Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
sokol

Évolution du poids de vol

Messages recommandés

Avez-vous aussi une théorie sur l évolution du poids de vol durant la saison de chasse?

Comment évolue-t il et en fonction de quoi?

Ce post est une réponse à un mail privé de la part d un jeune qui souhaite prendre un faucon cette annee.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
sur l'évolution la référence c'est darwin...

la gestion du poids =gestion de la motivation.

1ère étape: reaction immédiate à nos injonctions, poing , leurre etc..
ds un contexte familier , puis ds un contexte inconnu :le terrain.

2ème phase: chasse: à quel poids s'obtient une réaction immédiate sur gibier,
cela dépend de l'effort que demande la prise de ce gibier.
la familiarisation et l'habitude permet à ce stade d'augmenter le poids. attention la limite reste l'étape n°1.

3ème étape dès que la phase deux est bien assimilée , varier en fonction de la T° de l'époque , du lieu pour que la phase 1 et 2 soient toujours présentes et aussi fiables

tant que ces conditions sont respectées le poids peut monter.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Ma forme d'autour , en première année, volait à 840g. Actuellement son poids est 940g. Hier et par négligence de ma part je l'ai volé sur lapin à 900g.........de la pitié......aucune force , l'oiseau totalement faible . Elle a ,suite à quatre attaques , réussi à faire prise. Comme quoi un oiseau évolue dans son poids et s'adapte à celui-ci et penser l'adapter à son poids de mue est tout à fait faisable.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Le poids n'est pas à mon avis le seul point a surveiller. L'espèce doit avoir son importance, mais à mon avis c'est surtout la fréquence des sorties et la quantité de gibier disponible qui vont influencer le mental de l'oiseau et faire que l'on va pouvoir le voler plus haut en avançant dans la saison, sans trop se soucier de son poids (toute proportion gardé bien sur...)

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
alain c a écrit:
Le poids n'est pas à mon avis le seul point a surveiller. L'espèce doit avoir son importance, mais à mon avis c'est surtout la fréquence des sorties et la quantité de gibier disponible qui vont influencer le mental de l'oiseau et faire que l'on va pouvoir le voler plus haut en avançant dans la saison, sans trop se soucier de son poids (toute proportion gardé bien sur...)

bien sur tu as raison mais ici la question est bien précise et traite du poids.
pour toutes les espèces le principe est le même . certaines peuevent voler poids plein tant leur métabolisme est élevé d'autresdoivent être sérées, c'est leur réaction qui permet d'identifier le bon poids

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Mon tiercelet de Harris a été introduit au lapin l'an passé à 630 gr, plus haut il en avait peur. Il a terminé sa première saison à 680.

Cette année, nous avons démarré à 660g pour terminer à 720g le dernier jour de notre saison alors qu'il gelait à pierre fendre.

En réalité, à l'heure actuelle, l'oiseau vole et chasse à n'importe quel poids tellement il est mécanisé (sortie quotidienne = chasse concluante = se nourrir. En fait, il se nourrit quasi exclusivement sur ses prises), les sorties sont souvent bien courte, l'oiseau conclu très rapidement et je dois bien souvent rendre l'action de chasse un petit peu plus compliquée à fin de faire durer le plaisir.

Par contre, au delà de 700g et en fonction des températures, l'oiseau sélectionne les occasions. Il évite les longues poursuites et privilégie les prises dans le couvert, là ou le lapin n'évolue pas trop vite.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
C'est exactement ce que je veux dire, si tu dissocies le poids, de la prise. Le poids seul n'a aucune importance...

Attaque, prise, gorge, repos et rebelote!!!

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
nebli a écrit:
alain c a écrit:
Le poids n'est pas à mon avis le seul point a surveiller. L'espèce doit avoir son importance, mais à mon avis c'est surtout la fréquence des sorties et la quantité de gibier disponible qui vont influencer le mental de l'oiseau et faire que l'on va pouvoir le voler plus haut en avançant dans la saison, sans trop se soucier de son poids (toute proportion gardé bien sur...)

bien sur tu as raison mais ici la question est bien précise et traite du poids.
pour toutes les espèces le principe est le même . certaines peuvent voler poids plein tant leur métabolisme est élevé d'autres doivent être serrés, c'est leur réaction qui permet d'identifier le bon poids


Le poids (donc la faim) est un facteur déclenchant, je suis entièrement avec toi. Mais il doit vite être remplacé( ou complété si tu préfère) par la confiance et l'habitude...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
La mienne a était introduite à 57jrs sans passer par la case filiére à 1190gr,premiére attaque deux jours plus tard à 1170gr et premiére prise a 72jrs à 1160gr.
Son poids n'as pas vraiment bouger jusqu'au 15 octobre mais aprés elle n'as fait que monter progréssivement pour atteindre jusqu'à 1330gr au 15 déc.
La prise de poids n'as pas été un probléme tout le temps qu'elle chassé tous les jours,par contre pendant les fétes avec mes huitres je n'ai pas eu le temps de voler comme je voulais et j'ai été obligé de la rabaisser à 1250 méme aprés une courte pause de quelques jours.
Son poids est maintenant stabilisé à 1290 pour chasser correctement.
Mon esprit n'étant pollué que d'une seule année de fauconnerie,j'en ai déduit que plus on chasse moins la gestion du poids est un probléme.
Pascal

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Voilà un super sujet d actualité, pour moi en tous cas.

Je suis sorti avec ma forme d autour ce jour à un poids de 1100grs, je précise que cet oiseau provient du desairage.
Son poids de mue est de 1180 grs.
TPS du jour vent à 80 km/ h et pluie malgres ces conditions je suis confiant et la belle à pris son lapin.

Quel plaisir de voler un oiseau en se disant qu il est en parfaite condition, j avoue que cela n à pas tirs été le cas et je vous renvoie en ceci, au très bon article de Hubert beaufrere anfa 2004 tout y est décrit .
Plus bas en poids ma forme est parfaite sur lapin et à bon réclam mais ces vols n ont rien a voir avec les vols actuels. Je cite "faire d un autour un bon preneur et une bon réclameur est à la porté de beaucoup en faire oiseau d'exception demande un investissement ... "
Je ne parle ici que du peu que je connaisse : l autourserie.
Tout est question de précision et de détails. Je vole actuellement tous les deux jours : vol, prise pleine gorge, 2 jours à jeun et chasse de nouveau pleine gorge ....
Dans ces conditions la balance devient inutile et l oiseau est conditionné et en appétit malgres un poids haut.
Après comme dit plus haut et comme le pratique mon ami pascal c est une question de précision et de détails ... L autour sera bien évidemment plus anclain àla crainte lors de sorties en groupe mais dans ce cas il faut descendre un peu l autour et ne le lâcher que sur une véritable occasion.

Le vol de la plume avec un autour en parfaite condition est un spectacle grandiose, avec un peu d expérience je le dis que l autourserie est histoire de solitaire : un territoire digne de ce nom son chien son oiseau et c est le bonheur !
Pour cela le haut vol est magnifique car il peut se partager ...

"La fauconnerie ne connait que l excellence ou l échec " plus j avance et plus je me dit que c est la seule vérité en fauconnerie

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Il faut penser un peu comme pour nous et ne pas s'en remettre aux grammes de la balance. Si je ne mange pas pendant 24h, je suis affamé et pourtant la balance me dis le contraire. Very Happy Un sportif consomme beaucoup et tout les jours. S'il veut rester performant. Son poids ressemble au mien, sa consommation aussi, seul sa dépense d'énergie diffère....Et je ne parle pas de ses performances!!!!!!!! Le poids n'est qu'un indicateur qui doit ètre mis en perspective avec la dépense d'énergie de l'oiseau. Un faucon consomme énormément parce qu'il dépense énormément d'énergie en vol battu presque permanent. Un aigle qui donne 20 coups d'aile pour prendre un chevreuil, beaucoup moins. cheers

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un constat sur quatre saisons consécutives avec deux formes de pélerin.
- N°1, poids de sortie de volière: 1020gr, âgée de deux mois 06.2009, introduction début juillet, temps très chaud, 800gr, fin de saison 880gr fin janvier 2010. L'évolution de son poids s'est fait tout au long de cette période, avec des vols sur son terrain préféré à plus de 920gr, à ce poids et cette saison, montée dans les nuages et descente uniquement sur un pigeon. Deuxième saison débutée mi août, poids d'introduction: 830gr, fin de saison:890gr le plus courant, avec là aussi des pics à plus de 900gr. Troisième saison identique à la seconde, par contre celle ci, introduction tardive, troisième semaine de septembre pour cause de mue, j'avais arrêté mes faucons mi mars, été très chaud, pas de prise de poids comme les autres années, introduction 790gr, je vole encore à 830- 840gr, si je monte en poids pas de prise de plafond, ou posé avant le vol quelques minutes?????? cette année, j'arrête après la réunion de ce week-end. A noter, si je vais voler sur un autre terrain que ceux habituels, je dois impérativement, surtout après de nombreux Km, la jardiner un long moment et revoir son poids à la baisse.
-N°2, même origine que la première, poids de sortie de volière: 970gr en juillet, introduction mi août, temps très chaud également à 750gr, c'est un oiseau excessivement nerveux et très agressif qui ne lâche rien, elle est très hautaine - son record en Espagne à 589m - et vole d'une manière très régulière à 780gr, quel que soit le terrain, le temps, elle est identique, j'ai essayé de la monter au delà de 800gr, elle ne donne rien de satisfaisant, donc pas d'évolution notable de son poids durand la saison.
C'est fait Chef, j'ai répondu.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
C est vrai qu au sud on n a pas les mêmes contraintes qu au nord.

Etienne devrait nous donner un avis sur un oiseau élevé en volière et non à sa manière pour que l onglées comparer.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Invité
ryss .tiercelet de gerfaut x barbarie introduit en aout a 615 gr et a ce jour il est a 660 gr vole toujours aussi bien mais moin performant lors de l impacte je vais le redescendre de 10 / 15 gr pour finir la saison et voir si ces impactes s ameliore..ces plafond son variable entre 150 / 250 metres et plus

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Pour répondre rapidement à Sokol :

- Pour les oiseaux élevés à la maison : très simple - plein poids ou quasi du premier au dernier jour de vol. (ex : tiercelet sorti de volière à 670 - mis à 650 - vols de 650 à 680 et au delà)

- Pour les oiseaux pris adulte : on fait comme les autres - c'est à dire comme on peut - on démarre bas et on monte ...

Sauf exeption pour cette année, ou j'ai changé de méthode avec une forme en 4 ème saison de chasse.

Un oiseau compliqué, toujours très long à mettre sur l'aile, très long à démarrer, mais très bon une fois mis.
Depuis 3 ans, nous mettions sur l'aile rapidement, s'ensuivait une guerre psychologique d'environ 1 mois un mois et demi avant de pouvoir remonter en poids et surtout utiliser l'oiseau convenablement.
Un peu - beaucoup - lassé par ces semaines de course à pied et d'usure des deux protagonistes, cette année j'ai décidé de ne pas le faire voler pendant ce mois et demi, quitte à ne pas le voler du tout.
L'oiseau a simplement été sorti, avec nourrissage une fois par jour en filière sur le leurre quand il acceptait d'y aller, pendant cette période.
Au lieu d'introduire, dès que l'oiseau revenait bien, nous avons prolongé les séances en filière pendant 1 mois.

Résultat : pas de stress, ni pour l'un ni pour l'autre, et un oiseau mis sur l'aile tranquillement à environ 900g, fin de saison à 950 environ et plus, au lieu d'un démarrage laborieux parfois même à 830 g.
Dès le premier jour sur l'aile, aucun problème ni de réclame, ni de centrage, ni de plafond, comme si cette période passée à ne rien faire, lui avait plus apporté que les vols journaliers "forcés" à des poids plus bas les années précédentes.
En définitive, le temps psychologique de l'oiseau n'est pas le notre, et j'en conclus qu'avec ce genre d'oiseau, il ne sert à rien de s'acharner à vouloir absolument le faire voler très vite.
Le temps perdu en filière est largement gagné ensuite.
Quand il faut démarrer bas, c'est tout simplement que l'oiseau n'est pas prêt à voler, une fois prêt il rattrape très vite les vols manqués.

Dans ces conditions, le problème se pose surtout avec les juvéniles, pour lesquels je tiens absolument à ce qu'il se nourrissent sur leurs prises dès qu'ils sont allongés.
Donc, hors de question de les laisser trainer 1 mois et demi à la pelouse....

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
voila tout un tas de témoignages qui traitent parfaitement de la question et qui confirment que le poids n'est qu'une indication parmi d'autres et.... qu'il n'y a surtout pas de recette unique pour affaiter un oiseau de chasse !

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Il est certain, qu'il n'y a pas de recette. Il y a cependant des buts à atteindre.
Pour moi, l'un des premiers buts reste de parvenir à voler avec un oiseau haut en poids et qui n'est pas motivé par la faim.

Je sais que la mode est de faire croire à certains débutants que les oiseaux doivent être serrés jusqu'à la limite.
C'est une erreur éthique impardonnable, doublée d'un non-sens sur le plan de l'affaitage et de l'entrainement.
Ceux qui pronent ces méthodes oublient de dire qu'ils bousillent définitivement au moins 3 oiseaux sur 4 et que seul parvient à voler convenablement l'oiseau qui introduit haut aurait donné les mêmes résultats.

En bas vol, cela peut-être un peu différent, en haut vol c'est l'échec assuré à 75 %.

Le second but est de parvenir à faire voler convenablement tous les oiseaux, sans casse, sans harcèlement ni contrainte.

Il faut donc en permanence s'adapter en fonction des oiseaux, parfois ne rien faire d'autre que de ne rien faire est la meilleure méthode, plutôt que de vouloir coute que coute obtenir un résultat que l'oiseau n'est pas prêt à fournir dans l'immédiat.



Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Hello,

Pour ma part, je dois constater que mes tiercelets de G/S se sont montrés très dépendants du juste poids.

Au début du taquet, ils pesaient 742g pour le plus petit et 750g pour le plus grand
A la fin du taquet (6 juillet): 754g et 744g
A la première prise (13 juillet): 724g et 738g
A la 25e prise (27 aout): 730g et 740g
A la 50e prise (26 octobre): 716g et 766g
A la dernière prise (16 janvier): 724g et 747g

Il y a donc 0g et 10g de différence entre la première et la dernière prise de la saison et il y a 3g et 18g de différence entre le début du taquet et la dernière prise.
J'ai bien tenté d'explorer l'enveloppe de poids mais le résultat était systématiquement un échec. Les oiseaux prennent l'essor et vagabondent. Ils restent attentif au leurre mais ne poursuivent plus les corneilles.

Mon sentiment est que d'amont sur un gibier moins combatif, ces oiseaux auraient surement pu voler à des poids plus élevés mais en poursuite sur le noir, on ne peut pas se détacher d'un contrôle assez strict de la motivation et du poids.
Autre constat, après un arrêt de 10 ou 15 jours, il faut refaire quelques poursuites derrière l'avion pour focaliser les oiseaux sur le mode "poursuite" et ensuite les remettre face à des corneilles avec un petit supplément d'appétit pour les redémarrer.

L'expérience de mon compagnon de chasse avec un pèlerin (entraîné de la même facon) est très différente de la mienne avec les sacrets.
Son enveloppe de poids est beaucoup plus large et l'influence du poids sera plus sur le volume de vol que sur l'issu du vol. Si l'oiseau est un peu serré, le vol sera de relativement courte durée avec un oiseau mettant beaucoup de pression sur le premier groupe qu'il voit. Si l'oiseau est plus haut en poids voir carrément plein poids, on le retrouvera toujours sur sa corneille mais probablement après une relativement longue poursuite à la télémètrie et un vol difficile à suivre voir incontrôlé.

Concernant le bas vol avec un tiercelet de Harris, mon expérience sur 2 saisons est qu'avec des vols réguliers sur un gibier connu de l'oiseau, le contrôle du poids n'est pas critique. A la fin de sa première saison, mon tiercelet chassait à 680g alors qu'il faisait sa première prise à 608g. Par contre en seconde saison, j'ai tenté de le mettre sur le lapin et n'y suis jamais arrivé même en l'abaissant sévèrement. Je m'y suis très probablement mal pris pour les tentatives sur lapins mais ce que ca illustre, je pense, c'est que si le gibier est connu et maitrisé par une Harris, elle continue à prendre même sans la motiver par l'appétit.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
quel que soit l'expérience on voit que : c'est le comportement qui déterminera le poids de l'oiseau et non l'inverse.
certains oiseaux comme exprimés par fl ont une fenêtre assez étroite malgré une mécanisation et une expérience poussée , d'autres, au contraire ,ont une marge beaucoup plus importante.
question d'espèces, de vol, d'individus et on l'oublie bien trop souvent d'affaitage.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Quand on lit les poids indiqués par FL : on parle de 10 g de différence entre le poids plein et le poids de vol Very Happy ...
Donc en clair, ses oiseaux volent plein poids.
Quand certains parlent d'abaisser un oiseau, ils ne parlent pas de 10 g mais de 150 !

On voit donc que même pour la corneille, ce n'est pas le poids qui rentre en compte, mais bien le conditionnement.
Ensuite, il n'est évidement ni utile, ni nécessaire d'engraisser des oiseaux comme des oies.

Ce qui importe surtout, c'est de leur permettre de développer leur masse musculaire, et pour l'approvisionner il est évident qu'ils doivent manger...
Cela est d'une telle évidence, qu'il parait même incongru de devoir l'écrire sur un forum de fauconnerie ! Very Happy

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Dis moi FL,tu vole des sacrets ou des tiercelets G/S? J'ai toujours pensé que tu avais mis du sacre au taquet, mais ici en début de post tu parles de tiercelet de G/S.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Hello Brubru,
Ce sont des tiercelets de G/S. Je simplifie en disant "les sacrets" parce que je pense qu'il n'y a pas beaucoup de gerfaut dans le mélange et ils présentent vraiment l'aspect du sacre.
@+
FL

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

OK, vu son poids, je pense que le mien(tiercelet G/S) doit avoir un poil plus de gerfaut,sa couleur après la 2° mue donne également une indication.
pour info: sortie de volière:+/-970 gr
introduction:+/- 830 gr
poids de chasse actuel:+/- 910 gr
poids plein mue précédente:+/- 1030 gr
poids de vol,effarouchement sur terrain habituel:+/-950 gr

couleur actuelle:

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Citation :
je pense que le mien(tiercelet G/S) doit avoir un poil plus de gerfaut


Si c'est un gerfaut-sacre, il n'a ni plus ni moins que 50 % de gerfaut !..
Pour avoir vu les oiseaux de FL, ils ressortent effectivement très sacre : quel est le pourcentage ?

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
C'est bien ce que je disais,mes G/S sont annoncés 50-50 venant de parents eux-même 50-50.Je ne connais pas le pourcentage des oiseaux de FL mais le poids est significativement plus bas.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

×
×
  • Créer...