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Nikita011

Ce qu'on appelle un gros doigt ????

Messages recommandés

Merci de m'aider à comprendre ce qu'est "un gros doigt".

1. Est-ce une entorse d'un doigt de pied de nos kikis
2. Comment cela arrive-t-il le plus souvent
3. Comment faire le diagnostic
4. Comment soigner

Merci mille fois
 gros bisous   

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je penche pour une entorse mais pas sûre à 100% ce serait bien que celles qui ont vécu ça viennent nous dire
merci !

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L'avis de notre vétérinaire »

Quelques pathologies du lévrier sportif

Le gros doigt ...

C’est l’accident le plus fréquent du lévrier en courses. Il survient lors de brusques changements de direction, lorsque le doigt ne suit pas le mouvement de toute la patte. Les ligaments sont alors étirés et parfois peuvent même se déchirer. Les symptômes apparaissent peu de temps après l’effort: gonflement ,chaleur et douleur à la palpation du doigt atteint, souvent le chien va également boiter.
Cette affection très fréquente ne se guérit malheureusement pas facilement, il n’y a pas de remède miracle. Si on s’aperçoit rapidement de son apparition, on peut doucher le doigt touché, ou appliquer des glaçons emballés dans un essuie. Le traitement principal est le repos, de minimum 6 semaines, l’idéal étant plus de 2 mois. L’application d’un gel anti-inflammatoire pendant une dizaine de jours est aussi recommandée. Le but du repos est que l’animal ne puisse pas se servir de son doigt, on a donc intérêt à couper l’ongle le plus court possible. En cas d’entorse sévère, la mise en place d’un plâtre pourra être nécessaire.
Après une quinzaine de jours, le chien pourra être promené en laisse sur un sol dur (macadam, bêton) il faut absolument l’empêcher de courir, que ce soit en balade ou sur piste, et ce durant au moins 6 semaines.
Après ce temps, on pourra reprendre tout doucement l’entraînement, en veillant à contrôler l’évolution du doigt après chaque travail.
Le maître mot à retenir de cette pathologie est le temps, mieux vaut perdre une saison de courses plutôt que de risquer des récidives et la fin de carrière de votre ami.

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un de mes articles ...

Soigner les pieds de vos Lévriers

Pensez à votre fidèle compagnon ! Vous êtes à l’aise dans vos baskets ? Quelle chance pour vous ! Votre lévrier, lui, marche sur ses soles, il n’a pas de caoutchouc pour le protéger. C’est donc à vous de faire le nécessaire pour son confort.

On peut toutefois se poser des questions à ce propos.

Le standard nous donne une image précise du pied idéal : un pied de lièvre, bien sûr, bien serré, bien souple, bien joints est un must pour notre coursier. C’est lui qui, en effet supporte le poids de l’animal. (voir article ci-dessous).

Avant de vous transformer en pédicure chinois, (les meilleurs au monde, dit-on) nous allons passer en revue toutes les misères donc pourrait souffrir notre ami.

En effet, si œil de perdrix, cors, durillons et mycoses sont le propre de l’homme, votre lévrier a aussi son lot de problèmes :

Quelles sont les questions à se poser lorsque votre lévrier boite ?

La première chose à faire, bien entendu, est d’examiner votre ami pour découvrir l’origine de son mal. Vérifiez s’il n’y a pas d’épines, de punaises ou de coupures. Il se peut aussi que ce soit une entaille sur le coussinet. Palpez doucement et méthodiquement avec le pouce. Un coussinet abîmé est très sensible à la pression.

Vérifiez si des petits cailloux ne se sont pas logés dans les espaces interdigitaux. On pourra également découvrir la présence de nœuds très durs qui gênent votre lévrier.

Des ongles trop longs, mal coupés ou blessés sont aussi responsables d’une boiterie.

Chez d’autres, l’inconfort pourra venir d’une luxation, d’un gros doigt.

Certains seront dérangés par l’arthrose ou l’arthrite. Il vous faudra pour cela bien observer votre compagnon pour découvrir le secret de sa douleur :

q Le lévrier a-t-il de la difficulté à se lever le matin ?

q Un temps plus sec apporte t-il une modification ?

q Le lévrier peut-il sauter, ou grimper les escaliers ?

q Boite t-il quand il marche ? Quand il court ?

q L’exercice apporte t-il une différence ?

q La claudication est-elle intermittente ?

Grâce à votre perspicacité, vous serez en mesure d’aider le vétérinaire à cerner le problème et à poser un diagnostic précis, ainsi qu’un plan de soins.

Traumatismes divers :

1. Boiteries et claudications :

q Corps étrangers : provoque douleurs et boiteries. Le chien se lèche et mordille le coussinet blessé. Il s’agit souvent d’épines, d’échardes ou de morceaux de verres.

Remède : s’armer de patience, d’une bonne lampe de poche et d’une pince. Ôter l’esquille. Bien désinfecter : pommade à la propolis, ou application d’huile essentielle de lavande vraie (lavendula vera) ou de niaouli ou tee-tree (mélaleuca alternifolia ou quinquinervia). S’il n’est pas possible d’ôter l’écharde, pensez à une application de cataplasme d’argile verte très épais (au moins 3 à 4 cm d’épaisseur, afin de permettre à la terre d’agir, pendant au moins une nuit). Pour la facilité, recouvrir une feuille de plastic alimentaire et d’une bande de tissu. Voir le lendemain matin : la force absorbante de l’argile devrait avoir eu raison du problème.

q Blessures et coupures : en général, très douloureux. Selon la gravité du cas, consulter le vétérinaire. Si non, désinfection, après un bain de patte, et pose d’un pansement.

q Inflammation des coussinets : fréquent chez certains chiens qui passent l’hiver en sédentaire. Il y a lieu de ne pas baigner les pattes, car les coussinets sont ramollis. On peut les durcir par application d’un produit à demander chez son vétérinaire. Par précaution, il ne faut pas imposer au chien des entraînements trop vigoureux après une longue période de repos.

q Kystes interdigitaux : cas douloureux dont on ne connaît guère l’origine. Une tumeur rougeâtre et luisante entre les orteils. Cette tumeur est sensible, douloureuse, et continue à enfler jusqu’à ce qu’elle éclate, libérant un liquide rosâtre. Traitement : voir le vétérinaire qui jugera de la gravité du problème. En attendant, calmer la partie malade avec des bains d’eau chaude salée, des huiles essentielles à visée antibiotique en usage local (voir plus haut). Ceux qui savent peuvent aussi magnétiser la partie malade (cela donne de bons résultats – ne me croyez pas, essayez !!!). Une intervention chirurgicale et une prise d’antibiotiques pourraient néanmoins s’avérer nécessaire.

q Les fractures : une fracture est le terme médical pour décrire la cassure d’un os. La plupart des fractures sont dues à des accidents, mais il peut arriver qu’elles se présentent spontanément lorsque l’os passe par une modification pathologique, tel le manque de calcium ou un cancer qui ronge l’os. Un pied fracturé est très gonflé et peut présenter un certain nombre d’entailles. Le blessé souffre énormément. Il est évident qu’il doit être examiné par un vétérinaire. Laisser l’animal au grand repos. La luxation ne doit pas être confondue avec une fracture. Une luxation se présente lorsque le membre est déboîté de son articulation.





q Nos lévriers peuvent se fouler un doigt lors de courses où de jeux brutaux. On appliquera alors un gel réparateur contenant des huiles essentielles anti-inflammatoires à raison de 10 %, telles que l’eucalyptus citron (eucalytus citriodora), la lavande vraie (Lavandula officinale), le romarin à camphre (romarinus camphora) , la gaulthérie couchée (gaulthéria procumbens) … Le cataplasme d’argile est aussi excellent dans ces cas. Et les hématomes se traiteront avec une huile essentielle d’Hélichryse italienne (Hélichrysum italicum) qui surprendra plus d’un par sa rapidité d’action (en massage local, deux ou trois gouttes dans une noisette de gel, de crème, ou un peu d’huile végétale). En cas de gros doigt chez les Lévriers titulaires d’un carnet de travail, le repos absolu est de rigueur. Un gros doigt mal soigné peux saboter une superbe carrière.





- Les attaques extérieures



L’hiver, les routes et les trottoirs sont recouverts de sel pour faire fondre la neige et le verglas. Ce produit est vraiment néfaste pour les coussinets. On peut prévenir le problème de cette façon : graisser les coussinets avant chaque sortie avec de la glycérine, ou la « Pommade souveraine ». Au retour de la promenade, bien rincer les pieds de votre lévrier à l’eau tiède et bien sécher.

L’été, il nous est arrivé à tous de rentrer avec du goudron plein les chaussures. Le lévrier n’a pas été épargné lui non plus. Il prendra un air dégoûté, secouera ses pattes dans tous les sens pour vous faire comprendre que, vraiment, il vous faut faire quelque chose : le meilleur moyen est de baigner les endroits atteints avec un mélange d’eau salée tiède et d’huile d’olive. Répéter l’opération si besoin est, bien rincer et bien sécher avec une serviette, voire un sèche cheveux sur la position tiède.

Autre fléau de l’été : les aoûtats, ces petits parasites qui hantent nos pelouses. Ils se présentent sous la forme de petits grains de couleur orange fluorescent. Leurs lieux de prédilection sont les endroit inter-digitaux, mais on peut les rencontrer également dans le nez ou encore aux oreilles. Le lévrier se lèche et se mordille. Il en résulte des chatouillements. Le moyen d’attaque le plus simple est une pulvérisation du mélange d’huiles essentielles suivantes : H.E. Géranium rosat, Lavandula Spica, Melaleuca alternifolia (en partie égale). La « Pommade souveraine » calmera les irritations et le prurit. Mais aussi un produit conseillé par votre vétérinaire. Comme leur nom l’indique ces petits vampires ne sont présents qu’a la fin de l’été. Note : le mélange d’huiles essentielles cité plus haut est aussi valable contre les tiques : Appliquer simplement une goutte du mélange sur la tique, laisser agir et retirer celle-ci délicatement et entièrement. (Cela désinfecte la morsure et asphyxie la tique).





LA LEÇON DE PEDICURE :

Petit matériel de base : - une bonne pince à ongles : soit une pince coupe fil d’électricien, où une pince dite « à guillotine ». Les meilleures sont encore les pinces spéciales. On les trouve dans toutes les expositions et les grandes surfaces réservées aux animaux. Il est indispensable qu’elle coupe fort et net.

- éventuellement, une lime à ongle, des bâtonnets ouatés, une petite brosse à ongle, une paire de bons ciseaux, un peigne fin.

Pour plus de facilités, placez votre lévrier à bonne hauteur et sous un éclairage convenable. Vous y verrez plus clair ; le confort n’est pas à négliger non plus et vos vertèbres vous en remercieront.

Vérifiez la sole : recherchez les corps étrangers dans les espaces interdigiaux. Supprimez les nœuds pouvant s’y trouver. Ecartez les doigts et faites jouer les articulations pour que rien ne puisse vous échapper.

Coupez les poils qui pourraient déranger le chien, avec des ciseaux, en effleurant les coussinets. Il faut veiller à enlever la bonne quantité. Trop nuit, trop peu également. Laissez votre bon sens agir et respectez le standard de la race de votre lévrier.

Démêlez si besoin est les poils se trouvant dans les espaces inter-digitaux. Coupez les poils en surnombre.

Utilisez la brosse à ongle pour éliminer les traces de terre éventuelles.

Vérifiez la longueur des ongles qui ne doivent pas gêner à la marche.

Les couper est une opération délicate : il faut veiller à ne rien endommager. Si les ongles sont clairs, rien de plus facile : on repère la partie vivante (rose) et on coupe franchement APRES. Lorsque l’ongle est de couleur foncée, il faut repérer la longueur à couper au juger. Il faut, pour cela rester prudent. On cherchera la partie de corne exacte à couper. Si on a vu trop court, le sang coulera. On l’arrêtera avec un coton imbibé d’eau oxygénée appliqué quelques secondes sur la partie blessée, ou encore une goutte d’huile essentielle de camomille, ou de lavande.

Si la coupe de l’ongle n’est pas nette, on peut se servir de la lime pour rectifier le contour. Ne pas oublier de vérifier les ergots, par la même occasion.

Voilà l’opération réalisée sans douleur. Il est nécessaire de la répéter à chaque besoin. On vérifiera tout particulièrement ce point délicat chez les jeunes chiots, pour éviter qu’ils blessent les mamelles de leur mère, chez le chiot en croissance, pour éviter une mauvaise position du pied et lutter contre le « pied plat »,chez les chiens adultes pour éviter les ongles incarnés, les cassures toujours douloureuses, et chez les chiens sédentaires, qui n’usent pas suffisamment les ongles. Les lévriers du troisième et quatrième âge quant à eux, auront besoins de vos talents, la déformation des pattes s’accompagnant d’un allongement parfois spectaculaire des ongles. Cela gênant la marche et aggravant l’inconfort des rhumatismes.

Les lévriers d’expositions ou de courses auront, eux, droit à une vérification complète avant chaque sortie. Il est impératif que leurs pieds soient irréprochables, pour qu’ils puissent se livrer à fond. Donc, pensez-y suffisamment tôt et méfiez-vous de ne pas occasionner de blessures involontaires. Vous joueriez vraiment tous les deux de malchance !!!

FD

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LE GROS DOIGT



Une entité pathologique reconnue comme fréquente chez le lévrier de course et couramment appelée "gros doigt" par les propriétaires se reconnait comme une augmentation de volume d’une des articulations inter-phalangienne et plus ou moins douloureuse à la palpation. Elle est parfois invalidante au point de gêner les performances voire d’occasionner une boiterie. Lésions articulaires, tantôt entorses, tantôt tendinites, tantôt fourbure, sur chiens rapides, souvent lourds, à l'occasion de bousculades, de mauvais freinage à l'arrivée, parfois de pistes mal entretenues.
Ils surviennent souvent en pleine saison sur les sujets fatigués, mal détoxiqués.
Ils peuvent être bénins ou graves.

Selon les vétérinaires, on traite par chirurgie, par anti-inflammatoires, par pansement, par homéopathie. Chaque méthode a des succès ou des échecs, selon les cas. On a souvent signalé des chutes de forme après corticoïdes.


Légende : la course rapide du lévrier favorise les traumatismes sur les phalanges.

C’est en fait une entorse ou plutôt une séquelle d’entorse cicatrisée. En effet les accélérations et changements de caps intempestifs durant la course engendrent facilement des traumatismes sur les phalanges. En pathologie aigüe, on note des distensions ligamentaires et des arrachements tendineux à traiter au moins de façon classique. Toutefois après la phase de cicatrisation des douleurs à l’appui peuvent persister de longs mois et qui ne se comprennent qu’en s’intéressant aux mouvements mineurs de ces articulations et à la génèse de l’entorse.

Lors du choc qui provoque l’entorse, l’articulation dépasse ce que l’on appelle la barrière anatomique de l’articulation inter- phalangienne incriminée dans une direction particulière (celle du vecteur de la force traumatique). Ce qu’il convient de comprendre c’est que la phalange "poussée" dans une direction anormale fait s’étirer les récepteurs proprioceptifs et nociceptifs des fascias et tendons dans la direction du choc et que souvent ils gardent la "mémoire" de celui ci. Et l’os qui est parti par exemple dans un sens médial à ce moment là ne pourra plus revenir facilement en latéral ce qu’il devra pourtant faire dans certaines phases de l’appui. Il y aura alors douleur, gêne ou pose particulière du pied pour éviter ce mouvement et la douleur.

Les tests ostéopathiques à ce niveau sont assez simples à réaliser et le traitement consistera à trouver une manipulation la plus douce possible qui redonnera à cet os la possibilité de repartir en latéral.

Du point de vue ostéopathique une entorse avant d’être une lésion tissulaire est donc d’abord cela :
- une apparition brutale et persistante d’une dissymétrie dans les mouvements mineurs de la phalange (rotation interne ou externe, latéralisation, médialisation, compression, décompression) qu’il convient de corriger.

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Les pattes
Vérifier les coussinets régulièrement, éventuellement utiliser un produit pour les renforcer ; couper les ongles afin éviter les « gros doigts » (entorse avec déchirure ligamentaire) qui nécessite plusieurs semaines d’arrêt. Il existe des pinces spéciales qui facilitent la tâche des propriétaires. Après une course sur une piste en sable il faudra lui nettoyer les pattes.

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on donne généralement du TRAUMEL en homéopathie par la bouche
on masse avec dugelamerlin avec des H.E. et/ou du G5 ou bien du gel TRAUMEL
repos absolu et même sortie en laisse pour les pipis au jardin

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Tout est dit.
Je rajouterais seulement que les ultra-sons sont un atout supplémentaire pour une bonne récupération.
Ils permettent de garder l'élasticité des tendons et gomment les cals tendineux.

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Tout à été dit par Merlin.
Mais je tiens à ajouter une chose.
Plus votre chien est grand plus le centre de gravité de votre chien sera plus haut par rapport au sol, donc en cas de changement brusque de direction à grande vitesse, l'effort du contrôle de la patte et des doigts est très intense d'où l'importance de la construction d'un parcourt de terrain de coursing.
De plus un ligament étiré, déchiré ou luxé entraîne toujours une fragilité future et d'éventuelles récidives.
Par contre j'ai constaté également que les accidents de gros doigts sont souvent propres à une ligné de lévriers bien déterminée qui pour moi aurait engendré avec les années des sujets plus sensibles voir fragiles au point de vue ligamentaire.
Et que souvent la récidive est due à une convalescence et une rééducation beaucoup trop courte.
En barzoï par exemple un gros doigt se guéri totalement souvent sur plus de 4 à 5 mois et met souvent en péril la saison de course.
Le risque majeure d'un gros doigts mal soigné est la formation de cristaux de calcium ou de kératine à l'intérieure de la gaine tendineuse et qui viennent irriter et enflamment le ligament quand il coulisse dans sa gaine et souvent longtemps après.


Barzoïement vôtre Tony

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Tout à été dit par Merlin.
Mais je tiens à ajouter une chose.
Plus votre chien est grand plus le centre de gravité de votre chien sera plus haut par rapport au sol, donc en cas de changement brusque de direction à grande vitesse, l'effort du contrôle de la patte et des doigts est très intense d'où l'importance de la construction d'un parcourt de terrain de coursing.
De plus un ligament étiré, déchiré ou luxé entraîne toujours une fragilité future et d'éventuelles récidives.
Par contre j'ai constaté également que les accidents de gros doigts sont souvent propres à une ligné de lévriers bien déterminée qui pour moi aurait engendré avec les années des sujets plus sensibles voir fragiles au point de vue ligamentaire.
Et que souvent la récidive est due à une convalescence et une rééducation beaucoup trop courte.
En barzoï par exemple un gros doigt se guéri totalement souvent sur plus de 4 à 5 mois et met souvent en péril la saison de course.
Le risque majeure d'un gros doigts mal soigné est la formation de cristaux de calcium ou de kératine à l'intérieure de la gaine tendineuse et qui viennent irriter et enflamment le ligament quand il coulisse dans sa gaine et souvent longtemps après.


Barzoïement vôtre Tony

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je rajoute encore une chose : en medecine traditionnelle chinoise on dit que le foie est responsable des muscles et des tendons; donc une fois l an, au printemps une petite cure de nettoyage

et surtout veillez a ce que votre chien soit bien hydraté

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Je pense aussi que le temps de convalescence est tres important et qu il reste une certaine fragilité apres c est mon humble avis

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Merci pour toutes ces précieuses explications. Franchement vous êtes extraordinaires sur ce forum et c'est une aide plus que précieuse. Je vais lire et relire attentivement toutes ces infos.

Boujilan craint pour les bêtises de Maïssa et elle a bien raison  non non non non Elle a de nouveau quitté le pré dimanche dernier et est montée dans la forêt pour essayer d'y trouver un petit copain à 4 pattes avec 2 petites cornes...... Heureusement Iodah la grande était en laisse. Elle n'était pas partie longtemps mais un coussinet saignait (blessure peu profonde). Nous n'avons pas remarqué de boîterie et avons continué la promenade pendant une bonne heure 1/2 (en laisse bien sûr). A notre retour elle a été seule qques instants dans le garage pendant qu'on jouait à la balle avec la grande. Cela a dû l'énerver et on pense qu'elle s'est sûrement cognée le pied sur les marches du garage. Le soir même le pied avait doublé et elle ne le posait plus. J'ai de suite donné de l'arnica et le lendemain elle marchait pratiquement normalement. Là çà a l'air bon. J'ai posé la question car j'avais pensé à un gros doigt mais selon la description des symptômes sur le post je ne pense pas que ce soit le cas. J'ai massé chaque doigt et elle n'a pas réagi. L'enflure me semblait plus haut sur le pied à la naissance du petit doigt.
Tu vas te demander pourquoi elle était au garage ??? Et bien la grande a tellement peur de se faire bousculer par ce bulldozer qu'elle reste complètement statique à la vue d'une balle ou d'un bâton. Donc pour donner de l'exercice à la grande on est obligé d'éloigner Maïssa pour que Iodah ait le courage de se lancer sur la balle. Et puis c'est pas juste de ne plus jouer avec la grande à cause de Maïssa. Bon toi qui en a quatre tu dois savoir qu'il n'est pas tjs facile de gérer les kikis ensemble.
Cette petite doit apprendre à respecter les aînés  j\'attends moi!  j\'attends moi!

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une petite suggestion : en cas de blessure ne pas chercher à enrayer la douleur complètement. En effet la douleur est utile car elle sert à limiter l'utilisation de "l'endroit" blessé.

Donc pour la douleur : soulager oui, l'annuler non

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