Bernard15 0 Posté(e) le 24 janvier 2007 Manifestement, le texte proposé par Bernard un agriculteur de Nouvelle Calédonie est totalement hors sujet. Il s'agirait de réorienter ce pavé sur un autre secteur, mais lequel ? Pour une politique de biodiversité exemplaire ... Les collectivités territoriales de Nouvelle-Calédonie ont mandaté l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD) pour déterminer les espèces envahissantes susceptibles de porter atteinte à la biodiversité. Rappelons en préambule que le développement économique, et la mondialisation provoquent des bouleversements inattendus, modifiant les comportements humains. La tendance est au transfert affectif inter-spécifique de l’homme vers l’animal. Celui-ci adoré et choyé est en réalité maltraité et ignoré, dans ses fondements naturels. Cette méconnaissance de l'animal et ce besoin de dominer et de maîtriser la nature peut nous aveugler par un anthropomorphisme exacerbé. La détermination d’une espèce envahissante se fait en intégrant 2 paramètres - l’amplitude de sa répartition à travers le monde, - la dangerosité et l’irréversibilité des risques occasionnés. A ce titre le chien cumule le plus grand nombre de facteurs à risques dont les plus graves concernent la santé, l’agriculture et la biodiversité. 1 - Amplitude : Tous les continents sont concernés : La chine après son programme de limitation des naissances est aux prises avec ce déficit affectif des populations qui le compensent par la possession d’un chien. La dangerosité du chien est proportionnelle à son poids. En limitant la taille donc le poids et le nombre d’animaux détenus par un foyer les chinois ont pris une mesure certes impopulaire mais efficace. Le risque de transmission de la rage fut le biais nécessaire pour impliquer les populations (les chiens de petite taille peuvent aussi transmettre la rage). Le Canada prend en compte la dangerosité résultant d’attaques dont les morsures (73 %) concernent les enfants de 5 à 9 ans (30 %). Le visage est la principale zone atteinte (40,5 %). selon Agence de santé publique du Canada. En Australie le ministère de l’agriculture et des affaires rurales par la voix de Craig Richardson a étudié l’impact de la divagation de 1400 chiens qui avaient attaqué des animaux d’élevage. Elle a permis de constater que la plupart des propriétaires de ces chiens, lorsqu’ils sont rejoints par les autorités, refusent de croire que leur animal ait pu tuer ou blesser un mouton. Ils sont persuadés que celui-ci est trop petit, trop jeune ou trop gentil pour faire mal. En France le CEMAGREF dresse le bilan des nuisances et problèmes de cohabitation avec l’activité pastorale. Les chiens constituent la première cause de nuisance et de stress envers les troupeaux. A l’INRA Robert Dantzeraffirme que le la souffrance et le stress ont des conséquences immédiates en termes de sanctions sur la carcasse, des répercussions sur la qualité du produit fini, par exemple les problèmes de viande « pisseuse » ou de viande à « coupe sombre » consécutifs au stress trop important des animaux. Aux Antilles Ernest MOUTOUSSAMY, président de la commission Environnement Vice-président de la Région Guadeloupe - Conseiller Régional - Maire de Saint-François dénonce les conséquences de la divagation des chiens sur l'élevage, le tourisme, la sécurité, l'environnement. En Polynésie française : Stratégie pour la biodiversité : Prévenir l’introduction d’espèces envahissantes : chiens, chats rats etc... Conférence de la Cité des sciences visant à évaluer l’ampleur du problème de l’extinction des oiseaux en Polynésie Française : Lutter contre les prédateurs on y parle du rat, du chien, du chat... En Nouvelle-Calédonie Le Président de la Chambre d’Agriculture a sensibilisé le Procureur de la République et les représentants de l’Etat sur ces problèmes. Le Président de l’Association Calédonienne des Producteur de lapins s’élève contre la divagation des chiens dans les exploitations. Fléau d’ampleur grandissante, les pertes directes ou dues au stress évaluées pour 1 mois dans la zone du Mont Mou se montent à plusieurs centaines de milliers de franc. Il regrette l’absence de fourrière et de l’application de la législation relative à l’identification des propriétaires. Tandis que l’on consacre des sommes importantes au maintien des cheptels... Le Président de L’Association de Sauvegarde de la Nature dans un courrier du 14 septembre dernier dénonçait le massacre dû aux chiens (14 cagous et nids de tortues). Tandis que des efforts sans précédents sont consentis pour la préservation des espèces naturelles disséminées (perruche huppée, cagou, pigeon et tourterelle verte). Sur le plan législatif L'Assemblée Nationale et le Sénat plusieurs fois saisis se penchent sur la nécessité de légiférer : en matière de déclaration des activités, d'aménagement des locaux, d'exigences