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Ugatza

Le syndrome du Titanic 2

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Le site du film : http://www.lesyndromedutitanic.com/

Un article
http://www.lexpress.fr/actualites/2/avec-le-syndrome-du-titanic-hulot-passe-du-vert-au-rouge_791075.html

Extrait:
Citation :
Comme un kaléidoscope de la catastrophe enclenchée, ils filment des trottoirs de Lagos au Nigéria aux mines d'uranium au Brésil pour dénoncer "ce capitalisme sauvage qui réduit tout à l'état de marchandise et dont nous avons fait notre habit de lumière".

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J'en reviens à l'instant.
Beaucoup de choses à dire dessus (trop pour ce soir).
La plupart de ce que j'ai lu ou entendu dessus est faux.
C'est un très beau film...à ne pas voir si on ne veut pas être dérangé.
Je crois deviner à qui il ne plaira pas.rire
Notamment à tous ceux qui courtisaient Nicolas Hulot il y a deux ans.
Je conseille d'aller le voir: il y a de quoi réfléchir et discuter.

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Qu'est-ce que je disais? rire

http://www.web-libre.org/breves/le-syndrome-du-titanic-nicolas-hulot-sonne-l-alarme,8934.html

Citation :
Une réalité que l’on prend en pleine face et qui nous accable de remords ! (c’est d’ailleurs le reproche fait au film par Daniel Cohn Bendit)…


Hé oui, au lieu d'en rester à un constat et à des images dont l'intention est esthètique, Nicolas Hulot cherche du sens.
Et il en trouve, à l'aide de quelques uns, comme Théodore Monod, Hubert Reeves, Pierre Rabhi.
Alors évidemment ça dérange les manipulateurs, les politiciens narcissiques dont le créneau est seulement l'émotion.

Il y a de très belles séquences, pleines de tendresse pour l'Humanité et de sagesse, mais qui pennent parfois des allures grinçantes fort pertinentes.
Un extrait sur l'énergie:


Un autre extrait qui va beaucoup déplaire à ceux qui veulent GERER.

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Vu. On en prend plein la gueule et c'est bien mérité.
Même si, des fois, ça passe un peu du coq à l'âne, le traitement est très efficace.
Je ne trouve pas que Hulot soit un très bon récitant, mais ce n'est pas très grave.

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http://horreurecologique.blogspot.com/2009/10/le-film-syndrome-du-titanic-de-nicolas.html

Citation :
Samedi 10 octobre

Au début de son film, Nicolas Hulot explique « Je ne suis pas né écolo, je le suis devenu ». Une phrase qui efface les quelques maladresses du texte qui suit, texte qui s’appuie sur des images saisissantes et parfois terrifiantes. Comme celles de Lagos, la capitale du Nigeria, où une partie de la ville vit dans un mélange d’ordures et de voitures. Un télescopage de la plus extrême pauvreté et de la copie du modèle occidental. Le même modèle pour tous, hélas, appuie le commentaire en expliquant qu’il existe pourtant des voies différentes pour atteindre le bien être. A condition que l’éducation soit privilégiée. Avec cette interrogation constamment répétée et surtout illustrée, de Hong-Kong à Detroit en passant par Paris ou Los Angeles : « où est le progrès quand tout est marchandise ?». Comme le montre une séquence saisissante, entre tourisme et consommation, filmée en Namibie.
Le film n’apporte pas la réponse. Peut-être parce que l’auteur explique presque dés le début : « Je ne suis pas optimiste, je maintiens un espoir ». Il est vrai que les images sont souvent désespérantes. On est loin de la ringardise esthétisante de Yann Arthus-Bertrand qui ne regarde jamais les hommes ; on est loin aussi, même si elle fut plus efficace, de la lourde pédagogie du film d’Al Gore conjuguant jusqu’à la nausée le thème « moi et le climat ». Yann Arthus-Bertrand, dans un mode encore plus mineur, fait de même en contemplant son nombril et celui de la planète.
Pas étonnant que l’escrologiste du consortium Pinault ait reçu tant de louanges pour sa jolie bluette et que beaucoup de confrères fassent la moue sur le film de Hulot. Le premier présente le monde comme nous voulons absolument encore croire qu’il est, comme si les beautés des paysages « vues du ciel » pouvaient masquer les horreurs des destructions, des pénuries, des gaspillages et des pauvretés. Le second, ce qui peut paraître désespérant et sans analyse toujours directement perceptible, nous montre la terre telle qu’elle est. Ce qui devrait nous inciter à l’action et à la réaction plutôt qu’à nous barricader derrière des murs longuement décrits : celui qui isole les Palestiniens comme celui qui sépare le Mexique des Etats Unis.
Insister sur la misère du monde plutôt que ce qui lui reste de beauté, a pour avantage, d’autant plus que c’est clairement expliqué, de rappeler, de marteler que les combat pour l’écologie ne peuvent pas être séparée des combats contre les inégalités ; et que pour préserver, il faut partager. Résultat : même quand on sait tout cela, et encore plus quand on ne le sait pas ou que l’on veut l’oublier ou encore qu’on ne veut pas le savoir, on encaisse des coups de poings salutaires. Rien à voir avec les caresses dans le sens du poil prodiguées par Yann Arthus-Bertrand : le monde il est beau il est gentil et si vous faites un petit effort, on va s’en tirer.
Rien de tel dans le Syndrome du Titanic. Hulot, même si le propos est parfois trop elliptique, nous demande d’arrêter la musique et de regarder, de réfléchir. Avec cet avertissement tiré des images : « si nous ne changeons pas, la nature va procéder elle même à des ajustements et se seront les plus pauvres, au nord comme au sud, qui en souffriront les premiers ».
Avec une conclusion sur notre modèle qui mérite réflexion : « Peut-être avons nous trop bien réussi ».
Clairement, Nicolas Hulot n’est pas seulement devenu écolo, il est devenu politique et on se demande bien ce que lui répondent Jean-Louis Borloo ou Nicolas Sarkozy quand il leur raconte sa vision du monde...



Voilà qui est bien dit...


Michel se demandait un moment si le score de Europe Ecologie était un sursaut...
Nous avons la réponse.
Tous ceux qui portaient aux nues Nicolas Hulot il y à peine deux ans, tous ceux qui le courtisaient pour planquer leur bilan derrière son nom et la promesse d'un score à deux chiffres, où sont-ils donc passés?
Où sont passés les "10 %", ceux qui voulaient voter pour lui?
Pas dans les salles?
Hé oui la zapette a sévi.
On ne sait plus pourquoi on soutient, pas plus que pourquoi on ne soutient plus.
Alors on zape.
Ah, si! Les belles images d'Ushuaïa ne sont plus seules.
Comme c'était bon d'écraser ensemble une larmichette et de s'émouvoir sur le sort de quelques espèces lointaines massacrées par d'autres.
Alors là, évidemment là, ça coince.
Erreur fatale que de mettre chacun face à ses responsabilités et de montrer que la crise écologique vient surtout d'un modèle économique imposé partout.
Pourtant rien de bien nouveau.
Tout était déjà écrit dans la "lettre au futur Président de la République" introduisant "Pour un Pacte Ecologique".
C'est une mise en image et quelles images.

Ceux qui font mine de le découvrir sont des hypocrites, des menteurs, des opportunistes qui ne veulent pas regarder dans le miroir de peur d'y voir le visage hideux de la lâcheté, des habitudes, de la tartufferie générale.

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