Annep1 0 Posté(e) le 5 juin 2012 Comme certains ont du le voir, j'ai demandé à Audrey sur le post où elle parle de la castration de Hialto si le véto lui avait demandé de le mettre à jeun et à partir de quand.... elle m'a dit que non. Hors, j'ai une copine qui fait castrer son cheval également cet après midi, et il est à jeun depuis hier soir, et je me rappelle que quand on a castré le mien, il n'était à jeun que depuis le matin....J'ai eu plusieurs réponses rapides comme quoi c'est pour éviter l'éventration, que c'est en fonction de l'anesthésie, etc etc... j'ai donc cherché un peu sur le net et j'ai trouvé ça:"- AVEF 2003 -CONFERENCE D’EVALUATIONSUR LA CASTRATION DU CHEVAL MÂLESYNTHESE DU JURYIntroduction :La conférence d’évaluation s’applique à la technique chirurgicale de castration des équidés mâles(le cheval sera utilisé comme terme générique) qui consiste en l’ablation des testicules pour desraisons de convenance ou pour des raisons médicales.La castration est un acte chirurgical qui présente des indications et des contre-indications. Elle peutêtre pratiquée par tout vétérinaire habilité à exercer et effectuée sur le cheval debout ou couché, endécubitus latéral ou dorsal. Elle fait appel à différentes techniques chirurgicales et anesthésiques.Celles-ci présentent des avantages et des inconvénients. Cette intervention, bien que considéréecomme courante, comporte des risques et des complications de type chirurgical ou anesthésiquedont le client doit être informé, de préférence par écrit, préalablement à sa réalisation. Certainescompagnies d’assurances exigent cette information écrite.Question A : Que considérer avant la castration ?La castration peut être réalisée soit en clinique, soit chez le client.En clinique, les avantages sont ceux liés au plateau technique qui permet d’élargir le choix destechniques et de mieux traiter les complications éventuelles.Les inconvénients sont dus au surcoût financier, au transport, au stress pour le cheval, à lamodification de son habitus et de son environnement.Chez le client, aucune différence significative n’est apparue entre la castration au pré ou dans unbox, à condition que le lieu soit jugé approprié par le praticien.Le cheval peut être castré en position debout ou couchée. Chacune de ces positions présente desavantages et des inconvénients.Le praticien analyse et conseille le client sur le choix du positionnement et de la technique qui luiparaissent les plus adaptés en fonction de nombreux critères dont :- le comportement du cheval (“coopératif” lors de castration debout), sa race, son âge ;- l’état physique du cheval ;- le personnel disponible (un aide expérimenté peut suffire) et sa compétence ;- son expérience propre ;- l’environnement (calme et sécurisé) ;- le coût de l’acte.Âge du chevalLa castration peut être réalisée à tout âge. Toutefois, avant l'âge de six mois, le risque de hernieinguinale semble plus important. L’emploi d’une technique à cordon couvert, avec pose d’uneligature, est alors recommandé. Chez le cheval adulte (trois à cinq ans selon la race), lescomplications sont plus fréquentes.Il n’existe pas d’études probantes sur le lien entre l’âge de la castration, la croissance, ou lesperformances sportives. Seule la castration précoce (avant six mois d’âge environ) préviendrait lecomportement sexuel mâle. En revanche, lors de castration plus tardive, le comportement sexuelet/ou agressif vis-à-vis de l’homme ou des congénères peut persister.Il est vivement recommandé au praticien de s’assurer que le demandeur est bien le propriétaire ducheval ou son représentant dûment mandaté. Il s’enquiert des motifs de la demande de castration. Ilcheval ou son représentant dûment mandaté. Il s’enquiert des motifs de la demande de castration. Ilvérifie l’identité du cheval à castrer et se renseigne sur ses antécédents comportementaux etmédicaux, en particulier les anomalies portant sur la région inguinale et scrotale, ainsi que lesantécédents de colique. Il se renseigne également sur l’état de la vaccination et de lavermifugation ; le défaut de vaccination antitétanique est corrigé si nécessaire. Si le cheval estassuré, le demandeur est informé de la nécessité de prévenir la compagnie d’assurances. Ilappartient au demandeur d’en assumer toutes les formalités.De manière à obtenir son consentement éclairé et de préférence écrit, le praticien informe ledemandeur :- des différentes techniques chirurgicales possibles (coût respectif, avantages etinconvénients, complications), ainsi que des risques anesthésiques et de leurs complications;- des précautions préopératoires, notamment la restriction alimentaire (sur les chevaux enpleine activité, il convient d’adapter l’alimentation à la diminution d’exercice physique). Iln’existe pas d’étude sur l’intérêt de la mise à jeun préalable à la castration ;- des contraintes de la période postopératoire ;- de l’appartenance éventuelle de son cheval à une population supposée à risque (Trotteur etSelle français de grand gabarit et/ou âgés).Le praticien procède à un examen clinique adapté aux commémoratifs et à la technique choisiepour l’anesthésie et la castration. Les régions inguinale et scrotale font notamment l’objet d’uneinspection et d’une palpation externe. La palpation transrectale est un examen complémentaire dontla mise en oeuvre sera laissée à la libre appréciation du praticien. Cet examen a pour objetd’évaluer la taille des anneaux vaginaux dans le but d’estimer les risques de hernies. La valeurprédictive de cet examen n’est pas absolue. Avant de l’entreprendre, les commémoratifs, lafaisabilité, les risques de l’acte pour l’animal et les personnes seront pris en compte et leconsentement éclairé du demandeur sera obtenu.Le praticien informe le demandeur qu’il se réserve la possibilité de modifier le moment del’intervention, la technique anesthésique et le mode opératoire en fonction des circonstances.Question B : Que considérer pendant la castration ?Contention et anesthésieLe vétérinaire étant responsable de la sécurité des biens et des personnes qui l’entourent, il a pleineautorité sur les aides et les modalités de leur participation.Lors de castration debout, la personne qui maintient la tête du cheval est déterminante : elle doitêtre compétente pour assurer la contention d’un cheval mâle. La position de sécurité de cettepersonne se situe juste en avant de l’épaule, du même côté que celui où se tient le praticien. Cettetechnique de castration fait appel à la tranquillisation et à l’anesthésie locale qui doit êtresystématique. La contention physique ne doit pas être agressive. Le praticien doit être enpossession des moyens lui permettant de réaliser une anesthésie générale d’urgence.Lors de castration couchée, plusieurs méthodes d’anesthésie fixe ou gazeuse sont envisageablespour réaliser un acte sécurisé et non douloureux (notamment les associations d’alpha2-agonistes etde kétamine). Le chloral ne doit plus être prescrit. La prévalence des accidents anesthésiques chezde jeunes animaux en bonne santé serait de 1 à 3 ‰.Quel que soit le protocole, la mise en place d’une voie veineuse est souhaitable. Le praticien doitêtre en possession d’une trousse d’urgence minimale facilement accessible.Voies d’abordLes voies d’abord scrotale et inguinale sont les plus fréquemment utilisées. La coelioscopie est unetechnique en cours d’évaluation.MatérielLe praticien dispose du matériel suivant :Les casseaux, utilisés dans 12 % des castrations en France en 1998. Ils peuvent permettre deréduire les risques d’éviscération et d’hémorragie. Il n’existe pas de données objectives surle risque infectieux et sur la douleur engendrés par cette technique par rapport à une autre.L’émasculateur, majoritairement utilisé. Le temps de serrage peut être compris entre deuxet cinq minutes. Il est parfois accompagné de la pose d’une ligature (40 % des cas en Franceen 1998) dans le but de limiter le risque d’hémorragie. Les avantages et les inconvénients duchoix de la nature du fil ne font pas l’objet d’un consensus.La ligature seule, qui peut parfois remplacer l’émasculateur lors de castration couchée.TechniquesLa technique fermée (cicatrisation par première intention) semble la plus adéquate pourlimiter au maximum les risques d’éviscération. Elle nécessite cependant une anesthésiegénérale plus longue, n’exclut pas le risque de hernies et peut exposer aux collections sérohémorragiques.La technique ouverte (cicatrisation par seconde intention, 90 % des castrations en Franceen 1998) peut être réalisée debout sous tranquillisation et anesthésie locale, ou couchée sousanesthésie générale. Plus rapide et moins coûteuse, cette technique expose davantage àl’hémorragie, à l’éviscération et à l’infection.Utilisation des antibiotiquesLa meilleure lutte contre l’infection réside dans le respect des règles d’asepsie (la préparation dusite opératoire, du fourreau et de la queue sont déterminants). L’antibioprophylaxie bien réaliséepeut être utile, mais n’est pas obligatoire. L’antibiothérapie postopératoire est couramment utilisée,mais elle ne peut compenser un manque d’asepsie.Question C : Que considérer après la castration ?Consignes postopératoiresLors de castration couchée, le praticien reste présent jusqu’à ce que le cheval soit capable de semaintenir debout. Les instructions pour les suites post-anesthésiques doivent être détaillées etécrites, notamment en ce qui concerne la reprise de l’alimentation pour un cheval au box (jeûneminimal de deux à quatre heures).Les AINS et les dérivés morphiniques peuvent être utilisés pour le contrôle de la douleurpostopératoire.Le praticien doit expressément préciser, par écrit, toutes les mesures de surveillance immédiate etdifférée au détenteur de l’animal. Cette surveillance sera permanente pendant les quatre à sixheures qui suivent l’intervention, puis régulière (toutes les quatre à six heures) pendant vingtquatreheures, puis biquotidienne pendant une semaine. Le détenteur sera informé qu’il devraprévenir le praticien de toute anomalie, à savoir :- saignement excessif ;- hernie ou éviscération ;- coliques ;- dysphagie ;- difficultés locomotrices ;- hyperthermie ;- oedème ;- inappétence ;- douleur, oedème ou induration de la jugulaire du côté de l’abord veineux ;- ramollissement ou absence de crottins ;- état général altéré.La remise en mouvement précoce est importante pour le drainage et la prévention d’un oedèmeexcessif. Différentes situations sont envisageables après la castration :- au pré, il appartient au détenteur de l’animal d’observer le comportement du cheval(intervenir en cas d’excès ou de défaut d’activité). Il convient d’éviter les paddocks boueuxou poussiéreux et la présence de stimuli extérieurs.- au box, l’exercice contrôlé au pas (en main ou au marcheur), plusieurs fois par jour, estprescrit pour une à deux semaines.ComplicationsLes complications les plus fréquentes de la castration sont l’oedème, l’infection, l’hémorragie,l’éviscération et la hernie.Lors d’oedème ou de souillure des plaies, il peut être utile de doucher à l’eau froide le sitepériopératoire dès le lendemain de la castration.La survenue d’une éviscération ou d’une hernie (lors de technique fermée) semble imprévisible,quelles que soient les précautions prises durant l’examen préopératoire. La survenue d’uneéviscération nécessite le nettoyage et si possible le refoulement des anses ectopiées, la suture desbourses et, dans tous les cas, la conduite du cheval vers un centre spécialisé dans les meilleursdélais. La survenue d’une hernie nécessite également de le diriger rapidement vers un centrespécialisé.En cas de castration ouverte, un écoulement sanguin goutte à goutte pendant plusieurs heures estnormal, mais un écoulement en filet continu nécessite une surveillance permanente etéventuellement une intervention.Concernant les ânes et les mulets, des hémorragies plus fréquentes ont été rapportées, dont la causereste inconnue.Question D : Communication avec les clients au sujet de la castrationL’information transmise au demandeur (propriétaire ou représentant dûment autorisé) doit êtresimple, loyale, intelligible et totale. Elle comprend le contenu du document préopératoire décritdans la question A et les consignes postopératoires abordées dans la question C. Ces informationsdevraient être reportées sur un formulaire écrit et signé avant la castration et qui constitue la basedu recueil du consentement éclairé.FIN"J'ai trouvé ça très intéressant, j'espère que ça vous servira aussi! Et bien sûr d'autres témoignages sont les bienvenus! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
annelise1 0 Posté(e) le 5 juin 2012 Fun etait à jeun pour sa castration. Il etait en decubitus dorsal sous AG car un des testicule etait difficilement accessible. tout c'est très bien passé la véto n'est partie qu'après son réveil complet. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
roriza08 0 Posté(e) le 5 juin 2012 Pour Ice Cream,il n'était pas à jeun,il a été endormi dans le pré ,le véto l'a opéré couché puis le cheval s'est redressé une demi-heure aprés on l'a encore tenu pendant un bon quart d'heure ensuite il a recommencé à brouter,il est resté au pré et tout c'est trés bien passé.Quelques jours aprés le fourreau était gonflé mais ensuite tout est rentré dans l'ordre Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Annep1 0 Posté(e) le 5 juin 2012 Merci pour vos témoignages! Alors pour le mien, il était à jeun depuis le matin(castration vers 15h). Il a fallu beaucoup d'anesthésiant pour qu'il daigne s'endormir. Ça a été fait couché sur le côté avec assez de mal pour en retirer une des deux.Il a mis une bonne heure avant de se réveiller et le véto était parti bien avant le réveil... super rassurant.... Il a fait un petit œdème, mais qui s'est très vite résorbé avec un médocs (je ne sais plus le nom, c'était une poudre à faire avaler). Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
mimi69 0 Posté(e) le 5 juin 2012 merci annep, moi j'aimerais bien des temoignages sur les chevaux opéré en clinique sous celioscopie comme a mon avis c'est ce qui va arriver a aldebaran si l'intervention est longue, si il garde le cheval, si il y a des soins apres merciiiiiiiiii Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