sanitaires et de soins. Mesures proposées dans un décret actuellement examiné par le Conseil d'État. Il vise à rendre responsables les acteurs de la filière, à faire prendre conscience aux acquéreurs que les animaux de compagnie dont les chiens, ne sont pas des biens de consommation. La loi n° 99-5 du 6 janvier 1999 relative aux animaux dangereux ou errants et à la protection des animaux avait pour objectif de moraliser les activités liées à l'animal de compagnie. L’élevage en nombre ou d’animaux de grande taille relève d’une éthique et d’une qualification, conformément à l'article L. 214-6 du code rural, par un certificat de capacité. Actuellement, seuls les élevages de plus de neuf chiens sevrés doivent respecter les prescriptions. • la divagation des chiens pourrait être assimilée à un acte de cruauté (par abandon) • il est question d’améliorer les moyens d'éducation des chiens et de leurs maîtres. • renforcer les contrôles de terrain par les gendarmes, étendre les pouvoirs du maire... La Convention de Berne : Stratégie européenne relative aux espèces exotiques envahissantes Son champ d’application concerne tous les groupes taxonomiques y compris virus, prions, bactéries et spécimens sauvages d’espèces domestiques (chat, chien, chèvre etc...) 2- la dangerosité et l’irréversibilité des risques occasionnés Les propriétaires de chiens en divagation mettent en péril : - La sécurité de nos enfants, l’étude canadienne référencée le démontre, le Ministre de l’agriculture précise : « de nombreux chiens peuvent infliger des blessures, en particulier aux enfants, sans appartenir nécessairement à des races de type molossoïde. » (Madame Dinoire Greffée du visage fut mordue par un Labrador) - Sur le plan de l’hygiène, le SIVAP insiste sur la nécessaire obligation d’établir un plan de lutte contre les animaux indésirables. A ce titre les chiens représentent un risque comparable à celui des rongeurs qui font l’objet d’une lutte incessante. Le passage des parvoviroses aux chiens n’est plus à démontrer. On peut aussi leur attribuer la transmission de la leptospirose (30 %). On sait que la truffe et la salive sont les agents vectoriels de transport mécanique des virus. Les chiens au même titre que les rongeurs sont vecteurs de maladies, avec un rayon d’action bien plus large. Ils divaguent entre exploitations ou élevages familiaux. Le stress qu’ils engendrent a des conséquences néfastes sur la reproduction et la qualité de la viande. L’AFSSA considère que le confinement des animaux d’élevage, en ce qu'il empêche le contact direct entre les oiseaux sauvages, est efficace pour réduire le risque d’infection de ces dernières par le virus IA, mais qu'il n’est rien sans les mesures de biosécurité qui doivent absolument l’accompagner. Ces mesures doivent avoir comme résultat d’empêcher la pénétration de matières contaminées (boue, plumes, poils...) dans le bâtiment. Les chiens errants constituent le principal vecteur commun à ces exploitations et la zone mise en réserve. Le risque est une résultante qui implique la dangerosité et la fréquence de l’évènement. Je vous laisse le soin de déterminer la part de risque que l’espèce canis prend dans la politique de protection de la biodiversité que vous entendez adopter. Enfin, je m’étonne que le collège d’experts mandaté par la Nouvelle Calédonie ait pu négliger le chien dans la liste des espèces envahissantes, attendu que le chat y figure en bonne place. L’explication relève sans doute du contexte socio-culturel qui nous imprègne mais biaise toute prise de décision. Pour être efficace, celle-ci nécessite obligatoirement des mesures : - d’information du public, et de la participation des autorités, agriculteurs et associations. - de l’inventaire exhaustif de la réglementation existante et sa mise en application réelle. - d’une adaptation de la législation concernant des mesures équilibrées et cohérentes Il s’agit surtout de responsabiliser en introduisant les notions de bien être des animaux, d’hygiène et de capacité. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ugatza 1 Posté(e) le 24 janvier 2007 Oui, ton message était hors-sujet avec l'émission "Vu du ciel" de Yann Arthus Bertrand.Ou alors, on peut dire n'importe quoi de particulier dès lors que le mot "nature" est prononcé...Venons en au fond, maintenant...Je suis en partie d'accord avec ce que tu dis.Entièrement pour ce qui concerne ceux que l'on appelle les NAC et dont les trafics ignobles aboutissent en plus à de discrètes catastrophes dans la nature des régions où vivent les acheteurs...En toute bonne conscience "d'ami des animaux" ( je t'achète, je te sauve et ne veux rien savoir d'autre)...Pour ce qui concerne le chien.Certes, il a été avec la colonisation introduit dans des régions du monde où il était absent...Il y est autant à sa place...que le colon occidental.Mais ailleurs le lien