Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
Carolynlb

empoisonnement de chats à Nice

Messages recommandés

http://www.nicematin.com/article/faits-divers/castagniers-les-chats-du-village-victimes-dun-empoisonneur

La psychose s'installe quartier Masage à Castagniers. Depuis quelques jours, les propriétaires de chats constatent la disparition ou la mort de leurs animaux. Le chiffre avancé est celui de 24 chats et un chien, victimes de ce que les riverains désignent comme « le geste d'un ou d'une détraquée ».

Ils ont d'ailleurs alerté le maire

Mais aucune dépouille visible. « Certains ont été enterrés, d'autres déposés au container et les chats mis de côté pour les enterrer plus tard ont été emportés par le renard qui rôde au village », explique Martine Grondon. Et de poursuivre, très émue « J'ai enterré quatre de mes cinq chats. Mimine, qui a 18 ans, est la seule rescapée. Certainement parce à son âge, elle ne s'éloigne plus de la maison ».

C'est Martine Grondon qui a mobilisé les voisins en interpellant le maire par un courrier signé par une vingtaine de résidents du quartier Masage. « Le premier magistrat a été très réactif. Il a prévenu la gendarmerie et il a informé, quelques jours plus tard, la population par voie d'affichage » commente Martine Grondon.

Cette dernière a également freiné l'intervention de Jacqueline R. Une bénévole de l'association Les Chats du Mercantour, mais, comme le précise la présidente, « elle n'agit pas au nom de l'association, mais à titre personnel ». Cette militante tentait, dans une ambiance déjà tendue et empreinte de tristesse, de faire porter la responsabilité de cet empoisonnement au maire « qui ne fait pas stériliser les chats du village. » confiait-elle hier matin par téléphone.

La réaction du maire

De son côté Jean-François Spinelli, le maire de Castagniers, précise : « Je n'ai vu aucune dépouille. Mais si poison il y a, il est important que la population soit informée par mesure de précaution ».

Côté gendarmerie, si les militaires de Saint-Martin-du-Var sont avertis de disparitions et d'empoisonnements, ils ont enregistré il y a quelques jours une plainte de Mme Mulet concernant la mort de son chien Titou, et une autre une plainte déposée hier après midi par Mme Grondon.

L'une des victimes, Isabelle Martinez, est l'assistante de Cécile Bésombes, vétérinaire à Aspremont. Elle est particulièrement affectée par la disparition de son chat, mort à quelques mètres de sa maison. « J'espère que celui ou celle qui a fait ça ne dort pas sur ses deux oreilles ».

En fait, c'est par elle que l'empoisonnement a été officialisé. Un poison semble-t-il très violent. Mais sans autopsie, on n'est pas sûr à 100 % comme l'explique la spécialiste : « On retient visuellement la toxicité et l'asphyxie, en observant la couleur violette des muqueuses ».

Déjections en cause ?

En fait, ce sont peut-être les déjections sur le Camin de La Puada (chemin de la Montée) qui seraient la cause indirecte de ces empoisonnements, en ayant provoqué l'exaspération d'un esprit dérangé. Ce chemin est effectivement parsemé de crottes de chiens, ou de chats, abandonnées par des propriétaires au sens civique discutable.

« Il s'agit de déjections canines confirme Martine Gordon. Peut-être que les chats dérangent certains, mais moi je les préfère aux rats ».


ça fait partie des risques qu'on fait courir à son chat quand on le laisse en liberté... voitures, chiens aggressifs, et enfoirés!

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...