BULLETIN AUTOMNE 2010

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Publié le 26 janvier 2011 à 11h44 | Mis à jour le 26 janvier 2011 à 23h38


Un réseau de braconniers démantelé dans le parc du Mont-Sainte-Anne

Les espèces étaient en majorité des orignaux et des ours capturés en période illégale, notamment sur le territoire de Beaupré.

photo archives La Voix de l'Est
Le Soleil


(Québec) Les agents de protection de la faune ont démantelé mercredi, au terme d'une enquête de quatre ans, un réseau de huit braconniers qui pratiquaient illégalement la chasse à l'ours et à l'orignal dans le parc du Mont-Sainte-Anne, où cette activité est interdite en tout temps.
Comme l'explique Éric Santerre, porte-parole du ministère des Ressources naturelles et de la Faune, huit personnes qui résidaient en bordure du parc, dans les secteurs de Beaupré, Saint-Ferréol-les-Neiges et Boischatel, ont été appréhendées à la suite de cinq perquisitions lors desquelles ont été saisis armes de chasse, appareils d'appel électronique et chair d'orignal.

On reproche aux braconniers d'avoir chassé à proximité ou à l'intérieur d'un parc, d'avoir chassé en temps prohibé, d'avoir chassé sans permis, d'avoir donné de faux renseignements à l'enregistrement de la faune, d'avoir dépassé les limites permises en termes de spécimens abattus, d'avoir vendu de la chair d'orignal, possédé illégalement des orignaux et des ours et aidé ou incité à la vente d'orignaux.

«Comme le parc est un endroit où la chasse est interdite, on comprend que le cheptel est assez abondant dans ce secteur, donc la tâche était beaucoup plus facile pour ces braconniers que pour les chasseurs qui pratiquent cette activité dans les lieux prévus», explique M. Santerre.


Celui-ci précise que les personnes arrêtées avaient des liens entre elles. «Ces gens pouvaient chasser de nuit ou durant d'autres périodes interdites. Certains utilisaient aussi le permis d'un autre pour chasser. Le gibier recueilli était par la suite vendu», poursuit-il.

Les personnes accusées font présentement l'objet de 60 chefs d'accusation, un nombre qui pourrait cependant être appelé à augmenter, et s'exposent à des amendes totalisant 75 000 $ si elles sont reconnues coupables.

L'enquête faisait suite à des dénonciations faites depuis 2007 au service SOS Braconnage. «Si ça a été si long, c'est que nos agents ne pouvaient enquêter que durant une période d'environ deux mois par année, la durée de la période de la chasse, afin de recueillir des preuves», explique le porte-parole du Ministère, ajoutant que 23 agents des régions de Québec et de la Chaudière-Appalaches avaient participé aux opérations.

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(Newser) – The latest mass animal death—hundreds of dead birds found Monday in South Dakota—is no mystery, reports the Huffington Post: The US government killed them. When more than 200 starlings turned up dead, cold weather was initially suspected as the culprit. But now the USDA has admitted to poisoning the birds, KTIV reports. Some 5,000 birds had apparently been relieving themselves in the feed at a nearby feedlot, which threatened animals and farm workers, said the USDA—so it took action.


The birds were killed by lacing bait with a poison called DRC-1339, and officials said they were surprised at how far the poisoned birds got—about 10 miles—before dying. Click here for more.


Posted Jan 21, 2011 8:04 AM CST

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Publié le 28 janvier 2011 à 08h37 | Mis à jour le 28 janvier 2011 à 08h37


Plus de 80 braconniers interceptés en 2010

Martin Lafrenière
Le Nouvelliste


(Trois-Rivières) Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune indique que 83 personnes ont été interceptées pour avoir commis du braconnage au cours de la dernière saison de chasse, à l'automne 2010, sur les territoires de la Mauricie et du Centre-du-Québec.
Les statistiques disponibles actuellement démontrent que le nombre de braconneurs interceptés est en régression de 26,5 % par rapport à 2009.

Ces personnes s'exposent à la possibilité de faire face à 149 chefs d'accusation. Si la culpabilité des gens est reconnue, ceux-ci pourraient devoir payer des amendes totalisant plus de 125 000 $.

Dans ces deux derniers cas, les statistiques sont également en baisse par rapport à 2009. On avait alors noté 162 chefs d'accusation et 160 000 $ en amendes possibles.


Toutefois, la quantité de viande saisie était supérieure en 2010: plus de 2800 kilos de viandes ont été perquisitionnés. En 2009, la saisie avait été de moins de 900 kilos.

Cette viande saisie est remise à des organismes qui viennent en aide aux personnes démunies.

Pour la région de la Mauricie, les agents de la faune ont été confrontés à des actes de braconnage à l'endroit de gros gibier (chasse en période interdite, chasse de nuit, tir à partir d'un véhicule).

Dans le secteur du Centre-du-Québec, les infractions relevées sont notamment en lien avec la chasse au gros gibier de nuit, la possession de gros gibier excédant la limite permise et l'utilisation d'un projecteur pour déceler la présence de gros gibier la nuit.

Le ministère continue de miser sur la collaboration des citoyens pour lutter contre le braconnage en les invitant à dénoncer de tels actes en téléphonant au 1-800-463-2191

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Publié le 01 février 2011 à 09h02 |

Incendie: 150 truies et leurs porcelets (une centaine ?) périssent à Ange-Gardien (EN VIDÉO)

Les flammes ont détruit une porcherie du rang Casimir à Ange-Gardien, lundi matin.

Photo Janick Marois
Karine Blanchard
La Voix de l'Est


(Ange-gardien) Une porcherie a été la proie des flammes, hier matin, à Ange-Gardien. Au moins 150 truies et plusieurs porcelets ont péri dans l'incendie d'origine indéterminée. La fumée qui se dégageait du brasier était visible à des kilomètres à la ronde.
Les flammes se sont déclarées en matinée dans la porcherie du rang Casimir. C'est le propriétaire de l'endroit qui a alerté les sapeurs. Le bâtiment, qui compte trois annexes, était une maternité.