entre les hommes et les chiens est traditionnel et très ancien.Certes aussi, l'entassement urbain et le mode de vie "civilisé" (ce que tu décris comme la mondialisation, c'est à dire l'hpertrophie de la société de consommation) est un facteur important de développement de cette relation...Il est plus facile et plus gratifiant d'avoir des relations affectives avec un animal qu'avec des "humains" qui ne se préoccupent que de consommation et d'économie.Mais il ne faudrait pas faire des chiens des boucs-émissaires.Ugatza Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Lou d'Arabie 0 Posté(e) le 28 janvier 2007 Bof, les chiens ne sont pas plus "nocifs" que tous les animaux d'élevage produits en grande quantité par les hommes! Veaux, vaches, cochons, couvées.....Ils apportent tous leur lot de pollutions variées! Quand les chiens sont errants à proximité de décharges à ciel ouvert ils font office de nettoyeurs, on peut leur rendre cette justice. Ils ne sont pas plus "dangereux" que les dealers des quartiers mal famés, et s'ils stressent les troupeaux des fermiers c'est que les herbivores sont programmés pour être toujours en alerte, c'est leur métier de "gibier" ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ugatza 1 Posté(e) le 29 janvier 2007 1) Les boîtes de pâtée, les croquettes contiennent quoi? Il y a plus de 10 millions de chiens en France. 2) Rien ne saurait délivrer les maîtres de la responsabilité de ce que font leurs chiens dans la nature. Les animaux domestiques, comme les animaux sauvages (chevreuils, lapins, par exemple) ne sont pas destinés à "distraire" ces millions de chiens. Ugatza Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Lou d'Arabie 0 Posté(e) le 29 janvier 2007 Absolument. Faudrait pas confondre travail et distraction, comme certains le font.... Travail avec le maître évidemment, distraction idem, et les moutons seront bien gardés! Mais hélàs ce n'est pas souvent le cas, les maitres n'ont pas de temps à perdre et les chiens en ont trop.... De toutes façons il n'y a qu'un seul chien parfait dans le monde, et c'est moi qui l'ai. Demain surveillance de battue. Les chevreuils, sangliers et petits jagdterriers auront la paix, mon chien (toujours en liberté) observera tout et n'ira rien déranger, uniquemment parce qu'il est intelligent et qu'il comprend le déroulement des évènements. :jaime: Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Lou d'Arabie 0 Posté(e) le 1 février 2007 Puisqu’il est ici question de chiens j’en profite pour pousser un coup de gueule contre certains éleveurs. Dernièrement sur un forum de « noirs et feu » une intervenante, pilier du forum, puisque vétérinaire et éleveuse (très productive), se gargarisait de voir ses tout jeunes chiots mordre et tirer comme des fauves affamés sur des morceaux de chiffon qu’elle leur présentait, testant elle-même le maximum de leur force à l’autre bout. Et de se réjouir : « Quel mordant déjà !!! Quelle gnaque ! » Photos à l’appui. Tout le forum applaudit. Elle les provoque donc ses chiots, les excite, alors qu'ils devraient être naturellement modérés par leur mère dans leurs jeux brutaux, inhibés dans leurs morsures par les adultes attentifs. Elle les conditionne déjà pour en faire des jeunes hyperactifs, abrutis par trop de stimuli. Pour peu qu'il y ait 2 ou 3 enfants qui s'en mêlent aussi, avec force cris... Bon sang, elle ne peut pas se contenter de les sociabiliser tout en douceur et en câlins ces petits ! Et elle s’étonnera ensuite que les futurs maîtres se plaignent d’actes de destruction , d’agressivité, d’inattention, dès 3 mois ! Ce sera évidemment de leur faute, c’est toujours de la faute du maître dans ces « faiblesses » d’éducation, tous les éleveurs le savent ! Donc voilà enclenchée la ronde des éducateurs, dresseurs, comportementalistes qui vont se succéder sans rien améliorer, des ordres hurlés, des coups avec la savate déchiquetée, de l’éternelle laisse, et pour finir retour chez l’envoyeur (éleveur), quand le chien est encore jeune, sinon c’est le changement de propriétaire ou l’abandon, vers 1 an. Cette fois-là elle avait un renvoi sur les bras. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Chentyt 0 Posté(e) le 1 février 2007 Citation :La chine après son programme de limitation des naissances est aux prises avec ce déficit affectif des populations qui le compensent par la possession d’un chien. La dangerosité du chien est proportionnelle à son poids. En limitant la taille donc le poids et le nombre d’animaux détenus par un foyer les chinois ont pris une mesure certes impopulaire mais efficace. Le risque de transmission de la rage fut le biais nécessaire pour impliquer les populations (les chiens de petite taille peuvent aussi transmettre la rage). c'est proprement scandaleux de dire ca! je suis complétément outrée de ce passage! Les autorités chinoises ont battu à mort des milliers de chien de toutes tailles et de tous poids! Elles sont rentrées dans des maisons de particulier, on pris les chiens de force et les ont battu a mort devant les propriétaires!!! A l'origine cette mesure concernait les chiens errants et au final c'est TOUS les chiens qui ont été traqués et massacrés sauf les chiens de la police et de l'armée!!! Petite vidéo => Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
