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Phil_Celow

Comment reconnait on un crossS BCC x BCI

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Salut à tous !! Salut

Comme d'habitude tout est dans le titre .....

J'ai déjà regardé sur le net pas mal de photos, et lu pas mal de truc sur les autres forums mais rien n'est dit sur comment reconnaitre un cross BCI x BCC.

Alors je fait appel au plus expérimenté (et au autres), pour avoir une réponse ou bien un avis.

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j'aurais un avis mais cets une hypothese...

Un de mes amis a un cross suriname X bci

Son boa ressemble a beaucoup de bci a une excetion faite, ces sablier ''dessin sur le dos'' ne sont pas aussi euh...rectangulaire et triangulaire il semble avoir un mini pique au centre comme si il tentait de faire une ''loupe'' ou ''boucle'' a la bcc.

moi cest tout ce que jai remarquer.

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au fil du temps, il est devenu quasi impossible de reconnaître les cross de Bcc x Bci sur simple photo, certain prendront le phénotype du Bcc et d'autres celui du Bci, en sachant aussi qu'il existe certains cross naturels.... Le mieux reste la description de l'holotype et de compter les écailles ventrales....

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Merci à Nelkaloot et Matthieu pour vos avis et explications.

2 questions:

1) _Pour holotype j'ai trouver cette définition, vous semble t-elle exacte !?

Définition holotype

Lors d'une description d'une espèce par son inventeur, qualifie un spécimen unique ayant servi à l'établissement du nouveau taxon (genre, espèce, variété, etc). Dans le cas d'une série de spécimens (et non plus d'un seul individu), on parle de syntype. Un spécimen holotype est donc unique.

2) _Combien d'écaille ventrale doit posséder un cros BCI x BCC (régulier) ?

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Comment reconnaître un croisement ?

Cette question est souvent posée aux passionnés de Boa constrictor que nous sommes. La réponse est la suivante : dans le pire des cas, vous ne le reconnaissez pas du tout. Supposons qu’un « éleveur » croise une femelle de Boa c. constrictor du Suriname avec un mâle colombien de Boa c. imperator et qu’il en résulte une portée de 20 jeunes. Vous pouvez être certain qu’il y aura au moins un animal dans la portée qui ressemblera à la mère, qui possédera tous les caractères extérieurs d’un Boa c. constrictor du Suriname, et qui ne peut en être distingué physiquement. Il y aura aussi au moins un nouveau-né dans cette portée qui arborera toutes les caractéristiques de son père, et aura l’aspect d’un Boa c. imperator.
Cependant, si ces animaux sont plus tard reproduits, l’escroquerie sera rapidement découverte puisque les jeunes auront un aspect passablement multi-culturel.

Dans les petites annonces de la DGHT (Société Allemande d’Herpetologie), nous sommes récemment tombés sur la mention “… 100% souche pure” mais la légitimité d’une telle affirmation résiste rarement à un examen rigoureux. Des déclarations comme : “L’éleveur m’a assuré que les animaux étaient de race pure, mais je n’en ai pas la certitude”, ou comme : “… A en juger par le comportement des parents quand ils étaient nouveaux-nés, je peux dire que leurs parents avaient été prélevés dans la nature ” sont communes.

“Oh mei” (“Oh mon D…”), comme on dit en Bavière...

Par conséquent, il n’y a qu’un seul moyen d’être certain à cent pour cent : n’acheter qu’à des fournisseurs absolument fiables.

Ce qui suit est de la plus haute importance:
L’ascendance doit pouvoir être tracée jusqu’à l’aire de distribution !

Ce n’est que lorsque ceci est possible que vous pouvez être sûr d’acquérir un serpent dont la sous-espèce ET la localité sont authentiques.

Il en est de même en ce qui concerne la détermination des sous-espèces Boa c. constrictor et Boa c. imperator. Une détermination correcte ne peut être effectuée que si l’ascendance a été examinée de la sorte.

Malheureusement, il est dans la nature de l’homme de croire ce qu’il veut croire. C’est ainsi qu’on accorde facilement du crédit, sans preuve, à un vendeur qui prétend (par exemple) qu’un boa est un pur Boa c. imperator du Honduras, dès lors que l’animal se trouve offert à un prix raisonnable. Il convient de faire attention : parce que la demande pour des boas de souche pure a augmenté significativement ces dernières années, même le plus stupide des éleveurs de boas croisés sait ce qu’il faut dire pour réaliser une vente.

Il faut ajouter que certains possesseurs et éleveurs de Boa constrictor ignorent que leur animal est un croisement. Ils jettent un œil au CITES et lisent Boa c. constrictor ou Boa c. imperator. Eh bien, si le gouvernement établit cette classification, alors ça doit être vrai, non ? Non ! La plupart des agents administratifs en charge de ces certificats ne possèdent pas les connaissances qui permettent de distinguer un croisement d’un vrai Boa constrictor, et se contentent de retranscrire ce qu’affirme l’éleveur.

Parmi les éleveurs, des escrocs ont tiré avantage de cette circonstance. C’est ainsi qu’un boa croisé dont la queue est rouge devient rapidement un vrai « red-tail » du Suriname. Et si la queue n’est pas rouge ? Pas de problème ! Il sera proposé à la vente comme vrai Boa c. imperator.

De nombreux éleveurs de boas croisés sont prêts à jurer que leurs animaux sont de vrais Boa c. constrictor ou Boa c. imperator.

Ce texte vient du site http://www.boa-constrictors.com

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Encore une fois le problème est le concept d'espèce qui ne correspond à rien en fait dans le milieu naturel et qui n'est qu'une catégorie, une boite, inventée par les scientifiques pour des besoins, uniquement humains, de classification. Problème encore plus aigüe sur des animaux comme les constrictors chez qui les croisements à l'état naturel ont lieu... L'espèce n'existe pas, il n'y a, d'un point de vue pragmatique, que des barrières à la reproduction et seul l'individu constitue l'unité de "mesure" du processus évolutif.

Sur cette question je vous renvoie à la lecture de l'excellent article "Les espèces, c'est nous qui les faisons!" du professeur Lecointre (directeur du département "Systématique et Évolution" du MNHN), paru il y a peu dans le premier numéro du nouveau magazine scientifique Espèces.

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