En arrivant sur les lieux, les pompiers n'ont pu que constater que les flammes avaient déjà fait beaucoup de dommages. «C'était un embrasement généralisé. Le feu était dans l'entretoit, indique Philippe Chartrand, directeur du service des incendies d'Ange-Gardien. Les trois annexes ont été touchées.»

Les propriétaires ont réussi à sauver environ 150 truies. Au moins 150 autres n'ont toutefois pas eu cette chance et ont péri dans l'incendie, tout comme de nombreux porcelets.



Le feu était si intense qu'un dense panache de fumée blanche était visible à plusieurs kilomètres de là. Les automobilistes qui circulaient sur l'autoroute 10 pouvaient même apercevoir l'impressionnante colonne de fumée.

Réservoirs de propane

Deux imposants réservoirs de propane situés près du bâtiment en flammes pouvaient faire craindre le pire. Fort heureusement, leur présence n'a pas gêné le travail des sapeurs. «La neige est encore dessus. Ils n'ont jamais eu chaud. Ils ont été refroidis naturellement», indique le chef Chartrand.

Pendant plusieurs heures, les sapeurs d'Ange-Gardien, Saint-Césaire et Farnham ont combattu les flammes. Ils ont effectué le transport d'eau pour éteindre le brasier puisqu'il n'y a aucune borne-fontaine dans le secteur.

Une pelle mécanique a aussi été demandée pour aider au travail d'extinction en tassant les débris pour atteindre les foyers d'incendie. La cause du sinistre était toujours indéterminée, hier soir.

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Publié le 01 février 2011 à 09h20 | Mis à jour à 09h20


Un camion transportant des porcs se renverse


Archives La Presse
René-Charles Quirion
La Tribune


(Sherbrooke) Un accident impliquant un camion qui transportait des porcs à l'abattoir a causé tout un branle-bas de combat mardi matin à Stoke.
Le camion qui s'est renversé vers 8h15 sur la route 216 a laissé filer sa cargaison de cochons.

«Certains ont filé dans la nature alors que d'autres ont été tués lors de l'embardée», explique la porte-parole de la Sûreté du Québec, Éloïse Cossette
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Publié le 19 novembre 2010 à 06h48 | Mis à jour le 19 novembre 2010 à 06h48


Une porcherie s'envole en fumée

L'incendie qui faisait rage dans une porcherie de Farnham a provoqué un panache de fumée visible jusqu'à Saint-Alphonse-de-Granby.

photo Janick Marois
Karine Blanchard
La Voix de l'Est


(Farnham) Une porcherie abritant 300 bêtes a été rasée par un incendie de cause indéterminée, hier matin, à Farnham. Le brasier a provoqué un imposant panache de fumée visible à des kilomètres à la ronde. Les pertes pourraient grimper à 800 000 $.
«J'ai vu de la boucane sortir par les cheminées, a expliqué David Benjamin, copropriétaire de la ferme familiale Normand Benjamin, située chemin Rive Sud. J'ai essayé d'entrer dans la bâtisse, mais il y avait trop de fumée.»


Les propriétaires ont aussitôt alerté les pompiers. Lorsqu'ils sont arrivés sur place, la porcherie était complètement embrasée. Le feu était si intense qu'une colonne de fumée était visible jusqu'à Saint-Alphonse-de-Granby.


Les sapeurs ont concentré leurs efforts à la protection d'un réservoir de gaz. «Il y avait un cylindre de propane près du bâtiment et on l'a protégé», explique Étienne Chassé, directeur du service des incendies de Farnham. Quelques citoyens ont d'ailleurs été évacués par mesure préventive.


Une cinquantaine de sapeurs de Farnham, Ange-Gardien, Cowansville, Notre-Dame-de-Stanbridge et Sainte-Brigide-d'Iberville ont combattu les flammes. L'Association des pompiers auxiliaires de la Montérégie était aussi sur place.


La bâtisse est une perte totale. Le bâtiment, qui était utilisé comme maternité, contenait 300 truies, a indiqué M. Benjamin. Seulement quelques bêtes ont réussi à sortir de la porcherie et se promenaient près des débris.


Une pelle mécanique a été amenée sur les lieux du sinistre pour aider les pompiers à terminer leur travail. «Elle va nous permettre de trouver les feux cachés pour procéder à l'extinction», explique M. Chassé.


Les sapeurs étaient aussi à la recherche d'indices leur permettant de découvrir ce qui a provoqué le brasier. «C'est de cause indéterminée pour l'instant», a fait savoir le chef des sapeurs. La Sûreté du Québec a confirmé, hier après-midi, qu'il ne s'agit pas d'un geste criminel.


karine.blanchard@lavoixdelest.qc.ca

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Publié le 02 février 2011 à 05h00 | Mis à jour à 09h53


Les pigeons trouvés morts à St-Augustin ont été empoisonnés


Sylvain Turmel, le résidant de Saint-Augustin qui avait sonné l'alarme après avoir découvert des dizaines de pigeons morts sur son terrain, n'est pas surpris par le verdict du MAPAQ.

Photothèque Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve
Le Soleil


(Québec) Les quelque 80 pigeons morts à Saint-Augustin-de-Desmaures à la fin du mois de décembre et au début de janvier n'ont pas été victimes d'une bactérie ou d'un virus, mais ont plutôt été empoisonnés au Fenthion, un produit autrefois utilisé comme insecticide et com­me avicide, mais illégal au Canada depuis 2008.
Le Laboratoire d'expertise en pathologie animale du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ) a procédé à des analyses sur quelques carcasses d'oiseaux trouvées sur un terrain du 3e Rang pour en arriver à ce verdict.

Selon un avis d'information du MAPAQ, aucun produit à base de Fenthion ne peut être vendu ou utilisé au Canada depuis le 31 décembre 2008. Les derniers produits ayant été homologués étaient des insecticides liquides destinés à être utilisés sur les bovins comme le Spotton, le Lysoff Pour-On et le Tiguvon Pour-On.

Jusqu'en 1995, un autre produit à base de Fenthion, le Rid-a-Bird 1100 Perch Solution, était également homologué comme avicide pour le contrôle des étourneaux, des moineaux et des pigeons. Il était appliqué sur des perchoirs conçus pour que les oiseaux l'absorbent par leurs pattes. Ce produit, qui n'est plus homologué depuis 16 ans, est probablement celui qui a été utilisé à Saint-Augustin.


«Est-ce que c'est quelqu'un qui avait encore de ce produit en stock et qui ne savait pas qu'il était illégal? Nous ne le savons pas puisque nous n'avons pas identifié la source de l'empoisonnement. Ce ne sont pas des situations qu'on voit souvent», a confié au Soleil la Dre Nathalie Côté, vétérinaire à la direction de la santé animale et de l'inspection des viandes du MAPAQ.

Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune ainsi que l'Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire (ARLA) ont été avisés de la situation et un vétérinaire du MAPAQ a également rendu visite aux producteurs du secteur pour les informer que l'utilisation du Fenthion est illégale au Canada.

Sylvain Turmel, le résidant de Saint-Augustin qui avait sonné l'alarme après avoir découvert plusieurs dizaines de carcasses de pigeons sur son terrain, n'est pas surpris du verdict du MAPAQ.

«Les mortalités de pigeons survenaient toujours le samedi matin vers 10h30, alors j'avais bien deviné que c'était quelqu'un qui nourrissait les pigeons avec du poison. Cependant, depuis deux semaines, les pigeons ont cessé de tomber», explique M. Turmel.

Autres méthodes

Du côté du MAPAQ, on suggère aux agriculteurs incommodés par les pigeons, dont les excréments peuvent endommager les réserves de foin, d'utiliser d'autres méthodes que l'empoisonnement pour se débarrasser des oiseaux.

On suggère de retirer régulièrement les nids, de grillager les endroits où les oiseaux nichent, d'utiliser des bandes à aiguillons et des fils électriques installés sur les rebords des fenêtres, des structures de ponts, des corniches et des édifices, d'installer des fils de nylon tendus, d'installer des bandes de PVC verticales dans les portes d'entrepôts pour empêcher les volatiles d'y entrer ou d'installer des fils électriques sur les poutres.

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..California euthanizes 1,000 aggressive roosters after cockfighting bust; 16 arrested

By The Associated Press | The Canadian Press – Wed, 2 Feb 1:01 PM EST


VENTURA, Calif. - About 1,000 roosters confiscated during the weekend bust of a Ventura County cockfighting ring have been euthanized.

The Ventura County Sheriff's Department says 16 men were arrested and cockfighting paraphernalia, including blades, were seized during the Saturday raid in an unincorporated area near Oxnard. A tip from an anonymous caller led to the bust.

Investigators say about 1,000 roosters had to be euthanized because of their aggressive nature.

The Ventura County Star says 43-year-old Michael Lim of Los Angeles and 29-year-old Luis Manzana of Oxnard were booked for investigation of felony animal cruelty. The other 14 men were booked for misdemeanours for being spectators at a cockfight.
...

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Publié le 03 février 2011 à 10h23 | Mis à jour à 10h23


Une ferme détruite par les flammes
(Nicolet) Une ferme laitière a été rasée par les flammes, ce matin, vers 9h, sur le rang Pays-Brûlé, à Nicolet.
Une trentaine de bêtes ont péri et selon une évaluation prélimaire, les dommages s'élèveraient au moins entre 200 000$ et 300 000$.
Une vingtaine de pompiers de Nicolet, assistés de leurs confrères de la Régie incendie du lac Saint-Pierre, ont combattu les flammes qui se sont propagées à très grande vitesse.

C'est la deuxième ferme à être ainsi détruite par un incendie en un peu plus d'une semaine. Une centaine de porcs avaient péri dans un incendie survenu, le 25 janvier, à Saint-Zéphirin-de-Courval.

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Publié le 26 janvier 2011 à 07h15 | Mis à jour le 26 janvier 2011 à 07h15


Ferme porcine détruite par un incendie
(Saint-Zéphirin-de-Courval) Un bâtiment d'une ferme porcine de Saint-Zéphirin-de-Courval a été détruit par les flammes hier midi. Une centaine de porcs ont péri dans ce feu qui a causé des dommages totalisant près de 300 000 $.
Cette bâtisse peut accueillir jusqu'à 800 bêtes, mais il y en avait environ 130 lorsque le feu a éclaté. Une trentaine ont pu être rescapées par les propriétaires de cette ferme sise dans le rang Saint-Michel

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4 fev. 2011 (Nicolet) Près de 30 jeunes vaches sont mortes hier dans un incendie ayant détruit un bâtiment de ferme à Nicolet.
Les pompiers de Nicolet ont reçu un appel vers 9 h, indiquant qu'un bâtiment agricole était en feu dans le rang du Pays-Brûlé.

«Quand on est arrivé sur les lieux, on a constaté un embrasement. Il n'y avait personne quand on est arrivé. C'est un des voisins qui a communiqué avec le 9-1-1», explique Denis Leblanc, directeur du service de protection des incendies de la Ville de Nicolet.

Les pompiers de Nicolet ont fait appel à leurs confrères de la Régie d'incendie du lac Saint-Pierre. Dix-neuf pompiers ont été sur place pour combattre le feu. Le camion-échelle de Nicolet a notamment été utilisé pour permettre un arrosage sur le toit de tôle de ce vieux bâtiment fait en bois.



L'intervention a duré jusqu'à 13 h 30. Les pompiers ont eu recours à une rétrocaveuse pour démolir ce qui restait de la bâtisse afin d'éteindre complètement le foin qui se trouvait à l'intérieur.

«Le feu a pris au deuxième étage du bâtiment. Il y avait des lumières. C'est peut-être la chaleur des lumières qui a mis le feu au foin. Ou c'est peut-être un rongeur qui a rongé un fil électrique. Des pompiers ont vu sortir des souris pendant qu'ils étaient en train d'éteindre le feu», continue M. Leblanc, qui a constaté qu'un disjoncteur de la boîte électrique s'est désactivé.

La cause exacte du sinistre n'est pas connue. Le directeur Leblanc semblait toutefois écarter la thèse de l'incendie criminel.

L'incendie était d'une telle ampleur qu'on pouvait clairement voir un nuage de fumée dans le ciel à plus de trois kilomètres des lieux. Et Kaven Grandmont ne pouvait que constater que le feu était en train de brûler une partie de son troupeau.

«Il y avait 30 taures là-dedans, c'était pour la relève laitière. Je viens d'acheter la ferme de mon père à Baie-du-Febvre», raconte M. Grandmont, visiblement affecté par le drame qui se jouait devant ses yeux.

Le jeune agriculteur avait acheté la ferme familiale en novembre. Il lui reste une soixantaine de bêtes à Baie-du-Febvre pour sa production laitière. Il devra vraisemblablement renouveler son troupeau.

M. Grandmont estime les dommages à plus de 200 000 $. Il va prendre contact avec ses assureurs pour connaître la suite du dossier. Le propriétaire a manifesté l'intention de reconstruire la bâtisse qui se trouve derrière sa maison.

Personne n'a été blessé dans cet incendie. Un petit bâtiment adjacent a subi des dommages sans toutefois être détruit par le feu.

Cet incendie de ferme est le deuxième à survenir en un peu plus d'une semaine au sein du territoire de la MRC de Nicolet-Yamaska. Le 25 janvier, le feu avait détruit une ferme porcine de Saint-Zéphirin-de-Courval. Quelque 100 porcs avaient péri.

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Un résidant de La Patrie accusé de cruauté envers les animaux - 4 Février 2010

Pierre Hébert
pierre@journalhsf.com

Un résidant de La Patrie, Denis Vallières, devra faire face à des accusations de négligence envers les animaux au Palais de justice de Sherbrooke, ce mercredi 3 février.

Répondant à une plainte logée auprès de la Société protectrice des animaux de l'Estrie, des inspecteurs ont effectué une inspection le 23 novembre dernier. Constatant la gravité et l'urgence de la situation, ils ont effectué les démarches nécessaires pour l'obtention d'un mandat de perquisition. Avec l'assistance des policiers de la Sûreté du Québec du Haut-Saint-François, les inspecteurs de la SPA de l'Estrie ont saisi plus d'une quarantaine d'animaux de ferme et de compagnie vivant dans des conditions exécrables. On a également trouvé les carcasses d'une dizaine d'animaux morts, dont deux veaux, un cheval ainsi que trois chiots.

Deux chevaux, trente-cinq poules, sept lapins ainsi que deux chiens ont en effet été découverts sur les lieux de la saisie, sans eau ni nourriture, vivant à l'extérieur ou dans un bâtiment en très mauvaises conditions. Dans un piteux état, les animaux ont immédiatement été examinés par un vétérinaire, puis placés en famille d'accueil. La SPA de l'Estrie s'est par la suite assurée que tous reçoivent les soins de santé requis, de mentionner Cathy Bergeron responsable des communications de l'organisme.

Selon l'article 446.1 B du Code criminel canadien, le propriétaire ou le gardien d'un animal qui «volontairement néglige ou omet de lui fournir les aliments, eau, abri et soins convenables et suffants» commet un acte criminel et est passible d'une peine d'emprisonnement maximale de deux ans et/ou d'une amende maximale de 5 000 $.

Enfin, Mme Bergeron mentionne que «trop de cas de maltraitance et de cruauté envers les animaux existent encore. Si des gens sont témoins de telles situations, je les encourage fortement à communiquer avec nous. Ces signalements, qui demeurent anonymes, nous permettent alors d'intervenir. Il doit en effet y avoir dépôt d'une plainte afin que nous puissions nous rendre sur le terrain et constater la situation. Avec des faits en main, nous pouvons par la suite obtenir un mandat de perquisition, puis, s'il y a lieu, déposer un dossier au Procureur qui verra à porter des accusations le cas échéant», de compléter Mme Bergeron.

Photo :

Outre la découverte d'animaux morts, plusieurs autres ont été trouvés dans des conditions exécrables.

http://www.estrieplus.com/contenu-0404040431353537-7613.html

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Un résidant de La Patrie accusé de cruauté envers les animaux - 4 Février 2010

Pierre Hébert
pierre@journalhsf.com

Un résidant de La Patrie, Denis Vallières, devra faire face à des accusations de négligence envers les animaux au Palais de justice de Sherbrooke, ce mercredi 3 février.

Répondant à une plainte logée auprès de la Société protectrice des animaux de l'Estrie, des inspecteurs ont effectué une inspection le 23 novembre dernier. Constatant la gravité et l'urgence de la situation, ils ont effectué les démarches nécessaires pour l'obtention d'un mandat de perquisition. Avec l'assistance des policiers de la Sûreté du Québec du Haut-Saint-François, les inspecteurs de la SPA de l'Estrie ont saisi plus d'une quarantaine d'animaux de ferme et de compagnie vivant dans des conditions exécrables. On a également trouvé les carcasses d'une dizaine d'animaux morts, dont deux veaux, un cheval ainsi que trois chiots.

Deux chevaux, trente-cinq poules, sept lapins ainsi que deux chiens ont en effet été découverts sur les lieux de la saisie, sans eau ni nourriture, vivant à l'extérieur ou dans un bâtiment en très mauvaises conditions. Dans un piteux état, les animaux ont immédiatement été examinés par un vétérinaire, puis placés en famille d'accueil. La SPA de l'Estrie s'est par la suite assurée que tous reçoivent les soins de santé requis, de mentionner Cathy Bergeron responsable des communications de l'organisme.

Selon l'article 446.1 B du Code criminel canadien, le propriétaire ou le gardien d'un animal qui «volontairement néglige ou omet de lui fournir les aliments, eau, abri et soins convenables et suffants» commet un acte criminel et est passible d'une peine d'emprisonnement maximale de deux ans et/ou d'une amende maximale de 5 000 $.

Enfin, Mme Bergeron mentionne que «trop de cas de maltraitance et de cruauté envers les animaux existent encore. Si des gens sont témoins de telles situations, je les encourage fortement à communiquer avec nous. Ces signalements, qui demeurent anonymes, nous permettent alors d'intervenir. Il doit en effet y avoir dépôt d'une plainte afin que nous puissions nous rendre sur le terrain et constater la situation. Avec des faits en main, nous pouvons par la suite obtenir un mandat de perquisition, puis, s'il y a lieu, déposer un dossier au Procureur qui verra à porter des accusations le cas échéant», de compléter Mme Bergeron.

Photo :

Outre la découverte d'animaux morts, plusieurs autres ont été trouvés dans des conditions exécrables.

http://www.estrieplus.com/contenu-0404040431353537-7613.html

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L'incendie de la porcherie a causé la mort de 900 bêtes. (Photo Ronald Martel)
Porcherie rasée par les flammes à Stratford
Rémi Tremblay ( 20/1/2011 )


(RT)- Malgré l’intervention d’une quarantaine de pompiers de Stratford, Weedon, Disraéli et Saint-Romain, une porcherie appartenant à Paulo Patry, sur la route 161, à Stratford, a été la proie des flammes, dans la soirée de lundi. Les quelque 900 porcs qui se trouvaient dans le bâtiment ont tous péri.

L’alerte a été donnée au Service des incendies de Stratford, aux environs de 16h20. «À notre arrivée, une bonne partie du bâtiment, côté ouest, était en flammes», confiait le chef pompier Benoît Boisvert, au lendemain du sinistre.

Situé à environ une centaine de mètres de la route 161, à la sortie du village, en direction de Stornoway, le bâtiment s’étendant sur près de 80 mètres de longueur n’était déjà plus accessible aux sauveteurs. Les pompiers se sont surtout affairés à protéger des bâtiments voisins, dont un silo et une chambre de fabrication des moulées.

La température extérieure avoisinait les -25 degrés C quand les équipes de sapeurs ont décidé de quitter les lieux, vers 23h30, alors qu’un épais nuage de fumée sortait encore des décombres. «On arrosait à travers la fumée; on ne se voyait plus et les boyaux risquaient de geler.»

Tout porte à croire que l’incendie est d’origine accidentelle. L’état des lieux ne permettra sans doute pas aux enquêteurs d’en déterminer les circonstances exactes.

Les pertes pourraient se chiffrer à plus de 400 000$, dont 130 000$ en animaux, toujours selon Benoît Boisvert. La production porcine à la ferme de Paulo Patry se pratiquait sous un système d’intégration, à forfait pour l’intégrateur Martin Raby qui devait prendre livraison d’une quantité d’animaux la semaine prochaine.

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Publié le 05 mars 2011 à 06h00 | Mis à jour le 05 mars 2011 à 06h00


Violent incendie dans une porcherie
Environ 300 porcs ont péri dans un violent incendie sur le chemin Lequin à Shefford hier après-midi.

photo Stéphanie Mantha
Ariane Faribault
La Voix de l'Est


(Shefford) Un violent incendie a ravagé deux des trois bâtiments d'une porcherie du chemin Lequin à Shefford hier après-midi, tuant environ 300 bêtes. Les flammes se sont propagées si rapidement qu'à l'arrivée des pompiers, un des bâtiments s'était déjà effondré.


Les pompiers ont été appelés sur les lieux vers 15h30, à la suite du déclenchement d'une alarme reliée à la centrale. «À notre arrivée, le feu s'était propagé à deux des bâtiments et l'un d'eux était même déjà effondré, indique André Cadorette, directeur du service des incendies de Shefford. Il n'y avait plus rien à faire pour ces deux-là, alors nous avons protégé le troisième avec des jets d'eau. Il a pu être sauvé.»

De nombreuses bêtes ont toutefois péri dans cet incendie. Les quelque 300 porcs qui se trouvaient dans les deux bâtiments incendiés n'ont pas survécu au brasier.

Le propriétaire de la porcherie, René Landry, se console toutefois en se disant que les pertes auraient pu être encore plus considérables, puisque ses bâtiments étaient partiellement vides.


«Nous sommes en période de vidage présentement, indique-t-il. Les animaux sont prêts pour l'abattoir et plusieurs étaient partis. Nous attendions de nouveaux porcelets dans une quinzaine de jours. Si cette section-là avait été pleine, nous aurions perdu environ 1000 bêtes.»

Environ 300 bêtes, qui se trouvaient dans le troisième bâtiment, ont été épargnées. Elles ont toutefois dû être déménagées temporairement. «Comme nous n'avons plus d'électricité, nous avons dû sortir ces animaux, mais on va pouvoir reprendre les activités quand on sera rebranché», précise le propriétaire.