CANIS111 0 Posté(e) le 1 février 2007 Lou d'Arabie a écrit:Dernièrement sur un forum de « noirs et feu » une intervenante, pilier du forum, puisque vétérinaire et éleveuse (très productive), Apparemment plutôt éleveuse dans l'âme que vétérinaire celle-là ! Bon sang, elle ne peut pas se contenter de les sociabiliser tout en douceur et en câlins ces petits ! Lou d'Arabie a écrit:Et elle s’étonnera ensuite que les futurs maîtres se plaignent d’actes de destruction , d’agressivité Tu rigoles…! Personne ne viendra se plaindre, bien au contraire, la majeure partie des personnes qui veulent un chien sont fiers de pouvoir dire autour d'eux que leur animal, dit de compagnie, est un dur de dur, qu'il agresse les autres chiens (voire les humains), honnêtement combien de fois as-tu entendu tenir ce genre de "raisonnement" autour de toi…? Grande quantité de propriétaires de chien ne sont que des complexés qui font passer leur agressivité au travers de leur animal et qui voudraient bien pouvoir en faire autant, mais ils n'en ont, ni le courage ni la force, ce ne sont que des lâches aigris. D'ailleurs c'est bien connu, un chien est le reflet de son maître, ou si tu préfères tel maître tel chien, sauf que dans ce cas le maître n'est pas capable de s'extérioriser et il le fait au travers de son chien. Quand à l'éducation future donnée par le maître, si elle est faite de la manière dont elle doit l'être, le chien une fois adulte, ne sera pas plus agressif qu'un agneau, car l'attitude espiègle, combative, que le chiot avait chez l'éleveur n'est pas significative d'agressivité, mais de domination, ce n'est pas la même chose…nan ? Combien de maîtres ne comprennent rien en la psychologie des chiens ? Juste un exemple. Une personne prend possession d'un chiot, forcément celui-ci n'est pas encore propre (le chiot, pas le maître… quoique, parfois…) la personne rentre chez elle après avoir laissé l'animal seul ne serait-ce que quelques heures, et découvre que la pauvre bête à fait ses besoins à la maison, bien évidement le chiot se fait pourrir, pire encore on lui fourre le museau dans le pipi en le frappant sur les fesses et en lui disant "qu'est ce que tu as fai !". Et puis le chien étant devenu adulte le maître se demande pourquoi lorsqu'il rentre chez lui son animal ne vient pas lui faire des fêtes. Tu parles durant des jours et des jours, lorsque le maître rentrait, et que le chiot allait au devant de son maître pour lui manifester son affection il se prenait une tape sur le cul, l'animal n'est pas capable de faire la relation entre un acte, et un fait qui est arrivé même quelques minutes avant, c'est à l'instant où, qu'il faut agir après c'est trop tard. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Ugatza 1 Posté(e) le 1 février 2007 Je pense que le sujet est l'impact des chiens sur la biodiversité ou sur les équilibres naturels... Si on y revenait? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Lou d'Arabie 0 Posté(e) le 1 février 2007 Justement, on voit bien avec l'exemple chinois que si un jour les humains sont gênés pour une raison ou pour une autre par une catégorie d'animaux jugés nuisibles il ne feront pas de quartiers! Ce qu'il s'est produit avec ces pauvres animaux de compagnie peut se reproduire avec toutes les autres espèces animales, sans état d'âme! C'est toujours l'homme qui gère la biodiversité selon la santé de son bétail ou ses vieilles phobies de pandémies. et j'estime que c'est encore plus inquiétant que les risques eux-mêmes. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Chentyt 0 Posté(e) le 1 février 2007 je suis d'accord avec l'idée générale de Lou d'arabie Un exemple qui va bien avec le sujet: Les dingos sont arrivés avec les hommes et ils sont devenus une des espèces majeurs de l'ile, et quand l'homme en a eu marre il a commencà les décimer. Ou toujours sur les dingos on peut voir l'impact du chien sur le dingo pure race: ces derniers ont quasiment disparu, car non seulement traqué, il y a des croissements avec les chiens. le sang du dingo se perd, disparait.... On a là un bon exemple je trouve, de l'impact de l'homme et de sa manie d'introduire des nouvelles espèces puis de vouloir les détuire et par la meme occasion de l'impact du chien. D'ailleurs en australie il y a aussi le probleme des chats sauvages, introduits par les hommes, qui déciment les bilbis.... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites