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Invité

Faut il avoir peur des serpents sauvages !?

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Invité
je veux dire par là, est ce que si par hazard on en croise un, il va forcement essayer de nous attaquer, ou pas ?


j'en ai croisé 3 en une semaine '(pas a coté de chez moi, mais dans le coin quand meme) , surement du aux grosses chaleurs car cette semaine justement la temperature est montée jusque 38°.

comment les eloigner de chez moi ?

j'ose plus aller m'assoire dans l'herbe dehors.

que faire ? si vous pouviez m'eclairer, vous amis des reptiles, ce serait sympa.

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en générale le serpent fuit l homme si tu en voit qui ne bouge pas il sont en train de prendre un bain de soleil...a la forme de la tete tu peux savoir si elle sont venimeux ou pas tete en V venimeux (vipère) forme arrondi non venimeux (couleuvre)


Fiche

Nom : Couleuvre à collier

Nom latin : Natrix natrix

Classe : Reptiles

Ordre : Squamates

Famille : Colubridés






Morphologie

Les mâles mesurent 1m10 tandis que les femelles mesurent 1m60, mais peuvent, exceptionnellement atteindre 2m.
La couleuvre à collier est souvent grise, ou dans les nuances du gris mais pas toujours. Il se peut que dans certains biotypes, qu'elle soit verte, ou encore marron-gris. Elle possède des taches noires sur le dos en forme de barre verticale. Autour de la tête, elle a un anneau jaune-blanc , très marqué au plus jeune âge et s'effaçant avec le temps. C'est pour cela qu'un individu assez vieux peut être dépourvu de celui-ci. Enfin, elle possède un queue longue, épaisse s'affinant petit à petit.








Habitat

C'est la couleuvre qu'on a le plus de chance de croiser en France. Elle est présente dans toute la France. Elle est semi-aquatique, c'est à dire qu'elle vit à proximité de l'eau, pouvant nager, et plonger dans celle-ci. Etant jeune, la couleuvre à collier fréquente les mares, étangs, rivières et lac, à la recherche de nourriture. Cependant, il se peut que les sujets adultes quittent ce biotope pour vivre complètement à l'écart de points d'eau. Cela explique la présence presque partout en France. De plus elle peut vivre de 0 à 2000 mètres d'altitude.









Comportement

Ovipare, La couleuvre à collier s'accouple une fois au printemps, fin avril ou courant mai, et une deuxième fois à l'automne. Les couleuvres à collier peuvent se rejoindre pour pondre, courant juin. Chacune peut pondre de 10 à 30 oeufs, qui écloront début septembre . Les petits mesurent alors une quinzaine de centimètres et sont très vulnérables. La couleuvre à collier passe l'hiver dans des galeries ou des abris naturels. Elle hiberne de fin octobre à début mars . Souvent plusieurs couleuvres, des plus jeunes et des plus âgées, hivernent ensembles.









Particularités

Elle chasse le jour, souvent dans l'eau. Aux heures de grandes chaleurs, elle peut se reposer pour se réchauffer au soleil, ou attendre calmement dans l'eau fraîche.
Pour se défendre, elle donne des coups de tête et envoie un liquide nauséabond. Elle peut aussi se servir de ce dernier en faisant la morte (sur le dos), le prédateur va alors croire alors que le serpent est mort depuis quelques jours et va partir en le laissant. Elle nage avec aisance, la tête hors de l'eau. Elle plonge et peut rester une quinzaine de minutes dans l'eau.









Alimentation

La couleuvre à collier mange des amphibiens (grenouilles, crapauds, tritons.) ainsi que leurs larves, et aussi de petits poissons si elle chasse dans l'eau. Elle peut aussi manger des rongeurs, lézards.


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Couleuvres


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Vipères


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Fiche



Nom : Vipère aspic

Nom latin : Vipera aspis

Classe : Reptiles

Ordre : Squamates

Famille : Vipéridés







Morphologie



La vipère aspic atteint généralement 70cm. Cependant, certains spécimens peuvent mesurer 90cm. Cette espèce n'a pas de coloration type : sa couleur de fond, la présence et la disposition des taches sont variables. Le bout du museau est retroussé.








Habitat



Elle est présente partout en France, sauf au nord. Elle vit dans les endroits rocailleux de préférence, mais elle peut s'adapter à tout type d'habitat. Elle préfére cependant la chaleur. C'est pour cela qu'elle n'est pas présente dans le nord de la France.










Comportement



Sa période d'activité s'étend d'avril à octobre. Les accouplements ont lieu d'avril à mai et sont précédés de combats rituels entre mâles. L'espèce est ovovivipare , et les naissances surviennent entre septembre et octobre. Les petits sont tout de suite autonomes.










Particularités



C'est à cause des vipères que les autres serpents sont tués sans pitié, mais aussi à cause de la bible la représentant comme une incarnation du diable. Cependant, les vipères provoquent peu de morsures mortelles en France par rapport, par exemple, aux guêpes... En moyenne, un seul décès est à déplorer en France, par an... Beaucoup moins que ceux causés par les guêpes! De plus ces serpents se cachent tout de suite, et ne se défendront que dans des situations les menaçant, par exemple si un promeneur marche sur sa queue... En conclusion, c'est une espèce à protéger, pas si dangereuse que cela!










Alimentation



Les lézard et les grenouilles sont au menu des jeunes, tandis que les petits mammifères ou les oisillons sont préférés par les adultes.




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dans la partie de gauche il y a un index que tu pourras consulter directement pour en savoir plus...si tu l embete pas elle ne te fera rien ...quant tu marche fait beaucoup de bruit elle fuiront en t'entendant

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ben moi je serai tétaniser, je pense que j'aurai pas le temps de regarder la forme de la tête.
Demain je vais chez un ami qui à des serpents non venimeux chez lui, et je vais essayé d'en touché un avec son aide. j'en ai des frissons....

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c est aussi doux qu une peau de bébé j en ai manipuler pas mal quant j ai bosser bénévolement au zoo d amneville

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Invité
sonia4191 a écrit:
ben moi je serai tétaniser, je pense que j'aurai pas le temps de regarder la forme de la tête.
....


pareil pour moi, sur le coup sa dois surprendre!
Mais général les serpents fuient a l'approche d'une présence humaine.
S'il nous attaque c'est qu'on la surpris et agis plutot sur la défenssive que pour l'attaque proprement dites.
Il ne faut pas en avoir peur, mais quand je marche dasn les herbes hautes j'ai tendances a faire beaucoup de bruit pour éloigné ceux qui auraient le sommeil profond!!! Laughing

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Invité
merci pour la docu boubou, par contre moi je suis au maroc, mais bon ca doit etre a peu pres les memes.

ok, pour l'astuce faire du bruit.
et si un de mes chiens, chats, ou une volaille se fait mordre? ca peut etre mortel pour eux ?

j'aime pas les serpents, mais je leur ferais jamais de mal povres betes.
et dire que bientot c'est la saison des scorpions ici, j'en ai de la chance....

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voici un que tu pourras rencontrer dans cetaine regions du maroc elle est dangereuse mais aussi peureuse
Famille des Viperidae
Genre
Echis

Vipère des pyramides ou Echide à ventre blanc
(Echis leucogaster)



Environs d'Aouïnet-Torkoz. Août 2002. ©️Michel Aymerich


Noms usuels : Français : Vipère des pyramides ; Echide à ventre blanc - Anglais : Carpet Viper, Saw-scaled viper - Allemand : Sandrasselotter - Arabe : Toufia ; Tamachek : ?

Description : L’Echide à ventre blanc (Echis leucogaster) est considérée par certains auteurs comme un synonyme d’Echis arenicola, voire comme une sous-espèce : Echis arenicola leucogaster. En général la systématique du genre est l’une des plus compliquées et l’objet de beaucoup de controverses. L’intérêt particulier que revêt la détermination exacte de l’espèce et de la sous-espèce, notamment au Maroc, vient de ce que dans ce pays aucun sérum spécifique n’y est produit ou ne s’y trouve disponible. Or du fait des variations importantes observées entre les Echis dans la composition du venin et de ses effets sur les personnes mordues, un sérum produit à partir d’une espèce donnée (ou considérée comme telle), voire d’une sous-espèce estimée, peut s’avérer d’une efficacité douteuse, sinon inopérant dans le traitement d’une morsure d’une autre espèce ou sous-espèce.
C’est une vipère qui dépasse rarement les 60 cm, bien que des exemplaires de 83 et 87 cm aient été signalés, mais pas au Maroc à notre connaissance. L’explication pourrait être que les Echides dans ce pays vivent dans des régions très arides où les proies ne sont guère abondantes.

