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sokol

Le poids de vos faucons

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Pour info: quel est le poids de vol de vos oiseaux

1. à la sortie de la volière
2. en début dê chasse
3. en fin de chasse

Merci de donner les différentes sous-espèces pour se faire une idée.

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Poids de mon tiercelet d'Anatum :
1 : 630 g
2 : 570 g
3 : 610/620 g

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Invité
Mon peal scotich.

1. Sortie de voliere, 575 grs mais soucis, donc à ne pas prendre en compte.

2. Introduit à 585 grs.

3. Fin de chasse à 615 625 grs...

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forme pélerin 1 mue 950 grs
750
850
tiercelet harris 4 mues 930 grs
700
700
NB: on peut le voler bcp plus haut mai il ne chasse pas alors

tiercelet gerfaut/sacre 980 grs
800
875(c'est mieux 850)

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Forme de pèlerin juvénile,

Sortie de volière à 940g
début de saison à 760g
Fin de saison à 805g
(Elle prend encore à 920g mais beaucoup plus nonchalante)

FL

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Heu...je voulais dire 820g

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pour la forme de pélerin d'une mue,il s'agit d'une brookei espagnole par la mère ,turque par le père.

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Invité
Citation :
Mon peal scotich.

1. Sortie de voliere, 575 grs mais soucis, donc à ne pas prendre en compte.

2. Introduit à 585 grs.

3. Fin de chasse à 615 625 grs...


En ce qui me concerne, je ne pesais plus le dernier mois de vol, je sais, ce n'est pas bien.
J'ai repris ma balance lorsqu'à plusieurs reprises le tiercelet ne montait plus et préfèrait une bonne flaque, voir le leurre au pigeon.
Il était à ce moment là à 670/675 grs......

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Cette année :

Tiercelet de pélerin ( juvénile ) :
Sortie de volière à 660 g
Introduit à 620 g
Poids de vol en fin de saison 720 g

Forme de pélerin ( 1 mue ) :
Sortie de volière à 900 g
Introduit à 830 g
Poids de vol en fin de saison 950 g

Hybride G/P ( 4 mues ) :
Sortie de volière à 850 g
Introduit à 830 g
Poids de vol en fin de saison 870 / 900 g



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Citation :
Mon peal scotich.
1. Sortie de voliere, 575 grs mais soucis, donc à ne pas prendre en compte.
2. Introduit à 585 grs.
3. Fin de chasse à 615 625 grs...


Peal scottish entre 575 et 625, j'en doute ... ou alors l'oiseau a du être sacrément secoué.
On parle du poids des oiseaux sur un autre post, à mon avis ou les oiseaux sont trop serrés, ou il y a vraiment un soucis sur les souches.

Personnellement, avec des simples peregrinus, les plus petits étaient volés entre 610 et 630. ( cette année 720 ... )
Un peal scottish de seconde mue devrait au moins voler entre 650 et 700.

Je suis surpris des poids de démarrage :

950 / 750 : 18 %
940 / 760 : 26 % !!!

Et encore plus des poids en fin de saison !
Un oiseau qui a volé régulièrement toute la saison, doit avoir un poids plus élevé qu'à sa sortie de mue ! La graisse ne pèse pas grand chose par rapport aux muscles.



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Invité
Cet oiseau dont je parle est une "seconde main".
L'eleveur l'a bien cédè pour un peal\scotich.
Les meilleurs plafonds atteint avec cet oiseau etaient lorsqu'il avait un poid legerement superieur à 610 grs.j
Je l'ai volé plusieurs fois à plus ou moins 650 grs . Il perdait du plafond et manquait de pugnacitè dans ses vols.

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Typique d'un oiseau conditionné à crever de faim, dont l'ambition a été annilée.
Quand le pli est pris, souvent dès la première saison, la marge de progression est perdue, car l'oiseau reste "psychologiquement bas" quelque soit son poids.

Il n'est pas normal que remonté, l'oiseau n'augmente pas son plafond, ni que son agressivité soit réduite outre mesure, surtout en seconde année.
Un pélerin se fait sur 3 ans, si tel n'est pas le cas, c'est souvent qu'il a été vidé en première saison, obnubilé par une seule idée qui a été ancrée à force de privations : se nourrir.

C'est bien souvent le cas des secondes mains...

J'ai eu une expérience similaire avec un oiseau, qu'il m'avait fallu une saison pour remettre en forme.
Hélas, nous n'avons jamais rien pu en faire : ce faucon était totalement vidé de cette "substance" qui fait toute la magie du pélerin.

Il faut alerter les débutants à ce sujet :

Le faucon pélerin admet de multiples erreurs, il y a de bons ou de mauvais oiseaux, cela dépend beaucoup de la chance.
Mais dans tous les cas, rien ne sert de serrer les oiseaux pendant des semaines, il faut rester patient et construire l'avenir.

Un mauvais faucon même serré, privé, entrainé, conditionné, ne deviendra jamais un bon, il faut savoir en prendre son parti sans s'acharner.

Un bon finira toujours par se révèler si vous lui donnez sa chance de s'exprimer.
Il pardonnera beaucoup d'erreurs à condition qu'il ne soit jamais bridé.
C'est sur la troisième année que l'on doit juger les pélerins, c'est là qu'ils doivent commencer à donner pleinement.

Si l'oiseau est rôti - quelque soit son niveau - dès la première saison, il faut remettre en cause ses pratiques.
Un faucon n'est pas une mobylette dans lequel on fait le plein pour aller chasser, c'est un être extrêmement sensible, vivant, attentif à ce qui l'entoure, qui enregistre tout.