La suite à lire dans l'édition de samedi

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Incendie d'une porcherie à Beauceville
2011-03-11
Un incendie a complètement détruit la porcherie du 130 avenue Lambert à Beauceville, vendredi 11 mars 2011 vers 16 h 15. Près de 900 porcs ont péri. Les pompiers de Beauceville, aidés de leurs collègues de St-Victor et St-Joseph, ont été appelés sur place. L'incendie serait d'origine électrique. Les dommages s'élèvent à près de 300 000 $. Dans ce reportage, Dan Roy, chef pompier de Beauceville, nous fait un bilan de l'intervention


http://www.beauce.tv/index.asp?vID=2545&sCat=5

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me rappelle plus si j'ai posté celle-là:



Publié le 07 janvier 2011 à 17h28 | Mis à jour le 07 janvier 2011 à 21h39


2500 bêtes périssent dans l'incendie d'une porcherie

Vendredi, les pertes de cet incendie étaient évaluées à une somme variant entre 2 et 2,5 millions $. La porcherie produisait entre 7000 et 7200 porcs par année.

Le Soleil, Renaud Philippe
Le Soleil


(Québec) Quelque 2500 porcs ont péri dans l'incendie qui a lourdement endommagé une porcherie de Saint-Flavien située dans le rang du Bois-de-l'Ail. Le brasier a été détecté par les parents du propriétaire, Jonathan Labonté, aux alentours de 2h30, vendredi.



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«Tout ce que nous avons pu faire, c'est de limiter les dégâts», explique le directeur du service des incendies de Laurier-Station, Patrick Rousseau.

Le Soleil, Renaud Philippe
À l'arrivée des premiers pompiers, l'incendie avait déjà pris beaucoup d'ampleur, explique le directeur du Service des incendies de Laurier-Station, Patrick Rousseau. Le feu était alors localisé à l'arrière du bâtiment principal de la porcherie qui abritait les bêtes, pour la plupart des porcelets. Les sapeurs de Laurier-Station ont été assistés dans leur lutte par des pompiers de Saint-Agapit, de Joly et de Dosquet.

«Tout ce que nous avons pu faire, c'est de limiter les dégâts», explique M. Rousseau. Le feu a été placé sous contrôle avant l'apparition du soleil, mais les pompiers ont dû revenir vers l'heure du dîner afin d'éteindre un petit foyer d'incendie qui était toujours actif.

Le propriétaire de la porcherie Rojotal, Jonathan Labonté, a bien tenté d'éteindre le brasier avec son père en soufflant de la neige sur les flammes à l'aide d'une grosse souffleuse, mais ses efforts n'ont rien donné de concret. Jonathan Labonté habite à un jet de pierre du domicile de ses parents.


«Il n'y a pas de neige cette année, alors c'était bien difficile de faire quoi que ce soit», a raconté celui qui a acheté l'entreprise de ses parents il y a deux ans. Cette porcherie appartient à la famille Labonté depuis 1986. «Disons qu'on ne pouvait pas avoir pire comme début d'année», a-t-il ajouté.

Quelque 300 cochons ont pu être sauvés des flammes. Il faudra maintenant voir si les bêtes survivantes garderont des séquelles ou non de leur exposition à la fumée.

M. Labonté ne savait pas s'il serait en mesure de reconstruire sa porcherie. Il avance qu'il faudra voir quel montant l'assureur de ses installations lui versera comme indemnité. Vendredi, les pertes causées par l'incendie étaient évaluées à une somme variant entre 2 et 2,5 millions $. La porcherie produisait entre 7000 et 7200 porcs par année.
«Il faut être capable de reconstruire et d'être rentable après, a-t-il indiqué. Disons qu'on va prendre plusieurs semaines avant de prendre une décision.»

Dans les heures suivant l'incendie, cousins, proches et voisins sont venus aider le jeune propriétaire de 29 ans sur le lieu du sinistre, notamment à sortir les carcasses des ruines du bâtiment.

Triste air de déjà-vu

La ferme laitière du voisin de M. Labonté, Patrick Rousseau, a été complètement détruite par un important incendie en 2002. Il n'a pas hésité une seconde à aller appuyer son voisin. Drôle de hasard, mais le directeur du Service des incendies de Laurier-Station et ce voisin portent le même prénom et le même nom. «En 2002, je me rappelle que tous les voisins étaient venus me donner un coup de main et je l'avais beaucoup apprécié, se remémore-t-il. Quand j'ai vu que mon voisin passait au feu, je suis allé l'aider sans réfléchir. Je sais très bien ce que lui et sa famille traversent présentement.»

L'enquête menée par les policiers de la Sûreté du Québec (SQ) a démontré pour le moment que l'origine de l'incendie ne semble pas criminelle. La cause exacte du brasier demeure à être déterminée, indique Richard Gagné, porte-parole de la SQ.

«Nous avons fait le tour de ce qui reste de l'édifice avec les investigateurs de la compagnie d'assurance, et nous n'avons pas pu mettre le doigt sur l'origine probable de ce feu», a expliqué le directeur du Service des incendies de Laurier-Station. «C'est très difficile à trouver quand presque tout est détruit.»
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faits-divers/201101/07/01-4358149-2500-betes-perissent-dans-lincendie-dune-porcherie.php

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Incendie à Saint-Narcisse
Par Jean-François Routhier ce 12 mars 2011 à 18h45Un incendie s’est déclaré vers 11 h ce matin dans une porcherie du rang St-Joseph à Saint-Narcisse-de-Beaurivage.

Les pompiers de Saint-Narcisse et de Saint-Bernard ont mis une trentaine de minutes à maîtriser les flammes.

Les causes et les montants des dommages sont inconnus pour l’instant.

http://www.editionbeauce.com/nouvelles/faits_divers/12868/incendie-a-saint-narcisse.php

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La Bolivie transfère 25 lions aux Etats-Unis

Par Europe1.fr avec AFP


Publié le 16 février 2011 à 22h44

Vingt-cinq lions confisqués à des cirques, en vertu d'une loi interdisant l'utilisation d'animaux sauvages dans des spectacles en Bolivie, ont été transférés mercredi du pays sud-américain à un refuge aux Etats-Unis, a annoncé Animal Defenders International (AID), une ONG de défense des animaux. Les fauves avaient été récupérés dans des cirques ambulants en fin d'année dernière et placés en quarantaine dans un refuge.

La Bolivie a adopté en 2009 une loi interdisant l'utilisation d'animaux sauvages par des cirques ou d'autres spectacles publics, une "première au monde", selon Jean Creamer, président de la branche locale d'AID.

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mercredi 23 mars 2011
23/03/2011...Au moins 32 bœufs musqués ont été retrouvé morts, congelés et enfouis dans la glace, sur la cote nord de l'Alaska
10:07
Au moins 32 bœufs musqués* ont été retrouvé morts, congelés et enfouis dans la glace, sur la cote nord de l'Alaska dans la péninsule de Seward. C'est une tempête hivernale extrêmement virulente qui à soufflé le 28 Février dernier au large de la mer des Tchouktches qui a provoqué un raz de marée et des inondations et entrainé leurs morts.

C'est le 15 Mars que les chercheurs du "National Park Service" ont constaté leurs morts en survolant la réserve Nationale du "Bering Land Bridge", en tentant de retrouver 4 d'entre eux équipés de colliers émetteurs.

John Quinley le responsable de la réserve à prévu de survoler de nouveau la zone, pour tenter de retrouver le reste du troupeau qui a du être enseveli plus profondément sous la neige, et que les dernières investigations n'ont donc pas pu localiser car leurs carcasses étaient difficilement repérable.

Source: The Washington Post National
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Voir aussi chasse expérimentale au boeuf musqué (Canada)

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ajouter aussi News sur la chasse au phoque

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Publié le 25 février 2011 à 16h43 | Mis à jour le 25 février 2011 à 20h43


Observation des blanchons: la saison encore à l'eau



Seulement deux saisons ont été annulées en 22 ans d'observation des blanchons pour l'entreprise hôtelière Château madelinot, et elles se suivent.

Photo Château madelinot
Gilles Gagné, collaboration spéciale
Le Soleil


(Cap-aux-Meules) Pour une deuxième année de suite, la saison d'observation des blanchons au large des Îles-de-la-Madeleine est annulée parce que la banquise n'est pas suffisamment formée pour supporter les hélicoptères utilisés pour véhiculer les touristes.

La saison devait débuter demain. Près de 150 visiteurs avaient réservé des forfaits offerts par le Château madelinot au cours de la semaine à venir. Des dizaines d'autres attendaient la confirmation d'une formation de banquise pour converger vers les Îles.



«L'Internet permet à la planète de consulter le service des glaces. Il y a pas mal de monde qui surveille ça», précise Jean-Yves Thériault, copropriétaire du Château madelinot en parlant des gens qui improvisent. Les gens qui avaient réservé venaient surtout d'Asie, d'Europe et des États-Unis.


Seulement deux saisons ont été annulées en 22 ans d'observation des blanchons pour l'entreprise hôtelière, et elles se suivent.


«C'est inquiétant»


«C'est inquiétant», ajoute M. Thériault au sujet de l'avenir de ce produit touristique. Il fait néanmoins remarquer «qu'il neige au Texas, qu'il y a eu 12 ou 13 tempêtes de neige à New York. C'est difficile de convaincre les Américains que la planète se réchauffe».


Jusqu'au début de la semaine, les Madelinots croyaient qu'il serait possible de sauver la saison. «Il faut plusieurs nuits assez froides, sans vent. Une bonne banquise prenait forme jusqu'au 14 février. Mais la tempête du 15 et 16 février, où le vent a soufflé à 80 kilomètres à l'heure, avec des pointes de 100, a tout brisé. À la lecture des cartes [...] on est sur la slush. Les hélicoptères ne pourraient se poser. Et il a trop venté depuis pour que la banquise se forme de nouveau», explique M. Thériault.


La firme hôtelière perd un chiffre d'affaires de 400 000 $, alors le reste de l'industrie touristique de l'archipel perd autant. Jean-Yves Thériault précise que 40 de ses 63 employés perdent l'équivalent de trois semaines de travail, ce qui exclut l'effet dans les autres hôtels et les pourvoyeurs de services.

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Un incendie rase un bâtiment de ferme à Ste-Angèle



Publié le jeudi, 31 mars 2011 14:54 - par Roger Boudreau


C'est tout ce qui reste du bâtiment ferme qui abritait une quarantaine d'animaux de boucherie.
L’appel a été reçu à la sûreté du Québec à 5h10 ce matin (jeudi) mais en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, le bâtiment de ferme situé au 164 dans le 5è rang Fleuriault à Sainte-Angèle a été complètement rasé a dit le sergent Claude Ross, des communications de la SQ.

La SQ écarté la possibilité d’un incendie de nature criminelle. Selon Claude Ross, c’est à des fils électriques qu’il faut peut-être attribuer ce feu qui a causé des dommages pour environ 100 000$. Une quarantaine d’animaux de boucherie, veaux et bœufs, ont péri dans le brasier.

Claude Ross dit n’avoir jamais vu un incendie se propager aussi rapidement depuis très longtemps. Bien avant que les pompiers de Ste-Angèle, St-Gabriel et Mont-Joli n’aient pu arriver sur les lieux de l’incendie, le bâtiment était déjà une perte totale.

Une vingtaine de pompiers se sont rendus sur les lieux et un certain nombre sont demeurés sur la place jusqu’à ce que le feu soit complètement maîtrisé. D’ailleurs, lorsque le représentant de L’Avantage s’est présenté près du bâtiment, vers 12h55, les deux derniers camions incendie quittaient les lieux.

Une scène apocalyptique, une perte dure à avaler pour les propriétaires et une fin atroce pour les animaux.

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Incendie d'une porcherie à Beauceville
2011-03-11 19:17:27

Un incendie a complètement détruit la porcherie du 130 avenue Lambert à Beauceville, vendredi 11 mars 2011 vers 16 h 15. Près de 900 porcs ont péri. Les pompiers de Beauceville, aidés de leurs collègues de St-Victor et St-Joseph, ont été appelés sur place. L'incendie serait d'origine électrique. Les dommages s'élèvent à près de 300 000 $. Dans ce reportage, Dan Roy, chef pompier de Beauceville, nous fait un bilan de l'intervention

http://www.beauce.tv/index.asp?vID=2545


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Dimanche, 06 Mars 2011 16:24


Une porcherie de Shefford est rasée par les flammes
Steve Corbeil / www.stevecorbeil.net/blog/ Vers 15h00 samedi, les pompiers de la municipalité de Shefford ont combattu un violent incendie dans une ferme porcine au 644, chemin Lequin.

Les flammes ont menacé un certain moment deux réservoirs de propane. Le secteur étant non alimenté par un réseau de borne-fontaine, une demande d'assistance a été effectuée à Waterloo, Bromont, Lac-Brome, Eastman et Granby.

Environs 300 bêtes sont mortes dans les décombres. Deux bâtiments ont été détruits et un troisième a été sauvé, dans celui-ci, se trouvait 300 autres porcs qui heureusement ont été épargnés. On ignore la cause du sinistre.


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Chaudière-Appalaches
Le feu détruit une porcherie de Sainte-Hénédine
Première publication 22 mars 2011 à 06h07

Crédit photo : TVA Nouvelles TVA Nouvelles Un important incendie a complètement ravagé une porcherie de Saint-Hénédine, en Beauce, tôt mardi matin.

Le brasier s'est déclaré peu avant minuit, entraînant rapidement un embrasement généralisé.

La porcherie est une perte totale; les dommages sont évalués à près de 200 000$.

Toutes les bêtes à l'intérieur de l'édifice - 150 truies et 400 porcelets - ont péri.
La Sureté du Québec a ouvert une enquête.
http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2011/03/20110322-060700.html

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Published Thursday March 31st, 2011

A5Lucas McInnis
Canadaeast News Service

(LES ÉLEVEURS DE SAUMON VEULENT LA PEAU DES PHOQUES GRIS)
MIRAMICHI - With numbers indicating a sharp increase in the number of grey seals
in Atlantic waters from 13,000 half a century ago to more than 400,000 today,
the Miramichi Salmon Association is backing the Fisheries and Oceans Department
on a prescribed seal hunt in the Gulf of St. Lawrence.


The Miramichi Salmon Association supports a
prescribed grey seal hunt in the Gulf of St. Lawrence. Mark Hambrook, president
of the association, says the growing population of the seals is having a
negative effect on the population of fish in the region, including Atlantic
salmon.

The call for a seal hunt comes following a DFO report stating the seal
population has grown to the point that it's impacting the recovery of cod stocks
in the Gulf of St. Lawrence, Hambrook said, prompting a proposition of a cull to
bring the numbers down and improve numbers for other marine species.

"We'd like to see a sustainable harvest and we think it's impacting other
species. We know it's impacting other species of fish because they eat
everything," Hambrook said.

"Our point is, we'd like to see the population balance because the natural
predators are gone and keep it at a sustainable level but not let it grow to the
proportion that it has."

Natural predators for the seals such as sharks and killer whales have seen a
dramatic decline in their numbers, allowing the seals to flourish 40-fold. There
has not been a cod fishery in the Gulf of St. Lawrence for many years, Hambrook
said, leading to fears grey seals are hindering the recovery of the cod stock.

"The predators used to keep the population in check but I guess it's been the
seal hunt that has really kept the population at a lower level," Hambrook said.

Hambrook is not aware when such a hunt would go forward but he doesn't expect an
announcement in the middle of a federal election campaign.

"There will be some opposition. There has been opposition to it by PETA and
others who don't want to see seals being harvested."

Hambrook said the MSA also sees additional benefit to the sea hunt, providing
work for First Nations fishermen who could conduct the hunt for extra income and
work while also allowing the harvest to be converted into useable products.

He estimated the DFO would need to reduce the number of grey seals by about 70
per cent to increase fish stocks, bringing the number from about 400,000 to
120,000, which he said is still a strong population.

"If you go out to Miramichi Bay and around those islands, that's the most
numerous seals that you'll see and there are several thousand right there,"
Hambrook said.

"This isn't going to happen all at once, there's no way I think you can
physically go out there and do it."

http://telegraphjournal.canadaeast.com/rss/article/1394069

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100 vaches succombent dans les flammes à Compton


Un incendie a ravagé la grange de la Ferme Andreas Truninger, le 5 avril. (photo: Dany Jacques)
Publié le 6 Avril 2011
Publié le 6 Avril 2011
Dany Jacques Une centaine de vaches ont péri dans l’incendie de la grange de la Ferme Andreas Truninger, située sur le chemin Sideleau à Compton, le 5 avril.

Sujets : Cochrane , Progrès de Coaticook , Compton , Coaticook
Les flammes ont pris naissance un peu avant midi, mais le feu avait pris beaucoup d’ampleur à l’arrivée des pompiers de Compton, Coaticook et Waterville. Trois silos ont été préservés, mais il était trop tard pour les animaux.

Cette ferme est située à quelques kilomètres du cœur du village. Il faut emprunter les chemins Cochrane, puis Boudreau et Huff, avant d’atteindre Sideleau.

La grange représente une perte totale. Les dommages sont estimés à près d’un million de dollars. Les cendres brûlaient encore le lendemain matin, lors du passage du représentant du Progrès de Coaticook.

Plus de photos dans notre section Diaporama