Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
Invité cewamale

Coliques chez le cheval

Messages recommandés

Invité cewamale
relevé sur


Les principaux facteurs de risque des coliques:

    - Changement de foin.
    - Les parasites.( les grands strongles, les petits strongles, gastérophiles, les ascaris,ténia.)
    - Changement des conditions de vie.
    - Modifications du régime alimentaire.
    - Modifications climatiques.
    - Source d'abreuvement.
    - La race. Types de coliques .
    - Spasmodiques.
    - Obstructions.
    - Lacérations cutanées.
    - Boiteries.
    - Gastriques.


Le foin est cité en première ligne, c'est le changement de foin qui joue un rôle important car il est possible que les modifications du foin induisent des variations du PH du contenu intestinal jouant sur la production d'acides gras volatils et perturbant l'équilibre microbien.

La consommation de granulés n'est pas sujet aux coliques.


Une colique n'est pas une diarrhée ! Chez le cheval une colique est la plupart du temps une douleur abdominale aiguë, dont l'origine se situe généralement au niveau du système digestif.
Un cheval qui présente une douleur abdominale aura tendance à adopter des positions particulières et à manifester sa souffrance par des comportements stéréotypés.

Le premier signe sera un refus de la nourriture, ensuite retroussement de la lèvre supérieure, gratte le sol avec un antérieur, se regarde le ventre par intermittence ou reste couché de tout son long plus longtemps que la normale, son oeil est terne, une attitude inquiète. Il peut aussi se camper, se frapper le ventre avec un postérieur, tourner dans son box et se rassembler comme pour se coucher et essayer de se rouler. Il peut aussi se laisser tomber.
Les coliques s'accompagne en général de sudation importante.
Certain chevaux adoptent la " position du chien assis ". Un cheval fortement ballonné au niveau des flancs. Dans la majorité des cas, l'injection d'un antispasmodique dès l'apparition des premiers symptômes suffit à faire rentrer les choses dans l'ordre.
Dans un premier temps : il faudra empêcher le cheval de manger ou de boire ( lui mettre un panier ou retirer toute la nourriture et la litière du box ). Le faire marcher pour stimuler le transit intestinal ou le mettre dans un espace suffisamment grand. Si le cheval est couché et calme, le mieux est de le laisser tranquille.
La fréquence du pouls peut servir de critère 60/100 pulsations par minute. En principe cela ne dur pas plus de 24 heures.
Si les symptômes persistent appeler le vétérinaire, et en attendant, masser lui le ventre, la base des oreilles et les gencives.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Veuillez vous connecter pour commenter

Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.



Connectez-vous maintenant

×
×
  • Créer...