Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
calamityln

Quel vermifuge et quand ?

Messages recommandés

Oui je sais que ça ne sera plus efficace en cas de resistance. Mais si je suis la seule a faire du panacur et que tout le monde fait ivermectine, au depart du moins la mienne sera moins bien protégée et ensuite elle sera AUSSI infestée par des vers resistants, donc je serai pas plus avancée :s.

Tu vois?

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Non si tu fais un panacur par exemple en été tu vas éviter un gros stress du système digestif a ton cheval car ivermectine est quand même plutôt décapent.
Ensuite tu vas éliminer plus de parasites qu'avec l'ivermectine (si il y a une résistance) même si tu élimine pas tous (aucun vermifuge élimine tous les parasites) ensuite même si dans le temps l'action du panacur est moins long que l'ivermectine, ton cheval va se réinfester mais pas assez pour avoir des problèmes digestifs jusqu'au prochain vermifuge. Et ainsi de suite, comme tu fais quand même un vermifuge plus costaud une a deux fois par an style equest (pas de résistance dans ton cas car moxidectine) ton cheval est bien mieux vermifugé qu'avec seulement de l'ivermectine qui a la fin va juste servir a déséquilibrer la flore intesinale de ton cheval mais pas les parasites.

En gros dans ton cas où tous les proprio de chevaux font une rotation des vermifuges ou sinon je bannirais carrément l'ivermectine.


Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Ouais mais la resistance ca concerne toute la familles des avermectines non (ivermectine, moxidectine,...), non? Ou alors je me rappelle plus bien.

Jusqu'ici j'avais modifié son protocole en changeant l'ivermectine contre la moxidectine, pour les chiens et pour la rémanence plus longue (quoi que c'est con pcq c'est la rémanence qui provoque les resistances). Donc jusqu'ici, par moi (donc depuis mars) elle n'a eu qu'une fois equest pramox et une fois moxidectine pure. Ce qu'elle a eu avant j'en sais rien.


Ah oui, je viens de penser à un truc super important PAFF . Pour ceux qui ont une assurance sions medicaux type cavalassur (je pense à ça pcq je sais qu'LN a pris ça et c'est elle qui demande drffe ), ils n'assurent les colique que si on sait prouver qu'on a suivi un protocole approprié de vermifugation. Donc faire attention à ne pas trop faire que du bio à l'action non reconnue. Apres rien n'empeche de mentir mais faut que d'autres gens "temoignent".

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Merci Skyou mais en fait j'ai décidé de pas l'assurer finalement.
A la place je vais ouvrir un compte épargne et poser des sous dessus tous les mois comme si je payais à l'assurance, sauf que je garde les sous s'il se passe rien erre
Parce que si j'ai de la chance et qu'elle a rien ça fera de sacrées sommes parties pour rien... alors que là ça lui fait un capital santé + matériel si il lui arrive jamais rien (peu probable mais bon)

Pour en revenir aux vermifuges, c'est bien compliqué tout ça !
Bon alors 1/ je demande quand les autres font leur prochain vermifuge, 2/ qu'est-ce qu'ils donnent et 3/ je donne pareil que la majorité vu qu'ils ont tous le même véto, donc je suppose que même si c'est sous des formes différentes ça doit être les mêmes molécules de base, sinon le véto est pas logique et joue à pique et pique et collégramme !!!

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
skyoubilou a écrit:
Ouais mais la resistance ca concerne toute la familles des avermectines non (ivermectine, moxidectine,...), non? Ou alors je me rappelle plus bien.

Jusqu'ici j'avais modifié son protocole en changeant l'ivermectine contre la moxidectine, pour les chiens et pour la rémanence plus longue (quoi que c'est con pcq c'est la rémanence qui provoque les resistances). Donc jusqu'ici, par moi (donc depuis mars) elle n'a eu qu'une fois equest pramox et une fois moxidectine pure. Ce qu'elle a eu avant j'en sais rien.


Ah oui, je viens de penser à un truc super important PAFF . Pour ceux qui ont une assurance sions medicaux type cavalassur (je pense à ça pcq je sais qu'LN a pris ça et c'est elle qui demande drffe ), ils n'assurent les colique que si on sait prouver qu'on a suivi un protocole approprié de vermifugation. Donc faire attention à ne pas trop faire que du bio à l'action non reconnue. Apres rien n'empeche de mentir mais faut que d'autres gens "temoignent".


Pour la résistance je croit que c'est juste l'ivermectine puisque l'equestre pramox est récent et justement c'est la molécule qui doit remplacer l'ivermectine pour les résistances. A confirmer par quelqu'un?
Sachant que ça finira pareil avec dans le futur aussi une résistance a la moxidectine.
Par contre il y a un deux choses importnte (je sais pas si ça a été dit avant) il faut laisser les chevaux enfermés pendant 48h après le vermifuge (ou les changer de parcelle) et ramasser régulièrement les crottins.


calamityln a écrit:
Merci Skyou mais en fait j'ai décidé de pas l'assurer finalement.
A la place je vais ouvrir un compte épargne et poser des sous dessus tous les mois comme si je payais à l'assurance, sauf que je garde les sous s'il se passe rien erre
Parce que si j'ai de la chance et qu'elle a rien ça fera de sacrées sommes parties pour rien... alors que là ça lui fait un capital santé + matériel si il lui arrive jamais rien (peu probable mais bon)

Pour en revenir aux vermifuges, c'est bien compliqué tout ça !
Bon alors 1/ je demande quand les autres font leur prochain vermifuge, 2/ qu'est-ce qu'ils donnent et 3/ je donne pareil que la majorité vu qu'ils ont tous le même véto, donc je suppose que même si c'est sous des formes différentes ça doit être les mêmes molécules de base, sinon le véto est pas logique et joue à pique et pique et collégramme !!!

Demande au autres quand ils font leur vermifuge, le meix pour toi serait mis-novembre comme ça elle a eu l'autre vermifuge il y a plus de 2 mois.
Normalement il faut leur donner pareil mais si tu dit que certain font en comprimés je crois qu'il n'y en a pas 36, il y a l'ivermectine simple (intervet) ou ivermectine+praziquantel (equimax tabs) a moins qu'il t en ait d'autre.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Oui je sais qu'il faut au moins changer de parcelle apres et ramasser des crottins, mais quand on a notre cheval en manège on n'a pas toujours de prise là-dessus mpop .

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Je me permets de recoller mon programme que j'avais déjà donné dans un autre post.
Pour info, j'ai établi ce programme (le second, le premier n'étant pas le mien) en tenant compte de la période de développement de certains types de vers, de la molécule efficace contre ces vers et enfin des vermifuges contenant cette molécule.

Programme vermifuge selon Claude (association cheval avenir)

Mars : PANACUR
Juin : EQUEST
Septembre RINTAL + ou TELMIN +
Octobre : TENIVALAN pour le ténia, certains duo traitent aussi mais moins bien que celui là qui est vraiment exclu contre le ténia
Décembre : FUREXEL


Calendrier de vermifugation selon Raphaëlle :

Sur une base de 4 vermifugations :


Mars/Avril : contre les vers ronds ou nématodes = grands et petits strongles, ascaris, oxyures. Un Panacur est parfait à cette période.

Juillet/Juin : contre les mêmes types de vers, très important de changer de principe actif ! Donc : Telmin ou Strongid ou Pyratape.

Septembre/octobre : contre les vers ronds ou nématodes + les gastérophiles. Rintal + et Telmin + retirés du marché, un Equest peut faire l’affaire.

Décembre/Janvier : contre les ténias, le seul principe actif contre les ténias est le Praziquantel. Donc Tenivalan ou Equitape.


Il vaut mieux éviter les vermifuges contenant de l’Ivermectine, à savoir donc : le Vectin, le Noromectin, l’Eraquell, l’Equimax et l’Eqvalan.

Au passage, mon cheval est vermifugé uniquement deux fois par an (imposé par la pension, je ne peux donc pas mettre en place le calendrier ci-dessus) et se porte comme un charme. La véto de la pension a conseillé un Panacur au printemps et un Eqvalan duo à l'automne.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
tu peux remplacer ton eqvalan duo par de l'equest pramox, c'est pareil sauf que l'ivermectine est remplacée par la moxidectine.

Moins de resistances et moins toxiques pour les chiens. Mais les resistances sont dues à la remance elevée donc ça va finir par arriver aussi avec la moxidectine.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Une des autres proprios est bien d'accord qu'il faut les faire tous ensemble, et selon elle le prochain ils vont essayer de les faire tous ensemble... enfin l'avantage c'est que si on est à 2 à essayer de l'obtenir on aura plus de poids dedede

Je vais en reparler quand tout le monde sera là, ce sera plus simple, mais ça m'a l'air assez bien parti

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Dans l'idéal faut aussi faire la meme molecule et pas sortir les chevaux au pré pendant les trois jours apres le vermifuge!

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Ben oui je me doute !
La même molécule ça devrait pouvoir être possible mais au box 3 jours... moi je peux vu que je viens la sortir tous les jours mais je doute que les autres le fassent...
Enfin bon on va voir ce qu'il est possible de faire, vu qu'on est que 5 proprios on va peut-être pouvoir s'arranger...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Tout le monde ne peut pas apporter à ses chevaux des conditions de vie idéales et il ne faut pas toujours opposer le chimique au naturel, ces 2 formes de traitement doivent être utilisées de manière complémentaire et à bon escient. Mais rendre systématique l'utilisation préventif d'un vermifuge chimique en appliquant un protocole "tout fait" qui ne tient pas compte des spécificités de chaque individu est une grosse erreur à mon sens, vous ne faites que rendre les parasites plus résistants, affaiblissez l'immunité de vos chevaux et provoquez une réinfestation massive (la rémanence de 2 mois est celle constatée dasn le sol une fois le vermifuge éliminé, elle n'est que de quelques jours "dans" le cheval").

Il y a de plus en plus de pb liés aux ténias et de coliques chez des chevaux qui sont soumis à ces protocoles. Ce qui est logique quand on considère que les parasites sont en concurrance, une fois tout ce petit monde tué et éliminé, le terrain est libre pour l'installation des plus costauds.

Je ne dis pas qu'il ne faut pas utiliser de vermifuge chimique mais savoir pourquoi on le fait. Le faire dans de bonnes conditions. Mettre les chevaux dans un paddock pendant une dizaine de jours, ramasser les crottins et traiter le fumier en le recouvrant de chaux. Le traitement des paddocks devrait aussi être réalisé. "Si vous souhaitez traiter rapidement votre paddock, je vous conseille
d'utiliser de la chaux ou du lait de chaux.
Par la suite, si vous souhaitez traiter votre paddock de manière
préventive, je vous conseillerais d'épandre et de mélanger au sable du
paddock une plante qui s'appelle la Tanaisie (disponible entre mai et
septembre). Cette plante a comme vertu d'être un répulsif antiparasite
(tiques et puce) ainsi qu'un vermifuge. Ce traitement aura je pense
l'avantage d'agir préventivement contre le sur-parasitisme du paddock ou
tout au moins contre les parasites de type puces et tiques" (réponse d'AJC nature).

Pour finir, quelques infos sur les plantes qui peuvent être utilisées (il est complétement faux de prétendre qu'il n'y a pas d'études réalisées à ce sujet, pour ne citer que Strasser, Ancelet et bien d'autres en France mais il faut chercher):

achillée millefeuilles, absinthe ( action sur les ascaris, oxyures, tenia), cynorrhodon ( ascaris), fumeterre, mélisse, noyer (feuilles sur le ténia), tanaisie ( ascaris, oxyures), sarriette, ail (oxyures, ascaris, ténia), camomille ( ascaris, oxures), citron, estragon ( bon vermifuge parrait-il), eucalyptus ( ascaris, oxyures), hysope, lavande, santoline ( ascaris, oxyures), térébentine ( ténia), thym ( ascaris, oxyures, ankylodtomes, ténia) (source Jean Valnet).

Les cycles des parasites : http://eap.mcgill.ca/agrobio/ab370-04.htm

Essayer de s'affranchir le plus possible du "chimique" est compliqué et fastidieux, c'est une vrai démarche personnelle, il faut se renseigner sur les quantités à donner, les protocoles sont plus lourds, quelle plante à quelle période, sur quel cheval (jeune, vieux, jument en gestation...). ca prend beaucoup de temps, beaucoup plus que d'aller 4 fois par an en pharmacie mais c'est de notre responsabilité, pour nos chevaux et pour notre planète. Quand je vois certaines personnes qui se disent écolo, écoresponsables, qui essaient de manger local et qui blindent leurs chevaux et leurs prairies de produits toxiques 5 fois/an sans sourciller et sans aucune raison ça me fait vraiment déprimer . zerzer

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Malheureusement je n'ai aucune possibilité d'appliquer un pâturage sain pour ma Tillia, un seul pré dispo, déjà rasé de près par les 6 chevaux qui y sortent tous les jours (dont ma belle) et trop petit pour être parcellable... donc très net surpâturage.
Donc je n'ai guère de choix malheureusement, car pas les moyens financiers et pratiques de trouver autre chose, car là question rapport qualité/prix/prestations/installations c'est vraiment le top et près de chez moi...
Mais si j'avais plusieurs chevaux perso, des pâtures en suffisance et les moyens d'appliquer une vermifugation naturelle, je le ferais sans hésiter... mais ça aussi ça demande des moyens financiers que je n'ai pas...
Donc pour l'instant ça me fait assez mal pour mes convictions mais je vais m'en tenir au chimique.
Parfois ce n'est pas qu'une question de choix...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Je suis dans ton cas LN niveau installations (j'aurais mes chevaux dans mes prés en décembre alleluya YEAH ), je sais que c'est prise de tête mais pas forcément plus chère drffe !

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Ben oui mais vu que le surpâturage est fortement déconseillé déjà en temps normal et encore + avec une vermifugation naturelle, ça craint, parce que pas d'autre pré dispo aux alentours, ou alors des jachères que 1/ les paysans ne laissent pas utiliser car sinon ils n'ont plus les subventions et 2/ faut tout faire dessus, clôtures etc et je ne peux pas y amener foin et eau avec ma tite voiture, ou alors faut que je fasse minimum 1/2heure de route aller pour trouver un pré déjà fait mais même soucis d'apport en nourriture et eau, et d'autre part pas de potes de pré, enfin bref ça fait vraiment beaucoup de problèmes à résoudre... j'en ai déjà parlé dans mon post "le grand saut", la recherche d'un bon endroit pour nos dadous est vraiment un casse-tête sans nom.

Mais du coup toi tu vermifuges au naturel malgré un surpâturage pour l'instant ?

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Je comprend tout a fait ton point de vue mais pour avoir faillit perdre mon cheval a cause d'une colique du au parasite je suis des plus stricte sur le protocole et l'action des vermifuges chimiques à été prouvé et la mise en place est assez simple (le sens de simple n'est pas une question de fainéantise en allant seulement à la pharmacie 4 fois par an mais plutôt la facilité de la mise en place et du peu de risque d'erreur, ce qui ne demande pas une grande connaissance scientifique).
Pour ma part j'aimerais mettre en place un vermifuge naturel mais si c'est pour faire la même chose que le chimique c'est a dire un mélange de plante selon la saison, je ne vois pas trop l'intérêt sauf le côté "pollution" sachant que c'est pas parce que c'est naturel que ça ne pollue pas (par exemple si on met du lait dans un cours d'eau il y aura une aussi grande pollution que des engrais). Et si ils sont mal utilisé les vermifuges naturels provoqueront aussi des résistances. Sans compter que c'est pas parce que c'est naturel qu'ils ne peuvent pas provoquer des coliques ou tuer la flore intestinale tout comme les vermifuge chimique (il faut pas oublier que le chimique au départ est basé sur le naturel et certaine plante on une action très forte).
Donc si je voulais passer au naturel je ferais une copro (plutot un protocole de copro) par mois pour vraiment mettre en place un protocole de vermifuge adapté avec la plante adapté par cheval. Malheureusement je n'ai pas les moyens à 50€ la copro pour pouvoir le mettre en place.

Quand au problème de ténia c'est un mauvais exemple, le soucis ne vient pas du vermifuge mais de sa mauvaise utilisation et de la méconnaissance de beaucoup de véto sur se parasite. Puisque le ténia est très difficile à détecter a la copro (vu qu'il émet ses œufs de manière irrégulière), beaucoup de véto pense qu'il n'y a pas de ténia si la copro est négatif alors que c'est faux puisque pour chercher le ténia il faut faire des copro a quelques jours d'intervalle (trop cher à mettre en place). Et de se fait il a longtemps été ignoré et sa présence n'est retrouvé (et en grande quantité) à l'autopsie.
Ensuite on traite le ténia en automne sachant que c'est son pic d'infestation, mais il est aussi présent l'hiver (en moins grand nombre) et résiste très bien au froid, donc ensuite il faut attendre 1 an pour un nouveau vermifuge contre le ténia.
Enfin pour traiter le ténia on utilise toujours la même molécule le praziquantel, mais le ténia adulte fixé dans le système digestif du cheval est très difficile à déloger donc c'est pas avec un vermifuge par an et toujours la même molécule qu'on s'en débarrasse. Par exemple en Angleterre il traite le ténia a chaque vermifuge.
Sans compter ceux qui ne font pas le ténia car leur cheval n'est pas maigre et que dans beaucoup de tête le ténia fait maigrir le cheval.

Citation :
Ce qui est logique quand on considère que les parasites sont en concurrance, une fois tout ce petit monde tué et éliminé, le terrain est libre pour l'installation des plus costauds.

C'est une idée reçu puisque les parasites ont leur partie d'action dans le système digestif et leur période d'action, justement ils sont intelligent les parasites ils évitent de rentrer en compétition pour être les meilleur justement. De plus un vermifuge n'arrive jamais a tuer tous les parasites donc la résistance viens du fait que le parasite qui reste ne sera pas éliminé la fois suivante si on utilise le même vermifuge et que lorsqu'il va se reproduire ses "petits" seront aussi résistant, donc à la fin avec l'utilisation d'un seul vermifuge on pratique une sélection "génétique" sur ses parasites capables de résister a ce vermifuge.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Euh, si je peux me permettre, attention à ne pas verser dans le débat "vermifuge naturel" VS "vermifuge médicamenteux/chimique", ou dire que l'un ou l'autre est bon/pas bon car on rentrerait dans un débat stérile, chacun ayant ses arguments et ses opinions, toutes valables, sur la question.

Il faut voir avant tout ce qui est possible de faire en fonction du cheval et de son mode de vie... Je pense que c'est là l'essentiel...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
lunacaramel a écrit:
Je comprend tout a fait ton point de vue mais pour avoir faillit perdre mon cheval a cause d'une colique du au parasite (tu ne vermifugeais pas avant cet épisode ?) je suis des plus stricte sur le protocole et l'action des vermifuges chimiques à été prouvé et la mise en place est assez simple (le sens de simple n'est pas une question de fainéantise en allant seulement à la pharmacie 4 fois par an mais plutôt la facilité de la mise en place et du peu de risque d'erreur, ce qui ne demande pas une grande connaissance scientifique).
Pour ma part j'aimerais mettre en place un vermifuge naturel mais si c'est pour faire la même chose que le chimique c'est a dire un mélange de plante selon la saison, je ne vois pas trop l'intérêt (l'intérêt de la phyto est justement la différence d'action par rapport au chimique cad de réguler le niveau d'infestation et d'aider le cheval à acquérir sa propre résistance) sauf le côté "pollution" sachant que c'est pas parce que c'est naturel que ça ne pollue pas (par exemple si on met du lait dans un cours d'eau il y aura une aussi grande pollution que des engrais (il s'agit là d'une modification ponctuelle du ph qui n'aura lieu que sur une faible distance de cours d'eau et qui s'arrêtera dès dillution, je ne vois pas bien l'intérêt d'une telle pratique uyryut , les engrais sont un vaste débat edez ). Et si ils sont mal utilisé les vermifuges naturels provoqueront aussi des résistances (le principe de la vermifugation naturelle repose justement sur l'utilisation d'un grand nombre de molécules, les phénomènes de résistance sont provoqués par l'utilisation répétée d'une même molécule). Sans compter que c'est pas parce que c'est naturel qu'ils ne peuvent pas provoquer des coliques ou tuer la flore intestinale tout comme les vermifuge chimique (il faut pas oublier que le chimique au départ est basé sur le naturel et certaine plante on une action très forte) (je suis entièrement d'accord mais les molécules utilisées dans les vermifuges courants sont des molécules de synthèse, en naturel il faut y aller trés progressivement dans le dosage et bien se faire conseiller. J'ai fais un vermifuge chimique à l'arrivée d'une de mes juments, elle a mis bien 2 mois à s'en remettre).Donc si je voulais passer au naturel je ferais une copro (plutot un protocole de copro) par mois pour vraiment mettre en place un protocole de vermifuge adapté avec la plante adapté par cheval. Malheureusement je n'ai pas les moyens à 50€ la copro pour pouvoir le mettre en place (une copro n'est qu'indiquative et permet de suivre ce qui se passe, j'en fais environ 4 / an et elles me coutent 12 € chacune).
Quand au problème de ténia c'est un mauvais exemple, le soucis ne vient pas du vermifuge mais de sa mauvaise utilisation et de la méconnaissance de beaucoup de véto sur se parasite. Puisque le ténia est très difficile à détecter a la copro (vu qu'il émet ses œufs de manière irrégulière), beaucoup de véto pense qu'il n'y a pas de ténia si la copro est négatif alors que c'est faux puisque pour chercher le ténia il faut faire des copro a quelques jours d'intervalle (trop cher à mettre en place). Et de se fait il a longtemps été ignoré et sa présence n'est retrouvé (et en grande quantité) à l'autopsie.
Ensuite on traite le ténia en automne sachant que c'est son pic d'infestation, mais il est aussi présent l'hiver (en moins grand nombre) et résiste très bien au froid, donc ensuite il faut attendre 1 an pour un nouveau vermifuge contre le ténia.
Enfin pour traiter le ténia on utilise toujours la même molécule le praziquantel, mais le ténia adulte fixé dans le système digestif du cheval est très difficile à déloger donc c'est pas avec un vermifuge par an et toujours la même molécule qu'on s'en débarrasse (c'est vrai et c'est pour ça que je traite plusieurs fois par an en prévention 1 vermifuge sur 2 environ avec santoline ou absynthe ou thym). Par exemple en Angleterre il traite le ténia a chaque vermifuge.
Sans compter ceux qui ne font pas le ténia car leur cheval n'est pas maigre et que dans beaucoup de tête le ténia fait maigrir le cheval.

Citation :
Ce qui est logique quand on considère que les parasites sont en concurrance, une fois tout ce petit monde tué et éliminé, le terrain est libre pour l'installation des plus costauds.

C'est une idée reçu puisque les parasites ont leur partie d'action dans le système digestif et leur période d'action, justement ils sont intelligent les parasites ils évitent de rentrer en compétit (les parasites cohabitent dans le système digestif entre eux mais surtout avec d'autres organismes uni et pluricellulaires eu ou procaryotes donc comme dans n'importe quel écosystème il y a des phénomènes de concurrence) ion pour être les meilleur justement. De plus un vermifuge n'arrive jamais a tuer tous les parasites donc la résistance viens du fait que le parasite qui reste ne sera pas éliminé la fois suivante si on utilise le même vermifuge et que lorsqu'il va se reproduire ses "petits" seront aussi résistant, donc à la fin avec l'utilisation d'un seul vermifuge on pratique une sélection "génétique" sur ses parasites capables de résister a ce vermifuge (oui, je n'ai jamais parlé d'utiliser la même molécule ça c'est le système chimique justement) .


LN : Je ne suis pas ravie des condtions de vie actuelle de mes juments mais je suis persuadée (ça n'engage que moi) que je ne les aiderais pas en leur faisant un vermifuge chimique, au contraire je les affaiblirais. Mes juments ont jusqu'à ce que je les récupère, vécu à la dure ( c'est à dire sans le moindre soin). Je pars donc du principe qu'elles ont développé leur propre immunité. Je les aide donc à résister avec un traitement préventif à base de plantes que je fais sur 5 jours tous les mois en essayant d'adapter la composition en fonction des saisons. Sur ces 5 jours elles sont sur une portion réduite de leur pré et tous les crotins sont ramassés, elles sont alors alimentées au foin. La chose qui me facilite la vie c'est qu'il n'y a eu qu'1 autre propriétaire à convaincre (elle continue le chimique mais se cale sur les mêmes périodes que moi). Là j'ai opté pour une produit tout fait, plus complet pour l'automne à mon avis. Mes juments sont en bonne santé, si leur état se dégradait ou si elles me paraissait moins en forme, je referais un vermifuge naturel accompagné d'une série de copro et si besoin alors là un chimique sans hésiter. Il ne faut pas reproduire les protocoles de vermifugation chimique avec la phyto car c'est moins puissant et ça n'a pas le même mode d'action. Ce sont des traitements préventifs et curratifs qu'il faut répéter presque tous les mois.
Je sais bien qu'on ne peut pas forcément faire ce qu'on veut et si tu n'est pas convaincue et que tu as peur pour ta pouliche alors reste au chimique mais continue de te renseigner. On ne peut pas changer de pratique du jour au lendemain et je suis sure qu'on va avoir de plus en plus d'élements de connaissance et de retour d'expérience dans les années qui viennent.

Je me repète peut être mais je suis en aucun cas contre le chimique mais contre son utilisation aveugle, j'essaie simplement de faire en sorte que les gens se posent plus de questions quand à leur pratiques et qu'ils agissent en connaissance de cause.

Excusez moi pour le pavé dsdd

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Marik a écrit:
lunacaramel a écrit:
Je comprend tout a fait ton point de vue mais pour avoir faillit perdre mon cheval a cause d'une colique du au parasite (tu ne vermifugeais pas avant cet épisode ?) si je vermifugeais mais pas d manière stricte donc je pouvais décalé d'une ou deux semaineje suis des plus stricte sur le protocole et l'action des vermifuges chimiques à été prouvé et la mise en place est assez simple (le sens de simple n'est pas une question de fainéantise en allant seulement à la pharmacie 4 fois par an mais plutôt la facilité de la mise en place et du peu de risque d'erreur, ce qui ne demande pas une grande connaissance scientifique).
Pour ma part j'aimerais mettre en place un vermifuge naturel mais si c'est pour faire la même chose que le chimique c'est a dire un mélange de plante selon la saison, je ne vois pas trop l'intérêt (l'intérêt de la phyto est justement la différence d'action par rapport au chimique cad de réguler le niveau d'infestation et d'aider le cheval à acquérir sa propre résistance) je suis d'accord sur le principe d'action mais le fais d'acheté un mélange tout prêt du commerce et lui administrer par exemple tous les mois (c'est un exemple) je vois pas trop le côté naturel et le fait de vraiment savoir utiliser correctement la phyto puisque les parasites ont des cycles sauf le côté "pollution" sachant que c'est pas parce que c'est naturel que ça ne pollue pas (par exemple si on met du lait dans un cours d'eau il y aura une aussi grande pollution que des engrais (il s'agit là d'une modification ponctuelle du ph qui n'aura lieu que sur une faible distance de cours d'eau et qui s'arrêtera dès dillution, je ne vois pas bien l'intérêt d'une telle pratique uyryut , les engrais sont un vaste débat edez ). C'est justement le cas que j'ai du traiter d'un éleveur bovin laitier qui a voulu se débarrasser de son lait impropre à la consommation mais ne pensait pas polluer, et non ce n'ai pas simplement une pollution par modification du pH qui n'a pas une grande action sur un cours d'eau mais plutôt l'apport de matière organique pourtant dite "naturel" et qui provoquera exactement la même catastrophe écologique que l'engrais c'est a dire un gros déséquilibre de l'écosystèmeEt si ils sont mal utilisé les vermifuges naturels provoqueront aussi des résistances (le principe de la vermifugation naturelle repose justement sur l'utilisation d'un grand nombre de molécules, les phénomènes de résistance sont provoqués par l'utilisation répétée d'une même molécule). Je suis d'accord avec toi mais vu que le chimique est très mal utilisé par la majorité je vois pas pourquoi c'est même utilisateurs se serviraient mieux de la phyto Sans compter que c'est pas parce que c'est naturel qu'ils ne peuvent pas provoquer des coliques ou tuer la flore intestinale tout comme les vermifuge chimique (il faut pas oublier que le chimique au départ est basé sur le naturel et certaine plante on une action très forte) (je suis entièrement d'accord mais les molécules utilisées dans les vermifuges courants sont des molécules de synthèse, en naturel il faut y aller trés progressivement dans le dosage et bien se faire conseiller. J'ai fais un vermifuge chimique à l'arrivée d'une de mes juments, elle a mis bien 2 mois à s'en remettre). Ta jument, tu lui as donné quoi comme vermifuge? quelle quantité?Donc si je voulais passer au naturel je ferais une copro (plutot un protocole de copro) par mois pour vraiment mettre en place un protocole de vermifuge adapté avec la plante adapté par cheval. Malheureusement je n'ai pas les moyens à 50€ la copro pour pouvoir le mettre en place (une copro n'est qu'indiquative et permet de suivre ce qui se passe, j'en fais environ 4 / an et elles me coutent 12 € chacune). ça dépend de la copro pratiqué toute ne sont pas faite de la même manière et pas réliasé non plus avec les même personnes et le résultat peut être carrément différent.
Quand au problème de ténia c'est un mauvais exemple, le soucis ne vient pas du vermifuge mais de sa mauvaise utilisation et de la méconnaissance de beaucoup de véto sur se parasite. Puisque le ténia est très difficile à détecter a la copro (vu qu'il émet ses œufs de manière irrégulière), beaucoup de véto pense qu'il n'y a pas de ténia si la copro est négatif alors que c'est faux puisque pour chercher le ténia il faut faire des copro a quelques jours d'intervalle (trop cher à mettre en place). Et de se fait il a longtemps été ignoré et sa présence n'est retrouvé (et en grande quantité) à l'autopsie.
Ensuite on traite le ténia en automne sachant que c'est son pic d'infestation, mais il est aussi présent l'hiver (en moins grand nombre) et résiste très bien au froid, donc ensuite il faut attendre 1 an pour un nouveau vermifuge contre le ténia.
Enfin pour traiter le ténia on utilise toujours la même molécule le praziquantel, mais le ténia adulte fixé dans le système digestif du cheval est très difficile à déloger donc c'est pas avec un vermifuge par an et toujours la même molécule qu'on s'en débarrasse (c'est vrai et c'est pour ça que je traite plusieurs fois par an en prévention 1 vermifuge sur 2 environ avec santoline ou absynthe ou thym). Par exemple en Angleterre il traite le ténia a chaque vermifuge.
Sans compter ceux qui ne font pas le ténia car leur cheval n'est pas maigre et que dans beaucoup de tête le ténia fait maigrir le cheval.

Citation :
Ce qui est logique quand on considère que les parasites sont en concurrance, une fois tout ce petit monde tué et éliminé, le terrain est libre pour l'installation des plus costauds.

C'est une idée reçu puisque les parasites ont leur partie d'action dans le système digestif et leur période d'action, justement ils sont intelligent les parasites ils évitent de rentrer en compétit (les parasites cohabitent dans le système digestif entre eux mais surtout avec d'autres organismes uni et pluricellulaires eu ou procaryotes donc comme dans n'importe quel écosystème il y a des phénomènes de concurrence) il y a concurence entre même individu, heureusement car sinon on serait tous mort, un parasite ne rentre pas en compétition avec les procaryote (au passage les parasites intestinaux dont je parle : strongles, ténia,... sont des eucaryotes), bactérie, ect... car ils ont pas du tout le même mode de vie et les même besoin car sinon se serait armagedon, un arbre ne rentre pas en compétition avec un lapin ils ont pas du tous les même besoin, le même mode de vie par contre deux arbres de la même espèces ou d'essence différente (mais qui ont le même mode de vie) rentre en compétition, et je vois pas un strongles avoir les même besoin qu'un protozoaire. Même si ça libère une ressource et que les autres organismes vont se développer mais tous pareil autant les bon que les mauvais. Sinon lorsqu'un cheval se contaminerait avec des œufs de parasites on le verrait rapidement car sa provoquerait un gros déséquilibre et on le verrait facilement alors qu'a moins qu'il y est beaucoup de parasites les symptômes passent inaperçus. C'est pas a cause du fait que l'on détruit les parasites intestinaux qu'il y a des soucis mais c'est par le fais que l'on ne détruit pas que cela et que du coup la flore intestinale est déséquilibré, et c'est idem en phytothérapie, le thym est un puissant désinfectant donc quand tu l'administre a ton cheval contre le ténia il ne tue pas que le ténia. Le seul moyen d'éviter les déséquilibres du système digestif est de ne pas vermifuger et de permettre au cheval d'avoir une pression parasitaire basse. Même si j'admets volontiers qu'en phyto l'action sur la flore intestinal est certainement moins forte et donc évite un trop gros déséquilibre ion pour être les meilleur justement. De plus un vermifuge n'arrive jamais a tuer tous les parasites donc la résistance viens du fait que le parasite qui reste ne sera pas éliminé la fois suivante si on utilise le même vermifuge et que lorsqu'il va se reproduire ses "petits" seront aussi résistant, donc à la fin avec l'utilisation d'un seul vermifuge on pratique une sélection "génétique" sur ses parasites capables de résister a ce vermifuge (oui, je n'ai jamais parlé d'utiliser la même molécule ça c'est le système chimique justement) . c'est pas le système chimique c'est la méconnaissance de l'utilisation des produits, comme pour les antibio



J'aime bien ton système de couleur pour répondre c'est pratique erre

Marik a écrit:
Excusez moi pour le pavé dsdd

Pour ma part ça fait longtemps (sur un forum) que je n'avais pas eu de discution aussi intéressement avec quelqu'un qui ne partage pas mes opinions (sans que ça dégénère mpmp )

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Marik a écrit:
"Si vous souhaitez traiter rapidement votre paddock, je vous conseille
d'utiliser de la chaux ou du lait de chaux.
Par la suite, si vous souhaitez traiter votre paddock de manière
préventive, je vous conseillerais d'épandre et de mélanger au sable du
paddock une plante qui s'appelle la Tanaisie (disponible entre mai et
septembre). Cette plante a comme vertu d'être un répulsif antiparasite
(tiques et puce) ainsi qu'un vermifuge. Ce traitement aura je pense
l'avantage d'agir préventivement contre le sur-parasitisme du paddock ou
tout au moins contre les parasites de type puces et tiques" (réponse d'AJC nature).

Je recherche justement des info sur se sujet que je ne trouve pas et j'ai personne pour me conseiller.
Pour ces deux techniques tu sais au bout de combien de temps on peut remettre les chevaux dans le paddock?
merci

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Merci oui c'est pas mal les couleurs différentes mais ça fait des gros pavés erre

lunacaramel a écrit:
Marik a écrit:
lunacaramel a écrit:
Je comprend tout a fait ton point de vue mais pour avoir faillit perdre mon cheval a cause d'une colique du au parasite (tu ne vermifugeais pas avant cet épisode ?) si je vermifugeais mais pas d manière stricte donc je pouvais décalé d'une ou deux semaineDonc apparement tes traitements n'ont pas eu l'effet préventif qu'aurait eu la phyto sur les strongles (généralement ce sont eux qui provoquent de violentes coliques, contre eux : grande absinthe) je suis des plus stricte sur le protocole et l'action des vermifuges chimiques à été prouvé et la mise en place est assez simple (le sens de simple n'est pas une question de fainéantise en allant seulement à la pharmacie 4 fois par an mais plutôt la facilité de la mise en place et du peu de risque d'erreur, ce qui ne demande pas une grande connaissance scientifique).
Pour ma part j'aimerais mettre en place un vermifuge naturel mais si c'est pour faire la même chose que le chimique c'est a dire un mélange de plante selon la saison, je ne vois pas trop l'intérêt (l'intérêt de la phyto est justement la différence d'action par rapport au chimique cad de réguler le niveau d'infestation et d'aider le cheval à acquérir sa propre résistance) je suis d'accord sur le principe d'action mais le fais d'acheté un mélange tout prêt du commerce et lui administrer par exemple tous les mois (c'est un exemple) je vois pas trop le côté naturel et le fait de vraiment savoir utiliser correctement la phyto puisque les parasites ont des cycles Il existe différents mélanges de plantes dans les formules toutes prêtes, et le but c'est de ne pas laisser aux parasites la possibilité de boucler leur cycle (mon but perso c'est de produire mes propres plantes et d'être autonome) sauf le côté "pollution" sachant que c'est pas parce que c'est naturel que ça ne pollue pas (par exemple si on met du lait dans un cours d'eau il y aura une aussi grande pollution que des engrais (il s'agit là d'une modification ponctuelle du ph qui n'aura lieu que sur une faible distance de cours d'eau et qui s'arrêtera dès dillution, je ne vois pas bien l'intérêt d'une telle pratique uyryut , les engrais sont un vaste débat edez ). C'est justement le cas que j'ai du traiter d'un éleveur bovin laitier qui a voulu se débarrasser de son lait impropre à la consommation mais ne pensait pas polluer, et non ce n'ai pas simplement une pollution par modification du pH qui n'a pas une grande action sur un cours d'eau mais plutôt l'apport de matière organique pourtant dite "naturel" et qui provoquera exactement la même catastrophe écologique que l'engrais c'est a dire un gros déséquilibre de l'écosystème (ce qu'il a fait est de toute manière interdit par la loi ce n'est pas pour rien mais bon c'est pas trop le sujet ici)Et si ils sont mal utilisé les vermifuges naturels provoqueront aussi des résistances (le principe de la vermifugation naturelle repose justement sur l'utilisation d'un grand nombre de molécules, les phénomènes de résistance sont provoqués par l'utilisation répétée d'une même molécule). Je suis d'accord avec toi mais vu que le chimique est très mal utilisé par la majorité je vois pas pourquoi c'est même utilisateurs se serviraient mieux de la phyto Oui là on est d'accord c'est pour ça que je participe au débat, non pas pour imposer mes idées mais bien pour que les gens se disent que ce qu'ils font n'est pas anodin Sans compter que c'est pas parce que c'est naturel qu'ils ne peuvent pas provoquer des coliques ou tuer la flore intestinale tout comme les vermifuge chimique (il faut pas oublier que le chimique au départ est basé sur le naturel et certaine plante on une action très forte) (je suis entièrement d'accord mais les molécules utilisées dans les vermifuges courants sont des molécules de synthèse, en naturel il faut y aller trés progressivement dans le dosage et bien se faire conseiller. J'ai fais un vermifuge chimique à l'arrivée d'une de mes juments, elle a mis bien 2 mois à s'en remettre). Ta jument, tu lui as donné quoi comme vermifuge? quelle quantité? Elle a eu un eqvalant duo pour 600 kg quelques semaines aprés son arrivée et s'est mise aussitôt à perdre de l'état et j'ai eu beaucoup de mal à lui faire reprendre du poids. C'est à ce moment que j'ai vraiment commencé à remettre en question l'utilisation de ces vermifuges Donc si je voulais passer au naturel je ferais une copro (plutot un protocole de copro) par mois pour vraiment mettre en place un protocole de vermifuge adapté avec la plante adapté par cheval. Malheureusement je n'ai pas les moyens à 50€ la copro pour pouvoir le mettre en place (une copro n'est qu'indiquative et permet de suivre ce qui se passe, j'en fais environ 4 / an et elles me coutent 12 € chacune). ça dépend de la copro pratiqué toute ne sont pas faite de la même manière et pas réliasé non plus avec les même personnes et le résultat peut être carrément différent. Oui pour moi c'est toujours le véto qui la faitQuand au problème de ténia c'est un mauvais exemple, le soucis ne vient pas du vermifuge mais de sa mauvaise utilisation et de la méconnaissance de beaucoup de véto sur se parasite. Puisque le ténia est très difficile à détecter a la copro (vu qu'il émet ses œufs de manière irrégulière), beaucoup de véto pense qu'il n'y a pas de ténia si la copro est négatif alors que c'est faux puisque pour chercher le ténia il faut faire des copro a quelques jours d'intervalle (trop cher à mettre en place). Et de se fait il a longtemps été ignoré et sa présence n'est retrouvé (et en grande quantité) à l'autopsie.
Ensuite on traite le ténia en automne sachant que c'est son pic d'infestation, mais il est aussi présent l'hiver (en moins grand nombre) et résiste très bien au froid, donc ensuite il faut attendre 1 an pour un nouveau vermifuge contre le ténia.
Enfin pour traiter le ténia on utilise toujours la même molécule le praziquantel, mais le ténia adulte fixé dans le système digestif du cheval est très difficile à déloger donc c'est pas avec un vermifuge par an et toujours la même molécule qu'on s'en débarrasse (c'est vrai et c'est pour ça que je traite plusieurs fois par an en prévention 1 vermifuge sur 2 environ avec santoline ou absynthe ou thym). Par exemple en Angleterre il traite le ténia a chaque vermifuge.
Sans compter ceux qui ne font pas le ténia car leur cheval n'est pas maigre et que dans beaucoup de tête le ténia fait maigrir le cheval.

Citation :
Ce qui est logique quand on considère que les parasites sont en concurrance, une fois tout ce petit monde tué et éliminé, le terrain est libre pour l'installation des plus costauds.

C'est une idée reçu puisque les parasites ont leur partie d'action dans le système digestif et leur période d'action, justement ils sont intelligent les parasites ils évitent de rentrer en compétit (les parasites cohabitent dans le système digestif entre eux mais surtout avec d'autres organismes uni et pluricellulaires eu ou procaryotes donc comme dans n'importe quel écosystème il y a des phénomènes de concurrence) il y a concurence entre même individu, heureusement car sinon on serait tous mort, un parasite ne rentre pas en compétition avec les procaryote (au passage les parasites intestinaux dont je parle : strongles, ténia,... sont des eucaryotes), bactérie, ect... car ils ont pas du tout le même mode de vie et les même besoin car sinon se serait armagedon, un arbre ne rentre pas en compétition avec un lapin ils ont pas du tous les même besoin, le même mode de vie par contre deux arbres de la même espèces ou d'essence différente (mais qui ont le même mode de vie) rentre en compétition, et je vois pas un strongles avoir les même besoin qu'un protozoaire. Je parle de concurrence pour l'espace si tu fais une coupe rase dans ta forêt, tu auras alors d'autres espèces qui vont proliférer les ronces ou la canche et l'équilibre qui avait été atteint sera bouleversé et mettra de nombreuses années à revenir (je suis écologue, formation biologie +5)les bon que les mauvais. Sinon lorsqu'un cheval se contaminerait avec des œufs de parasites on le verrait rapidement car sa provoquerait un gros déséquilibre et on le verrait facilement alors qu'a moins qu'il y est beaucoup de parasites les symptômes passent inaperçus. C'est pas a cause du fait que l'on détruit les parasites intestinaux qu'il y a des soucis mais c'est par le fais que l'on ne détruit pas que cela et que du coup la flore intestinale est déséquilibré, et c'est idem en phytothérapie, le thym est un puissant désinfectant donc quand tu l'administre a ton cheval contre le ténia il ne tue pas que le ténia. Le seul moyen d'éviter les déséquilibres du système digestif est de ne pas vermifuger et de permettre au cheval d'avoir une pression parasitaire basse. Même si j'admets volontiers qu'en phyto l'action sur la flore intestinal est certainement moins forte et donc évite un trop gros déséquilibre Lors du passage difficile de ma jument aprés vermifuge j'ai fait venir 2 vétérinaires qui m'ont tous les deux confirmé qu'aprés un traitement chimique les pathogènes (tous et pas seulement les eucaryotes c'est pour ça que j'en parlais) se développaient beaucoup plus vite et mieux (car ils sont plus résistants justement et plus costauds, d'où la notion de concurrence au niveau de l'espace) et que la réinfestation était plus massive sur terrain libre. En revanche l'avantage des traitements préventifs réguliers c'est de ne pas avoir à utiliser de fortes doses. Pour ce qui est de la flore intestinale mes chevaux ont des cures d'EMA (micro organismes efficaces) aprés chaque vermifuge y avaition pour être les meilleur justement. De plus un vermifuge n'arrive jamais a tuer tous les parasites donc la résistance viens du fait que le parasite qui reste ne sera pas éliminé la fois suivante si on utilise le même vermifuge et que lorsqu'il va se reproduire ses "petits" seront aussi résistant, donc à la fin avec l'utilisation d'un seul vermifuge on pratique une sélection "génétique" sur ses parasites capables de résister a ce vermifuge (oui, je n'ai jamais parlé d'utiliser la même molécule ça c'est le système chimique justement) . c'est pas le système chimique c'est la méconnaissance de l'utilisation des produits, comme pour les antibio
en gros il y a 10 molécules différentes benzimidazoles ou non au choix en fonction des vermifuges chimiques, au niveau des plantes il y en a des dizaines voir plus, c'est presque impossible de provoquer des résistances


ça va bientôt devenir illisible mais c'est trés interéssant !
J'aime bien ton système de couleur pour répondre c'est pratique erre

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Pffiou j'ai mis 3 plombes à répondre...

Pour les paddocks, le mieux c'est d'envoyer un mail à AJC nature, ils répondent volontier. Je pense que pour la tanaisie il n'y a pas délai en revanche pour la chaux je peux pas te dire, j'ai jamais utilisé leur technique mais si tu as une réponse ça m'intéresse !

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
lorsqu'un cheval est livré chez mes clients je leur dis d'attendre une voir deux semaines car le transport favorise le stress qui lui favorise la baisse des défenses immunitaires ... donc apporter une agression supplémentaire en vermifugeant tout de suite et on se retrouve avec un cheval qui va faire de la diarrhée, qui va perdre du poids ..... en tout cas qui ne réagira pas comme il aurait été censé réagir ....

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Ca devait bien faire 2 mois que ma jument était arrivée Isabeau drffe mais oui elle m'a fait des bonnes diarrhées pendant plusieurs jours, moi qui pensait bien faire, elle avait un gros ventre...C'est là que j'ai connu les EMA, un mal pour un bien dedede

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
J'arrête le système des couleurs c'est trop fastidieux.
1. les traitements que j'ai fait au niveau vermifuge pour mon cheval qui a une colique (oui en effet les strongles) n'ont rien a voir au niveau efficacité puisque je n'ai pas respecté le protocole donc non ils ont pas eu l'effet comme ci j'avais utilisé la phyto mais de manière incorecte .

2. Ce que je ne comprend pas dans le système de vermifuge phyto c'est le mode d'action surtout au niveau de mon cas en surpaturage.
Le chimique il détruit les parasites ainsi que les larves (au moins certain stade) donc mon cheval se retrouve avec peu de parasite, il se réinfeste dans son milieu de vie mais d'ici qu'il en soit a un stade néfaste pour sa santé il a un nouveau vermifuge.
Quel est l'action du vermifuge naturel pour éviter que mon cheval soit trop infesté? comment régule t'il le niveau d'infestation? (si tu as de la doc ça m'intéresse)
J'aimerais aussi savoir si il existe des études scientifiques sur l'impacte qu'ont ses produits naturels sur l'environnement car un mélange de plante qui peut être actif sur la ténia doit bien avoir des actions dans l'environnement, et si beaucoup de monde utilise les plantes en vermifuges (pas que les chevaux mais aussi bovins, caprins, ovins,...) est ce qu'il n'y aurait pas d'impacts (idem si tu as de la doc ça m'intéresse)

3.Pour ta jument c'est typique d'une mauvaise utilisation des produits chimiques, il ne faut jamais faire un vermifuge aussi puissant sur un cheval infesté de parasite, tu as même de la chance qu'elle n'est pas fait un choc septique. J'aurais commencé par un produit plus léger style strongid ou panacur pour ne pas tuer tous les parasites d'un seul coup et risquer un empoisonnement du cheval avec ensuite une cure de pro et pré-biotique pour sa flore.

4. Pour la copro il existe vraiment plusieurs méthode et elles ont pas toute la même sensibilité, il faudra savoir quel protocole utilise ton véto.

5. Moi aussi j'ai une formation biologie +5 (environnement naturel et microbiologie, pour la coupe rase dans la foret c'est pas aussi simple qu'un soucis d'espace là on passe à la dynamique ds paysages) et lorsque je vermifuge mon cheval il y a certes un espace libre (mais je pense plus une ressource disponible plutôt que l'espace) mais ça ne provoque pas une invasion des mauvaises bactéries (pour la bonne raison que mon cheval a quand même un système immunitaire qui peut réguler se soucis) par contre ce qui est sur c'est que le vermifuge détruit la flore "utile" (pas tout non plus mais une partie) donc je la réensemence avec des pré et pro biotiques.
Quand a la flore intestinal pathogène qui se développe plus vite, je ne pense pas mais comme ils sont pathogène lorsqu'elle augmente (même si la flore intestinale utile augmente aussi) elle provoque des problèmes de santé (alors que pour la flore utile ne se voit pas) sans compter que certain microorganismes utiles deviennent pathogène en trop grand nombre.

6. quand au nombre peu important de molécule chimique ça c'est une autre histoire de gros sous des labo.



Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Je suis au boulot là alors je fais vite fait. dedede

1 + 2 : le principe de la phyto c'est d'aider le cheval à ne jamais atteindre un stade d'infestation massive (indication de la copro taux max admissible 500 strongles) en lui permettant d'avoir accés de manière naturelle (plantées dans la prairie) ou en ajout dans sa ration de plantes dites vermifuges et purgatives de manière trés régulière (une fois par mois si environnement infesté). Le vermifuge naturel ne tue pas les vers, il les paralyse et c'est pour ça qu'on utilise toujours un purgatif pour qu'ils soietn expulsés du système digestif (dans mon cas la bourdaine). C'est aussi pour ça que l'impact sur l'écosystème prairie est limité, il n'y a pas de mortalité sur les coprophages, il y a seulement évitement des crottins pendant une courte durée (de mémoire environ 2 ou 3 jours mais il faudrait que je cherche mes sources à nouveau) contrairement aux molécules chimiques. Il faut considérer qu'une infestation basse voire moyenne est bien tolérée (je parle ici des chevaux non atteints d'autres malades qui pourrait impacter leur immunité). Les chevaux développent alors une immunité dite de contact de plus en plus importante, j'avais à l'époque trouvé une étude qui confirmait que les chevaux de prairie de + de 10 ans étaient beaucoup moins infestés par les strongles que les - de 10 ans (tu dois pouvoir la trouver sur internet).

Un cheval vermifugé par molécule synthétique ou naturelle d'ailleurs va retrouver son niveau d'infestation moyen au bout d'une dizaine de jours s'il se trouve sur un endroit infesté. La principale différence entre les méthodes sera alors que le cheval habitué à une infestation moyenne pourra résister sans problèmes (d'ailleurs il aura accés aux plantes au max 20 jours plus tard) alors qu'un cheval traité chimiquement aura beaucoup de mal à résister puisque son équilibre a été complétement chamboulé et en plus il devra attendre au moins 3 mois pour qu'on "l'aide" avec un nouveau vermifuge.

3. Effectivement je n'aurais jamais du faire ça, c'était pourtant sur les conseils d'un véto... j'ai changé depuis.

4. Il s'agit d'un comptage par flottaison il me semble, mais je ne recherche pas la précision, juste une indication moyenne qui me permet de dire que l'infestation est tolérable ou pas (limite des 500o/gr plus haut) c'est pour ça que je la fait aux pics d'automne et de printemps. Si l'infestation dépassait les 1500 o/gr, on s'approcherait d'une infestation massive, j'aurais immédiatement recours à un traitement chimique.

5. c'était juste une image (c'est une destruction de l'écosystème avec réinitialisation de la succession végétale au stade pionnier, le paysage c'est juste visuel) mais j'ai trouvé l'exemple des arbres tout à fait intéressant pour illustrer mes propos. Ca peut se rapprocher de la théorie de la perturbation moyenne. Si on considère le système digestif du cheval comme un écosystème (il nous faut un max de diversité pour un e meilleure stabilité) et le vermifuge comme une perturbation écologique alors il nous faut une puissance de vermifuge moyenne pour conserver l'équilibre de la flore intestinale grâce à une bonne diversité. Pour revenir aux arbres, une coupe rase (vermifuge chimique puissant) va entrainer un bouleversement et une modification profonde de l'écosystème avec une destruction presque totale mais si on fait du prélèvement arbre par arbre (phyto préventive) alors l'équilibre de base est conservé.

6. le résultat est le même puisque jusqu'à preuve du contraire ce sont eux les seuls fournisseurs !

Dans l'idéal biensur, les chevaux devraient être dans de grandes prairies (300 ha pour un groupe de 3 ou 4 chevaux pour les chevaux sauvages) avec des cycles de rotations longs et une nourriture adapté (végétation pauvre et variée, sans granulés, les chevaux sont sensés manger des fibres) et se déplacer pendant 15h par jours. Autant dire que c'est une utopie de croire qu'on peut fournir au cheval une vie naturelle. Mais on peut aussi essayer de faire au mieux avec ce qu'on a.


J'espère avoir été suffisament claire, c'est difficile de résumer des mois de recherche en quelques pages, le sujet est particulièrement vaste et complexe et je pense que je ne suis pas (encore) une spécialiste !

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
En tout cas c'est super intéressant de vous lire !

Pour plus tard peut-être, ça peut le faire !

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

C'est en tout cas trés agréable un forum où l'on peut ne pas être d'accord mais discuter amicalement ! vnbnc

Pour Lunacaramel : un topo bien intéressant :
Diversité des communautés de coprophages dans les écosystèmes pâturés : prise en compte de la dimension spatio-temporelle pour une gestion spatio-temporelle intégrée du parasitisme des troupeaux.
Jean-Pierre LUMARET
UMR 5175 CEFE (Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive)
Equipe Ecologie des Arthropodes dans les agroécosystèmes
Université Montpellier 3, Route de Mende, 34199 Montpellier cedex 5

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Marik a écrit:
Ca devait bien faire 2 mois que ma jument était arrivée Isabeau drffe mais oui elle m'a fait des bonnes diarrhées pendant plusieurs jours, moi qui pensait bien faire, elle avait un gros ventre...C'est là que j'ai connu les EMA, un mal pour un bien dedede


ok j'avais compris que tu avais fait dès son arrivée (d'ailleurs c'est ce que bien des personnes font)!
deux mois après là ce'st uen auter histoire!
drffe

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Bon j'ai parlé aux autres, tout le monde est d'accord à priori pour le faire en même temps, on s'est mis d'accord pour les faire sur les dates des saisons (là en hiver ce sera le 22 décembre) et on est déjà 3 voire 4 à prendre le même véto donc on commandera pour tout le monde en même temps, la même chose, et on est tous d'accord aussi à priori pour les laisser 3 jours au box.
Et si un des proprios n'est pas là le jour dit, un autre se chargera de donner le vermifuge pour lui en même temps que les autres.

C'est un bon début car jusqu'ici l'une des propriétaires m'a dit qu'ils les faisaient "presque" en même temps mais un peu chacun à sa sauce, chacun achetait son vermifuge séparément.

Là il n'y a plus qu'une seule proprio qui souhaite faire à part, mais ça ne change pas grand-chose car elle fait puis laisse aussi sa jument enfermée. De plus elle est pleine et ira bientôt dans un bout de pré individuel avec abri.

Donc déjà un grand progrès si effectivement on arrive à fonctionner comme ça !

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

c'est bien de pouvoir s'arranger avec les autres proprios
et pas que pr les vermifuges
bonne initiative d'avoir rassemblé tout le monde mkmk

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Merci Marik pour tous tes conseils et d'avoir pris le temps de m'expliquer.
J'ai lu plusieurs témoignage de proprio sur le sujet, je continue a lire et selon se que je vais trouver il se pourrait que je passe au "naturel" même en surpaturage (ce que je croyais pas possible).

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Pour ma part, j'aimerais voir les études. Parce que l'intérêt des vermifuges chimiques, c'est qu'ils ne peuvent pas être mis sur le marché si ils n'ont aucune efficacité. Là on me dis : telle plante marche contre ça, c'est untel qui l'a dit etc ... oui, mais à combien ? quelle dose, quelle fréquence, quelle plante, etc ... Qui plus est, une plante a une composition différente selon sa culture, alors comment peut on savoir comment la doser ...
Donc je voudrais vraiment voir les études, les doses, le résultat sur chaque ver in vitro (y compris larves et enkystés). Histoire de pouvoir trancher ...
PS marie, je ne vois pas le rapport entre brûler tous les chaumes et brûler un peu de litière 3 ou 4 fois par an ? Je préfère largement éviter d'épandre ça ... enfin, c'est de toutes façons non appliqué pour moi. Par contre, j'ai déjà brûlé du fumier (de lapin), ça brûle très bien. Y'a juste une drôle d'odeur ... mpmp

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
excuse moi Line de trouver ça très surprenant de vouloir bruler ça,
en plus les vers ç'est très naturel (le vermifuge moins, mais je suis pas sur que les fumées soit très saines du coup )

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Marie a écrit:
excuse moi Line de trouver ça très surprenant de vouloir bruler ça,
en plus les vers ç'est très naturel (le vermifuge moins, mais je suis pas sur que les fumées soit très saines du coup )


Je n'ai jamais dit que c'était surprenant, tu pense ce que tu veux je n'ai rien à y voir ... Mais que ça n'avait pas grand chose avec le fait de brûler les chaumes.
Bref Rolling Eyes
(pis c'est p'têt très naturel, mais je ne mettrai pas un truc bourré de vers dans mon jardin ... la mort c'est très naturel aussi ^^')
Au fait, moi c'est caroline.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
J'etais à equitalyon, j'ai passé un petit bout de temps à discuter avec le gars du stand AJC pour bien tout comprendre.
Le principe est finalement assez simple: les vers sont presents dans l'organisme du cheval, le vermifuge tue les vers, la nature ayant horreur du vide les vers reinfestent l'organisme, donc re vermifuge.....
Pb à chaque vermifuge les vers en mourant liberent les toxines, et l'organisme du cheval se prend une dose chimique.

Solution la phyto: Vers trankill se presente sous forme liquide ou unidose pour le même principe faire place nette.
Mais aussi en cure d'herbe pour reguler: c'est là que l'idee change!!!!

Le truc au lieu de faire le yoyo: plein de vers/plus de vers/plein de vers.... on aide l'organisme du cheval à gerer les vers au mieux: ni trop ni trop peu. Avec de temps en temps une copro pour verifier si tout est OK.

Donc mes chevaux, apres le dernier vermifuge chimique, sont sous symbiotonic de chez bio dalg, ensuite je ferai une copro, et je gere avec vers trankill version herbes

C'est un peu le même principe que les caves d'affinage de fromage à l'ancienne: si on vire tout pour etre trop sain à la moindre occasion les mauvaises bacteries et autres salmonelles arrivent et trouve de la place pour s'installer, se multiplier....

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Je remonte un topic que j'ai mis plus d'une heure à lire !
Kondor a été vermifugé en Mai avec de l'Equest...
Je lui donne quoi ensuite à votre avis ? Pas possible de faire avec la phyto, il ne rentre pas en box ces temps ci, et il est avec les chevaux de club qui sont traités chimiquement...
Merki

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
moi il a eu un Eqvalan en Avril et je vais lui faire un Telmin en Juillet
tu peux aussi lui faire un Panacur

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Equest c'est de l'ivermectine je crois ?
Tillia avait eu Equest Pramox (donc Tenia compris) fin décembre pour la saison hiver, elle a eu Panacur au printemps et en été + une cure d'ail semoule de mi-mars à fin mai à peu près.

Donc je pense que là tu peux lui donner du Panacur, mais demande au véto qui le suit drffe

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Heu, je sais pas ...
Vanessa ? qu'est ce que tu lui as donné avant qu'il parte ? et à ton avis que dois je lui donner maintenant ?

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Fofie a écrit:
Heu, je sais pas ...
Vanessa ? qu'est ce que tu lui as donné avant qu'il parte ? et à ton avis que dois je lui donner maintenant ?


Je te demandé cela car si en février (si j'ai bien calculé) il a eu un vermifuge complet ce n'est pas la peine d'en refaire un, autant faire un simple.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Ben ça se marque pas sur le passeport le vermifuge ??!!
Mais j'ai mon planning maintenant de tout ce que j'ai fait avec mon gros donc je le marquerai dessus maintenant.
Et puis j'ai pas pense a demander le nom du vermifuge qu'à donne Vanessa avant son départ.
Celui qu'il a eu en juin c est un équest tout court.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Fofie a écrit:
Ben ça se marque pas sur le passeport le vermifuge ??!!


pas sur le passeport non, mais sur un livret de santé (mémo) donné par le véto, où tu notes les vermifuges, les parages, les traitements, les changements d'alimentation....etc
moi j'en ai eu un en plus de ses papiers

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Justement quand vous leur donnez ? Dans la ration ou en dehors des repas quand l'estomac est vide ?

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...