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oreste

Vos lévriers diabétiques

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Salut je ne vous souhaite pas de mal mais cela m'étonnerai que je sois la seule à avoir un lévrier diabétique et si c'est le cas tant mieux pour vous et snif08 pour moi . Mais pour qui est intéréssé
sachez qu'il existe des croquettes spéciales pour eux beaucoup moins chères que chez les vétos et vendues dans le commerce qui commercialisent la marque " ADVANCE " bien sur il faut demander et ils passent une commande spéciale pour vous ; pour les croquettes RC ou autres chez les vétos entre 81 et 93,50 euros les 12 kgs ( surtout chez RC qui a mis une nouvelle croquettes à 93 , 50 les 12 kgs alors que l'autre 84 les 14 AAAAARRRRGGGHHH )et là chez ADVANCE 12 kgs pour 54 euros

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Le diabète chez le chien peut être dû à une mauvaise alimentation. L’abus de sucreries et de sucre, qui provoque une hypersécrétion d’insuline, peut contribuer à épuiser les cellules productrices. L’obésité a les mêmes effets néfastes et prédisposant, car elle diminue la sensibilité tissulaire à l’insuline. Les régimes hypergras sont parfois à l’origine de pancréatites susceptibles de se compliquer en diabètes insulinodépendants.

Mais il existe aussi des causes « extra-alimentaires » : causes génétiques, d’une part, et hormonales, immunologiques, pharmaceutiques (traitement prolongé aux corticoïdes et aux progestatifs), virale (forme juvénile) ou en rapport avec tout stress ou maladie, d’autre part.

La forme juvénile, rare, ne représente que 1,5 % de l’ensemble des cas de diabètes. Quelques races semblent prédisposées : le Berger allemand, le Caniche, le Pinscher, le Labrador. Chez les adultes, le diabète survient entre 5 et 12 ans, les femelles étant deux fois plus touchées que les mâles, et plus fréquemment chez les petites races : Teckel, Schnauzer nain, Caniche. Quelques règles sont à connaître, à la fois pour prévenir et pour traiter cette maladie par l’alimentation.
L’alimentation du chien diabétique

La qualité, la quantité et l’heure des repas jouent un rôle fondamental dans la survie du chien diabétique. Si le chien répond bien au traitement à l’insuline, il faut déterminer la période maximale d’activité de cette dernière (en général 2 à 4 heures) pour cerner au mieux le moment le plus adéquat du repas, en tenant compte du temps de digestion et de résorption. Le régime est, en effet, corrélé au traitement : il faut des repas appropriés au moment où le pic de l’insuline injectée est au plus haut.

En moyenne, le chien doit être nourri 1 à 2 heures après l’injection d’insuline. Par ailleurs, si le diabète est insulinorésistant, le rôle de l’alimentation dans le traitement du diabète est capital. Les principes fondamentaux de l’alimentation sont, premièrement, la lutte contre l’obésité (la ration d’entretien est plafonnée à 50-70 kcal par kilo de poids vif), et deuxièmement, une composition diététique des repas :
- augmentation de la part de cellulose de la ration.
- utilisation de glucides énergétiques dits « lents » ou à faible index glycémique, c’est-àdire à digestion progressive. Cette propriété permet une meilleure gestion de la glycémie postprandiale.
- fractionnement de la ration en de nombreux petits repas répartis sur la journée ; – contrôle des proportions de lipides, protides, vitamines et minéraux.
Quelle qualité de glucides choisir

Les sucres dits « rapides » (saccharose, lactose, maltose…) ou à index glycémique élevé, donnés le plus souvent sous forme de morceaux de sucre ou de gâteaux, sont formellement interdits dans l’alimentation du chien diabétique, parce qu’ils entraînent une forte hyperglycémie, c’est-à-dire qu’ils font grimper en flèche le taux de sucre dans le sang.