A terme, tous les faucons sans exeption doivent arriver à voler plein poids et cela au delà de la performance ou de la prise éphemère des premiers mois.
Quel est le plaisir, pour le fauconnier, d'avoir un esclave asservi au dessus de sa tête plutôt qu'un compagnon apaisé guidé par la confiance et le plaisir ?

Il en est des oiseaux comme des chiens, avec des maitres qui coupent toute vélleité de quête et d'entreprise en donnant des ordres à tout bout de champ, plutôt que de laisser aller une mécanique parfaite, génétiquement conçue pour donner toute sa mesure à seule condition qu' on lui en donne le temps.

En résumé : en haut vol investissez dans l'éthique sur le long terme plutôt que dans une balance !
C'est un placement sûr qui vous rapportera au centuple si vous avez la chance d'avoir un bon oiseau et aura au moins l'avantage de ne vous laisser aucun regret si vous tombez sur une carne.





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cette question de poids est au coeur de la fauconnerie.
elle nous indique énormément de chose .
comparons un oiseau sauvage et un oiseau affaité .
l'oiseau sauvage prend tout ce qu'il estime nécessaire à poids plein.
une corneille, un héron ,un pigeon ou un moineau ,son incitation est son seul critère.
je connais deux aires en espagne l'une c'est spécialisée en corneilles, l'autre en busards cendrés!
en belgique la part de la corneille dans l'alimentation des rapaces , pèlerins compris , ne cesse d'augmenter .
sorti de volières nos oiseaux ont un poids x , disons 1000 gr.
ce poids se compose : de muscle, d' os , de graisse et pour le pèlerin ,de cerveau Mr.Red
première confrontation avec du stress: manipulation de l'éleveur , ensuite , du fauconnier
si cela se fait bien l'oiseau ne conservera pas ce stress et acceptera rapidement le fauconnier
là le poids devra être diminuer en fonction du stress , peu stressé, l'oiseau réagira vite , très stressé il mettra plusieurs jours et son poids devra être réduit en conséquence. et une méfiance s'installera qui sera difficile à enlever , l'oiseau aura un poids bas proportionnel à sa peur .
pour le voler il faudra le serrer mauvaise situation.
l'oiseau est affaité à un poids raisonable qui permet d'avoir une réponse positive à chaque étape de l'affaitage.
passons à créancer l'oiseau :bas vol et vol à vue réponde aux même exigences ( en gros)
haut vol à d'autres.
du poing les oiseaux sont confrontés à un effort important dès qu'ils quittent le poing , comme pour nous courir comme un fou demande motivation et volonté, donc motivation c'est à dire récompance à bon escient .
à absolument associer à l'effort accompli
que ce soit le cerf volant , le leurre ou autres méthodes peut importe .

une fois cet aspect maitrisé le poids n'a pas du varié beaucoup depuis l'introduction.
la créance elle est un moment délicat :
en effet que ce soit pour le bas vol ou presque tout le gibier est soit plus lourd( à poil) soit se défende bien ( un coq faisan) on demande à l'oiseau de faire un effort extrêmement important
où tout choc, blessure etc... peuvent entraîner un refus de l'oiseau avec comme conséquence un poids plus bas pour surmonter cette situation , là clairement c'est de la responsabilité du fauconnier .

haut vol , le gibier c'est le noir, corneilles, freux, etc.. de taille inférieure au faucon mais à l'agressivité décuplée par la présence du groupe qui n'hésite pas à attaquer le faucon en cas de prise, plus individuellement la corneille oppose une résistance farouche à coup de bec "poignard" et de griffes.
deux possibilités, l'oiseau aime naturellement le noir et il se fiche des blessures, cela le rend plus agressif ou alors il faut l'instruire à les prendre bien , la technique épargne la soufrance.
dans ce cas l' oiseau ne devra pas être forcé et augmentera son poids sous forme de muscle au fur et à mesure des chasses( haut plaffonds , longues distances)

vol d'amont : le gibier dangereux est limité au coq, faisan ou lyre s'il est mal pris .
ici le but est de faire monter là l'encouragement se fera à partir d'un poids plus élevé au départ
de façon à pouvoir cerrer en cas de dérapage de l'oiseau .
le succès des vols permettra de muscler l'oiseau et de le monter jusqu'au poids qui le motivera à prendre
tous les gibiers servis même les plus exigeants. c'est l'abondance des occasions comme l'agressivité de l'oiseau qui permettront de monter au delà du poids de sortie de volière , sachant qu'un "corps musclé" demande plus d'énergie qu'un "corps gras " les rations devront être prévue en consequence .
les oiseaux qui de plus aiment voler et chasser pourront voler très haut ,d'autres demanderont une incitation, un coq faisan ou un canard demande plus de motivation qu'un pigeon ou une perdrix en général.


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Trop souvent l'on entend des débutants se plaindre de la nullité de leurs oiseaux.

Quand on leur demande le poids de sortie de mue et de vol, ils trouve étonnant qu'on les pousse vers le haut.

Quand un oiseau a de mauvaises habitudes (se poser, voler mou, paresseux, pas agressif....) s'il est de bonne souche, la question de poids est souvent la solution.

L'autoursier prend les mauvaises habitudes pour le fauconnier. Nous devons toujours essayer plus haut en poids et le plus rapidement possible.

Vous imaginez un combat entre un biafrai et Tyson? Je ne suis pas certain que le premier ira avec le sourire aux lèvres sur le ring. Pareil pour les oiseaux de chasse! affraid

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