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le vrai visage de la chasse française

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Le vrai visage de la chasse française

Les pusillanimes mendient une permanente et impossible conciliation à la majesté cynégétique qui, pourvue de moyens financiers colossaux, de relais dans l'appareil d'Etat, de valets au parlement, dicte ses lois. Au moins une tous les deux ans, toujours plus absurde, toujours plus irresponsable, toujours plus criminelle envers l'animal et la Nature.
Mais le pusillanime feindra de croire que Le chasseur "gère la faune" parce qu'il contient la population de cochongliers qui alimente son stand de tirs!

En fait, la chasse a anéanti toutes les espèces authentiquement sauvages et perdure à massacrer les survivantes.

C'est le chasseur qui a exterminé l'ours pyrénéen, par sa "gestion" à coups de fusils d'une faune qui exige une protection intégrale dans ce monde devenu inhospitalier.

D'aucuns, voulant flatter le tueur agréé, ont tenté une conciliation dans l'espoir vain, toujours vain, de faire évoluer un lobby qu'il faut combattre et dénoncer pour que l'opinion publique sache la vérité sur ce qu'est la chasse française.

Ces "conciliants" reçoivent de la fédération départementale des chasseurs la réponse très prévisible.
Etre conciliant est une vertu lorsque ce n'est pas une capitulation morale devant l'inacceptable.

Gérard Charollois


Fédération de la chasse : elle prend connaissance avec stupeur des communiqués de presse relatifs à la conciliation intervenue entre l’ADET et Thierry BERGEAUD

Le Conseil d’Administration de la Fédération Départementale des Chasseurs de l’Ariège a pris connaissance avec stupeur des communiqués de presse relatifs à la conciliation intervenue entre l’ADET et Thierry BERGEAUD, le chasseur qui avait blessé accidentellement l’ours Balou lors d’une battue.

La Fédération Départementale des Chasseurs de l’Ariège précise qu’elle n’a jamais été consultée, ni donné son accord pour de telles transactions.

Aucun de ses salariés n’a été autorisé à participer et encore moins à valider les engagements relatés.

Elle réaffirme, comme elle l’a toujours fait depuis que la présence de l’ours lui a été imposée, qu’elle n’acceptera aucune restriction à l’exercice de la chasse (périodes, moyens ou territoires de chasse).

Ceci est un communiqué de la fédération départementale de la chasse

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