Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
Max|mum-leterrarium

Des mouvements de sympathie et de soutien à l'égard des trois pêcheurs condamnés pour braconnage en

Messages recommandés

Des mouvements de sympathie et de soutien à l'égard des trois pêcheurs condamnés pour braconnage en Polynésie Française



Voici une information qui ne manque pas de piment,!

Alors que la tortue fait partie des espèces protégées depuis 20 ans: trois pêcheurs se sont fait condamnés à des peines de 1 à 6 mois ferme la semaine dernière pour des faits de braconnage.

Cependant, aujourd'hui, des consommateurs officiels de viande de tortue ont manifesté leur soutien et leur sympathie aux braconniers, demandant au Gouvernement une législation assouplie.

Ceux- ci insitent notamment sur le fait, qu'ils sont consommateurs de cette viande et qu'il est naturel d'en consommer...

Contrairement aux indigènes de colombie qui ont récement décidé de cesser la consommation de cette viande pour protéger la tortue, ici en Polynésie nous avons des gens qui revendiquent ouvertement le droit d'exterminer les derniers représentants d'une espèce dans le but avoué de se goinfrer!!

Source

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Max|mum a écrit:

...ici en Polynésie nous avons des gens qui revendiquent ouvertement le droit d'exterminer les derniers représentants d'une espèce dans le but avoué de se goinfrer!!


Cette phrase est vraiment choquante Evil or Very Mad

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

intelligence de l'homme Shocked

Même les amérindiens d'ici pouvait scalpé pour le braconnage puisque c'est a l'encontre des lois de la nature.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Eros a écrit:
intelligence de l'homme Shocked

Même les amérindiens d'ici pouvait scalpé pour le braconnage puisque c'est a l'encontre des lois de la nature.


Même eux ont changé si tu remarques bien. Ils sont aussi braconneurs que les autres.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Les braconniers sont en campagne... qui les arrêtera ?



Les citoyens devraient-ils être impliqués dans un plan de vigilance ?




Les partisans de la réouverture de la pêche à la tortue sont en campagne pour faire avaler la pilule à une population dans sa grande majorité contre ce projet. Qui se lèvera pour s'opposer à leurs manoeuvres ! Pour le moment, pas grand monde... ou plutôt si, mais chacun dans son coin. Pour être efficaces, il faudrait qu'ils parlent d'une seule voix.

Michel Arakino, pêcheur de tortues des Tuamotu qui a déclaré publiquement lors d'une interview sur TNTV qu'il consommait régulièrement de la viande de tortue avance plusieurs arguments:
- que c'est une coutume polynésienne
- que cette coutume ne devrait pas être illégale en vertu du "droit à l'alimentation des peuples autochtones" voté par l'organisation de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture (FAO)
- qu'il faut ouvrir un grand débat sur le sujet

En réalité chacun sait que seuls les arii (rois) avaient le droit de manger la viande de cet animal tabu pour le reste de la population. Cette tradition ne mettait donc nullement en péril la survie de l'espèce comme c'est le cas aujourd'hui.
Quant au "droit à l'alimentation des peuples autochtones" que brandit M. Arakino, il s'inscrit dans un programme de lutte contre la faim, alors que la consommation de viande de tortue est en Polynésie plutôt un luxe (entre 5.000 et 9.000 F le kg) qu'une denrée alimentaire de première nécessité.

En fait, Monsieur Arakino, qui se présente comme un simple citoyen mangeur de tortue pour la nécessité est en fait un militant politique actif et très loin d'être dans le besoin ou avec des problèmes d'approvisionnement en nourriture.

Dans ces conditions, le débat que réclament les mangeurs et les pêcheurs de tortues ressemble plutôt à lobbying d'une minorité aisée pour faire passer une réglementation en leur faveur.
Mais cette minorité pourrait bien avoir gain de cause en ralliant des élus prêts à les soutenir pour avoir leurs voix. Le conseil des ministres n'a-t-il pas donné un avis favorable ? (voir article des Nouvelles du 27 octobre)

Cette situation inquiète les défenseurs des tortues, certes très majoritaires mais peu organisés et peu soutenus par les élus. Comme le dit Quito Braun Ortega: "Nous, les défenseurs des tortues marines, aurions intérêt à nous structurer très rapidement pour ne parler que d'une seule voix...!"

UN PLAN "VIGI-TORTUE"

P.S. René Taputu, "gardien" l’île de Scilly célèbre pour ses sites de ponte : “Vous déployez encore des lois, mais ce n’est que du bla-bla. Moi, la protection des tortues n’est pas sur le bout de mes lèvres, elle est dans ma vie. Donnez-moi un appareil photo et je fournis aux douanes tous les braconniers de Scilly. Arrêtez de parler de protection si vous n’êtes pas capables de la faire, et donnez-moi plutôt des moyens !” (extrait de l'article des Nouvelles cité plus haut)

Le gouvernement même s'il en avait la volonté, ce qui n'a pas sûr, n'a pas les moyens de luter contre le braconnage. Mais si les citoyens proches des lieus de pontes étaient impliqués dans un programme de vigilance ? Il pourraient par exemple signaler des actes de braconnage ou des cas de tortues en danger pour diverses raisons...


Source

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...