blackhawk94 0 Posté(e) le 8 janvier 2008 bonjour a tous je m'appelle thibault et j'ai 23 ans je suis de formation bac pro electrotechnique . Je me rends bien compte que ce n'est pas ce que je souhaite faire toute ma vie. l'envie de me renseigner m'est venue en regardant la télévision, en voyant le travail des soigneurs de rapaces. pouvez vous m'indiquer quelle est la marche à suivre pour entamer une carriere dans la fauconnerie? je vous remercie par avance pour les renseignements et pour votre acceuil. et bonne année à tous Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
benoit08 0 Posté(e) le 8 janvier 2008 ... Les gens qui vivent ( uniquement) de la fauconnerie doivent se compter sur les doigts d'une main... Dans l'armée il y a des fauconniers, et je suppose que c'est peut être le seul endroit ou tu apprendras le vol en même temps que tu en feras ton métier... Car dans le civil, ceux qui doivent effaroucher font appel a des gens très expérimentés, car celà n'a rien de facile ... Celui qui veut embrasser ce mode de vie et qui ne le connais pas, ne doit surtout pas penser en faire un business ... Du moins je le crois... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 9 janvier 2008 salut black Vivre de la fauconnerie de nos jours ne se fait en france qu'en éfarouchement, ou alors il faut t'expatrier et acquérir au préalable de bonnes compétence en zoologie, en fauconnerie, en soins etc... Ou alors en volerie qui n'a rien à voir avec la chasse au vol : je ne connais pas le circuit , mais il n'existe pas de formation spécifique, j'imagine que tu dois faire preuve de (très bonnes connaissances des oiseaux , qu'on est d'abord soigneur , puis on aide à manipuler les oiseaux ) si en plus tu es capable de bien t'exprimer en public tu pourras présenter des shows. L'éffarouchement : là tu dois être très consciencieux, sérieux et formé auprès de fauconniers confirmés, c'est un travail de confiance et pas très agréable, seul, par tous les temps, se déplacer constament . Une bonne connaissance du lieux, des oiseaux, de la chasse voilà en gros les critères. j'espère avoir répondu à ta questions nebli Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 10 janvier 2008 petite correction d'un lapsus qui ne se veut pas révélateur.grâce à la pertinente intervention du "vénérable"des neiges éternelles. 1-ce n'est pas vivre de la fauconnerie mais des rapaces qu'il faut comprendre , j'ai tendance à tt rapporter à la fauconnerie désolé je reprends donc ; des oiseaux de proie: c'est la recherche en biologie , la médecine vétérinaire, application technique d'affaitage : volerie ( voir un commentaire que j'avais fait sur la différence entre volerie et fauconnerie) fauconnerie: effarouchement ( ou un richissime privé encore plus rare que riche qui possèderait son propre équipage) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Brubru11 0 Posté(e) le 10 janvier 2008 salut, je suie tout à fait d'accord avec Nebli,mais si tu veux te lancer dans une carriere de type universitaire(biologie ou medecine vétérinaire)tu as vraiment intérêt à avoir le moral bien accroché,un bac"S",et ne pas perdre de temps car j'ai lu que tu avais 23 ans(ce n'est pas insurmontable car une de mes connaissances a débuté véto à 27 ans(avec succès)et était cavalier donc...) Brubru Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 10 janvier 2008 Tous les "professionnels" ont commencé par unique passion des rapaces et de la chasse. Une parfaite maitrise de leur art, les a amené à se professionnaliser -souvent par hasard - après plusieurs années de pratique . Il est totalement illusoire de penser pouvoir démarrer une telle activité dans le seul but d'en faire sa profession. L'entrainement d'un rapace est une contrainte quotidienne avec 90 % d'emmerdes, 10 % de plaisir, un investissement de départ lourd, pour un résultat éventuel sur le long terme. Beaucoup y arrivent avec des rêves plein la tête et en repartent un ou deux ans plus tard avec pour seul bilan une montagne de désillusion. Devenir professionnel ? pourquoi pas, mais après plusieurs années de pratique. Qui rêverait d'une telle profession ? sans week-end, sans vacances, ni congés payés, avec pour seule prime de fin d'année une hypothétique saison de chasse fructueuse et un oiseau remis en pleine forme à la perche ?... A coup sur un vrai passionné de fauconnerie ... ou un fou ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Brubru11 0 Posté(e) le 10 janvier 2008 quand il est vu par un non passionné,le passionné n'a t'il pas quelque peu l'air d'un fou?(d'ailleurs,etymologiquement un aliéné ne serait il pas seulement quelqu'un de différent?) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites