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Admin-eleveurcanin

RAPPORT:Maladies génétiques du chien domestique

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www.ulg.ac.be/fmv/quant/chien.doc+genetique+canine&hl=fr&ct=clnk&cd=5&gl=fr" target="_blank" rel="nofollow">http://209.85.129.104/search?q=cache:ci__ajwVWYIJ:www.ulg.ac.be/fmv/quant/chien.doc+genetique+canine&hl=fr&ct=clnk&cd=5&gl=fr

Des informations et des questions
Objectif

Le plan du cours


Le constat


L’élimination de ces maladies fait face à divers problèmes :

L’origine génétique
Le mode de transmission de la maladie
La mesure du phénotype
Les facteurs d’environnement
La variation entre races canines
Le standard de race
La consanguinité
Les relations hôte-pathogène
La pharmacogénétique


Quelques solutions ont été proposées :

Education du public
Détection des porteurs
Protection des acheteurs
Partage de l’information génétique
Programmes de sélection
Modification des standards de race
Progeny-test
Elimination des porteurs sains
Gènes candidats

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Le mode de transmission : Sur les 350 maladies génétiques canines, seules 203 auraient un mode de transmission dont le déterminisme est actuellement connu. La majorité de celles-ci se transmet selon le mode autosomal récessif (66%). Il existe donc de nombreux porteurs sains de l'allèle muté.
Détermination du mode de transmission génétique de la maladie


Le standard de race : Les éleveurs élèvent des chiens dans divers buts : exposition de beauté, agility, obéissance, ring, etc ... Le respect des critères de race et la sélection pour améliorer ces critères est associé à l’apparition de certaines maladies comme la dysplasie de la hanche chez le berger allemand (croupe inclinée et dysplasie de la hanche). Par ailleurs, le standard de la race impose aux éleveurs l'obtention d'animaux dont les phénotypes sont les plus possibles identiques les uns des autres. Or des individus ayant des phénotypes semblables auront tendance à posséder dans leur génome les mêmes allèles.
Problèmes associés au respect de standard de race dans les programmes de sélection (corrélation génétique, objectif de sélection, …)


La consanguinité : Dans l'espèce canine, la moitié des maladies génétiques est spécifique d'une seule race. On peut expliquer ce fait par la consanguinité présidant à la fondation et à la pérennité des races. Pour chacune d'entre elles le nombre de fondateurs est restreint et le mélange des gènes est limité par la barrière que représente le standard de la race. Pour pouvoir être inscrit et avoir un pedigree, chaque produit doit justifier de parents eux-mêmes inscrits dans le livre généalogique de la race. Ainsi la reproduction se fait presque exclusivement à l'intérieur de chacune des races, chacune ayant ses mutations, ses maladies génétiques propres. Plus la population de reproducteurs a un faible effectif, plus grande est la probabilité d'un croisement de deux hétérozygotes (porteurs de la mutation) entre eux, ce croisement fera apparaître la maladie dans l'élevage. La faiblesse des effectifs peut ainsi avoir un effet dramatique pour certaines races.

www.ulg.ac.be/fmv/quant/chien.doc+genetique+canine&hl=fr&ct=clnk&cd=5&gl=fr" target="_blank" rel="nofollow">http://209.85.129.104/search?q=cache:ci__ajwVWYIJ:www.ulg.ac.be/fmv/quant/chien.doc+genetique+canine&hl=fr&ct=clnk&cd=5&gl=fr

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Ce qui est dit est un peu contradictoire : l'élimination des porteurs sains favorise les faibles effectifs... Il vaut mieux, au contraire, ne pas les éliminer pour garder un patrimoine génétique conséquent.

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La soirée avec L'UMES à Maison Alfort fut fort instructive en ce domaine sans pour celà donner de réelles et radicales solutions , hors mis des cas biens particuliers et extrémes.

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je me demande parfois si certains ne transposent pas dans la sélection canine les théories nazies de la dernière guerre, laissant s'exprimer des tendances dans leur caractère qui seraient très blamable pour la race humaine.
C'est juste une réflexion en ce dimanche midi pluvieux ici.

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Ce que je trouve particuliérement regrettable c'est que l'on puisse , avec un rappel historique pour faire pleurer ds les chaumiéres, comparer l'être HUMAIN à l'animal ......
Il me paraît Humainement primordial de faire la différence entre l'homme et l'animal .
Il est vrai qu'actuellement l'Humanisme n'est pas dans le vent...
La Nature est plus mieux.
.....La nature serait-elle ce qu'elle est sans l'intervention de l'homme????????

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je ne souhaite pas faire pleurer dans les chaumières, ce n'est pas mon objectif.
Ce n'est également pas mon souhait de comparer l'être humain à un animal bien qu'il soit à mon avis un animal plus évolué.

Ce qui m'interpelle c'est que sous prétexte de sélection, on en vienne à des discours dignes de ceux des ayatollahs.
Il faut éliminer les atteints, les porteurs sains, éventuellement les parents ou collatéraux des porteurs sains ou la descendance des porteurs sains.
IL ne reste plus grand chose.

Je ne conçois pas l'élevage en additionnant des tests génétiques. Je pense qu'un éleveur n'est pas éleveur de sujets pour des test génétiques parce ce que je me demande où sont alors les qualités morphologiques, le brio, la symétrie, l'harmonie des lignes, etc.

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Christian a écrit:
La soirée avec L'UMES à Maison Alfort fut fort instructive en ce domaine sans pour celà donner de réelles et radicales solutions , hors mis des cas biens particuliers et extrémes.

La conférencière ne pouvait pas présenter toutes les maladies de toutes les races sinon, elle partait pour 48h de conférence. Elle a quand même donné dans les grandes lignes les conduites à suivre selon le type de transmission des maladies.

muriel isselé a écrit:
Il faut éliminer les atteints, les porteurs sains, éventuellement les parents ou collatéraux des porteurs sains ou la descendance des porteurs sains.
IL ne reste plus grand chose.

Mais justement noooon !!! C'est ce que les utilisateurs raisonnés de ces tests se tuent à dire !!! Le but est de ne pas produire de chiens malades, pas forcément des chiens parfaitement sains de partout, ce qu'apparemment bcp ne comprennent pas, donc d'éviter de faire tel ou tel mariage. Certainement pas de supprimer tous les reproducteurs de la planète.

muriel isselé a écrit:
Je ne conçois pas l'élevage en additionnant des tests génétiques. Je pense qu'un éleveur n'est pas éleveur de sujets pour des test génétiques parce ce que je me demande où sont alors les qualités morphologiques, le brio, la symétrie, l'harmonie des lignes, etc.

Vous n'avez manifestement rien compris à l'utilité de ces tests. Le test génétique est un outil en plus dans la sélection, pas un moyen de sélection, il doit rester un critère de plus dans les choix des reproducteurs. En cocker anglais, certains éleveurs ont réussi à produire des sujets de grande qualité mais non malades, ces éleveurs disposent même dans certains cas d'un cheptel sain pour certaines tares de la race, tout ceci à force de sélection. Alors que pour l'APR, d'après les statistiques des chiens testés, on ne dispose que d'environ 40% de chiens réellement sains (donc même pas porteurs).

Le propriétaire lambda qui vous achète un chien de compagnie, il veut un chien gentil et en bonne santé. Ca lui fait une belle jambe d'avoir une bête d'expo sourde dans son canapé ou qui coûte une fortune en alimentation adaptée à cause de ses calculs !

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muriel isselé a écrit:
je ne souhaite pas faire pleurer dans les chaumières, ce n'est pas mon objectif.
Ce n'est également pas mon souhait de comparer l'être humain à un animal bien qu'il soit à mon avis un animal plus évolué.

Ce qui m'interpelle c'est que sous prétexte de sélection, on en vienne à des discours dignes de ceux des ayatollahs.
Il faut éliminer les atteints, les porteurs sains, éventuellement les parents ou collatéraux des porteurs sains ou la descendance des porteurs sains.
IL ne reste plus grand chose.

Je ne conçois pas l'élevage en additionnant des tests génétiques. Je pense qu'un éleveur n'est pas éleveur de sujets pour des test génétiques parce ce que je me demande où sont alors les qualités morphologiques, le brio, la symétrie, l'harmonie des lignes, etc.


Les tests sont une aide à la sélection, ils ne font pas toute la sélection. Par contre, ils te permettent de faire des mariages qui seront plus raisonnés.
Par exemple, en faisant les tests d'une de mes chiennes, j'ai appris qu'elle était porteur saine d'AOC. La marrier avec un chien également porteur donnerait une possibilité de chiots atteints. Savoir cela me permet d'éliminer les étalons qui ne seront pas testés génétiquement car produire du beau, c'est notre but à tous mais le sain c'est également fondamental. Enfin, je trouve.

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Invité
Chez les IWs, on attend avec impatience la mise au point des test pour la CMD et l'ostéosarcome. Il y a déjà quelques lignées dans le collimateur, mais compte tenu du peu de reproducteurs, je ne sais pas ce que cela va donner au final.

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