Biologie : C'est une espèce ovovivipare qui fréquente des milieux secs et pierreux, des zones steppiques, des ruines. En été, notamment par fortes températures, elle est nocturne. En hiver, elle devient diurne. Son alimentation se compose principalement de rongeurs et autres petits mammifères. Son venin est l'un des plus virulent des serpents d'Afrique.
Une caractéristique des Echides ou vipères des pyramides est leur faculté de striduler assez fortement, une faculté qu’ont Cerastes cerastes et C. vipera, bien que chez ces dernières, la stridulation soit moins sonore. Pour ce faire les Echides placent leurs corps en cercles concentriques puis ondulent en déplaçant en sens contraire leurs anneaux adjacents. Ce faisant elles frottent leurs flancs aux écailles obliques et fortement carénées, et se gonflent d’air. Le poumon et le sac à air du serpent servent alors de « soundbox ». Une couleuvre, le Serpent mangeur d’œuf (Dasypeltis scabra), semble imiter les Echides en stridulant, bien que plus faiblement. Tant par les motifs de sa robe que par son aspect général et par l’attitude adoptée au moment de la stridulation, le Serpent mangeur d’œufs ressemble étrangement à l’Echide à ventre blanc.



Comportement typique de défense (Antipredator Behavior) Environs d'Aouïnet-Torkoz. Août 2002. ©️Michel Aymerich


Traces laissées après l'adoption du comportement de défense (Antipredator Behavior)
Environs d'Aouïnet-Lahna. Août 2006. ©️Michel Aymerich



Dans la littérature spécialisée, les Echides sont fréquemment présentées comme des serpents particulièrement "agressifs". Ayant d'une part, une toute autre définition du concept d’agressivité et d'autre part ayant observé tout autre chose (observation corroborée par d'autres...), je crois utile de relater mon expérience. Par ailleurs j’aimerais savoir comment en toute rigueur ceux qui parlent de l’agressivité de tel ou tel serpent définissent ce concept et si ce mot sous leur plume n’en recouvre pas un autre : celui d’irritabilité ou d’excitabilité. Ainsi, ayant capturé le mois d’août 2002 une Echis leucogaster afin de continuer à la photographier dans de bonnes conditions, je peux décrire ce qui fut son comportement à différents moments. La première fois que je la vis, la nuit en maraude, longeant une espèce de muret, je m’approchais doucement d’elle et la photographiais à plusieurs reprises sans qu’elle manifesta la moindre "agressivité" ou même excitabilité. Elle n’adopta pas cette première fois le comportement de défense (antipredator behavior) caractéristique du genre Echis. Lorsque je la capturais à l’aide d’un terrarium, en la poussant légèrement muni d’un modeste bâton, elle entra dans le piège très facilement. Ce ne fut qu’une fois enfermée et quand je l’observais à travers les parois transparentes qu’elle stridula bruyamment. Elle avait compris qu'elle avait été emprisonnée. Le lendemain, avant de partir pour la remettre en liberté, alors que je la montrais à la famille d’un ami marocain, la sœur de celui-ci me dit avec insistance qu’il fallait tuer le serpent. Outré en général à l’idée d’exterminer les serpents qu’ils soient ou non venimeux et indigné qu’on me propose de détruire le représentant d’une des espèces de serpents les plus rares du Maroc, je réagis en démontrant que les serpents - et les Echides pareillement aux autres - n’attaquaient pas si on ne les agressait pas, en leur marchant dessus par exemple. Je fis sortir l’animal, le laissais se mouvoir librement dans la pièce où je me trouvais et… m’asseyais à terre. La vipère en cherchant un abri où se cacher approcha ma cuisse nue (je portais un short) et glissa quelques secondes le long pour s’éloigner de nouveau… Elle ne stridula pas et ne manifesta pas la moindre irritabilité à cette occasion. Plus tard, mise à l’extérieur sur le sol pour une séance photographique, alors que le soleil brillait, elle tenta de trouver un abri avec une vigueur certaine. Comme je l’obligeais à stopper, elle adopta son comportement de défense, stridulant bruyamment. Ce n'était que comportement prévisible et logique. J’avais déjà remarqué que les serpents comme les scorpions, exposés au soleil et craignant pour leur vie, s’empressaient de fuir et résistaient énergiquement à toute tentative de retarder leur fuite vers un abri. Une fois protégée sous un petit arbre, je titillais l’Echide à l’aide d’un bâtonnet afin de la contraindre à adopter différentes attitudes de manière à pouvoir les photographier. Chaque fois elle tentait de fuir. S’étant réfugiée dans une cavité peu profonde, je décidais de la contraindre à en sortir en la poussant avec une petite branche. Ce fut la seule fois où elle manifesta ce qui pourrait ressembler à une forme d’"agressivité" si tant est que l’autodéfense puisse y être assimilée. Elle ressortit de sa cachette et fit face en dardant sa langue et en avançant de quelques centimètres vers l'objectif que j'approchais pour immédiatement après tenter de prendre la tangente.


Environs d'Aouïnet-Torkoz. Août 2002. ©️Michel Aymerich


Répartition : Espèce rare, dont on ne connaît que quelques stations au Maroc. Toutefois, la population la plus généreuse semble se trouver aux alentours d’Aouïnet-Torkoz, dans la province d’Assa-Zag, à l'ouest de Tindouf, au nord du Sahara marocain. Plus au sud, une station existe dans la région du Zemmour, près de l’oued Makil, au sud-ouest d’Amgala et une autre station en Mauritanie, mais tout près de la frontière marocaine, à Kreyma-El-Maijat (voir également notre article: Nouvelles observations sur la rare Echide à ventre blanc, Echis leucogaster Roman 1972 au Maroc).

Conservation : L’Echide à ventre blanc, dont l’existence au Maroc est assez méconnue, est donnée comme l’un des serpents les plus rares du pays. L’exemplaire représenté ici est le premier à avoir été photographié vivant en Afrique du Nord-Ouest. Eu égard à sa rareté dans ce pays, elle mériterait des mesures de protection, dont la plus efficace serait certainement l'élévation de la région du Bas Draa au statut de Parc National, un statut qui bénéficierait à un riche cortège d'espèces menacées d'extinction.

Observations :
Août 2002. Environs d'Aouïnet-Torkoz : deux exemplaires, dont l'un moribond, la tête fracassée par une pierre (M.A. & E.A.). D'autres exemplaires, dont nous possédons quelques photos ont été également observés les mois suivants (E.L.).
Août 2006. Environs d'Aouïnet-Torkoz : traces de comportement de défense (antipredator behavior) caractéristique du genre Echis

Par Michel AYMERICH

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Invité
glurps ! j'espere sincerement ne jamais croiser cuila

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si tu le croise donne lui le bonjour de ma part...il faudrai que tu nous envois un peu de photo du maroc...on voyagerai grace a toi

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Invité
au plus vite surement ce week end. jai plein de choses a vous montrer en plus !!!

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bonjour,
je peu apporter mon témoignage sur les vipéres, j'en ai rencontre souvent l'été dans les pyrenées en randonnées, bien sûr elle s'enfuit a l'approche de l'homme, et quand on randonne dans des pierriers ou des zeones d'alpages a herbes hautes, on se taille toujours un bâton de noisetier de 1m70 1m80 pour fouiller les herbes devant soi ou taper sur les caillous pour les fairent fuir, car lorsque qu'elles se chauffent, elle sont comme en lethargie, et elles ne s'enfuit pas forcement, j'en ai rencontré en Espagne au bord d'un torrent la tête sous un caillou et le corps au soleil en train de se chauffer.
Quand a la morsure, cela m'est arrivé, quand étant gamin,( 13 ans), nous nous amusions avrec mes fréres
dans une zones humide en contrebas d'un chemin, et quand je suis remonté en courant sur ce chemin, sans la vouloir j'ai mis le pied sur une vipére, qui m'a mordu en une fraction de seconde, mon pére qui avait aspiré une pertie du venin en pratiquant une incision au couteau, m'avait ensuite placé un garrot, et m'a transporté ensuite jusqu'au village plus bas, pour qu'un medecin m'injecte un serum anti-venimeux, je n'ai eu aucune fiévre, ni aucun autre probléme.
Si vous vous faites mordre, c'est aisement reconnaissable, 1-d'abord la douleur est comme une forte piqure d'ortie qui persisterais, 2- a l'endroit de la morsure, vous verrez deux points avec deux gouttes de sang, qui sont en fait la trace des deux crochets,3- tout autour de la plaie (sur une peau claire) apparait une aureole
grise plus ou moins grande, qui est dû a l'oxcydation du sang par le venin.
Les seul déces constaté en france sont dû a l'hyper sensibilité de certaines personne au venin, qu'il soit de guépe, frelon, vipére ou autres, qui provoque un choc anaphylactique qui conduit a l'arrêt cardiaque.

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