Les sucres « lents » n’ont que peu de répercussions sur la glycémie, ce qui peut faire d’eux des glucides de choix chez les diabétiques. Les amidons tiendront une place privilégiée dans l’alimentation du chien diabétique, puisque la réponse glycémique qu’ils entraînent et leur digestion progressive permettent une résorption du glucose régulière et étendue dans le temps. Le plus souvent, on utilisera du riz bouilli ou soufflé, ou des flocons de céréales.
Les autres nutriments

Il convient de couvrir les besoins en acides aminés indispensables : pour cela, on doit augmenter le taux protéique de la ration.

L’augmentation des lipides alimentaires chez un animal diabétique est contre-indiquée. Les divers acides gras essentiels seront donc apportés en variant les sources (huiles de maïs, de tournesol, de colza, de poisson, graisses animales – sauf de ruminants). Pour favoriser le métabolisme de ces acides gras essentiels, on ajoutera à la ration de la vitamine B6 et du zinc.
Les vitamines et les minéraux

La rétention du calcium et du potassium étant difficile, il faut ajouter ces deux éléments à la ration.

La diurèse est augmentée, de nombreux éléments habituellement éliminés par les urines risquent de ne plus se trouver en quantité suffisante pour assumer leurs fonctions. Il faut, par conséquent, accroître les apports en sel (chlorure de sodium), en vitamines du groupe B, qui jouent de multiples rôles dans le métabolisme énergétique, et en oligoéléments.

On retiendra par ailleurs que :
- le magnésium augmente l’efficacité de l’insuline, prévient les troubles circulatoires et aide au métabolisme lipidique.
- le chrome et le zinc interviennent en tant que cofacteurs de l’insuline.
- la vitamine E à haute dose a un effet hypoglycémiant.
- la vitamine B12, ainsi que la choline et l’acide folique (vitamine B9) préviennent la stéatose hépatique.
- la vitamine PP freine la lipolyse.

http://wamiz.com/chiens/guide/alimentation-pour-chien-diabetique-0761.html

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Les symptômes du diabète chez le chien

Chez l’animal, on parle aussi bien de «symptômes» que de «signes cliniques» ou tout simplement de «signes». Les signes du diabète sucré sont provoqués par un fort taux de glucose dans le sang.

Lorsque le taux de glucose dans le sang dépasse le " seuil" ou limite de glucose possible pour les reins, on assiste à un passage du glucose en excès dans les urines. Le fait que votre chien urine beaucoup plus fréquemment entraîne une trop forte déshydratation du corps de l’animal l’incitant à boire encore plus.

Un animal diabétique peut souffrir d’une perte de poids en dépit d’un appétit plus grand dû à sa perte en glucose, lequel représente un carburant (source d’énergie) essentiel pour le bon fonctionnement du corps.

Pour plus d’informations sur le métabolisme du glucose, consultez la page sur le diabète sucré chez le chien.
Signes typiques du diabète chez le chien

la polyurie - miction (action d’uriner) excessive
la polydipsie - soif excessive
la perte de poids malgré une polyphagie (un plus grand appétit)
la léthargie

http://www.diabete-chien-chat.com.fr/symptomes-diabete-chiens.asp

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Thémis titubait et urinait en plus de boire à profusion , ayant pris rdv chez le véto après une prise de sang , le verdict est tombé , il faut voir qu'en + des croquettes spéciales il en coute pour 45 euros par mois pour un chien de + ou - 23 kgs en unsuline pour une piqure par jour ; Mais bon je ne vais pas le laisser mon Thémis qui a retrouvé une nouvelle jeunesse depuis novembre dernier alors qu'il va sur ses 11 ans

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Tu peux aussi demander a El gazhal qui a une longue expérience avec
une femelle Afghane diabétique

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Merlin a écrit:
Tu peux aussi demander a El gazhal qui a une longue expérience avec
une femelle Afghane diabétique
:
Mais je le traite depuis 11 mois maintenant et avec la piqure il va bien juste essayer d'alléguer la facture et avec ces croquettes cela est un mieux pour le portefeuille

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