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lolita54

croissance et débourrage ....

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j'étais un peu comme toi Marik avant............. dressage obstacle, encore dressage, bcp dressage lol ........ le tout en bride, longe ect.........
aujourd'hui j'ai complètement changé de philosophie, je préfère quelque chose de beaucoup plus naturel, peut être vais je sauter le pas d'abandonner le mors et je trouve ça bien plus sympa et surtout naturel drffe

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'Fin bon en même temps pour être au plus naturel faudrait jamais grimper dessus, sont pas faits pour ça à la base les chevaux drffe

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oui bon après faut pas pousser à l'extrême........ c'est pas ce que je voulais dire fjjhjhgj

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almarie a écrit:
j'étais un peu comme toi Marik avant............. dressage obstacle, encore dressage, bcp dressage lol ........ le tout en bride, longe ect.........
aujourd'hui j'ai complètement changé de philosophie, je préfère quelque chose de beaucoup plus naturel, peut être vais je sauter le pas d'abandonner le mors et je trouve ça bien plus sympa et surtout naturel drffe



moi je suis comme sa dressage dressage dressage pas obstacle du tout edez

maintenant ma jument a une vie au pré toute la journée et rentre la nuit dans un immense box pour elle toute seul edez
sinon monter en licol ma jamais tenté je me dit toujours on sais jamais si on part ballader le cheval pour une raison ou une autre s'emballe .. a quoi je me rattrape? un cheval reste un animal avec des réaction parfois bizar donc sa me fait donc un peu peur
mpop

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Peu importe que l'on soit classique, étho, dressage ou ballade, du moment qu'on monte et travaille son cheval en prenant le temps qu'il faut et dans le repect de la morphologie, des capacités et du mental de son cheval, il n'y a pas de méthodes ou de disciplines meilleures que les autres, toutes ont leur lot d'informations précieuses à apporter ! drffe

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Oui mais le plus on a d'infos et de connaissances sur eux, plus on peut adapter nos méthodes pour leur bien être. Je ne suis pas contre le dressage ou toute discipline, on peut les pratiquer de différentes manières.

Compétition de dressage en bitless


Hihi Audrey c'est la première idée reçue à laisser tomber. C'est pas un petit bout de métal qui te donnera le controle de ton cheval. Par contre la transition au sans mors sur un cheval qui était monté en filet c'est du progressif drffe .
Et oui je suis d'accord pour le fait qu'un cheval au départ n'est pas fait pour être monté, ni un chien marcher en laisse drffe mais si on ne faisait pas tout ça avec eux ba y en aurait plus. Alors il ne faut pas voir tout noir ou tout blanc, il y a des nuances.

Almarie la monte sans mors une fois que tu y a gouté tu ne peux plus faire autrement et tu te demandes comment tu faisais avant. Le cheval a une toute autre attitude, plus en avant avec un meilleur engagement, plus aucune défense contre la main et une nette augmentation de leur résistance à l'effort.
A l'occasion on pourra ouvrir un post là dessus pour en discuter. Je vais rechercher les publications sur les effets du mors sur l'organisme.

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Si on peut éviter Nevzorov là-dessus... parce que je suis fan de ce qu'il fait, mais j'ai vu une vidéo où il présentait les méfaits du mors, mais en oubliant de préciser que c'est avec une main dure et par à-coups...
Enfin bref parfois je trouve sa façon de présenter les choses un peu trop extrémiste...

Pardon, je dévie du sujet de départ.

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calamityln a écrit:
Peu importe que l'on soit classique, étho, dressage ou ballade, du moment qu'on monte et travaille son cheval en prenant le temps qu'il faut et dans le repect de la morphologie, des capacités et du mental de son cheval, il n'y a pas de méthodes ou de disciplines meilleures que les autres, toutes ont leur lot d'informations précieuses à apporter ! drffe


bien dit mkmk

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Bon allez je vous mets juste un article qui synthétise les résultats des travaux de recherche des Docteurs Cook et Strasser et aprés je me tais edez :

La bouche du cheval est très sensible, et une pression sur la mandibule nue, derrière les canines et devant les molaires, est douloureux. De nos jours, on cherche de plus en plus à collaborer avec nos chevaux plutôt que de les subordonner totalement. On cherche même à les comprendre et à les chuchoter pour avoir leur avis sur le traitement qu’ils subissent. On recherche des selles sans arçon pour ne pas avoir des points de pression sur leur dos et on commence à comprendre les effets néfastes des fers à cheval. Il est alors extraordinaire qu’on utilise toujours l’instrument de torture qui est le mors dans la bouche du cheval. Sur ce point, nous continuons de communiquer avec le cheval par une méthode qui lui inflige beaucoup de douleur. Il est évident que le mors n’est pas du tout nécessaire pour communiquer avec le cheval, il n’est qu’un vestige hérité de coutumes anciennes, et ceci a été démontré par de nombreux entraîneurs de chevaux de pointe.

La conduite
Le cheval est un animal de fuite et il va courir pour échapper à la douleur, même l’anticipation de la douleur. Si la douleur persiste, ou même augmente quand le cavalier tire encore plus sur le mors, la douleur devient une panique qui à son tour fait que le cheval s’emballe. Le cheval est maintenant aveuglé de peur et n’a que la fuite en tête. En tant que cavalier on est dans une situation de danger grave.
Effets sur la bouche
Le mors repose sur la mandibule. Cette mandibule est recouverte de, et dépend pour son alimentation de son périoste, une couche tissulaire très fine qui accommode des vaisseaux sanguins et des nerfs. Il est ensuite couvert de la muqueuse buccale, un tissu très sensitif de 2 mm d’épaisseur. La pression exercée par le mors varie avec le type de mors et la force appliquée par le cavalier ou le meneur. Le mors comprime alors la muqueuse buccale et le périoste, ce qui oblitère les vaisseaux sanguins et donne des inflammations. Ces périostites entraînent à son tour des ossifications sur le bord supérieur de la mandibule. Le nerf mandibulaire sort de l’os à cet endroit. Il conduit les sensations de la mandibule, de la lèvre inférieure et de la joue.

Effets sur la tenue et la fonction locomotrice
On peut dire que le cheval avec mors est un « boiteux de bouche ». Il essaie d’éviter la douleur et adapte une position non physiologique de la tête, ainsi que des mouvements divers pour échapper aux douleurs. Il y a un rétrécissement par réflexe des voies respiratoires supérieures, ce qui diminue le transport d’oxygène dans les poumons, et par conséquence diminue l’oxygénation du sang. Le cheval se fatigue plus vite, et des accidents sont plus fréquents. Une performance maximale du corps n’est pas possible à cause d’un métabolisme réduit.

Effets sur la fonction respiratoire
Le cheval avec mors essaie de se débarrasser de ce corps étranger et il produit de la salive par réflexe. Sa respiration est handicapée à cause du conflit des réflexes « avaler » et « respirer », puisque le larynx est à moitié fermé. L’air utilisé est retenu dans les poumons, et la rétention de CO2 donne une acidification du sang avec des conséquences métaboliques correspondantes. Le pharynx représente le passage entre la cavité buccale et l’œsophage mais l’endroit est aussi à considérer comme la division en voie respiratoire et voie digestive. A ce niveau il y a des réflexes qui ferment la voie digestive ou la voie respiratoire dépendant de la fonction demandée. S’il y a de la nourriture (ou autre chose comme un mors) dans la bouche, le réflexe d’avaler se prépare et la respiration est interrompue dans les voies respiratoires profondes. Si par contre l’animal est en mouvement et a besoin de beaucoup d’oxygène, la salivation et le réflexe d’avaler sont arrêtées et les voies respiratoires sont libres et élargies. La nature n’a pas prévu de manger en simultané avec des mouvements rapides. Si l’animal a quelque chose dans la bouche, sa physiologie le veut au calme sans aucune raison de courir, avec une respiration petite et calme, et avec la production de salive pour une digestion optimale. C’est de tromper les nerfs et les réflexes d’un animal que de lui mettre quelque chose dans la bouche et de lui demander de faire en même temps des mouvements.

Effets sur les dents et le système digestif
Le cheval essaie d’éviter la douleur causée par le mors. Il utilise ses muscles pour tirer la mâchoire inférieure vers l’arrière. Les dernières molaires inférieures sont alors moins usées et ils endommagent la muqueuse de la mâchoire supérieure. C’est à la fois la conséquence d’une mastication tête haute et un retirement de la mâchoire inférieure vers l’arrière pour éviter la pression douloureuse du mors. Les dents doivent alors être revues et limées fréquemment, mais comme elles ont une croissance limitée, il se peut que le cheval n’ait plus de molaires et qu’il ne peut plus se nourrir avec sa nourriture de base, à savoir l’herbe et le foin. Si les animaux ne paîtront pas ils n’usent pas leurs incisives, elles deviendront trop longues donnant moins de friction et moins de résistance pour les molaires, qui elles poussent plus vite. La mâchoire est pressée vers le dehors, l’articulation des mâchoires commence à faire mal et le processus de mastication normal n’est guère plus possible. On peut facilement prévenir les problèmes dentaires des chevaux en les donnant à manger au ras du sol, en les faisant paître et les monter sans mors. Les animaux vivant libres dans la nature n’ont pas de tels problèmes, c’est-à-dire que c’est les humains qui leurs causent ces supplices non nécessaires.


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Je vais juste réagir là-dessus :
"on commence à comprendre les effets néfastes des fers à cheval"
je n'y connais pas grand-chose en maréchalerie, mais les fers ne sont pas néfastes pour tous les chevaux, là aussi il y a du boire et du manger, comme on dit.
j'ai vu des chevaux même jeunes que l'on a dû ferrer parce que leur corne était inadaptée à un non-ferrage, poussait mal ou autre et que si on les déferrait leurs aplombs étaient complètement faussés justement parce qu'ils avaient la corne trop fragile ou autre.
D'autres au contraire ne supportent pas les fers.
Je trouve qu'avant de se dire que ce n'est pas naturel et de bannir les "vieilles méthodes", il faut se demander pourquoi elles ont été adoptées : travail fourni, sur quel type de sol, quel mode de vie etc.

Je ne dis pas que je suis pour ou contre les fers, pour ou contre les mors et autres "instruments de torture", je dis qu'il faut mesurer ses opinions et que tous les arguments se discutent, il y a du bon et du mauvais en tout, dans le mors comme dans les fers, comme partout cela dépend du cheval et de l'utilisation dite "juste" de ces outils.
C'est comme la cravache, ou la badine, nous ne sommes pas des bourreaux parce que de temps en temps nos chevaux se prennent un coup sur le nez ou la croupe, ils se tapent aussi entre eux parfois, pour se rappeler les règles.

Le truc, encore une fois, est de trouver le juste milieu ! drffe

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Tout à fait d'accord !

Le tout est d'avoir l'esprit ouvert et d'être curieux et chacun voit midi à sa porte !

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je suis du même avis que calamityln pour ce qui est des fers ou non.

par contre, nous avons la chance dans notre écurie de connaitre et de se faire suivre par un écuyer qui nous fait travailler en dressage en restant à l'écoute du cheval; c'est-à-dire que le cheval est vraiment un partenaire dans la discipline et que l'on tente par diverses figures à lui montrer la voix du travail juste et à l'assouplir.
C'est un travail qui est assez différent de ce que l'on fait en club où on utilise vraiment le poids du corps.
je ne sais pas si vous connaissez le "fondateur" de cette façon de monter en légèreté : Nuno Oliveira. Je suis totalement adepte de ce genre de monte.

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Petit coeur a écrit:
Je me permets un copié/collé vu sur un autre forum sur le travail en longe, c'est assez intéresant:

Spoiler:
 

J'adhère totalement et me retrouve en grande partie dans ce témoignage !!! J'adore les jeux de fin de séance, la jument coquine qui n'attend que mon attitude pour démarrer le jeu, qui allonge son trot comme jamais quand je trotte avec elle sur petit cercle intérieur pour lui permettre s'allonger en agrandissant le sien. Vraiment, elle exprime très bien ce que je peux resentir et le plaisir aussi que j'ai à voir ma jument évoluer devant moi.

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Sinon pour répondre à la question qui m'a été posée, ma jument a 16 ans, n'a pas fait grand chose dans sa vie (à part brouter, je veux dire ! mpmp ), cheval de loisirs quelques années (carrière + extérieur) puis des années de repos (pour grossesses et 2 bébés à souci de santé pour moi).
Bref, à 16 ans, pas usée mais musculature disymétrique et capacité physique réduite, blocage fréquent en région dorso-lombaire (donc ostéo).

Dans le travail, ça donnait beaucoup de raideur, elle tourne comme une péniche, ne peut s'incurver, aucun équilibre (poids en avant), défense, allure disymétrique avec mauvais engagement d'un postérieur (pire que l'uatre je veux dire), craquement dans un efbezq.

Nous travaillons la décomposition de ses allures (par pratique des allures lentes et allongement max de l'encolure,bout du nez loin devant), les incurvations mais progressivement par de petits exercices courts. Et c'est là que la longe ets intervenue : sur petit cercle puis sur cercle plus large, elle devait marcher puis trotter (le puis est au fil des séances, pas au fil de la séance) en poussant son épaule intérieur vers l'extérieur du cercle, avec le bout du nez à l'intérieur. E, parallèle, je faisias des étirements qui amènent à la même chose ainsi que du travail à pied (surtout).

Progressivement, elle a pu allonger son encolure, gagner en souplesse, commencer à s'incurver, ses allures se sont déliées, le coprs entier ets devenu plus soupl,e plus fluide en mouvement. Elle ne s'est pas bloquée depuis presque 1.5 ans maintenant, un reccord !

Aujourd'hui nous avons un vrai mieux dans ses allures et sa capacité à venir sur le mors et à tendre son dos. Elle n'a JAMAIS eu cette qualité de déplacement, car naturellement elle n'a pas un physique top. Son postérieur ne craque plus, elle n'est plus en défense au travail en dehors des demandes d'incurvation dans le sens qui lui ets le plus difficle (je vis donc reprendre les exos à pied, les étirements et un peu de travail sur le cercle mais très étalé, genre sur un tour de carrière, on fait 2 angles en volte) et le galop (qui n'est pas du tout chez elle une allure naturelle vu qu'elle ne galoppe que très exceptionnellement d'elle-même !!).

A la longe j'ai aussi bossé par période l'allongement avec des barres au sol bien placées, car ma jument n'est pas forcément trop voloontaire à l'effort et c'était un moment où elle et moi c'était trop difficile monté car j'ia moi aussi mes soucis d'équilibre et de raideur ! mpmp

En somme, moi je fais tout : travail sur le plat, extérieur (et on peut aussi y bosser !), longe, travail à pied, parfois en liberté, parfois parcours en main type étho. Et je pense que tout a sa place dans le travail à partir du moment où l'onfait les choses intelligemment et que l'on sait pourquoi on fait ci ou ça et ce qu'on cherche à obtenir avec.

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Oui j'ai pas compris tout de suite

Super boulot que tu as fait avec elle mkmk au fond on est bien d'accord, j'apprécie particulièrement ta dernière phrase !

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Marik a écrit:
Super boulot que tu as fait avec elle mkmk au fond on est bien d'accord, j'apprécie particulièrement ta dernière phrase !
Celle-là ???

Gypsie a écrit:
Mais c'est nul, j'écrit bou-let et il me colle un smiley ! mpmp


zee

Ah ! Non ! L'autre... (je rigole bien sur)

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Sinon pour en revenir au sujet du débourrage, si ça en intéresse, je vous mettrais au fur et à mesure l'évolution de travail des poulains avec mon prof ! Type d'exo, durée...

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comme tu dit un bout de metal ne change pas grand chose quand il decide de t'embarquer il t'embarque mors ou pas mors
mais je sais pas c'est dans la tete mais j'essaierai bien une fois la monte au licol sa m'intrigue je suis curieuse =p
maintenant pour ce qui est du side bull et hackamore je suis contre c'est encor plus dangereux qu'un mors si il est utilisé avec une main trop lourde dedede
j'ai epnsée a se sujet tantot j'ai longer ma jument dans le rond de longe et j'ai pensé a se post edez elle etais toute folle ma louloutte on a travailler le travail a la voix et je lui apprend la jambette elle m'impressionne en 2 jour je claque des doigt ele le fait erer ( desoler hors sujet je voulais le dire fjjhjhgj

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Le side-pull et hackamore c'est pas seulement une question de main trop lourde mais aussi de réglage sur le chanfrein : trop haut il est inefficace et trop bas il gêne la respiration et est très douloureux pour le nez du cheval (logique, comme nous le bout du nez est le plus sensible car c'est pas de l'os mais du cartilage)

Moi je ne suis pas contre, j'apprendrais bien à débourrer au side-pull (mais double muserolle et cuir ou mouton, pas simple en corde, sinon c'est trop fin et trop sévère) mais comme dit faut que quelqu'un qui connaît bien m'apprenne à le régler et le contrôler.

Le hackamore c'est aussi une question de branches : plus elles sont courtes plus l'action est douce, plus elles sont longues plus l'action est sévère (ou fine et précise selon la main qui l'utilise, nous sommes d'accord), c'est comme pour un mors à levier, même principe.

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Le hack je connais pas trop, ça m'attire pas donc je pourrais pas dire, mais il me semble aussi comme dis Ln que c'est une question de réglage et de longueur de branche.
Le licol étho je m'en sers à pied, il faut faire attention car c'est trés sévère !
Pour la monte j'aime beaucoup les side pull avec une muserolle bien plate et large drffe bien réglé je pense que c'est le top ! Par contre j'ai beaucoup de mal à en trouver un à la taille de ma jument, il va falloir que j'en fasse faire un sur mesure.

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moi j'utilise le side pull , mes chevaux me donnent l'impression de préférer ça, je ne le serre pas, et le mot le dit bien , ''side pull'' si il y a un gros soucis je tire latéralement pour provoquer une flexion , le cheval qui s'emballe doit fléchir la tête et ça devient impossible de continuer ça cavalcade!
en tout cas moi je ne jure que par 'le side pull'' et je ne laisse plus personne monter avec un mord avec un cheval de chez moi, même les enfants utilisent le side pull avec mes chevaux

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