over Man-Made Global Warming Claims"

http://climatedepot.com/a/611/UN-IPCC-Scientist-No-convincing-scientific-arguments-to-support-claim-that-increases-in-greenhouse-gases-are-harmful-to-the-climate

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Il est indéniable que le réchauffement climatique conduira à des phénomènes météorologiques d'une violence non encore connue à ce jour.
Jean Serrat, commandant de bord.

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Dans le contexte actuel de changement climatique, des phénomènes d'extinction et de colonisation avaient déjà été observés pour les plantes chez quelques espèces en marge de leur distribution en milieu boréal ou de haute montagne. Les changements de distribution, peu étudiés chez les plantes de milieux tempérés, ont été analysés à partir des vastes bases de données du laboratoire d'accueil et du CNRS regroupant des milliers d'inventaires floristiques réalisés dans toutes les forêts des montagnes françaises depuis le début du 20e siècle.

Ces bases de données ont permis de comparer la répartition altitudinale de chacune des 171 espèces étudiées entre les périodes 1905-1985 et 1986-2005 pour une gamme d'altitude de 0 à 2600 m dans les milieux tempérés et méditerranéens représentatifs des montagnes ouest-Européennes. La limite de 1985 entre les deux périodes a été choisie car la température moyenne annuelle a augmenté de près de 1°C dans la zone étudiée autour de cette date pivot.

L'étude parue dans Science montre une montée significative des espèces en altitude qui affecte la majorité des plantes, de l'ordre de 29 m par décennie. Cette montée est effective quelle que soit l'altitude étudiée et les préférences thermiques des plantes. Elle met également en évidence que les espèces sont affectées par le réchauffement climatique dans toute leur aire géographique d'existence et non pas seulement aux limites de celle-ci comme cela avait été montré auparavant. Les chercheurs ont en effet montré que les espèces ont déplacé, à plus haute altitude, leurs habitats préférentiels pour conserver la température qui convient le mieux à leur développement, reproduction, et survie.

Toutes les espèces ne migrent pas à la même vitesse : les espèces végétales à durée de vie courte, comme les herbacées, ont tendance à migrer plus vite en altitude que les espèces végétales dont la durée de vie est plus longue comme les arbres ou les arbustes. Les herbacées ont bénéficié au cours des dernières décades d'un grand nombre de générations permettant à leurs graines de se disperser en altitude en réponse au réchauffement climatique. Les arbres au long cycle de vie n'ont bénéficié seulement que de une ou deux générations pour coloniser de nouveaux milieux.

L'ensemble de ces résultats fournissent la preuve que les plantes sont en train de migrer avec le changement climatique actuel pour conserver les températures nécessaires à leur survie. Les différentes vitesses de migration entre arbres et herbacées devraient conduire à un changement de la composition des communautés végétales et de leurs relations avec les espèces animales qui interagissent avec elles.
Source : Notre Planète

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Ce sont des cartes qui font froid dans le dos. Dans un rapport rendu public, mercredi 10 juin, par l'Institut pour l'environnement et la sécurité humaine de l'université des Nations unies, l'ONG Care et le Centre pour un réseau international d'information en sciences de la terre de l'université de Columbia dessinent la multiplication des migrations forcées liées aux dérèglements de l'environnement.

D'ici cinquante ans, le changement climatique va jeter sur les routes 200 millions de réfugiés privés de toit et de moyens de subsistance, provoquant effondrement social et explosions de violence dans les pays concernés. Dans les seuls deltas du Mékong, du Gange et du Nil, densément peuplés, une élévation du niveau de la mer de 1 mètre chasserait 23,5 millions d'habitants et engloutirait au moins 1,5 million d'hectares de terres agricoles.

L'intérêt principal de ce rapport est de décortiquer, région par région et cartes à l'appui, la mécanique environnementale qui conduit à ces migrations pour mieux envisager comment les prévenir ou les anticiper. Cartes et commentaires croisent les grands centres urbains et les bassins de population, les types de culture agricole et l'altitude avec les données illustrant l'évolution de la fonte des glaciers ou de l'érosion des sols, de la fréquence des cyclones ou de l'effondrement des précipitations, de la désertification ou des inondations.

"L'échelle et la portée des défis que nous affrontons sont sans précédent", prévient le rapport, selon lequel "nos réponses actuelles au changement climatique détermineront si la migration sera un choix parmi un éventail plus large de stratégies d'adaptation ou si les déplacements forcés seront un impératif vital, en raison de notre échec collectif à offrir des solutions alternatives". Et les auteurs de prévenir : "Un relogement des réfugiés écologiquement, socialement et économiquement durable et conforme aux exigences des droits de l'homme risque d'être coûteux. (...) La communauté internationale doit entamer de sérieuses discussions sur la façon dont elle compte faire face à ses devoirs."

Il y a en effet urgence. Les éco-réfugiés seraient déjà entre 25 et 50 millions selon les estimations, fuyant sécheresses, ouragans ou inondations. Et des Maldives aux Kiribati ou en passant par les îles Carteret, la fuite des hommes face à la montée des océans a déjà commencé.
Grégoire Allix (Le Monde)

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