annelise1 0 Posté(e) le 5 juin 2012 ton cheval a un testicule ectopique (inguinal ou abdominal) qui necessite une intervention en clinique? ça a faillit être le cas de Fun car les testicules sont descendus très tard et on a cru qu'il faudrait aller les chercher! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Gypsy d'Eau Drey 0 Posté(e) le 5 juin 2012 Je viens mettre mon grain de sel Pas du le mettre à Jeun et opération couchée. ca a été très vite. Il c'est remis debout vite également on a du le tenir un peu pour l’empêcher de manger car il était encore trop stone mais cherchait déjà à manger le gourmand XDLe vété est parti quand Hialto a été debout Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Shire 0 Posté(e) le 5 juin 2012 nous aussi pour arlequin , il était a jeun depuis la veille au soir, opéré l'après midi a 14hil s'est endormi immédiatement, opération couché, et il s'est réveillé aussitot la fin avec la présence du véto, qui est resté avec lui jusqu'a son réveilune petite semaine au box, pas de gros gonflements, tout c'est bien passé Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
mimi69 0 Posté(e) le 5 juin 2012 annelise a écrit:ton cheval a un testicule ectopique (inguinal ou abdominal) qui necessite une intervention en clinique? ça a faillit être le cas de Fun car les testicules sont descendus très tard et on a cru qu'il faudrait aller les chercher!il en a qu'une pour le moment Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
talulla1 0 Posté(e) le 5 juin 2012 Là comme ça en réfléchissant 2 minutes, même si je n'ai pas encore étudier les techniques de castration, je dirais que le fait de mettre à jeun pourrait réduire l'inconfort du cheval à cause de l'anesthésie.On utilise des morphiniques ou des alpha 2 agonistes adrénergiques et ça provoque des vomissements chez les carnivores (et des contractions du système digestif), or le cheval ne pouvait pas vomir, ça doit entrainer des contractions de l'estomac mais également intestinal et donc le fait d'être à jeun et d'avoir les intestins moins chargés doit soulager. C'est douloureux d'avoir des contractions sur un contenant (d'ailleurs les alpha 2 adré sur une colique due à une obstruction c'est très mauvais)Enfin voilà, je vois cette explication là :) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
magalie03 0 Posté(e) le 5 juin 2012 Bon je ne vais pas vous re-raconter l'opération de berryC'est ici:/t15300-castration-question-post-opeJuste que le véto n'avait pas dit à jeun, qu'il fallait surveiller pendant 10 jours la cicatrisation et ne pas le remettre avec d'autres chevaux avant 3 semaines!Le fourreau a gonflé quelques jours après l'opé mais du coup ça c'est résorbé tout seul.....Berry devrait retrouver un copain de champ ce vendredi .....ça va pas lui faire de mal.Tiens par contre une question aux pros......combien de jours après la castration le cheval peut-il encore saillir ?.....parce que je vois que certains remettent le cheval direct avec un troupeau. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Mary04 0 Posté(e) le 6 juin 2012 mon véto m'avait dit que pour être sur à 100 ¨% 1mois était nécessaire Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Fofie111 0 Posté(e) le 6 juin 2012 Pour Kondor, cheval pas à jeun.Opération debout, beaucoup de calmant pour le calmer, parce que très résistant aux calmants, opération ok en 15 min, au box pendant 1 semaine, pas de douche, sortie 2x 10min / jour, puis ensuite 1/2 journée au paddock pednant un mois.et RAS. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
magalie03 0 Posté(e) le 6 juin 2012 Mary a écrit:mon véto m'avait dit que pour être sur à 100 ¨% 1mois était nécessaire Ah oui quand même !......là j'ai pas eu à poser la question pour berry puisque la juju de notre fille n'est pas à domicile en ce moment.....Mais pour notre chien, le véto avait dit également 1 mois....merci mary! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
jurna21 0 Posté(e) le 8 juin 2012 nous aussi on vient de faire une castration... cheval à jeûn.Castration faite debout.Le véto nous a dit qu'après 24h, fallait que le cheval sorte (pour que ça ne gonffle pas trop). Il ne fallait rien faire comme soin en particulier (juste surveiller quand même...) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
arriouets 0 Posté(e) le 8 juin 2012 Nous avons eu le cas ici d'une castration d'un cheval avec une seule tesicule descendue. Kian est allé en clinique, ils ont castré sous scelio, debout . Ils ont fait deux ouvertures dans l'abdomen d'environ 5 cm pour l'une (celle où ils ont passé la testicule) et 1 cm, celle de la caméra. ils ont remis un films de la castration à ma copine, ils cotérisent en fait le canal ce qui évite les saignement interne. Les complication les plus classiques sont les coliques. Donc, il est resté au boxe 8 jours, avec foin à volonté et pas de paille surtout. Puis 10 jours de paddock. On a enlevé les agraphes, et commencé les marches en mains environ 15 mn par jous pendant cette période. aucune suite , Le prix.... 1600 euros...4 jours d'hospitalisation au total. voili Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
arriouets 0 Posté(e) le 8 juin 2012 Kian avait 4 ans passé donc casiement plus aucune chance que la testicule descende. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites